Leslie La86
Leslie LA86 - Laure, le journal intime Naturisme, suite
De retour au mobile-home, je me déshabille et vais prendre une douche, suivie de Patrick, qui me dit :
- Je parierais que Catherine ne met pas de sous-vêtement quand elle se balade en ville !
- Tu crois ?
- Loccasion de le vérifier se présentera bien à un moment
Mais, il est temps daller rejoindre nos nouveaux amis et, cest nu que nous allons les retrouver
Catherine a préparé un repas léger et rafraîchissant, ce qui est bien agréable, tant il fait chaud.
Pendant le repas nous conversons sur le naturisme, nos impressions et le bonheur dêtre nus, cest Alain qui à un moment nous dit :
Nous on a commencés il y a cinq ans, par hasard, en vacances sur la côte atlantique, lambiance nous a plu et nos voisins étaient charmants
Catherine prend alors subitement la parole.
- Tu ne vas quand même pas tout raconter ?
- Plus tard, peut-être !
Un malaise sinstalle avec un silence pesant, quallait dire Alain pour que Catherine linterrompe, le repas se termine sur ces quelques mots et le malaise, mais Catherine nous propose daller à la plage ensemble.
Nous retournons à notre mobile-home pour prendre des serviettes et autres accessoires et moins dun quart dheure plus tard, nous sommes tous les quatre sur la plage. Il est encore assez tôt et il y a peu de monde. Alain, nous propose de sinstaller un peu plus en retrait, à la limite de la dune, à cet endroit nous sommes quelque peu à labri du regard des autres vacanciers quand nous sommes allongés, et avec Catherine nous nous installons côte à côte, nos mecs de chaque côté.
Peu de temps après Alain et Patrick partent ensemble se baigner, nous laissant seules, le soleil commence à me chauffer le corps, alors me redressant un peu, je demande à Catherine :
- Tu peux menduire de crème solaire
- Avec plaisir, réponds-t-elle.
Je ne sais où cela va me mener, mais jespère bien ainsi inciter Catherine à se lâcher et me montrer ce quelle veut, car moi jai des désirs pour elle.
Catherine prend le flacon de crème solaire et en fait couler dans le creux de sa main et elle commence alors par menduire les bras, puis ses épaules et mon ventre. Elle reprend ensuite de la crème solaire et se met à soccuper de mes seins, ses gestes sont lents, les mouvements circulaires de ses mains sont comme de caresses, puis ses doigts se font ensuite plus précis, Catherine sapproche de mes tétons du bout de ses doigts, en font le tour, avant de les titiller.
Catherine reprend de la crème et entreprend alors de menduire les jambes, partant des pieds, elle remonte lentement, faisant durer le plaisir. Ses mains arrivent maintenant le long de mes cuisses et remontent encore. Jai toujours les jambes resserrées, alors doucement Catherine me dit :
- Écarte !
Alors, jécarte mes cuisses pour donner libre accès aux caresses agréables prodiguées par Catherine, qui peut alors faire remonter ses mains dans mon entrejambe, frôler mes lèvres intimes et remonter jusquà mon pubis, puis redescendre à nouveau, repasser près de mes lèvres, séloigner, puis revenir vers celles-ci et commencer à les parcourir du bout des doigts.
Je me mets alors à gémir. Catherine insinue ensuite ses doigts dans ma fente à la recherche de mon clitoris, et ne tarde pas à le trouver, gonflé de désir, elle joue un peu avec, puis reprend son chemin à la recherche de mon intimité profonde et y introduit doucement un doigt, je suis toute mouillée et je gémis de plus en plus.
Ce sont ensuite deux doigts, puis trois que Catherine parvient à introduire sans grande difficulté en moi, me faisant crier de plus en plus fort, envahie par le plaisir, je me laisse aller sans retenue, sous le regard de Catherine, heureuse.
Tandis que je reprends lentement mes esprits, Catherine a portés ses doigts à sa bouche, après les avoir sentis, et les lèche, puis me dit :
- Et si tu me passais à ton tour de la crème solaire ?
Je me redresse, saisis le flacon de crème solaire tandis que Catherine sest allongée sur le dos, attendant mes caresses, après les bras, je passe ensuite aux épaules, au ventre, puis à la poitrine.
Nous restons ainsi, un moment, allongées côte à côte, quand jentends la voix de Catherine me dire :
- Maintenant il ne reste plus quà convaincre Patrick.
- Pourquoi ? Demandais-je naïvement.
- Allez, Laure, ne fait pas lidiote, nous avons des désirs lune pour lautre, toi certainement pour Alain et moi pour Patrick, mais Patrick nira pas vers Alain.
- Patrick est réticent, dis-je.
- En fait Alain est bisexuel, tout comme moi et en plus nous sommes échangistes, mais pas Patrick, je crois ?
- Tu as raison, pour moi ce nest pas un problème, je suis comme toi bisexuelle et jai déjà fait de léchangisme, et puis avec Patrick nous nous connaissons que depuis deux mois.
- Mais je pense que Patrick pourrait sauter le pas !
- Vraiment, tu crois ?
- Certaine, et dici demain soir tu le sauras !
Les deux hommes sont revenus mettant fin à notre conversation.
En fin daprès-midi, nous sommes rentrés vers nos bungalows, puis après une douche commune, nous avons dînés ensembles chez Catherine et Alain, puis vers dix heures nous sommes retournés à notre mobil-home, après nous être donnés rendez-vous pour le lendemain sur la plage.
Arrivés sur la terrasse, Patrick me prend dans ses bras et me dit :
- Tu crois que nos amis ont des vues sur nous ?
- Jen suis certaine, dis-je.
- Mais
Tout en disant cela, Patrick passe la main sur mes fesses et tente dinsinuer ses doigts dans ma raie à la recherche de mon illet.
- Arrête ! Dis-je, quelquun pourrait passer et nous voir.
- Mais non
Il ny a personne à cette heure.
- Nempêche, dis-je, peu convaincue et pleine de désirs, ce nest pas une raison. Des gens pourraient arriver.
Mais mes désirs sont plus forts, je plaque sa main sur le membre de Patrick et constate quil est en érection, déjà dur et bien gonflé, alors je prends sa bite en main, commence à le masturber, tout en reprenant la conversation.
- Tu es vraiment insatiable, lui dis-je.
- Désolé, mais cest plus fort que moi.
- Tu vas voir qui va être le plus gêné.
Joignant le geste à la parole, je maccroupis et prends son membre entre mes lèvres et commence à le sucer, en écartant bien les cuisses afin dexhiber ma fente toute lisse à déventuels promeneurs.
Puis après lavoir longuement sucé, je me redresse et prenant appui de mes mains sur la rambarde, je me cambre et lui offre mes reins en lui disant :
- Encule-moi !
Excité, Patrick se place derrière moi et en posant son gland sur ma rosette, dit :
- Salope !
Et dun coup de reins, il me pénètre lanus, me faisant hurler de bonheur. Longtemps il est allé en moi me faisant gémir de plaisir, mais bientôt jai sentis le moment crucial arriver, alors, je me dégage de son étreinte et me replace accroupit devant lui, juste à temps pour bien tout recevoir dans ma bouche, je reçois des jets de sperme jusquau fond de ma gorge et une fois terminer, je me relève tandis que Patrick me dit :
- Cétait trop bon, ma chérie.
Alors, sans un mot, je lembrasse à pleine bouche et lui faire goûter dans cet échange intime son propre sperme.
- Waouh, cest génial, je me bois !
- Tu vois, tu aimes, cest pareil avec un autre homme.
Je reprends alors mon étreinte et Patrick se boit au travers de notre baiser.
Puis je lui dis :
- Tu vois, maintenant tout est possible avec nos amis, ils semblent avoir des goûts variés, et nous leur plaisons.
- Ca ne te gênerait pas de faire lamour avec eux ?
- Jen ai même envie !
- Pourquoi pas, après tout, on peut essayer !
- Super, dis-je, tu ne rejettes pas lidée en bloc et ça me rends heureuse. Cest un bon début.
- Je dois reconnaître que moi aussi, je suis attiré par Catherine et troublé pas
Alain, alors ce ne sera peut-être pas aussi difficile que ça !
- Allons-nous coucher, mon chéri.
Cest alors que, regardant autour du mobile-home, je réalise que le gérant du camping nest quà quelques mètres de là, nous observant et que, sous la lumière du lampadaire, il na rien raté de nos ébats, son visage arbore un léger sourire.
Nous rentrons dans notre mobile home pour nous coucher, sans que jen dise mot à Patrick. Cette découverte ma terriblement excité et je me ferais bien à nouveau sodomiser, mais allongé contre moi, Patrick me dit :
- Bonne nuit, ma chérie.
Sur ces derniers mots, nous nous embrassons amoureusement une dernière fois avant de nous endormir tout en se caressant langoureusement.
Le lendemain, douche, déjeuner et plage.
Arrivés sur le sable, nous navons pas cherché bien longtemps pour retrouver nos amis, ceux-ci étaient déjà installés au même emplacement que la veille, allongés sur le dos.
Nous savons pertinemment que nos amis risquent de nous emmener vers des moments déchange et de sexe, mais nous sommes prêts, enfin Patrick, à tenter lexpérience et vivre de nouveaux plaisirs assurément excitants.
On commence par se saluer et nous nous installons comme la veille, les femmes se retrouvant à nouveau côte à côte et les hommes de chaque côté de nous.
Toujours des voyeurs, qui sachant que nous sommes dans un endroit isolé, tentent leur chance pour mater, puis sen vont en voyant que rien ne se passe
Patrick, remarque quun homme passe et repasse, ralentissant sa marche en passant près de nous, mais tout en observant le spectacle que nous lui offrons, avec peu de discrétion, ce qui ne tarde pas à agacer Patrick.
- Il ménerve celui-là à mater comme ça. Je vais lui en donner puisquil en veut !
Patrick pose alors une de ses mains sur mon sexe et y introduit deux doigts sans plus attendre, sous le regard intéressé du voyeur.
- Dis donc, ça texcite de te faire mater, tu es tout humide
Et il commence à me doigter et me masturber sans se cacher, me faisant gémir.
De son côté, Alain, trop heureux de la situation, ne sen laisse pas conter et introduit également deux doigts dans lintimité de sa femme tout en parlant.
- Il va être servi, notre celui-là !
Une demi-heure plus tard, toujours sous le regard attentif de notre voyeur, Alain allongé dans le dos de sa femme sagite avec en train, en fait il la pénètre par-derrière. Le voyeur se met alors à se masturber et tandis quil les regarde sans discrétion, Catherine en fait part à son mari, mais plutôt que de cesser leur rapport, Alain redouble de vigueur.
Patrick est lui aussi en érection devant le spectacle offert par nos amis, il sent lexcitation le gagner
À dix mètres de là, le voyeur, allongé maintenant sur sa serviette, ne manque rien du spectacle, se masturbant sans vergogne, tout en observant la scène.
Patrick se met alors à me caresser la poitrine en me disant :
- On fait comme eux ?
- Non. Je nai pas envie. En plus, ce voyeur magace.
- Dommage.
Plus tard, quand tout est consommé, Alain nous dit :
- Cest ça, le petit monde naturiste, les vrais naturistes sont hostiles à ce genre de comportement, cest pour cela que nous nous mettons un peu à lécart.
- Je comprends mieux, vous êtes un peu exhibitionnistes, dit Patrick, et vous vous mettez à lécart pour vous faire mater.
- Comme vous, à linstant.
- Tu as raison et cela va nous conduire où ? Demande Patrick.
- Venez dîner à la maison ce soir, dis Alain, et tu auras la réponse
Voilà, nous y sommes, ce soir ce sera le grand jeu
A suivre
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