La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°270)
Suite de l'épisode précédent N°269 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Le Marquis dEvans vient de mettre sous les yeux de Sa soumise un écrin contenant une magnifique parure avec collier et bracelets manifestement D/s, non tant par la beauté du bijou qui, tel quel, pourrait fort bien passer pour un simple bijou décoratif pour ceux qui ne seraient pas apte à en décrypter lutilité première, mais par la présence en son centre, relié par un premier petit anneau, du deuxième anneau qui pend sur le devant, qui forme comme un magnifique « O » hautement symbolique, qui restera posé à plat au dessus de la poitrine en permanence et qui pourra servir de point dancrage à toutes sortes de cordes et de chaînes, mais aussi par les trois arceaux complémentaires qui permettront daccrocher en dautres points des fixations diverses et autres entraves. Tout cela semble presque trop beau pour celle qui souhaitait avant tout rester une esclave humble et dévouée pour son Maître Vénéré, mais qui féminine dans lâme ne peut malgré tout sempêcher dadmirer les cristaux bleus qui y sont insérés et les divers détails de lobjet bicolore gravé aux initiales et aux armoiries de Celui à qui elle appartient.
Instinctivement, Thaïs porte la main à son cou quelle sent si vide pour linstant, car à la demande de son Maître, lorsquelle avait fait semblant de reprendre sa liberté pour partir aux bras de Thierry qui, comme il le croyait la veille, pensait larracher des griffes de son soi-disant « bourreau », elle avait retiré son ancien collier de soumise quelle avait déposé sur la table de salon en partant pour ajouter de la véracité à sa mise en scène. Jamais elle na autant ressenti physiquement quen ce moment le manque total de signe dappartenance à son Maître, dont elle ne porte plus pour lheure les initiales qui étaient gravées sur son collier de chienne. Elle espère, au plus profond delle, que le Marquis dEvans a bien lintention de faire ce quIL vient de lui proposer et de lui offrir ce si bel objet qui ornera si bien son cou.
- Ma belle chienne, alors comment trouves-tu ma dernière acquisition ?
- Mon Maître Vénéré, sil est permis à Votre esclave de parler, cest un bijou magnifique qui ornera avec élégance le cou de celle qui aura limmense honneur de pouvoir porter avec dignité Vos initiales et Vos très belles armoiries. Je Vous dirais bien que, comme chaque fois, je trouve que mon Maître a particulièrement bon goût.
- Tu as toujours beaucoup de réserve quand tu texprimes et cela me plait quil en soit ainsi, mais ne te rappelles-tu pas que je viens de te dire que javais eu dans lintention de toffrir ce nouveau collier. Et donc comment le trouves-tu ? Est-il à ton goût ?
Thaïs prend le temps de formuler sa réponse, ne sachant pas si la question en était une ou juste une manière de rebondir sur le bon goût de son Maître quelle avait cru pouvoir relever.
- Mon Maître Vénéré, javais bien entendu ce que Vous maviez dit, mais je ne suis que Votre soumise, il ne mappartient pas de commenter et de porter un jugement sur les choix de mon Maître, ni même sur ce quIL décide dans son infinie bonté de moffrir. Sil Vous plait quil en soit ainsi, jen serai la plus heureuse bien sûr, car tout ce qui plait à mon Maître Vénéré, me plait ment puisque cela me vient de Lui avant tout, comme chacun de Ses bienfaits pour celle qui lui appartient totalement. Mais je sais aussi que Vous pouvez, si tel est Votre bon plaisir, donner et reprendre à tout moment ce qui est Vôtre, avec ou sans raison dailleurs, car je suis à Votre entière merci à chaque instant.
- Tu as parfaitement raison, tu mappartiens ! Je veux quil en soit ainsi et que tu ressentes au plus profond de ton corps et de ton âme cette appartenance.
Thaïs se tient toujours à quatre pattes devant son Maître et inconsciemment, elle incline respectueusement encore plus la tête devant Celui quelle Vénère plus que tout. Elle a toujours du mal à entendre son Dominant lui dire que sa place de soumise à Ses pieds pourrait être remise en cause à tout moment, car cela crée chez elle un sentiment permanent de crainte et de vulnérabilité, mais aussi dhumilité qui lui fait bien comprendre quelle nest rien par elle-même et que tout ce quelle est, ne lui vient que de Celui à qui elle appartient, qui a tout pouvoir sur elle, y compris celui de la chasser sIL nen voulait plus à Ses pieds ou sIL avait fini par se lasser delle. Et dans cette abnégation totale et cet abandon extrême, elle ne peut sempêcher de frissonner en sentant son corps en proie à des sensations intenses chaque fois que son désir de soumission se trouve ren et sollicité : sa gorge se noue, une onde de chaleur la traverse comme un courant électrique, son plexus semble se soulever à chaque battement de son cur, ses muscles fessiers se contractent sous leffet du plaisir qui commence à irradier dans son bas-ventre et sa nuque se creuse tandis que chaque parcelle de son corps semble frémir.
- Oui, Ma belle chienne, cest ainsi, tu mappartiens ! Tu es à Moi et à Moi seul ! Je veux que tous tes ressentis, quils soient plaisirs ou déplaisirs ne viennent que de Moi, car Je sais que tu es faite pour cela, pour ne vivre quà travers ton Maître Vénéré, avec Lui, par Lui et pour Lui, et que cest de cette manière que tu te sens à la fois craintive mais rassurée, maîtrisée mais protégée, et dans tous les cas, heureuse et radieuse de ta condition.
Le Marquis appuie sur la nuque de S soumise pour linciter à se courber davantage et IL guide la tête de Sa femelle vers Ses propres pieds sur lesquels Thaïs sempresse de déposer avec ferveur et amour un baiser des plus respectueux.
- Dénoue mes chaussures, et défait mes chaussettes. Je veux que tu masses mes pieds comme tu sais si bien le faire.
Lesclave-soumise ne se le fait pas dire à deux fois. Délicatement, elle défait les lacets des chaussures en cuir du Marquis dEvans quelle dépose juste à côté, enlève les chaussettes noires de soie quIL porte aux pieds quelle plie soigneusement avant de les ranger dans les chaussures vides. Elle sinstalle à genoux sur les talons, juste devant le fauteuil et pose avec respect et délicatesse sur ses cuisses les deux pieds de son Maître. Prenant tour à tour chaque pied, elle commence par un long massage de la voute plantaire, insistant sur chaque partie de la plante du pied où se trouve situés plus de sept mille terminaisons nerveuses qui sont reliées directement avec le cerveau et qui représente pour chaque point par correspondance une des parties du corps, membres ou organes. Thaïs maîtrise avec suavité la réflexologie plantaire et elle insiste sur toutes les zones réflexes, ce qui procure un vrai sentiment de détente chez son Maître qui émet de petits bruissements de souffle de bien-être. Reprenant son massage, elle poursuit sur chaque orteil et doigts de pieds, quelle pince en étau avec ses doigts, avec fermeté mais sans plus, au niveau de chaque articulation pour accen le reflux sanguin et poursuit par de longs mouvements sur le dessus du pied en direction des chevilles, puis des mollets. Cest à ce moment là que le Marquis dEvans qui ronronnait presque de quelques « oui, cest bon » ou « continue » interrompt la séance détente qui a provoqué chez Lui une autre forme dexcitation.
- Continue Ma belle, mais monte par ici. Mes pieds ont assez profité de tes mains expertes.
Thaïs a bien sûr déjà compris ce que son Maître attend delle, et ses deux mains poursuivent leur escalade jusquau sommet des cuisses du Châtelain qui émet quelques petits bruits qui en disent long sur le plaisir quIL prend sous les caresses tactiles de Sa soumise. Relevant la tête, Thaïs aperçoit enfin la bosse plus que visible sur le pantalon du Châtelain, sur laquelle elle dépose un premier baiser en signe dapproche. Tout en continuant à lembrasser à travers létoffe du pantalon du costume du Marquis, ses deux mains saffèrent sur la ceinture de cuir noir que ce dernier porte à la taille et que les doigts lestes de la soumise défont et entrouvrent pour avoir accès à ce qui se trouve en-dessous et qui semble déjà vouloir pointer et sortir à travers le tissu ondulant. De ses dents, la soumise att le zip de la fermeture éclair quelle tente de descendre vers le bas. Le Marquis sincline un peu plus pour lui faciliter la tâche.
- Oui, Ma belle chienne, sort ma Divine Queue de sa cachette, elle est pour toi. Ta bouche sera un parfait fourreau. Tu vas me sucer comme tu sais si bien le faire, mais attention ne me fait pas jouir, car je réserve ma semence pour une toute autre utilisation et ce nest pas ton palais qui se délectera de mon nectar cette fois. Tu as déjà eu ton compte tout à lheure sous la douche, il ne te faut pas r des bonnes choses (ajoute t-IL dun petit air coquin).
Thaïs sait quelle na pas à juger des désirs de son Maître et quelle nest là que pour satisfaire le moindre de ses plaisirs de la manière quil convient à celui-ci. Elle entreprend donc sa fellation avec dévotion et savoir-faire, ouvrant sa bouche au maximum pour engloutir la Divine Verge de son Maître qui grossit encore sous leffet de sa langue humide de chienne lubrique bien dressée, qui se plait à tourner autour du gland et à lécher chaque millimètre carré de cette bite déjà gorgée de sang, se frayant un chemin au milieu des habits que le Noble porte toujours et desquels ne dépasse que le Vit généreusement dressé. Le Châtelain lencourage dabord par les gestes, car régulièrement dun coup de reins, IL senfonce profondément dans la bouche de Thaïs qui résiste pour ne pas avoir de haut-le cur quand IL vient en butée sur le fond de sa gorge tout en lui maintenant la tête pour quelle ne recule pas sous la poussée virile et aussi par ces quelques mots :
- Continue, Je veux que tu rendes ma queue plus dure et plus gonflée que jamais. Alors applique-toi bien, mais naccélère pas et ne change pas de rythme car je veux garder ma semence pour cette petite chose sans nom qui est là, misérable devant moi, en train dessayer toujours de se nettoyer de son foutre quil a osé répandre sans en avoir reçu lautorisation. (dit-il tout bas à loreille de Sa soumise, ne voulant pas encore prévenir Thierry de ses intentions)
Tout en se faisant sucer, le Marquis depuis quelque temps ne quitte plus des yeux Thierry qui continue toujours à essayer de faire disparaître toute trace de son méfait, tête basse, mal à laise en utilisant sa salive et ses mains pour tenter de se laver tant bien que mal.
- Alors la petite chose sans nom, tu as eu le temps de réfléchir et de nettoyer ta queue et tes salissures. Cest bon pour aujourdhui, mais tâche que cela ne se reproduise plus car je serai beaucoup moins tolérant une prochaine fois, et la punition pourrait être dun tout autre acabit (dit le Marquis, plus haut cette fois, pour être bien entendu par Thierry qui sest interrompu à ce moment là)
Le Marquis dEvans marque un temps de pause avant de reprendre sur un ton ferme et très directif, pour marquer la solennité de linstant.
- Je pense quil est temps que tu me supplies, car cest bien pour cela que tu es venu de ton plein gré dans ma chambre. Tu dois connaître ton texte par cur à force de le ressasser dans ta tête. Je daigne enfin perdre de mon précieux temps pour técouter, mais une supplique se formule en position de suppliant, à genoux, les mains jointes et la tête inclinée vers le bas.
(A suivre
)
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