Les Forces De L'Ordre Au Pouvoir
Il était environ quatre heures de laprès-midi. Jétais absorbé dans la lecture dun bon roman quand on a frappé à la porte. Jai ouvert pour découvrir mon Patrick habillé en policier, me présentant une fausse plaque en minterpellant dun air sérieux : « Police, jaurais quelques questions à vous poser ! » Amusé, je décidai de jouer le jeu et fit mine de me sauver en courant dans la maison vers la porte arrière. Patrick me poursuivit en parlant dans un talkie-walkie : « Suspect en fuite, se dirige vers la porte arrière, besoin de renfort immédiatement ! » Je me déplaçais rapidement, sautant par-dessus le divan et contournant les meubles. Quelle ne fut pas ma surprise, en ouvrant la porte arrière, de me retrouver nez-à-nez avec Sébastien et Thomas, deux bons amis de Patrick, eux aussi déguisés en agents de police ! Ils mattrapèrent chacun par un bras alors que je me débattais. Ils me traînèrent de force dans la maison, me livrant à Patrick entourés de trois autres de ses copains, Hugo, Sylvain et Paul, bien sûr eux aussi déguisés.
Jétais toujours prisonnier de Sébastien et Thomas qui me maintenaient debout. Patrick faisait les cent pas autour de moi, les traits sévères, tel un prédateur bavant devant sa proie. Il frappait dans sa main avec une matraque, menaçant. Hugo sinstalla derrière moi et me tira les cheveux de façon à relever ma tête pour me forcer à affronter le regard de Patrick. Le visage de mon amant sapprocha à quelques centimètres du mien : « Comme ça, on essaie de fuir ! Quest-ce que tas à cacher petite merde ? » Mon cur tambourinait dans ma poitrine. Ce nétait quune mise en scène, mais je me faisais prendre au jeu et cétait excitant. « Je nai rien fait, vous navez rien contre moi ! », rétorquai-je. Patrick avait toujours ses yeux autoritaires rivés sur les miens. Il a continué : « Hummm
Tremblements, rythme cardiaque et respiratoire accélérés, pupilles dilatées
Tous les signes du junkie en manque ! Retournez-moi cette maison à lenvers à la recherche de seringues ou autre trucs du genre! » Sylvain et Paul sexécutèrent.
Ma respiration semballait. Jétais immobilisé par trois agents de police et leur chef allait me palper partout alors que les autres observeraient. Je me sentais impuissant face à mon amant qui une fois de plus dominait la situation. Jadorais. Les mains de Patrick caressèrent mon torse et mon abdomen à travers ma chemise quil se mit à déboutonner lentement, en prenant son temps. Elles séchouèrent ensuite sous ma chemise entrouverte. Elles étaient douces et se promenaient, pétrissaient. Mon amant me pinça les tétons. Ah, cétait bon ! Ses mains explorèrent ensuite mes fesses, mes cuisses. Je frémissais, il était tellement viril. Il ordonna : « Installez-le sur la table ! » Les policiers obéirent. Ils mamenèrent de force vers la salle à manger. Je me tortillais, essayant de voir si une fuite était possible. Mais leurs bras puissants avaient le dessus. Ils me plaquèrent la poitrine sur la table froide, Sébastien et Thomas tenant mes bras fermement. Hugo mécrasait la tête pour mimmobiliser complètement, Paul et Sylvain me maintenaient les jambes légèrement écartées. « Laissez-moi ! Laissez-moi je vous en prie! », implorai-je. Sans porter attention à mes supplications, Patrick défit ma ceinture et ma braguette, puis baissa mon pantalon et mon boxer. Je me retrouvais à sa merci, les fesses à lair, dans une position humiliante, mais au combien excitante. Je sentis du lubrifiant couler entre mes fesses. Mon sexe était bien gonflé. Mon tortionnaire appliqua un doigt sur mon anus et le fit tourner dessus, gentiment, lentement. Javais tellement envie de cette fouille, pourtant elle tardait. Après une longue attente, lintrusion eu enfin lieu. Le doigt avait passé mon sphincter et tournoyait à lintérieur.
A ces mots, tous les policiers défirent leurs braguettes et brandirent leurs sexes déjà bien raides. Wow ! Je jubilais de la sensation dêtre le déclencheur de toute cette frénésie. La queue de Patrick se dressait et faisait saillie entre mes fesses. Les autres commencèrent à se branler dune main tout en mimmobilisant de lautre. Patrick enfourna sa matraque dans ma bouche. « Suce ! », ordonna-t-il, impitoyable. Lobjet se projeta tout au fond de ma gorge, provoquant un réflexe nauséeux incontrôlable. « Cest bien, petite salope, continue ! », rajouta-t-il dun ton grave. Je léchais, salivais, faisais tournoyer ma langue comme si cette matraque était un sexe appétissant. La matraque quitta ma bouche pour se retrouver entre mes fesses. Elle était toute visqueuse, dégoulinante de ma salive. Lobjet froid pénétra en moi et se mit à faire des aller-retour. Je me laissais emporter dans le jeu. Je métais glissé dans la peau dun camé victime dabus de pouvoir des forces de lordre et jaimais ça.
La matraque quitta mon corps. « Tu veux goûter au vrai jouet ? », ma demandé le chef de mes agresseurs. Son sexe poussait déjà sur mon anus. Les pressions plus légères devinrent plus féroces avec les secondes qui sécoulaient. Je désirais plus que tout me faire défoncer par ce gland turgescent de plaisir. Mon amant grognait, je devenais lobjet de ses fantasmes, lui des miens. Chaque petite poussée entre mes fesses faisait progresser ce sexe ferme plus profondément en moi.
Un silence dassouvissement régnait dans la pièce. Nous étions tous repus et heureux. Patrick brisa le silence : « Tu voulais participer à un deuxième porno live, ben te voilà servi ! » Je posai mes lèvres sur les siennes et lui exprimai toute ma gratitude par un long baiser. « Merci les gars ! Cétait super !», dis-je ensuite en regardant les autres. Cest Thomas qui répondit le premier : « Non, merci à toi davoir joué le jeu, tétais vraiment excitant à mater! »
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