Leslie La85
Leslie AR85 - Laure, le journal intime Naturisme, suite
Le lendemain, après un bon petit déjeuner, nous sommes partis pour la plage, après avoir étendu les serviettes et mis un peu de crème solaire, nous nous sommes allongés pour bénéficier des rayons chauds du soleil et se remettre du trajet de la veille, repos complet.
Étendu sur le ventre, je ne peux mempêcher dobserver avec curiosité les passants à travers mes lunettes de soleil, parmi ceux-ci, certains nous regardent, parfois même avec insistance et plus particulièrement nos sexes, et jen éprouve au bout dun moment un certain plaisir dêtre ainsi observée, scrutée et détaillée dans les moindres détails, alors lentement jouvre mes cuisses pour en montrer un peu plus.
Après tout, me faire observer et détaillée est, pour moi, comme un compliment.
Et je finis par ressentir du plaisir à être regardée par les passants, qui ne sont pas tous du camping.
- Ça te fait mouiller ?
Cest Patrick qui vient de me poser la question, il me regarde les cuisses largement ouvertes et ne peut sempêcher de rajouter :
- Si je ne me retenais pas, je te sauterais dessus !
- Ah oui, parce que je te fais bander ?
- A ton avis ?
Alors je me redresse sur mes coudes et remarque que Patrick est en pleine érection.
- Ah mon salaud, tu bandes ferme, lui dis-je, viens près de moi que je te calme un peu.
- Tu me parais bien excitée, me dit-il en se rapprochant, je suis certain que si je te mettais un doigt, je te trouverais trempe !
- Arrêtes de me parler comme cela, je sens que je deviens toute humide.
Et sans lui laisser le temps de réagir, jatt son membre dune main et commence à le masturber, il ne faut pas longtemps pour que Patrick éjacule dans ma main.
Puis nous sommes allés nous baigner pour nous rafraîchir un peu. Leau est bonne, et même chaude, cest un régal dêtre dedans.
Alors je me retourne pour me mettre le dos contre le torse de mon amant et me penchant un peu, son membre en main, je le guide vers mon sexe et me pénètre de son membre dur.
Nous jouissons rapidement et après avoir encore profité des bienfaits de la mer pendant un bon quart dheure, nous retournons épuisés jusquau rivage.
En retournant vers nos serviettes nous remarquons les deux jeunes filles dhier et près de nos serviettes, un couple sest installé.
Lhomme et la femme sont intégralement rasés tous les deux, et ils ne peuvent sempêcher de laisser échapper un petit murmure admiratif assorti dun léger sourire, et lhomme dit :
- Un sexe est quand même plus beau quand il est bien épilé.
- Je suis de votre avis, réplique Patrick.
La journée se termine sur le même rythme nonchalant, alternant bronzette et trempette.
Le temps de faire un détour par le mobile home pour y déposer nos affaires de plage et prendre du shampooing, du gel douche et des serviettes, et nous partons aux douches.
À cette heure-ci il y a bien plus de monde quhier, tout le monde est en train de quitter la plage et sempresse de se dessaler.
Une douche venant de se libérer, nous nous empressons de nous y installer. Autour de nous, les gens discutent, rigolent, se savonnent mutuellement dans une joyeuse ambiance conviviale, sans se soucier de la promiscuité.
Puis un jeune couple et sapproche de nous.
- Bonsoir, on peut se joindre à vous ?
Ce sont eux qui étaient allongés sur la plage et qui nous ont souri en faisant la remarque sur la beauté dun sexe épilé.
Lhomme entame la conversation alors que leau commence à couler sur son corps bronzé.
- Moi, cest Alain et voici ma femme Catherine.
- Alors je suis Patrick et voilà ma compagne Laure.
- Vous venez darriver ?
- Oui, comment le savez-vous ?
- Vous êtes encore tout blancs !
Je ne peux à cet instant détailler nos voisins de douche, elle une belle femme dans la trentaine, bronzée intégralement, une jolie poitrine, un ventre plat et un pubis glabre aux lèvres sombres, elle est fine et très attirante. Je remarque quelle me regarde aussi.
Lui, est mince, le corps bronzé, sans aucun poil apparent, de petites fesses et un sexe aussi beau que celui de Patrick, mais peut-être plus épais en érection.
Notre douche terminée nous prenons congé du couple, et cest Catherine qui annonce :
- Vous savez que nous sommes voisins ?
- Super, dis-je, on se reverra !
Le repas est rapidement préparé, quelques nouilles au fromage avec une tranche de jambon que nous mangeons, nus, sur la terrasse, saluant occasionnellement les quelques promeneurs, également nus, qui passent devant notre mobil-home.
Lair est encore chaud, une légère brise caresse délicatement nos corps, quel plaisir dêtre nus! Toujours assis, Patrick étend les jambes, les bras derrière la tête, le corps allongé et profite de la caresse de lair sur sa peau.
Bon sang, quil est beau son sexe, me dis-je en le regardant, long et veiné, circoncis comme je les aime et assez épais, un sexe pour me rendre heureuse.
La soirée sest écoulée très vite, la nuit maintenant nous enveloppe et les cigales, épuisées, nous allons nous coucher, mais la chaleur dans la chambre nous empêche de trouver rapidement le sommeil.
- On pourrait se lier damitié avec le gentil couple, me dit Patrick.
- Pourquoi pas, dis-je, ils ont lair sympa.
- Jai remarqué que tu tintéressais à Catherine, me dit Patrick, tu nas pas arrêté de la regarder aux douches.
- Et alors, elle est très belle, jai apprécié la regarder.
- Seulement la regarder ?
- Comment ça ?
- Tu pourrais avoir aussi dautres envies.
- Et alors, tu sais que jaime les femmes autant que les hommes, ça te gênerait ?
- Non, mais tu aurais envie delle ?
- Jai déjà lenvie et plus tu en parles, plus lenvie monte.
- Donc tu ne dirais pas non ?
- Tu voudrais me voir avec une autre femme ?
- Javoue que ça ne me déplairait pas !
- Et voilà, le grand fantasme des hommes, voir son amante dans les bras dune autre et si possible participer, et si cétait le contraire ?
- Tu veux dire, moi avec un autre homme ?
- Bah, oui, pourquoi pas ?
- Ce nest pas pareil, je ne suis pas homosexuel, même si dans mon adolescence, jai eu des rapports avec des copains.
- Mais tu pourrais être bisexuel, et faire lamour avec des hommes comme avec des femmes.
- Bon, je tavoue que le sexe dAlain ne me laisse pas indifférent, mais de là à me faire sodomiser
- Il ny a quun pas, dis-je, peut-être que tu le feras un jour.
- Peut-être
- Au fait, Catherine ma dit que les douches étaient plus tranquilles le soir.
- Je pense que cest vrai dans tous les campings.
- Mais là, elle me la dit en matant ton sexe, elle avait lair den avoir envie.
- Ce ne sont que des suppositions, laissons faire et nous verrons bien.
- En tout cas, je pense que nous leur plaisons, à mon avis ce sont des échangistes.
Patrick demeure muet suite à lévocation de cette éventualité, jarbore un grand sourire et nargue Patrick qui ne trouve rien à me répondre.
Le sommeil commence à nous gagner, on sembrasse une dernière fois tout en nous caressant et quelques minutes plus tard, nous dormons à poings fermés.
Le lendemain matin, Nous avons été réveillés par le chant des cigales, il fait déjà doux, pas un nuage dans le ciel, pas de vent non plus, pas de doute, la journée sera belle et chaude. Rien de tel quune bonne douche pour achever de se réveiller avant de prendre notre petit déjeuner.
Petite balade matinale vers le bloc sanitaire et nous voilà sous la douche, nous venions juste de commencer, quand Catherine arrive et se joint à nous.
Étant seule, elle me demande de lui laver le dos, Patrick nous regarde faire et je vois quil nest pas insensible à ce quil voit, car son membre a quelque peu prit du volume. Cest ensuite au tour de Catherine de me laver le dos, et là Patrick rentre en érection, il na pas le temps de se détourner avant que Catherine ne sen aperçoive elle aussi, et en souriant elle lui dit :
- Je vois que tu réagis promptement !
- En fait, dit Patrick, voire deux femmes se savonner mutuellement mexcitent terriblement.
- Ah
Le vieux fantasme de voir sa compagne avec une autre femme. Ça commence par quelques caresses et puis ça va plus loin, réplique Catherine.
Puis, elle rajoute :
- Et si vous veniez manger avec nous à midi ?
- Pourquoi pas ? Dis-je, nous pourrons faire plus ample connaissance
- Tout à fait, dis Catherine en souriant.
Nous prenons congé, il est temps daller déjeuner, avant daller se balader.
Arrivés au mobile home, nous nous habillons et jopte pour une robe bleue en coton léger que je vais porter sans sous-vêtements.
Patrick sen aperçois et me demande :
- Tu ne mets pas de sous-vêtements ?
- A quoi bon, cest les vacances et nous sommes naturistes maintenant !
- Bon, comme tu veux, mais ne tétonne pas si jai une érection.
- Espèce de pervers ! Dailleurs, toi, tu peux ne pas mettre de caleçon.
- Pas de problème !
Et nous voilà partis pour le marché.
La plus proche agglomération nest quà quelques kilomètres. Cest une petite ville typique du Languedoc avec son marché fermier qui côtoie dautres étalages où divers marchands proposent un peu de tout et nimporte quoi.
Patrick stoppe soudain devant un stand de prêt-à-porter, sur un cintre, une robe en tissu écru, boutonnée sur le devant, attire son attention, il me prend par le bras pour marrêter en disant :
- Tu as vu cette robe blanche ? Elle tirait bien.
- Tu crois ?
- Certain, en plus elle nest pas chère et elle est très sexy, on la prend ?
- Mais je ne sais même pas si elle me va, il faudrait que je lessaye.
Le marchand, qui sest approché, prend part à la conversation.
- Pas de problème, il y a une cabine dessayage dans le camion.
Je me résous donc, à essayer cette robe qui plaît tant à Patrick.
Moins dune minute plus tard, je ressors du camion, vêtue de ma nouvelle tenue, et toujours nue dessous, sous les yeux admiratifs de Patrick.
Cette robe sans manches est largement échancrée sous les bras, du coup lon peut immédiatement remarquer que je ne porte pas de soutien-gorge. De plus le tissu est assez ample et il est également facile de deviner les contours de ma poitrine par les échancrures. Le bas de la robe est très évasé, descendant jusquaux genoux, et je remarque quelle assez transparente, à contre-jour il est fort possible que lon distingue les contours de mon corps et peut-être plus
Patrick, sest aperçu de la transparence et frôle lérection, dautant plus que son sexe est en liberté sous le tissu léger de son pantalon.
Il ne peut sempêcher de prouver son admiration.
- Ma chérie, tu es magnifique dans cette robe. On la prend.
- Bon. Alors, je retourne me changer.
- À quoi bon ? Dis Patrick.
Le marchand prend alors la parole.
- Oui, je peux mettre votre ancienne robe dans un sac.
- On va faire comme ça, rajoute Patrick.
Sans me laisser le temps de réagir, Patrick tend un billet au commerçant qui lempoche, replie la robe, la range dans un sac et la confie à Patrick.
Puis nous repartons parcourir les allées du marché. Patrick peut constater que de nombreux hommes mobservent bien plus attentivement, à la recherche dun petit bout de sein à mater, et je sens quil en ressent une certaine excitation.
Après avoir acheté du fromage et quelques légumes, puis le pain, nous retournons vers le parking où est garée notre voiture. Patrick profite dun bref moment où il ny a personne aux environs pour me caresser la poitrine, et constate que mes tétons sont bien durs.
- Je te sens toute excitée, dit-il.
- Ce nest pas étonnant, le tissu narrête pas de me caresser les seins.
Tout en disant cela, je porte la main sur la braguette de Patrick et dit :
- Toi aussi, tu mas lair bien excité !
Sans plus attendre, nous nous embrassons et Patrick me plaquant contre la voiture, commence à parcourir mon corps de ses mains, ce nest pas lendroit idéal, alors nous montons dans la voiture et partons rapidement vers le camping.
Du moins, cest ce que je pensais, mais soudain Patrick sengage dans un petit chemin tranquille au milieu du vignoble, et arrête le véhicule peu de temps plus tard.
À peine sortis de la voiture, Patrick retourne à lassaut de mon corps, il le caresse à travers la robe et passe aussi par léchancrure des manches pour me caresser le dos et les seins. Ses mains vont ensuite plus bas, passent sous ma robe part à lassaut de mon intimité. Pendant ce temps, jai commencé à le masturber à travers son pantalon, il est maintenant totalement en érection, jouvre alors la braguette pour laisser sortir ce gros membre tout raide et sans plus attendre, Patrick me retourne, relève ma jupe et me pénètre sans grande difficulté tellement que je suis déjà toute mouillée.
Tandis quil la pilonne, ma poitrine se balade en liberté et ne cesse dêtre caressée par le tissu de la robe, cela mexcite encore plus, et me cambrant en arrière, je permets à Patrick de continuer à me pénétrer tout en me caressant la poitrine.
Lexcitation et le plaisir montent de plus en plus et nous ne tardons pas à jouir tous les deux, moi peu de temps avant Patrick.
Épuisés, nous retournons nous asseoir dans la voiture pour récupérer quelques minutes.
Cest quand nous avons repris la route que je réalise que je nai pas de culotte, sentant le sperme séchapper de mon con et mouiller mes cuisses et le siège de la voiture.
Je soulève le bas de ma robe pour exhiber mon bas-ventre en disant à Patrick :
- Regardes dans quel état je suis et
Il ne me laisse pas le temps de finir, car tout en conduisant, il plonge sa main sur ma fente et commence à me doigter en faisant pénétrer deux doigts entre mes lèvres douces et chaudes et trempées de sa jouissance. Il y va de bon cur et avec adresse, et je jouis sur ses doigts peu de temps après, alors que nous arrivons au camping.
A suivre
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