Leslie La84

Leslie AR84 - Laure, le journal intime – Naturisme

J’avais fait peu de temps avant mes vacances la rencontre d’un homme, beau et athlétique, qui m’avait dragué lors d’une soirée en boite où nous nous étions rendues avec des copines. Ce soir-là, après quelques danses, il m’avait proposé de le suivre chez lui pour terminer la soirée, et comme nous étions passablement excités, nous avions rapidement disparus laissant mes deux amies.

Chez lui, après de longs préliminaires, il m’a merveilleusement baisé, me laissant pratiquement sans vie. Puis après un long moment dans ses bras, allonger dans son lit, à échanger sur nos vies en buvant pratiquement une bouteille de whisky, il m’a de nouveau baisé, me faisant tourner la tête et perdant tout contrôle, à sa grande surprise et pour sa plus grande joie, je lui ai offert mes reins…
Il m’a sodomisé pendant un long moment, avant de jouir au fond de mes entrailles.

Nous avons passé les jours suivant à faire l’amour, il était endurant et savait donner du plaisir, et ce fut comme naturel, que nous avons envisagé de passer les vacances ensemble, alors nous avons réservé un mobil-home dans un camp naturiste…

A priori, rien ne permettrait de distinguer la différence de ce camping d’un autre camping. Sa seule particularité, mis à part l’isolement, ce sont ces haies épaisses qui l’entourent et empêchent de voir ce qui se passe à l’intérieur. Les haies barrent même la route d’entrée à la façon d’une chicane de telle façon que l’intimité des campeurs naturistes est garantie en tout point.

Patrick a garé sa voiture à l’extérieur et nous nous sommes aventurés à pied dans l’enceinte, jusqu’au petit bâtiment dédié à l’accueil peu après la barrière.

Tout pourrait faire penser à un camping classique, si ce n’est que ces gens entièrement nus qui viennent de sortir de l’accueil. Plus loin, un petit groupe de personnes, eux aussi tous nus, discutent entre eux comme si de rien n’était.

Tout en avançant, Patrick prend la parole à voix basse.

- T’es sure, on y va ?
- Oui, ce n’est pas un problème, j’en ai déjà fait.

Dans le petit bâtiment, un homme nous accueille cordialement. Il est torse nu, mais derrière le guichet, impossible de savoir si l’est plus que cela.

- Bonjour. Bienvenue au camping, vous avez réservé ?

- Oui, un mobile home pour deux personnes.

- Ah oui, vous m’avez appelé il y a deux semaines et vous aviez l’air soulagé que l’on ait encore des mobil-homes de libres.

- C’est vrai. On avait peur de ne pas réussir à trouver un camping dans la région.

L’homme lui répond tout en sortant quelques feuilles d’une pochette plastique posée dans une corbeille.
- Il ne faut pas vous inquiéter, on a toujours quelques emplacements libres.
Bon, on va commencer par terminer de remplir votre dossier, je suppose que vous n’avez pas la carte de la FFN ?
- Ben… Non…
- Bon, je vais vous faire la carte FFN et vous aurez à régler la cotisation annuelle et votre séjour au moment de votre départ.
- Impeccable, on va faire comme cela.

Une fois la carte FFN créée et le dossier rempli, le gérant nous indique sur le plan du camping l’emplacement de notre mobile home, puis nous retournons à la voiture prendre nos affaires.

- Ça y est, les vacances vont commencer pour de bon, dit Patrick.
- Oui, et le temps est superbe, on va bronzer.
- Oui, mais il faudra que nous fassions attention…
- Merde, c’est vrai, Tu as le sexe entièrement rasé et le mien complètement épilé, on va se faire remarquer, avant de prendre un coup de soleil à cet endroit.
- Peut-être même que l’on va passer pour un couple de vicieux pervers, rajoute Patrick.
- Quand même, il ne faut pas r, même si on est un peu obsédés et que nos sexes sont glabres, c’est juste parce que nous le voulons et que c’est plus agréable.
- On verra bien, peut-être que nous ne sommes pas les seuls.

Tandis que nous avançons à pied dans les allées du camping, nous croisons quelques campeurs et parmi eux, un homme a le sexe rasé. Patrick le remarque immédiatement.

- Regarde un peu.
- Bon. Au moins, on ne sera pas les seuls.

La traversée du camping est rapide et nous ne tardons pas à trouver l’emplacement du mobile home qui nous est attribué. Il ne nous faut que quelques minutes pour nous installer et nous mettre à poil, dévoilant enfin nos sexes intégralement épilés.

Puis nous sortons sur la petite terrasse, quand deux personnes passent à proximité et nous saluent cordialement, salut que nous leur retournons.
Puis nous partons, une serviette de bains sur l’épaule à la découverte du camping.

Cette petite balade est l’occasion de croiser d’autres résidents et nous constatons qu’il y a pas mal d’autres personnes, hommes et femmes, qui ont également le sexe rasé, que ce soit partiellement ou en totalité.
A un moment donné, je dis à Patrick :

- C’est curieux, mais j’ai l’impression de me faire mater le sexe.
- Moi aussi j’ai cette impression, mais c’est un peu normal.
- Pour toi oui, dis-je, vu l’engin que tu arbore, tu ne peux que faire de jaloux ou des envieuses…
- Peut-être, mais sans les poils, il y a plus à voir et ta chatte est tellement superbe, que tu dois aussi faire naître des idées dans la tête de certain.
- Tu crois ?
- Tu verras et en plus nous sommes nouveaux…
- Évidemment, c’est logique.

Alors que nous sommes en train d’aller vers la piscine nous croisons le gérant, qui à cet instant, étant complètement nu, mais plus derrière son comptoir, arbore lui aussi un sexe épilé.

- Alors, bien installés ?
- Oui, super, nous allons nous baigner, dit Patrick.
- Profitez, avec cette chaleur c’est tellement agréable.- Au fait, où est le bloc sanitaire ? Demande Patrick.
- Le gérant lui désigne un bâtiment à cinquante mètres de là.
- Merci, dit Patrick.
- Au fait, dans un premier temps vous serez certainement surpris, mais vous verrez, on s’habitue vite…
Nous allons nous baigner, tout en nous demandant le sens de cette dernière phrase.
Ce n’est qu’en fin d’après-midi, en allant prendre une douche, nous avons une surprise.
En effet, tout un mur est équipé de douches côte à côte, pas de portes ni de séparations, il s’agit de douches collectives, mixtes qui plus est, et visibles de l’extérieur, c’est probablement ce à quoi le gérant faisait allusion.

Une curieuse sensation m’envahit, un mélange contradictoire de curiosité, d’attirance et d’angoisse, je vais devoir me doucher à la vue de tous.

Il n’y a personne au bloc sanitaire et c’est avec bonheur que nous commençons à nous doucher, mais à peine avons-nous commencé que deux jeunes filles arrivent et nous rejoignent sous la douche tout en nous saluant cordialement.

Blondes toutes les deux, intégralement bronzées, elles se ressemblent énormément, peut-être sont-elles sœurs, et malgré leur âge, ces deux jeunettes s’occupent déjà sérieusement de leurs poils pubiens.

Elles se sont épilé les lèvres et n’ont laissé qu’un triangle de poils blonds bien taillés sur le mont de Vénus. Patrick ne peut s’empêcher de les observer. L’eau ruisselle sur leur peau hâlée, leurs petits seins bien fermes s’agitent au rythme de leurs mouvements. Tout naturellement, elles se savonnent mutuellement le dos, les flancs et les fesses. Tout ceci a pour effet d’exciter Patrick, qui essaye désespérément de cacher son érection.

Lorsque les deux jeunes filles ont quitté les douches, j’en profite pour interpeller
Patrick en lui disant :

- Espèce de pervers, elles sont tout juste majeures, tu n’as pas honte ?
- Même pas. Je ne fais que regarder, après tout.
Je m’approche de lui et prend en main son sexe en érection et commence à le masturber doucement en lui disant :

- Toi, tu as déjà des idées !
- En fait, je crois que nous allons profiter pleinement de ces vacances, enfin si tu es d’accord.
- Je suis partante…
-
De retour au mobile home, nous prenons l’apéritif, en pensant à demain. Le camping dispose d’un accès direct à la plage et nous décidons que nous irons y faire un tour.

A suivre…