Katherine 1
Katherine 1
J'ai rencontré Katherine pour la première fois un Lundi en sortant du lycée. A l'époque j'étais en Terminale, et la fin d'année approchait, on était en avril. Moi et une pote, Laure, avions comme projet depuis longtemps de faire une grande soirée pour fêter la fin prochaine du lycée. Cependant nous avions du mal à trouver une maison assez grande pour inviter autant de monde que nous voulions, jusqu'au jour où Laure me dit que sa meilleure ami Katherine avait une maison suffisament grande pour y accueillir la fête. Je rencontrais donc cette Katherine le Lundi, car nous devions régler les détails de la fête qui avait lieu le Samedi suivant. Quand je la vis, je fus quelque peu estomaquée, car Katherine était probablement la fille la plus sexy que j'ai jamais vue. Elle était de taille moyenne, des cheveux noirs ondulés, une bouche pulpeuse, des yeux couleurs noisettes, un regard incendiaire et un corps de rêve. Elle salua Laure, avant de se tourner vers moi.
"Salut je suis Katherine et toi ?"
Sa voix était basse, sensuelle, langoureuse, bref, presque aussi sexy que le reste. Avec toutes les peines du monde, je bafouillai en réponse mon nom et mon prénom. Ma gêne devant sa beauté était vraiment évidente, elle sourit d'un air narquois et dit à Laure :
"Ton ami devrait aller chez l'orthophoniste, il a des problèmes d'élocution "
"Non dis je en essayant de retrouver contenance, je suis juste fatigué, les cours m'ont vraiment assomé".
Elle sourit d'un air entendu, ce qui me fit comprendre que mon excuse ne prenait pas, et qu'elle avait bien compris à quel point elle me plaisait.
Nous nous dirigeâmes tous les trois vers le café le plus proche pour y préparer plus à notre aise la soirée de ce week end. Dans le café, Katherine, sous prétexte qu'il fasait trop chaud enlèva sa veste. Cela augmenta encore mon trouble tant elle était sexy dans son débardeur noir et moulant au décoleté large et généreux.
Pendant tout le temps où on était au café, je luttais pour ne pas trop la matter, mais je ne pouvais m'en empêcher, elle s'en rendait compte, et son sourrire narquois revenait régulièrement sur ses lèvres. Je laissais Laure et elle régler les détails de la soirée de Samedi, me contentant de donner mon avis sur deux trois sujets. Puis nous nous séparâmes, je rentrai chez moi tout retourné par ma rencontre avec Katherine.
Pendant le reste de la semaine, j'eus l'impression que le temps passait au ralenti tant j'étais impatient d'être Samedi, et de revoir Katherine... Le jour fatidique arriva enfin, et c'est le coeur battant que j'arrivais à l'adresse de la maison de Katherine. Sa demeure était gigantesque, elle ressemblait plus à un manoir ou à un château qu'à une maison, pas étonnant qu'elle puisse accueillir tous les invités. Je sonnai, la potre s'ouvrit et là je tombai nez à nez avec Katherine, plus sexy que jamais, en robe rose, courte et ultra moulante qui mettait en avant ses formes généreuses. Devant son sex appeal, je fus encore plus mal à l'aise que lors de notre première rencontre, évidemment elle s'en apperçut et me servit son sourrire narquois.
"Salut ! Me dit elle, entre, amuse toi bien !"
"Merci répondis je en essayant de ne pas la reluquer."
Pendant tout le reste de la soirée, je fus partagé entre le désir de la voir, et celui de l'éviter, histoire de ne pas encore me ridiculiser. Néanmoins vers minuit, alors que la soirée battait son plein, je me mis à avoir froid. Je cherchai donc mon pull, mais ne le retrouvai pas. En essayant de surmonter mon malaise, j'allai voir Katherine pour lui demander si elle l'avait vu.
"Oui j'ai rangé toutes les affaires dans les chambres, viens je vais te montrer".
Et avec un sourire innocent, elle me guida à l'étage. Dans l'escalier, je ne pus m'empêcher d'admier ses fesses, magnifiquement mises en valeur par sa robe moulante.
Arrivés dans la chambre, Katherine se mit à fouiller un peu partout pour trouver mon pull, moi restant en retrait essayant de ne pas trop avoir l'air de mater son postérieur quand elle se penchait.
Je restai tétanisé, tandis que des frissons de plaisir me parcoururent le corps. Je me repris néanmoins, réalisant que la porte de la chambre est restée grande ouverte, et qu'elle n'avait pas de serrure.
"Katherine attends, dis je en la repoussant"
"Qu'est ce qu'il y a ? Me fais pas croire que t'en as pas envie, je sais bien que t'attends que ça depuis tout à l'heure !"
"On pourrait nous surprendre dis je, préférant ne pas répondre au reste"
"Je m'en fous, dit elle en repartant à l'assaut de mes lèvres".
Ma réaction pourra paraître bizarre à certains, moi même je n'ai pas très bien compris ce qui m'a pris à ce moment là (le stress sans doute) mais je la repoussai une seconde fois et lui dis
"Moi j'ai pas envie"
Elle me dévisagea un moment, d'un air interdit, puis quitta la pièce avant que je n'eus pu rien dire, me laissant seul. A ce moment là, je crois que jamais je ne m'en suis autant voulu. J'avais vraiment laissé passé un occasion en or !
La mort dans l'âme, je retournai en bas, où la soirée continuait de battre son plein. Je ne savais pas trop si je devais aller voir Katherine et m'excuser (et peut être me donner une seconde chance) ou essayer d'oublier ce que je venais de rater.
Une fois arrivé en bas, j'eus un nouveau choc. Katherine dansait de manière très sulfureuse avec un autre garçon, avec qui elle avait l'air de très bien s'entendre...
Le reste de la soirée se passa péniblement, condamné que j'étais à voir un autre se faire chaufer par Katherine que j'avais bêtement laissée filer.
Plusieurs heures après, au moment d'aller se coucher, je réalisai bien vite que le pire était à venir : il ne restait plus qu'une chambre de disponible pour moi et elle était juste à côté de celle de Katherine et de sa conquête.
A 7h du matin, les gémissements finirent par s'arrêter, et je m'endormis profondément. Lorsque je me réveillai, je réalisai qu'il était 16h...
Je descendis dans le salon pour découvrir que la maison semblait déserte. Je me mis à chercher du monde, n'osant croire qu'il ne restait plus que Katherine et moi...
Je la découvris dans la cuisine, seule, en pyjama ultra sexy, qui se composait d'un short très court, et d'un mini débardeur qui ne recouvrait ni son ventre plat, ni le bas de son dos.
"Salut mon grand, me dit elle avec sa voix langoureuse, bien dormi ? Pas trop dérangé par les bruits de cette nuit ?"
Je répondis par un grognement et changeai de sujet
"Je peux rester pour manger ? Je meurs de faim."
Elle se tourna vers moi et me dit avec un sourire carnassier :
"Je suis sur que t'as pas faim
-Bah si, je viens de dire que je crevais de faim.
-Peut être, mais je parie que tu préfererais me baiser...
Je restai interdit, je ne pensais pas avoir droit à une deuxième chance, mais peut être était ce un piège pour me r encore plus ?
-Et qu'est ce qui te fait croire que j'ai envie de toi ? Dis je pour gagner du temps.
-La bosse dans ton pantalon, me répondit t elle avec son sourire narquois.
Je rougis, ne sachant quoi répondre, et n'étant toujours pas sur qu'elle n'était pas juste entrain de me chauffer pour s'amuser.
Elle m'ôta ce soupçon en se jetant sur moi et en m'embrassant plus sauvagement encore que la veille.
Après un bref instant de surprise et d'émotion, je lui rendis son baiser avec fougue, l'enlaçant et lui caressant les fesses. Cette fois ci, plus question de la repousser. Néanmoins, je restai prudent et profitai qu'elle m'embrasse le cou pour lui demander :
"On est seuls hein ?
-Seuls au monde, mon chéri me répond elle, jusqu'à ce soir !
-Parfait dis je.
Je la pris dans mes bras, la portai, et l'étalai sur la table. Tout en lui tenant les bras, je lui embrassai le cou, les seins (à travers son pyjama), le ventre, puis les cuisses et les jambes. Elle commença à haleter, quant à moi j'étais tellement dur que je craignais presque de déchier mon caleçon.
Elle finit par me repousser, se relever et m'entraîner à l'étage. Dans l'escalier, je continuai d'embrasser fiévreusement chaque parcelle de son corps que je pouvais atteindre, et elle faisait de même.
Arrivé à l'étage, je la portai, et la plaquai contre le mur tout en lui dévorant le cou et en lui massant l'entre-cuisse, elle commença à lâcher des petits gémissements.
Nous nous dirigeâmes vers sa chambre, et c'est là qu'elle reprit le dessus. Elle me plaqua contre le mur, m'enlèva rapidement mon pull, puis me lècha le cou, tout en massant énergiquement mon pénis à travers mon pantalon, ce qui déclencha des frissons de plaisir dans tout mon coprs.
Puis, elle m'attrapa par le tee-shirt et me jetta sur le lit, et se mit à califourchont sur moi. Elle m'embrassa langoureusement, puis m'enlèva mon tee-shirt, avant d'embrasser et lécher l'ensemble de mon corps. J'étais littéralement au 7ème ciel, et pourtant, je savais bien que ça ne fasait que commencer.
Elle confirma mon soupçon quand elle me dit :
"Attention mon grand, on va passer aux choses sérieuses".
Elle se lèva, et me retira mon pantalon, puis mon caleçon. J'étais nu devant cette superbe créature, et si je me sentis soudain plus vulnérable, je dois dire que j'adorai ça.
Elle se mit à genoux devant le lit et entreprit de me branler vigoureusement, je frémis de plaisir, mais elle arrêta aussi brutalement qu'elle avait commencé, et après s'être attachée les cheveux en queue de cheval, commença une incroyable fellation. J'ai souvent entendu dire que lors d'une fellation, la fille est soumise, surtout quand elle est à genoux, et au début en effet, je me sentais quelque peu dominateur. Mais après quelques temps de ce délicieux traitement, quand ces vas et vients me faisait râler de plaisir, quand le moindre de ces coups de langue me faisait frémir de la tête au pied, je peux vous dire que jamais auparavant je ne m'étais senti aussi vulnérable et ausssi dominé par quelqu'un. Le plaisir était si grand que je craignais de jouir dans sa bouche à chacun de ces mouvements.
Après plusieurs inoubliables minutes de fellation, Katherine finit par s'interrompre.
"Tu aimes ça chéri ? Me demanda t elle avec son sourrire narquoi
J'adore, t'es super douée
Merci, je sais, et t'as encore rien vu, en comparaison de la suite, ce qui vient de se passer était ennuyeux à mourir.
J'avoue que j'ai du mal à l'imaginer, dis je pour la provoquer.
Je n'eus pas à la provoquer deux fois. Elle se lèva avec un regard de braise et commença à se déshabiller devant moi. En la voyant nue, en voyant son corps superbe dans les moindres détails, sans aucune gêne pour le regard, je ne me contrôlai plus, et je me levai pour la prendre immédiatement. Elle me repoussa sur le lit, se remit à califourchont sur moi, et lentement, trèèèès lentement, elle s'empala sur moi. Au moment où j'entrai en elle, je me mis à penser que j'aivais atteint le maximum du plaisir, et pourtant, quand elle commença à se déencher sur moi, d'abord lentement, puis de plus en plus vite, en me regardant droit dans les yeux l'air de dire "vas y essaie de ne pas prendre ton pied", je me sentis vibrer comme jamais à chacun de ses coupds de rein, je poussais carrément des cris de plaisir; ce qui tirait à Katherine un sourire satisfait et condescendant. Il faut dire qu'elle ne ménageait pas sa peine pour me faire vibrer, elle se démènait sur moi comme une sauvageonne, me griffant le torse, m'embrassant parfois, me mordant le menton ou le cou d'autres fois, allant même jusqu'à me gifler (pas trop fort non plus) à deux ou trois reprises.
Une heure passa ainsi, et Katherine continuait de mener la danse, me faisant littéralement perdre la tête à chacun de ses vas et viens. Même si c'était ma première fois, je parvins à ne pas jouir durant tout ce temps, ce qui me rendit assez fier. Fierté décuplée au centuple, quand je voyais que Katherine tout en me faisant le plus grand bien trouvait elle aussi son compte dans cette histoire. Voir son beau visage torturé par le plaisir qu'elle se procurait avec moi, l'entendre gémir de concert avec moi à chacun de ses coups de reins était une source immense de fierté et de plaisir. Elle semblait particulièrement aprécier quand je me redressai pour lui dévorer les seins, et à chaque fois, tout en continuant de se déancher, elle m'attrapait la tête et l'enfouissait dans sa généreuse poitrine, pour mon plus grand bonheur et pour le sien.
Durant tout ce temps néanmoins c'est elle qui dominait, et à chaque fois que j'essayais de reprendre le contrôle des opérations, elle me repoussait, me plaquait sur le lit, m'imobilisant les bras avec ses mains, son sourrire narquois aux lèvres. A ma quatrième tentative pour reprendre le dessus, elle me dit après m'avoir de nouveaux refoulé :
"Chuut laisse toi faire mon grand, tu es à moi, et tu ne peux rien y faire, profite de la situation !
-Moi je veux bien répondis je entre deux râles de plaisir, mais ça fait déjà une heure qu'on y est, tu fatigues pas ?
-Moi ? Tu rigoles, je pourrai continuer comme ça des heures ! De toutes les façons, je te finis quand je veux !
-Tu parles dis je, ça fait une heure que j'y suis et je suis sur que je peux encore tenir une heure !
-Seulement si je le veux mon chéri !
Et devant mon incrédulité, elle joignit le geste à la parole. Elle commença à faire des mouvements de bas en haut à une vitesse folle. Au premier mouvement qu'elle fit, je sens le plaisir monter en moi à toute vitesse, et je dus me retenir de toutes mes forces pour ne pas jouir. Sans me laisser un seul instant de répit, elle reccomença, une seconde fois et cette fois ci je poussai un grand cri et je lui griffai le dos tant le plaisir était immense. Au trosième coup je jouis, me déversant en elle dans une vague de plaisir dévastatrice. Katherine poussa un hurlement à ce moment là, ce qui m'indiqua qu'elle aussi avait joui.
"Qu'est ce que je t'avais dit chéri ? Je te fais jouir où je veux quand je veux !
-Ok, ok j'ai retenu la leçon dis je en riant.
-T'as aimé me demanda t elle avec un sourire entendu.
-J'ai adoré, ça valait la peine d'attendre une nuit. Et toi t'as aimé ?
-C'était génial, allez viens, t'étais pas pressé de manger tout à l'heure ? Me demenda t elle avec son sourrire narquois.
Après avoir déjeuné/dîné, je partis avant que ses parents ne rentrent, et retournai chez moix en volant presque tant le bonheur que je ressentais était grand.
Au cours des années qui ont suivi, j'ai eu de nombreuses aventures avec beaucoup de filles différentes, mais Katherine fut celle avec qui je couchais le plus souvent.
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