Le Pari
Le pari
Comme souvent à la pose midi, en été, Laurent et Patrick déjeunaient à la terrasse de leur restaurant préféré avant de reprendre leur poste respectif au travail. Cela faisait maintenant 10 ans quils travaillaient dans cette entreprise et qu'ils étaient devenus les meilleurs amis du monde. Laurent venait d'avoir 40 ans et était marié depuis 15 ans à Karine, de 3 ans sa cadette, et qui était toujours, à 37 ans, une belle femme, grande et fine, avec un bon 90C de tour de poitrine. Patrick était un célibataire invétéré. Considéré par la plupart des femmes (et des hommes aussi) comme étant bel homme, il était toujours à la recherche de nouvelles conquêtes à rajouter à son tableau de chasse. Le repas arrivant à son terme, la discussion s'orienta sur un sujet récurent : Les femmes.
- Dis moi Patrick, t'en es ou de tes amours ? Toujours pas casé ?
- Houlà ! Pas question, j'emballe tout ce qui passe et pour le moment, ca me va bien comme ça.
- Tout ce qui passe ? N'exagère pas quand même.
- Jnexagère pas, je peux me faire n'importe quelle gonzesse sans problème.
- Quel vantard ! N'importe quoi !
- Tu nme crois pas, tu paries quoi ?
- Jne veux pas parier avec toi là dessus, c'est complètement con.
- T'as peur de perdre hein?
- Non, je trouve ca immorale comme pari c'est tout. Et puis de toute façon, je m'en fou.
- Tu voies par exemple, depuis le temps, si j'avais voulu, ta femme.......
- Quoi ma femme ? Alors là aucune chance mon vieux, ma femme et moi on s'aime et on s'entend à merveille. C'est pas un type dans ton genre qui pourrait l'intéresser, n'y pense même pas.
- Quoi un type dans mon genre ? Ca veut dire quoi ca ?
- Rien, t'es pas son type, c'est tout.
- Ca c'est ce que tu crois. Moi je te parie que me la fait sans problème ta femme.
- N'importe quoi.
- On parie ? Qu'est ce que tu risques si t'es si sur de toi ?
- Ca n'a rien à voir. J'ai totalement confiance en ma femme mais je ne fais pas ce type de parie débile.
- Et bien moi je te parie la moitié de ma paye, t'es ok ?
- Quoi, t'es sérieux ?
- Oui, la moitié de ma paye à la fin du mois si je me la fais pas, et je rajoute que toi tu paries juste le cul de ta femme.
- Comment ça ?
- Bah ouais, si je gagne, je me serai tapé ta femme, c'est suffisant. Ca ma parait équitable comme parie, non?
Laurent fut pris d'un mélange d'excitation et d'angoisse. Il prit quelques minutes de réflexion, puis :
- D'accord, ca marche
- Ok mais tu dois te plier au jeu dans ce cas.
- C'est-à-dire ?
- Tu m'invites à diner ce week-end et tu trouves une excuse pour t'éclipser à la fin du repas.
- Et puis quoi encore?
- Je nvois pas comment je peux gagner mon pari si je nai aucun moyen de me retrouver seul avec ta femme.
- Ce nest pas mon problème, tu te débrouilles.
- Non. Dans ce cas je ne peux pas y arriver, je laisse tomber.
Contrarié, Laurent reprit après quelques secondes.
- Ok, tu m'appelleras discrètement sur mon portable et je prétexterai une urgence au boulot pour partir et vous laisser seuls, ça te va ?
- Oui, ça me va, merci.
- Même si je suis sur de gagner, comment je saurai ce qui s'est passé ?
- Je te rapporte sa culotte, ca te va comme preuve ?
- Pas terrible comme preuve
- Et bien tu vas devoir revenir sans faire de bruit pour constater par toi-même.
- Ok, mais quand?
- Tu me laisses 1 heure après avoir quitté lappartement et tu reviens discrètement.
- 1 heure, hein ?...Hum
Ok, on fait comme ca
Allez, retour au boulot maintenant
.
Le soir venu, à la fin du repas, Laurent fit semblant de répondre à l'appel que Patrick venait de passer discrètement sous la table.
- Allo......oui......ah bon ?......oui....ok jarrive tout de suite.
- Qu'est ce qui se passe chéri ?, dit Karine.
- Je dois y aller, un imprévu au bureau.
- Quoi ? Un samedi soir ?
- Oui, un client important qui arrive des US sans prévenir, il veut absolument faire une réunion maintenant car il repart demain matin. C'est pour un projet hyper important, je nai pas le choix chérie.
- Et on fait quoi Patrick et moi?
- Vous finissez la soirée tranquillement, ce nest pas grave. Après le dessert, vous regardez un film par exemple. Moi je nrentrerai pas avant 2 ou 3 heure du matin, pas la peine de mattendre.
- Super soirée !, souffla Karine
- Jsuis désolé chérie, bisous et à demain
Laurent embrassa sa femme rapidement et sortit de l'appartement, la laissant seule avec Patrick.
- Bien, je suis désolé, il était quand même bon ce dessert, dit Patrick.
- Oui ... Tu peux te mettre devant la télé pendant que je fais la table et la vaisselle si tu veux.
- Ah non, jvais taider, je fais la table pendant que tu fais la vaisselle.
- Ok si tu y tiens.
Tout en débarrassant, Patrick entretenait la conversation avec Karine debout devant lévier dans sa cuisine
- T'es très sexy ce soir.
- Merci.
- Tu sais que si tu n'étais pas la femme de Laurent, ca fait longtemps que je t'aurai dragué.
- Arrêtes, tu me mets mal à l'aise.
- C'est vrai, tu m'as toujours attiré depuis que je te connais. T'es vraiment le genre de femme que j'aime, Laurent a bien de la chance.
- Faudra lui dire alors.
- Comment ça?
- Disons qu'il est parfois un peu trop pris par son travail et qu'il ne fait pas toujours très attention à moi. Mais bon, dans l'ensemble, je n'ai pas à me plaindre.
- Moi si j'avais une femme comme toi, je ne penserai qu'à elle, matin, midi et soir.
- C'est gentil, merci.
Patrick s'approcha de Karine toujours penchée sur son évier et entreprit de lui caresser le dos.
- Patrick, quest-ce que tu fais ?
- Tu voies, je te caresse le dos. Tu naimes pas ?
- Si mais
arrête s'il te plait.
- Tu n'aimes pas sentir mes mains sur toi ?
- Si, bien sur, mais...je suis mariée et j'aime mon mari.
- Qui te parle damour ? Moi je te parle simplement de passer un bon moment ensemble, cest tout. On n'est pas obligé de lui dire quoi que ce soit.
- Patrick, non ! Arrête s'il te plait.
La main de Patrick descendait lentement vers l'entrejambe de son hôte.
- Je sais que tu en as envie, sinon tu te serais déjà écartée de moi, non ?
- Je
je ne peux pas
ce nest pas bien.
- Laisse toi aller ma belle, tu aimes que je te caresse comme ca, entre les jambes ?
- Arrête Patrick, sil te plait
oh non, mon Dieu
non
arrête ... arrête.
- Je sais que tu ne veux pas que jarrête en réalité, hein ? Je sens que tu mouilles comme folle à travers ton pantalon.
Karine sentaient les mains de Patrick envahir son sexe par dessus son pantalon. Son esprit voulait se libérer de cette étreinte mais son corps tout entier lui ordonnait de s'abandonner.
- Tu aimes ca hein?
- Non, ... Oui.....oui, j'aime ça.
- Baisse ton pantalon alors.
Karine s'exécuta. Tremblante et toujours tournant le dos à Patrick, elle déboutonna son pantalon et le baissa au niveau des genoux.
- Enlève-le carrément, ce sera mieux.
Karine hésita un peu mais s'exécuta fébrilement. Patrick, toujours positionné derrière Karine, avait reprit ses caresses.
- J'aime les chattes totalement épilée comme ça, c'est ton mari qui te demande de tout enlever ?
- Oui
- Tu me fais bander ma belle, tu sens ?
- Oui
oui je la sens, elle a l'air vraiment grosse.
- Tu va pouvoir en profiter ma belle, tu veux ?
Karine sentit un doigt s'insérer dans son vagin et commencer un va et vient, rapidement suivi par un deuxième, puis trois doigts.
- Oui
jaimerai bien...oui.
- D abord tu vas me sucer et ensuite je vais te baiser, daccord ?
- Oui
daccord.
- Je vais t'enculer aussi.
- Non ... je ... je n'ai jamais fais ca.
- Ne t'inquiète, tu vas voir, tu vas aimer.
- Tu mouilles déjà comme une vraie cochonne. Allez viens, déshabille toi complètement.
Ils se déshabillèrent entièrement tous les deux. Karine ne pouvait détacher son regard du sexe de Patrick.
- Elle ... elle est grosse.
- Plus grosse que la queue de ton mari ?
- Oui, beaucoup plus grosse.
- Et les couilles ?
- Oui...aussi.
- Elles sont bien pleines, tu le verras tout à lheure quand tu avaleras mon sperme.
- Je n'ai jamais...
- Il y a un début à tout. Une fille aussi belle que toi se doit dêtre aussi une bon coup et un bon coup doit avaler le sperme, tu ne crois pas?
- Je ne sais pas...peut-être.
- Crois-moi. Tu verras l'effet que cela aura sur ton mari la prochaine fois. Allez, agenouille-toi entre mes jambes maintenant et suce moi la bite.
Karine s'agenouilla entre les jambes de Patrick, assis sur le canapé, et entreprit une fellation
- C'est bien ca, gémit Patrick. Tu te débrouilles bien. Tu aimes sucer ?
- Oui ... jaime ça, répondit Karine, échappant furtivement le sexe de Patrick de sa bouche.
- Oui, ça ce voit que taime sucer toi. Allez, enfourne bien à fond, ma salope.
Karine était dans un état de transe. Elle avait envie du sexe de Patrick, envie d'être une femme infidèle ce soir, une femme prête à subir tous les outrages que Patrick voudrait lui infliger.
- Tu me fais bien mouiller de la bite ma cochonne, aspire bien tout le jus. Allez pompe et pompe encore. Et toi, ca te fait mouiller de sucer une grosse bite, à genoux comme une grosse salope ?
- Oui....oui, je mouille.
- Tu la veux dans la chatte, hein ?
- Oui...baise moi s'il te plait, baise moi maintenant.
- Non, tu ne mas pas encore assez sucé. Il faut qu'elle soit bien grosse et bien juteuse. Après seulement, je te défoncerai la moule.
Karine reprit de plus belle, enfournant au plus profond de sa gorge le sexe qui soffrait-elle.
- Voilà, c'est bien. Ca c'est ce que j'appelle une bonne pompeuse de bites. Faudra t'entrainer pour pas perdre la main, et pas seulement avec ton mari, t'as compris ?
- Oui ... j'ai compris.
- Ok, c'est bon, je vais te baiser maintenant. Mets-toi à genoux sur le canapé et montre-moi ton cul, je vais te prendre par derrière.
Karine prit position sur le canapé, les bras sur le dossier.
- Cambre-toi bien pour bien ouvrir ton cul et ta chatte
- Comme ca ?
- Oui, c'est bien. C'est parti ma belle.
Patrick pénétra Karine d'une traite.
- Voilà, tu mouilles tellement que c'est rentré tout seul. Je vais te limer un peu maintenant.
- Oui ... oh
oh, c'est bon ... continue ... oui ... oh oui ...
- Ca fait du bien une grosse bite, hein ? Ca te change un peu.
- Oui ... oui, c'est bon ... c'est bon ... encore ... encore
- Je vais te mettre un doigt dans le cul pour touvrir un peu, maintenant. Il faut préparer ton petit trou pour que je puisse tenculer.
- Non ... pas ça ... s'il te plait.
- Si ma belle, j'vais t'enculer bien à fond. Ca cest certain.
- Aie !, dit Karine en sentant le doigt de Patrick sinsérer dans son anus.
- Ca va aller mieux dans quelques secondes, tu vas voir. Laisse-toi faire et ça passera tout seul. Pense à ma grosse bite en train de te ramoner la chatte pendant ce temps là. Ca va t'exciter et ton cul va s'ouvrir tout seul, tu vas voir.
- Je
aie !
je vais essayer.
- Voilà, tu vois, je sens déjà que ca coulisse mieux. Allez, on y va pour 2 doigts maintenant.
- Aie, aie ! Ca fait mal.
- Ca va passer, t'inquiète pas. Je sens déjà que ca s'élargit plus facilement. Je crois que ma queue pourrait rentrer maintenant.
Patrick présenta son sexe sur l'anus de Karine et força l'entrée énergiquement.
- Ca fait mal !...ca fait mal !, cria Karine
- Voilà, c'est fait. Elle est toute rentrée.
- Aie, j'en peux plus, ca fait trop mal.
- J'vais te ramoner un peu le cul, maintenant. Ca va aller dans quelques secondes. Tu vas aimer ca, crois moi.
- Aie ... aie
mon Dieu, quest ce que ça fait mal.
- Voilà, c'est bien, tu la sens ma bite bouger dans ton cul ?
- Oui ... c'est vrai ... ca va mieux maintenant.
- Tu vois, je te l'avais dit. Je le savais depuis le début que tu aimerais te faire enculer.
- Oui...hum...oui.
- Taime ça maintenant, hein ? Espèce de grosse salope.
- Oui
c'est bon
cest bon dans le cul ... oui ... continue
continue.
- Bien sur, ma salope, que je vais te le défoncer ton cul. Allez, cambre-toi mieux pour bien l'écarter.
C'est ce moment que choisit Laurent pour revenir discrètement chez lui. Il s'approcha sans bruit du salon ou s'offrit à lui le spectacle saisissant de sa femme sodomisée en levrette sur le canapé par son meilleur ami.
- SALOPE !, Cria t-il en entrant dans le salon comme une furie.
Saisie d'effroi, Karine s'écarta de Patrick et se recroquevilla dans un coin du canapé. Elle cherchait quelques vêtements du regard au sol sans pouvoir en localiser un seul.
- QUEST-CE QUE TU FAIS ?, cria Laurent.
- Je ... je suis désolé chéri, je ne sais pas ce qui m'a pris.
Laurent tournait en rond dans le salon devant sa femme toujours prostrée. Patrick, debout et le sexe toujours en érection avait un petit sourire narquois aux lèvres.
- Moi qui était certain qu'une telle chose ne pouvait pas arriver avec toi, continua Laurent. Je me suis bien planté. En fait, t' es qu' une pute, comme plein d'autres. Jte préviens, je vais demander le divorce.
- Tu devrais te calmer Laurent, dit Patrick. Ta femme est simplement plus cochonne que tu ne le croyais. Elle aime la bite, c'est tout. Regarde les choses du bon côté. Ta femme est une vraie salope et tu pourrais en profiter pour mettre du piment dans ta vie sexuelle. Tiens, je suis sur qu'elle serait d'accord pour qu'on la prenne à deux, là, maintenant.
- Mais...ca va pas non ?, dit Karine. Vous me prenez pour qui.
- POUR UNE GROSSE PUTE !, cria Laurent
Le silence s'installa dans la salle durant quelques instants. Laurent, encore tremblant, semblait réfléchir.
- T'as raison, lâcha t-il furieusement. On va se la baiser à deux cette pute !
- HA YES !, voilà le Laurent que j'aime, dit Patrick. Aller, fous-toi à poil et ramène ta bite, je l'ai bien préparée ta femme.
- Non
non ... protesta Karine.
- Tais-toi, dis Laurent. Je pense que tes pas en situation de refuser, là. Soit tu te fais baiser comme je le décide, soit tu dégages. Aller suce moi la bite maintenant et ferme là.
Karine n'eut pas le temps de répondre que Laurent enfournait déjà son sexe dans la bouche de sa femme.
- Tu peux reprendre ou tu en étais, Patrick, tu l'enculais, je crois ?
- Oui, tout à fait. Elle commençait à aimer ça d'ailleurs.
- Et bien continue, dilate lui le cul au maximum à cette pute.
Tous les trois étaient maintenant sur le canapé, Karine allongée sur le côté, les jambes repliées, suçant son mari assis confortablement à une extrémité et Patrick la sodomisant de l'autre.
- Tu veux qu'on lui fasse une double?, dit Patrick?
- Ok, mais c'est moi qui l'encule cette fois. Tu sais que je ne l'ai jamais fait avec elle ?
- Oui je sais. Qu'est-ce qui t'as pris ? Un mari qui nencule pas sa femme, ce nest pas normal selon moi.
- Oui, t'as raison, si j'avais su.
- Surtout quelle aime ça, cest vraiment dommage.
- Putain, quel con je suis !
- Ok, dit Patrick. Je m'assoie sur le canapé, elle vient sur moi face à moi, je la prends par la chatte et toi par derrière dans le cul, ca te va ?
- Ok, c'est parti
Karine se trouvait maintenant prise en double pénétration anale et vaginale.
- Tu aimes avoir les deux trous fourrés en mêmes temps, hein ma salope ?, dit Patrick
- Oui ... oui ... j'aime
- Dis le à ton mari alors. Dis lui que tu aimes te faire baiser par tous les trous en même temps. la prochaine fois, il invitera des copains. Allez dis lui.
- Je ... j'aime ça chéri.
- Tu aimes quoi ?, répondit Laurent.
- J'aime me faire baiser comme ca.
- Tu veux dire que tu aimes te faire baiser dans la chatte et dans le cul en même temps comme une chienne, cest ça ?
- Oui ... c'est ca.
- Alors dis-le !
- J'aime me faire baiser par deux bites en même temps.
- Tu aimerais en avoir une dans la bouche aussi ?
- Oui.
- Oui, quoi ?
- Jaimerai avoir une bite à sucer aussi.
- La prochaine fois, on s'y mettra à trois. T'auras une bite dans chaque trou. Ca te va ?
- Oui chéri.
- Elle est trop bonne la chatte de ta femme, dit Patrick. J'crois que je nvais pas tarder à juter. On lui fait tout avaler, t'es d'accord ?
- Bien sur, répondit laurent.
- Non, je naime pas le gout, dit Karine.
- On s'en fout, tu avales tout le sperme que je te dis et cest tout, répondit Laurent. Aller, à genoux et ouvre grand la bouche.
- Karine sagenouilla au milieu de Patrick et Laurent et les deux hommes éjaculèrent quasiment en même temps une énorme quantité de sperme dans la bouche grande ouverte de Karine.
- Avale tout maintenant. Comme une grosse pute. Dépêche-toi, dit Laurent. Et sans en mettre per terre, sil te plait !
Karine avala la totalité du sperme mélangé de ses deux partenaires d'une seule traite.
- C'était bon? Ca ta plu ce petit cocktail maison ?, dit Patrick.
- Ca va, ce nest pas si mauvais finalement, répondit Karine.
- Tant mieux pour toi parce qu' à partir d'aujourd'hui, tu vas en boire du foutre ma petite, renchérit Laurent.
- Quelles vides couilles, ta femme, dit Patrick. T'as de la chance mon gars, tu sais.
- Ouais, c'est vrai. Finalement je ne regrette pas d'avoir fait ce pari.
- Quel pari ? De quoi parlez-vous ?, s'insurgea Karine.
- Ton mari avait parié que je n'arriverai pas à te baiser ce soir. Il a perdu.
- SALAUD !, s'exclama Karine.
- Quoi salaud ? J'ai parié parce que j'avais confiance en toi et j'étais certain de gagner. Je ne me doutais pas que t'étais du genre à sucer la première bite qui passe et te la faire mettre dans le cul.
- J'avoue que je pensais avoir plus de mal, dit Patrick.
- Du coup, je sais maintenant que j'ai une pute à la maison et que je peux en faire profiter les copains. Chérie, tu vas en sucer des bites, moi je te le dis. La semaine prochaine, c'est mon anniversaire, j'ai bien l'intention d'utiliser ton cul et ta bouche pour vider les couilles nos invités.
- Oui chéri ... Tout ce que tu veux.
- Ok, et toi Patrick, je te l'envoie si tu veux te faire pomper le dard un soir, ou plus d'ailleurs.
- Merci, c'est sympa, jy penserai. Allez, je dois y aller maintenant. Je me rhabille et je vous quitte.
- T'es sûr ? Tu ne veux pas attendre un peu ici et remettre ca ? Je suis sur que ma femme a toujours envie de te sucer la bite ou se faire enculer encore un peu, pas vrai chérie ?
- Oui chéri, j'aimerai bien qu'il m'encule encore un peu, répondit Karine.
- Non merci les amis, c'est sympa mais je dois rentrer maintenant.
- Très bien. Karine va te raccompagner. Pendant ce temps, je vais appeler un ou deux potes à moi. Après tout, la soirée n'est pas terminée
FIN
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