Jean Louis, L'Autre Client Du Kiosque À Tabac.3. L'Accident De La Brasserie.

Nous vivions notre petite vie de couple et parents, tranquilles, amoureux l'un de l'autre, comme au premier jour.
J'étais conscient que notre sexualité libre était responsable de notre bonheur.
Chacun de nous deux, y trouvait l'épanouissement, elle, de pouvoir assouvir ses besoins sexuels avec d'autres hommes virils et dominateurs, et moi, le plaisir de la savoir épanouie ainsi, la retrouver plus câline, lors de nos rapports sexuels.
j'avais réussi a me débarrasser de ce sentiment destructeur: La jalousie!
J'avais confiance en moi, notre amour, en elle aussi et son amour pour moi.
J'étais son premier homme, depuis elle a connu, grâce à moi d'autres queues et découvert de nouveaux plaisirs.
Parallèlement à ses aventures extra-conjugales, nous commencions timidement à, fréquenter les lieux chauds du département, répondre à des annonces libertines, en faisant des erreurs inévitables.
Je la voyait souvent répondre à ses sms. N'étant pas jaloux, je la laissais libre, et ne m'immisçait jamais dans son intimité.
Un jour, peu de temps après sa rencontre avec Jean-Louis, nous flânions en ville, en profitant de l'après midi avant d'aller chercher notre fille à l'école.
Son portable vibre, elle s'éloigne un peu et se place sous un rideau de magasin, puis lit le sms.
"Salut Lisa! Je pense à toi, il faut qu'on se voit, j'en peux plus!".
Je lui demande: "C'est qui?".
"C'est le boulot! La patronne me demande ou j'ai rangé des trucs!".
Elle réponds au sms:
"Moi aussi, je pense à toi! On se voit bientôt!".
"Tu fais quoi là?".
"Je suis avec mon homme! On va voir un verre dans une brasserie".
"Laquelle?".
"Sur le boulevard principal, le G.... T...!".
"OK! Vous y êtes pour combien de temps?".
"Plus d'une heure, je pense, je dois te laisser, mon mec va se poser des questions! Bises".
"Bises!".
Nous reprenons notre ballade jusqu'à la fameuse brasserie, nous nous plaçons près d'une baie vitrée.

15 minutes plus tard, je remarque que son regard va souvent dans la même direction.
Je jette un œil discrètement, en cherchant qui, ou ce qu'elle peut bien regarder, je croise le regard d'un homme, grand et brun, qui tourne aussitôt la tête.
Lisa regarde d'un coup, vers l'extérieur.
Peu de temps après, l'homme se dirige aux toilettes à l'étage. Ma belle reçoit un sms, elle le lit puis referme l'appareil.
"Je vais aux toilettes, je peux plus me retenir!".
Elle prend la direction de l'étage. Jean-Louis l'attends, devant les WC hommes.
"Tu es fou! On va se faire prendre!".
Il la saisit par la taille et l'embrasse.
"Humm, Jean-Louis! T'es fou!".
"Viens! Suis moi, y a personne de mon coté!".
Une femme monte les escaliers pour se rendre aux WC femmes, ils s'écartent l'un de l'autre. La cliente disparait dans les toilettes féminines.
"Allez! Suis moi!".
Ils rentrent dans les WC, puis se cachent dans une cabine.
Jean-Louis dégrafe son pantalon, se dégage la queue, en le baissant avec son slip jusqu'aux genoux. Il bande dur et ferme.
"T'es dingue, Jean-Louis!".
Puis elle se baisse pour lui lécher le gland, très vite, elle enfonce profondément sa gorge sur son gros sexe, entamant une longue et fougueuse fellation.
"Humm, ça m'excite! De te sucer comme ça, avec mon mec a coté!".
"Moi aussi, ça m'excite! Je savais que ça te plairait!".
Il lui tient le visage, et lui baise la bouche un moment, de temps en temps, il se frotte la queue sur tout le visage de ma belle, donnant de légers coups qui excitent Lisa.
Il la laisse le pomper frénétiquement, elle s'active sur sa queue comme une adorable vraie petite salope.
"Ahhhhhhhhh, Lisa! Je vais jouir, Ahhhhhhhhhhh".
Elle ne ralentit pas son rythme, il éjacule son foutre chaud dans sa gorge en spasmes successifs.
Un bruit de porte, les fait sursauter, ils ne bougent plus, ils entendent quelqu'un entrer, et uriner.

Elle avale son sperme sans bruit, sans quitter son sexe.
Puis deux minutes après, un bruit d'eau qui coule, l'homme siffle un air connu, puis disparait en quittant le lieu.
Il l'aide à se relever.
"C'était bon! Merci Lisa!".
"J'ai adoré, moi aussi! je suis désolée, je dois y aller!".
"Je sais, j'ai un moment demain vers la même heure, on peut recommencer, si tu veux?".
"Je sais pas! Tu m'envoie un sms! Bises!".
Elle vérifie qu'il n'y a personne et sort discrètement pour me rejoindre.
"Eh ben ! T'as été longue!".
"Je sais! je suis pas allée faire pipi, et il y avait d'autres femmes a coté, je voulais pas faire de bruit!".
"Ah, je comprends!".
Elle est toute émoustillée, encore pleine du souvenir de sa bite dans sa bouche, et du goût du sperme de Jean-Louis.
"Ca t'ennuie si on rentre vite chez nous avant de chercher la petite ?".
"Non, pourquoi?".
Elle se penche vers mon oreille et chuchote:
"J'ai envie que tu me baises!".
"Salope!".
"Tu peux pas savoir a quel point!".
On quitte la brasserie, je la baiserai juste après avoir passé la porte d'entrée, lui donnant deux orgasmes consécutifs et éjaculant sur son cul.
Le lendemain, nous faisions les vitrines en ville, comme d'habitude. Elle reçoit encore une fois un sms:
"Je suis à la brasserie, on remet ça?".
Elle réfléchit, puis réponds:
"OK".
Elle ferme l'appareil, me rejoint, et dit:
"J'ai soif, on va boire quelque chose?".
"Ou?".
"Comme hier! Qu'est-ce que tu en penses?".
"Si tu veux!".
On retrouve à une table près, notre place de la veille, au bord de la baie vitrée. Comme un idiot, je n'ai, ni remarqué la présence de Jean-Louis, derrière moi, ni son passage près de nous, pour se rendre aux toilettes.
"Je vais aux WC, tu me commandes un Perrier avec une rondelle de citron?".
"OK!".
Arrivée en haut des escaliers, Jean-Louis l'attend, en tenant la porte des toilettes hommes pour gagner du temps.

Ils s'engouffrent dans le lieu, et retournent dans le cabinet du fond.
"Ca m'excite! c'était bon, hier!". dit elle entre deux baisers.
Elle le masturbe a travers son pantalon, et ouvre sa braguette.
Il se libère la queue, et la voit aussitôt englober sa bite.
"Oh, Lisa, je t'adore, j'aime nos délires!".
"Moi aussi!".
Il la relève et la colle, ventre contre le mur en lui relevant sa jupe.
"Jean-Louis! Tu fais quoi?".
"Je te veux! J'ai encore envie de t'enculer!".
Il se protège avec une capote, se couvre de salive et fait de même avec son anus.
"Jean-Louis! T'es fou!".
"Je sais, c'est ta faute!".
Le gros sexe prend le chemin de son sphincter peu à peu, à force de patience, il arrive à la pénétrer entièrement.
"Ahhhhh! Jean-Louis! C'est bon! Ca m'excite aussi ça!".
"J'aime ton cul, Lisa! Je peux pas m'en passer!".
"Tais-toi et encules-moi! fais moi jouir!".
Il commence une série de mouvements de plus en plus frénétiques. Elle étouffe ses gémissements.
Quasiment, cinq minutes après, la porte s'ouvre, ils stoppent tout mouvement, ils entendent deux hommes, discuter.
La poignée de leur porte bouge.
"Ah, y a quelqu'un! Pardon!".
l'homme entre dans la cabine à coté, pendant que l'autre urine contre la paroi d'émail.
Les deux amants, n'osent pas bouger, ni dire un mot, la grosse queue de Jean-Louis est enfoncée jusqu'à la garde dans l'anus de ma belle.
Enfin, les deux hommes quittent les toilettes.
"Ohhhhhhh, ça me rend folle! c'est vicieux, j'adore! Encules-moi encore, fais moi jouir maintenant!".
"Oui, je vais te faire jouir, moi aussi, je veux jouir dans ton cul!".
Ils reprennent leur coït anal, avec fougue, pressés de jouir ensemble.
Elle atteint son orgasme anal, en gémissant dans la main de Jean-Louis, qui continue de s'affairer dans son anus.
Moins d'une minute après, il annonce:
"Lisa, je viens! Ahhhhhhhhhhh, Oh putain, c'est trop bon de t'enculer! Ahhhhhhhh!".

"Oui, tu m'excites, jouis dans mon cul, j'adore!".
De longues secondes passent, Jean-Louis se décide avec regret de quitter son anus, il aime regarder sa queue dans son orifice anal.
En sortant son gland, il s'exclame:
"Merde! la capote s'est pétée!".
"Allez? Tu plaisantes!".
"Non, mais t'inquiètes pas, y a pas de risque, je ne vois que toi, a part ma femme!".
"Ok, mais c'est pas normal! Bon, je dois y aller!".
Elle l'embrasse en s'essuyant avec du papier, remontant sa culotte et replace sa jupe, pour sortir et me rejoindre.
"Eh ben ! T'as été longue, encore!".
"Je sais! je sais pas ce que j'ai en ce moment! Merci pour le Perrier!".
"Dépêches-toi, on a encore un peu de temps, mais on doit bientôt partir!".
Quelques minutes plus tard, il me semble reconnaitre l'homme de la veille quand il retourne derrière moi.
Je remarque des regards de ma femme au dessus de mon épaule. Elle soupire en disant:
"Ahhh, je suis bien!".
"Tant que ça?".
"Oui, je sais pas, c'est peut être le soleil, il fait beau, non?".
"C'est vrai!".
Je ne devrai pas vous raconter ce détail qui n'est pas très glamour, mais en allant chercher notre fille, j'ai remarqué à deux reprises qu'elle avait de légères flatulences.
"Je dois faire de l'aérophagie! à mon avis!".
Elle me demande de pouvoir retourner d'urgence, dans un bar près de l'école, pour aller évacuer le sperme de Jean-Louis et essuyer sa culotte, de peur de tacher sa jupe en conduisant la voiture.
Une fois rentrés, j'aborde un sujet épineux.
"Dis-moi, depuis hier, t'es bizarre quand on va à la brasserie!".
"Ah bon?".
Elle m'embrasse, et ajoute:
"Ne t'inquiètes pas! Tu n'as rien à craindre!".

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