Vive Les Vacances 1Ère Partie.
VIVES LES VACANCES
J'ai raconté dans les différents chapitres de "Comment le goût des cochonneries vient aux filles", et que ma classe de seconde fût pour moi le passage du simple "touche pipi" à des jeux bien plus excitants allant jusqu'à la découverte, visuelle, olfactive, manuelle et bien réelle du sexe masculin, laissant quand même le pauvre X1 à la porte de mon intimité la plus profonde, ne me sentant pas encore prête à être envahie par un tel engin au fond de moi ! Heureusement pour lui A. était très affamée ce soir là et satisfaire à la fois X1 et X2 n'était qu'un bon moyen de se satisfaire elle-même.
J'étais loin de me douter que les vacances allaient m'apporter de nouvelles révélations.
Etant dispensée du, traditionnel, mois de vacances en Angleterre, chez des amis de mes parents; mon père ayant décidé, pour mon plus grand plaisir, de me faire effec ma 1ère et ma terminale à Londres, afin que je sois bilingue à la fin de mes études secondaires. Ce mois à l'étranger était remplacé par un long séjour sur le bateau d'un ami de mes parents.
Il avait deux s, un garçon et une fille, jumeaux, ayant à peut près mon age; ainsi que sa nouvelle conquête, une fille adorable d'une trentaine d'années, ce qui me paraissait très vieux! Et une amie à elle dans les même eaux, lui ne venant que pour les week-ends. Son beau deux mats était amarré dans l'ancien port de St. R sur la côte d'Azur.
Au premier abord la perspective de passer un mois avec M. et J. ne m'enchantais guère. M. était pour moi une "sainte nitouche" au regard toujours baissé dans une attitude réservée qui confinait à l'hypocrisie, son frère n'ayant comme centres d'intérêts que les parties de baby-foot avec ses copains et la plongée sous-marine qui présentait à mes yeux plus d'attrait.
B. et I. les deux adultes, amies de longue date, étaient beaucoup plus attrayantes que les plus jeunes, mais comment me faire accepter par ce duo, moi avec mes presque 16 ans
Je verrai bien comment tout cela allait s'organiser.
Tous les après midi nous allions nous encrer à quelques encablures de la cote, près d'un monticule rocheux qui a la particularité de posséder une arche sous-marine dans laquelle se trouve une statue de la Vierge. Cela permettait à J. de se livrer à son sport favori, sans danger car le bateau du club de plongée local mouillait, lui aussi, non loin de nous.
C'est avec lui que j'ai effectué mes premières plongées et suis devenue une grande adepte de ce sport. La sensation d'apesanteur et la possibilité de se déplacer sans efforts dans les trois dimensions étaient des découvertes extraordinaires et me comblaient d'un plaisir sensuel. Plaisir que j'ai retrouvé plus tard en passant mon brevet de pilote privé.
Après les plongées nous remontions sur le voilier où nous retrouvions B. et I. se bronzant nues sur le pont avant, les jambes bien ouvertes, afin que les rayons d'Hélios viennent faire mûrire leurs deux abricots !
La pudeur n'était pas de mise, les deux amies n'abonnant leur nudité que lorsque le bateau était à quai ou qu'elles allaient en ville pour quelques courses, et encore elles étaient juste vêtues, d'un short très court et moulant, s'incrustant dans leur fente et ne laissant aucun doute au fait qu'elles ne portaient rien dessous; une chemise largement ouverte et simplement nouée à hauteur du nombril complétait le tout.
Comme la pudeur n'a jamais été mon fort je les ai, tout de suite, imité. Ce qui entraînât un sourire, surpris mais amusé de leur part.
Les jumeaux eux étaient tout autre, surtout M. qui, dans la cabine que nous partagions tous les trois, se tortillait comme un ver, enroulée dans une grande serviette, pour enlever son maillot ou le remettre, son frère était moins pudique se contentant de nous tourner le dos et ne laissant voir que les deux globes fermes de ses fesses d'adolescent.
Je me posais la question de savoir si cette attitude n'était pas un peu exagérée ou feinte, surtout quand M.
A l'age que j'avais, on est toujours un peu provocateur, c'est pourquoi je prenais ostensiblement ma boite de pilules à table, durant le dîner. Cela, à mes yeux faisait "jeune fille émancipée", n'oublions pas que nous étions en 1969 et que le souffle de mai 68 n'avait pas encore changé profondément les mentalités. Mais comme je l'ai dit plus haut mes parents étaient très "ouverts" et avant de partir j'avais eu une conversation avec ma mère, lui expliquant que bien que ne me sentant pas encore prête pour faire l'amour avec un garçon, il valait mieux prévenir que guérir, et elle me dit :
- Je pense qu'il serait souhaitable que tu prennes la pilule.
Marché conclu, la boite de pilule me plaçait, à mes yeux, dans la cour des grands. Même si mon manège faisait apparaître un sourire ironique sur le visage de B. et I.
B. me dit un jour : Tu sais Florence nous savons tous que tu prends la pilule, mais le meilleur moyen de ne pas l'oublier c'est de mettre la plaquette dans son verre à dent.
J'avais compris la leçon par le ton ironique de sa phrase et j'ai arrêté de frimer en apportant ma plaquette à table.
Si les jumeaux m'intriguaient, c'était aussi le cas de B. et I.
Pourquoi, diable, sur ce bateau où il y avait au moins six cabines, partageaient elles la même ?
Grave question à élucider.
Elle le fut, quelques jours plus tard, par une nuit particulièrement chaude, Je n'arrivais pas à dormir et décidais d'aller sur le pont, tout près de la cabine de B. et I., allongée, nue à même le teck du pont, j'ai commencé à entendre des bruits n'ayant aucun rapport avec le vent dans les haubans.
Des souffles, des frottements, des clapotis etc.
tous venaient de la cabine des deux adultes, pour se terminer dans des râles étouffés et de cris sans équivoque pour moi.
J'avais donc la confirmation des relations intimes entre les deux filles, relations que je subodorais depuis un moment, n'étaient pas innocentes.
Cela faisait plusieurs jours que je ne m'étais pas masturbée, à cause des deux jeunes "innocents" ??? avec lesquels je partageais ma cabine. Mon clitoris gonflé à éclater avait un besoin impérieux de mes doigts! Je les lui donnais dans un râle de satisfaction intense, que je croyais silencieux, mais quelques secondes plus tard B. dit:
- Il y a quelqu'un sur le pont !!!
Dans les secondes qui suivirent, elles jaillissaient sur le pont pour me découvrir encore toute pantelante de mon orgasme !!!
- Alors petite vicieuse, on s'instruit en espionnant ?
J'étais rouge de confusion!!!! Mais répondis crânement :
-Je sais fort bien ce que c'est, j'ai déjà pas mal d'expérience en la matière!
- Fort bien, me dit B. en m'embrassant du bout des lèvres, mais tu es trop jeune pour que nous te fassions participer à nos jeux, nous ne voulons pas, même si tu es consentante, être accusées de détournement de mineur, (à cette époque la majorité était encore à 21 ans).
- En revanche nous discuterons et t'apprendrons des choses qui pourront t'être utiles.
Marché conclu, je regagnais ma cabine bien qu'un peu frustrée.
Effectivement Brigitte et Isabelle m'apprirent beaucoup de choses en matière de sexe mais aussi dans d'autres domaines.
Nues toutes les trois, sur le pont du bateau, nous prenions d'interminables bains de soleil, et discutions à bâton rompu. Brigitte. était avocat dans un gros cabinet franco-américain et elle m'expliqua ce qu'était le droit et son utilité, c'était à des années lumières des matières enseignées dans le secondaire et pourtant tellement présent dans notre quotidien. Elle venait de faire naître en mois une vocation, mais j'en reparlerai plus tard.
En matière de sexe elles me montrèrent, un jour, un curieux objet d'une cinquantaine de centimètres de long, de couleur chair, terminé par deux bouts arrondis qui évoquèrent pour moi les glands de X1 et X2.
Elles m'expliquèrent que cela permettait de remplacer la bitte d'un homme quand les filles voulaient jouer entre elles et en avaient assez de se doigter ou de se lécher.
Qu'il en existait plusieurs modèles, certains utilisables quand on était seule, mais celui la permettait de se mettre face à face et de la faire coulisser, en même temps, dans les orifices intimes de l'une et l'autre, en cadence, afin d'atteindre simultanément l'orgasme. J'avouais que j'étais encore vierge du sexe d'un garçon dans ma petite fente. Elles éclatèrent de rire en me disant qu'entre mes pratiques solitaires et mes parties "fines" avec d'autres filles elles doutaient que mon hymen soit encore intact et elles n'avaient pas tort!
Au fur et à mesure de nos discussions elles me suggérèrent de "déniaiser" un peu Marie et son frère.
Je n'étais pas contre, d'autant plus que j'avais la certitude que sous ses airs de jeune fille "sage" et prude Marie était une vraie vicieuse. En ce qui concernait son frère, mon opinion n'était pas encore faite. J'avais donc devant mois un vaste chantier et encore une quinzaine de jours.
Ce sera la suite de ce récit.
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