La Chute - 3
Tu appelles ta femme, m'avait-il dit. Je me remettais à peine de ce qui venait de m'arriver... Le pelotage intense dans l'ascenseur, puis dans son entrée - nous n'avions pas fait trois mètres depuis bientôt 45 minutes - la séquence de galoches tout en m'agaçant le gland, cette intense et brutale intrusion dans mon orifice, avec toilettage de ses doigts inquisiteurs, et surtout, surtout, ma bouche, ma langue, mon nez, entre ses fesses, cet avilissement obscène... Son odeur ne me quittait plus; je l'avais sur le visage comme on porte un tatouage... Et plus je respirais , plus je devenais saoul de lui... Non, pas de lui, essayais-je de me convaincre... Il n'avait rien des caractéristiques d'un homme qui aurait pu me séduire... Trop gras, trop vulgaire... Et puis aucun homme n'était censé avoir les caractéristiques pour me séduire! Qu'es-ce qui m'arrivait enfin?
- remets-toi, me dit-il comme s'il lisait dans mes pensées. Allez viens par ici et appelle ta femme...
J'eus un coup au cur: il brandissait mon portable et jouait avec le clavier... Il l'avait sans doute subtilisé en me retirant ma veste... Bon sang je n'avais pas de code d'accès, que voulait-il en faire? Je le suivis avec hâte et débouchai dans un salon assez peu meublé - une table carrée avec 4 chaises, un canapé bas, un fauteuil qui lui faisait face... La pièce donnait directement sur la chambre, séparée par une cloison coulissante à présent ouverte... un immense lit y trônait, un lit aux draps défaits et froissés comme un souvenir de débauche....
Il me fit signe d'approcher en tapotant sur le clavier et tandis que je voulais reprendre le téléphone il me poussa d'un bras musclé vers le canapé. Je m'y affalais lourdement, et lui mettait mon téléphone à l'oreille...
- Au hasard, le numéro le plus appelé.. un prénom de femme...
- Allo? C'est toi ? entendis-je avec effroi... Ma femme...
Il me tendit le téléphone en souriant et se lécha les lèvres vicieusement.
- Allô chérie? m'empressai-je de dire. Je t'appelais pour te prévenir que j'allais rentrer tard...
Lui sourit de plus belle, se caressant le sexe à travers le pantalon. J'avais répondu dans l'urgence, et avec la terreur qu'il se signale à ma femme si je n'accédais pas à sa volonté que je reste. Il n'était que 16 heures mais apparemment il voulait profiter de moi. Mais je ne comptais pas faire de vieux os. Le temps de raccrocher, de me ressaisir, et j'allais partir, et annoncer à ma femme que finalement j'avais fini plus tôt.
- Vraiment, c'est obligé? me dit-elle
- Oui désolé... J'ai un gros... dossier à régler, en urgence... Je vais devoir aller aux archives, en plus, c'est un peu galère, ajoutai-je pour parer à l'éventualité où elle me rappellerait sur mon poste. Mon dieu, j'étais dans le calcul pour rester effectivement longtemps!
Lui retint un rire narquois et s'éloigna en me faisant signe de prendre mon temps... Je n'avais pas envie de m'attarder mais dans ces situations, nous avions ma femme et moi l'habitude d'échanger quelques nouvelles de la journée. Lui sortit de la pièce, je me sentais plus à l'aise pour poursuivre, bien que je sois cul nu et chemise ouverte dans le canapé d'un inconnu qui venait de me faire subir différents outrages... Où était ma veste ? mon pantalon? Je le soupçonnai soudain d'être parti pour les mettre à l'abri, peut-être fouiller dans mes affaires ?
j'allais me relever d'un bond quand il revint et je restai coi. Il s'était débarrassé de ses vêtements et avait mis le slip qui lui manquait jusque là... Un slip blanc un peu informe et pas de la première fraicheur, me dis-je malgré la distance... Sa silhouette était saisissante, cette masse de chair mélangeant laisser-aller et musculature, pâle et comme luisante de transpiration (il faut dire qu'il faisait très chaud chez lui). Des poils couvraient son corps à n'en plus finir, grisonnants sur les épaules, les bras et le haut du torse, noirs sur le reste du corps.
Je bandais aussitôt et hurlait silencieusement. Que m'arrivait-il? Ma conversation avec ma femme s'en ressentait...
- Oui, oui c'est une bonne idée...
Elle me parlait des prochaines sorties et invitations qu'elle souhaitait programmer et je suivais plutôt distraitement. Lui s'approcha jusqu'au canapé et resta debout devant moi, la main sur la bosse emprisonnée dans son slip. Effectivement il l'avait pioché dans le bac de linge sale étant donné la couleur... Mais bon sang quel morceau à l'intérieur! Epaisse était le premier mot qui venait à la bouche, et salive en second. J'étais à nouveau perdu, à mater cet homme se caresser la bite sous mes yeux, au dessus de mes yeux plus précisément... et ses testicules qui pendaient, lourds, débordants de poils en dehors du slip, ne faisaient rien pour arranger les choses.. Je distinguais la forme de son gland, qui semblait énorme... Il ne se fit pas prier me voyant interroger son slip du regard et le baissa brusquement...
Sa queue..
Sa queue était veinée comme un arbre gonflé de sève, des veines tirant sur le violet et formant un entrelacs sur toute la longueur... Que j'estimais - il ne bandait pas encore à fond - à 17-18 cm environ. Il avait un long prépuce qui couvrait tout son gland se terminant par une petite fleur de chair brune.
- Oui, oui... hmmm hmm , répondais-je à ma femme qui avait entrepris de me raconter une anecdote de bureau... A moins que ce ne fusse à lui que j'adressai ces murmures...
Il le comprit comme ça en tout cas et se décalotta le gland... Il était, c'était étrange, aussi violet que sa langue, ce qui lui donnait une étrangeté dérangeante, mais ce qui me frappa fut l'odeur nouvelle qui rapidement agressa mes narines... Un mélange sans nul doute de sueur, de pisse et de mouille, mais qui se mêlait étrangement, créant une fragrance particulière... Un parfum assez fort, musqué, avec des pointes acides et encore ce point commun avec l'odeur de son cul... comme des senteurs de bois humide... J'en fus retourné et curieusement plus excité encore... Il entrepris de se branler doucement, avec deux doigts seulement, puis plus vite. Je ne lâchai pas la chose des yeux, le prépuce dévoilant et masquant le gland dans un bruissement de peau, un clapotis séminal... Il mouillait beaucoup et quand il se décalottait bien à fond, je voyais se former comme de l'écume...
- Oui, je comprends, oui oui... disais-je sans savoir à quoi...
Il ne bandait pas totalement comme s'il le faisait exprès, je ne voyais aucune tension dans son mouvement - il effectuait le geste mais sans chercher à tirer son plaisir.. Et pourtant je le sentais monter... Son sexe prendre encore de l'épaisseur c'était dingue... Avec l'impression que la base de son sexe gonflait plus que le reste - mais l'épaisseur de ses poils qui remontaient curieusement assez haut sur sa hampe m'empêchait de jauger complètement. Son sexe m'impressionnait malgré tout et je me sentais en comparaison comme un petit garçon...
Il fit un bruit de lèvres et je levais la tête... Pour être capté immédiatement par l'intensité de son regard... Il murmurait quelque chose, que je crus décrypter.
- ma salope, ma salope...
Son regard se troubla, il ouvrit plus grand la bouche et la suite fut comme un coup de poing au visage... Son foutre qui m'aspergeait soudain, en pluie chaude et parfumée, abondante, et moi qui ne savait comment réagir à part offrir mon visage à cette libération, ce nuage qui crevait enfin... Mon anus palpitait sous moi, ma queue tressautait, sans jouir pour autant, et ma femme me dit soudain...
- Tu m'écoutes ?
Le visage couvert de sperme, je n'osais plus bouger, et je lui répondis d'une voix blanche...
- Ecoute, le temps passe là, et je vois tout le boulot qui m'attend, je crois que je vais te laisser pour rentrer le plus tôt possible...
Du foutre me coulait entre les lèvres, sur le menton, la poitrine...
- Travaille bien ajouta-t-elle avant de raccrocher.
Il me souriait au milieu de ses halètements et se libéra d'un soupir...
- Rahhh ça m'a fait du bien! Je ne sais pas ce qui m'a fait jouir, si c'est la voix de ta femme... Elle a l'air bonne, ta femme... ou si c'est ta belle petite gueule fascinée par ma queue... Bon sang tu aurais du te voir!
Comme je ne disais rien et ne bougeais toujours pas, commençant à stresser d'avoir son sperme me coulant vers le fond de la gorge, il se pencha et me retira le téléphone des mains. Me regardant d'un air à nouveau excité - pas du tout celui d'un mec qui vient de jouir - il s'agenouilla devant le canapé, m'écartant les jambes au passage, et se pencha sur moi...
- T'inquiètes pas, je n'en ai pas fini avec toi... Ca c'était juste pour me libérer un peu, pour économiser mon énergie pour la suite... Hmmm tu m'inspires, ma belle, je vais bien te retourner la tête tu vas voir... Tu sens comme tu t'es alanguie? Tu sens comme tes barrières tombent les unes après les autres ?
J'étais paralysé. Il en profita pour me lécher le visage. Son propre sperme, qui s'étalait partout sur ma figure, il le récupérait de large coups de langue pour le ramener vers ma bouche et me la remplir, consciencieusement... Une langue animale, comme celle d'un chien qui ferait la fête à son maître, mais en plus lent, et c'était lui le maître... Il faisait ainsi ma toilette pour mieux me souiller la bouche...
- N'avale pas... garde-le... fais tourner avec moi...
Il me galochait à nouveau comme une jeune fille et je me pâmais dans un contraste de sentiments entre dégout et volupté... Il m'attrapa le sexe à pleine main mais à l'envers, le pouce tourné vers mon ventre, et me branla en un geste lent et fort qui décalottait mon prépuce à l'excès. Il passa son bras derrière mes reins et m'approcha au bord du canapé. J'étais à nouveau jambes écartelées, bloquées par ses cuisses puissantes, le bassin tendu vers lui, offert...
- Bouge toute seule, branle-toi dans ma main, vas-y chienne, excite-toi...
Je n'avais aucune raison de lui obéir et pourtant je le fis... je m'humiliais à aller et venir dans ses doigts et me mis à mouiller abondamment à mon tour...
C'est alors qu'il fit ce truc dingue, totalement inattendu: se collant à mon sexe, gland contre gland, il recouvrit d'un geste habile mon sexe de son prépuce qu'il avait décidemment très long... Le bout de ma queue baignait dans sa mouille et il entreprit de nous branler ainsi, emmanchés l'un à l'autre, sa peau me prodiguant une caresse indicible.. Je baissai les yeux, fasciné, et la scène s'imprima sur ma rétine... L'odeur montait à mes narines, encore plus forte... du désir à l'état pur, une promesse de foutre à foison, l'écume maintenant débordante... Je me sentais partir dans les pommes...
- Vas-y, tu n'attends que ça... lâche-toi, petite pute...
Je jouis instantanément et perdis encore des milliers de neurones... je giclais dans son prépuce tandis qu'il maintenait le lien qui nous unissait... Il m'embrassait à pleine bouche et m'étalait son foutre et sa salive partout, m'aspirait la langue, me violait de la sienne, je criais au milieu de ses baisers et lui se badigeonnait la queue de mon sperme sans me lâcher, et m'assaillant à nouveau de mots...
- Hmm t'es une sacrée femelle tu sais ? Qui aurais cru que tu irais si loin en quelques heures, hein? Pas toi je suis sûr... Mais tu es bien là à te donner à ton mâle, celui que tu attendais depuis toujours, tous tes orifices à disposition... Hmmm j'aime comme tu jouis, mais tu peux encore faire mieux, gueuler ton plaisir encore plus fort, oh oui... Sens les frissons t'envahir, tu trembles comme une petite chose fragile, je vais te faire gueuler encore, tu vas voir...
Il s'était collé plus près et je sentais son gland frotter contre mon trou, il m'enlaçait d'un bras puissant pour me maintenir à sa merci, passait maintenant ses grosses lèvres dans mon cou, sur mes lobes, sa langue dans mes oreilles me faisant hérisser les cheveux le long de la nuque...
- Tu sens ma bite contre ton trou? tu sens comme tu me fais mouiller? Ton propre sperme qui s'étale sur ta chatte ? tu sens comme je suis brûlant ?... Laisse toi aller, respire, savoure, sens le plaisir finir de se répandre en toi... tu es une femme qui vient de prendre un pied sans nom... Et tu vas en reprendre!
Et il s'enfonça sans prévenir, profitant de mon total abandon...
Comme je voulais brusquement me défendre de cette intrusion, il m'attrapa les jambes et me souleva et grimpa à genoux sur le canapé pour mieux me plaquer sur le dossier. j'étais totalement écartelé et lui pesait de toute sa masse sur moi, me privant de toute mobilité. J'ouvrais la bouche de stupeur, sentant la douleur monter... Il s'enfonçait inexorablement, par à coups successifs... mon dieu qu'il était gros! Et pourtant il ne bandait pas totalement, pas encore...
- Tu comprends pourquoi j'ai joui et t'ai fait jouir? Je veux que ce moment, ta défloraison, dure longtemps.. Et puis je veux bander dans ta chatte, que tu me sentes durcir et gonfler à l'intérieur, te remplir, te posséder au meilleur sens du terme... Ohhh... il est bon ton cul! Tu as du te le travailler un peu mais il y a encore de la marge... T'inquiètes, je vais finir le boulot...
Et il entreprit de me besogner avec ardeur, ses lèvres collées aux miennes par le foutre, grognant comme un ours enragé... je sentais son sexe effectivement prendre possession de mon corps, m'écarteler l'anus et forer mes entrailles... Non seulement il était gros - et maintenant je prenais conscience à quel point - mais en plus il était grand! Son érection qui prenait toute sa mesure n'en finissait pas de m'explorer le fondement... Jusqu'où allait-il enfler ainsi? Ses poils drus frottaient les pourtours de mon trou et ses couilles tapaient mes fesses en un balancier sonore... Je râlais et criais quand sa bouche me le permettait... La douleur n'était pas montée comme je l'avais imaginé, parce qu'il avait franchi mes sphincters sous l'effet de surprise. Mais il me ramonait sans douceur et je me sentais me distendre comme si on m'avait gonflé un ballon à l'intérieur...
Tout plaisir m'avait quitté, seule la sensation d'être possédé persistait. Point sur lequel il ne manqua pas d'insister...
- Ouvre-toi, laisse-toi aller.. Tu as mal, hein? Tu vas voir tu vas aimer avoir mal avec moi, parce que tu vas jouir, fais moi confiance, jouir d'être prise comme la femelle que tu es et que tu vas être de plus en plus... Han, han! tu sens ma bite comme elle te ramone bien la chatte? Tu sens mes poils t'agacer le fion! Han, han! Oh c'est bon de t'enfiler comme ça, tu es toute serrée...
Il transpirait en me limant comme un forcené, et sa sueur coulait partout sur son torse, sous ses aisselles, saturant l'atmosphère de son parfum de mâle... Comme je ahanais plus que je criais maintenant, il ralentit un peu le rythme... En se redressant un peu il me pris la tête et l'approcha d'un de ses mamelons durcit, proéminent...
- Vas-y, suce le... C'est comme une petite bite pour toi, ma belle...
J'obtempérai avec un frisson de désarroi... J'en étais rendu là ? A téter un mâle dominant en train de me ravager le cul? Il fallait croire... Contre toute attente, la situation me troubla: le téton avait une texture élastique, une fraicheur moite et glissait sous mes lèvres comme un savon insaisissable... je le mordillais donc et m'accrochait à lui comme à une bouée...
- C'est ça petite pute, régale-toi, excite-toi avec...
Et le fait est que je me mis à bander à nouveau...
- L'autre, me dit-il en ralentissant encore, me travaillant plus doucement, oscillant même dans mon petit trou serré...
Je me jetais dessus et titillait le premier de mes doigts...
- C'est ça, bonne chienne, m'encourageait-il...
Ses va-et-vient s'amplifiaient, devenaient plus profonds... Il se colla à mes reins et je sentis la base de sa queue m'élargir encore... Il était effectivement plus gros à cet endroit et je gémis dans le mouvement. Il s'arrêta soudain et contracta son gland par à coups... je le sentais là, palpiter au fond de moi, mon anus tendu au maximum... J'ouvrais la bouche dans un cri silencieux et il en profita pour m'offrir son aisselle.. j'y plongeais sans réfléchir comme on se jette à l'eau...
- hummm vas-y lèche, lape ta gamelle... Nettoie-moi avec ta langue, oh ma salope je vais adorer te baiser et te baiser encore!
Je m'immergeais dans sa sueur chaude, la buvais littéralement, suçotant ses poils humides, reniflant comme un petit animal fouisseur, et je n'aurais voulu quitter cet endroit pour rien au monde...
Ma bite s'était raidie comme jamais et frottait contre son ventre bedonnant... C'était comme un fourreau, cette chair et ses poils et je sentis le plaisir monter de très loin, derrière mes couilles, irradiant de mon anus...
Il avait changé de tactique et me travaillait le cul avec expertise à présent. Son gland s'attardait au niveau de ma prostate et je commençais à sentir une forme de gêne... excitante. Il me lima comme ça un moment puis accéléra à nouveau le mouvement, claquant ses reins violemment contre les miens.
Je hurlais à nouveau mais cette fois de plaisir et de douleur mêlés.
- Prends cette bite, prends là bien... Je vais te faire grimper, tu vas voir, tu vas en redemander, encore et encore... T'inquiètes pas j'ai de l'énergie à revendre, et du foutre aussi! J'aime baiser pendant des heures, gicler et recommencer, je vais t'arracher le cul à force de te le défoncer et tu vas me dire des mots d'amour, chienne!
-Ah! Oh! Ah! Ah! ... C'était tout ce que je pouvais dire...
- Tu veux que je te baise vraiment ma salope? Tu aimes que je te défonce comme ça? Tu en veux? Tu en veux encore? Te faire déflorer la chatte ça te fait bander, hein ? Tu veux que ta première fois soit inoubliable?
- Ahhhh!... Oui... Oui... Encore... m'entendis-je lui répondre
- Alors on y va!
Il sortit de moi brusquement et je me sentis abandonné. Mais je ne restai pas longtemps esseulé: il me releva, me retourna et me colla à genoux sur le canapé, m'écarta les cuisses et s'enfonça d'une poussée dans mon cul que j'avais instinctivement cambré.
Et là j'en pris pour mon grade. Il me défonça à coups de reins puissants, martelant mon cul de ses couilles, ses gros doigts plantés dans mes chairs, agrippés à mes hanches, me claquant les fesses à intervalles réguliers... Putain c'était comme dans ces films pornos que je matais en me branlant mais là j'étais la victime et la star, couinant comme une truie, toute honte bue, en redemandant dans des râles et des cris.. Cela durait et durait... J'en perdais le souffle et toute dignité... Et comme il me l'avait prédit, je prenais un pied insensé dans la douleur...
L'orgasme me saisit sans crier gare et j'explosais enfin dans un cri libérateur... Je jouissais du cul, et me sentais perdu.
Lui sortit de moi et me laissa reprendre mon souffle et mes esprits. Un sentiment de honte montait en moi, et je n'osais me retourner, l'affronter après... après... ça! Cet acte dégradant, ce déchainement de violence sans aucun respect pour mon corps, ces crudités débitées comme des chapelets, d'une vulgarité sans nom... Bien sûr, compte tenu de la taille de son engin et la nature étant ce qu'elle est, j'avais jouis... Mais je ne le voulais pas vraiment... Il m'avait violé... Depuis le début il m'avait violé...
Il fallait que je sorte de là, que je m'échappe de son emprise, il fallait que je rentre chez moi et que j'oublie. Il avait fait son affaire... Allez, je pouvais même lui accorder qu'il avait gagné son pari, dépuceler un hétéro, le faire gicler deux fois de suite, le faire bander malgré lui... mais maintenant c'était fini!
Je me retournai dans un élan décidé... et me figeait dans le mouvement.
Il s'était installé à califourchon sur le fauteuil qui faisait face au canapé son corps basculé en arrière sur le dossier, et se caressait les tétons entre deux doigts, lentement, sensuellement... Ses jambes écartelées sur les accoudoirs livraient à ma vue tout son bas ventre... son sexe à moitié bandé, si épais, aux veines encore gonflées de plaisir, ses couilles velues, gorgées de sperme, à la peau tendue de désir, et le sillon ruisselant de sueur conduisant à sa raie, bordé de poils sombres et odorants...
- Et si tu venais entre mes cuisses me finir avec ta bouche, ma chérie?
Je tombais malgré moi à quatre pattes, ce qui lui fit ajouter avec un air conquérant...
- C'est bien... Sois-donc la pire des chiennes maintenant...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!