Weekends: Emilie, Sandra Et Moi (2)
Sandra se leva avant nous. Le soleil me réveilla, ainsi que lodeur du pain grillé et du café. Je descendis retrouver notre hôtesse sur la terrasse. Elle membrassa, et je pris une grande tasse de café.
Sandra avait enfilé un bikini et plongea dans la piscine alors que je mangeais mes tartines. Elle fit quelques longueurs avant de sallonger sur un transat pour se semer au soleil. Je lobservais, détaillais ses courbes, le grain de sa peau sur laquelle ruisselait des gouttes deau. Je comprenais quÉmilie soit tombée sous le charme de cette belle brune à la peau matte.
Émilie descendit, elle navait comme à son habitude enfilé quune simple culotte blanche, laissant ses seins libres. Elle membrassa, alla en faire de même avec Sandra. Elle revint se servir du café, manger un bout de pain.
Je vais me préparer, dit Sandra, après on ira au marché.
Elle remonta, Émilie et moi admirâmes ses fesses se balançant dans son petit maillot trempé.
Dommage quelle naime pas les hommes, dis-je, je la trouve bandante, de plus en plus bandante.
Jai entendu, cria Sandra et nous éclatâmes de rire tous les trois.
Une heure plus tard, nous descendions au village où était installé le marché hebdomadaire. Nous achetâmes des fruits et des légumes frais. Quelques fromages, et une grosse miche de pain. Avant de rentrer, nous nous installâmes à une terrasse pour boire un verre sous le soleil de la fin de matinée.
Cest sympa comme village, mais en dehors du marché il y a quoi à faire ici, demanda Émilie sétonnant un peu de retrouver son amie dans un endroit aussi reculé ?
Pas grand-chose, cest certain, mais jy suis bien, et la ville nest quà une demi-heure de route, répondit Sandra, on pourra y aller ce soir pour sortir si vous voulez.
En rentrant nous nous installâmes en cuisine pour préparer une salade et des tartines de fromage. Sandra ouvrit une bouteille de rosé.
Sans rire, dit Émilie, tu trouves des filles ici ?
Non, mais je nai pas cherché, il doit y en avoir qui aimeraient visiter ma culotte.
Dis-moi tout, ta dernière aventure cétait quand ?
Tu crois que ma vie cest la misère sexuelle en milieu rural, dit Sandra en rigolant, jai des aventures comme tu dis, alors oui ce nest pas aussi riche que ta vie, pas de partouze, pas de plan à trois, quatre, ou plus, pas de transsexuelle. Mais je ne me contente pas de me masturber en pensant à toi. Même si certains soirs
Sandra nous raconta une de ses histoires. Fanny, une collègue de son ancien boulot dans une librairie. Elles sentendaient bien, et il leur arrivait daller boire un verre ensemble après avoir débauché.
Ce soir-là, je ne sais pas pourquoi, nous avons bu plus quun verre. Jétais fatigué, et très vite jai senti que je ne pourrais pas reprendre la route. Fanny ma proposé de venir dormir chez elle.
Les deux femmes ont donc pris le chemin de lappartement de Fanny.
Dans la rue, je ne marchais pas très droit, et il marrivait régulièrement de frôler, de percuter Fanny, elle finit par me prendre la main pour maider. Ça faisait un long moment que personne ne mavait pris la main.
Elles arrivèrent chez Fanny. Après avoir bu un grand verre deau, et discuté un peu sur le canapé, Fanny demanda si Sandra voulait prendre une douche avant daller se coucher.
Jai répondu oui, alors elle sest approchée, et ma demandé si je voulais quelle prenne la douche avec moi. Jétais surprise de cette proposition, je ne voyais pas Fanny, que je trouvais sympathique, mais très sage me draguer aussi ouvertement. Je nai rien répondu, je me suis contenté de lembrasser et je lai suivie dans la salle deau. Elle a ôté ses vêtements. Je navais pas vu de corps de femme nu depuis des mois. Fanny était très belle.
Fanny et Sandra sortirent de la douche et sans prendre le temps de se sécher allèrent dans la chambre.
Jallongeais Fanny sur le lit et commençait à la bouffer. Javais oublié le gout dun sexe. Jécartais ses poils pour explorer son sexe. Elle jouit très vite, comme moi. Mais je ne voulais pas lui laissera e temps de reprendre ses esprits et continuait à la lécher, à la doigter. Je finis par la fister et la faire jouir dans un grand cri. Elle mavoua que cétait la première fois quon lui faisait ça. Alors je lui demandais den faire autant avec moi. Petit à petit elle glissa sa main en moi, et à mon tour jéclatais dans un grand cri de plaisir.
Sandra nous passa le reste de la nuit, qui fut longue et humide selon ses propres mots.
Je vois Fanny de loin en loin, cest une de mes amantes, dit Sandra, tu vois que je ne mennuie pas, même si je ne baise pas à longuet de journée.
Émilie, pas vexée pour un sou, alla embrasser son amie, un long baiser.
Je sais que tu ne tennuies pas, ma belle, et tu nes pas obligée dêtre une salope comme moi, dit Émilie avant de se mettre en maillot et de plonger dans la piscine.
Sandra me regarda en souriant.
Jadore cette fille, me dit-elle avant daller la rejoindre.
Les deux femmes sembrassèrent dans leau.
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