Sept Ans ...Aprés Cocu Lambda , C'Est Quoi ? ! (Suite Et Fin)

Vous vous souvenez sans doute de moi, ‘Aude’ femme d’Alain dingue de rugby, je l’ai fais cocu avec Adrien, un beau métis, lors d’un soir de match a la télé, tout ça parce qu’il n’a pas voulus me baiser ce soir là, délaissée depuis trop longtemps je suis allée me faire mettre chez Adrien un voisin qui me convoitait depuis longtemps
Alain ne m’en a pas voulu, je regrette un peu mon geste, il avait même dit a son ‘rival’ que les soirs de match il me confierait a lui, ainsi il serait tranquille, être cocu ne lui fait donc rien ? Pourtant il m’aime, et moi aussi, pour lui prouver je lui ai fait une surprise, j’ai achetés deux billets pour un match a trois cent kilomètres de chez nous, le trajet se fait en bus spécial
- Chérie, tu es merveilleuse ! quelle surprise ! tu verras, nous allons passer un moment inoubliable dans ce grand stade
- Je mets un pantalon ?
- Tu es folle ? je suis trop fier de montrer les belles jambes de ma jolie femme à tous mes potes ! d’autant plus que tu seras la seule femme à nous accompagner !
- Justement, j’aurais été plus à l’aise, mais puisque tu y tiens …

A peine le coup de sifflet qui marque le début de la rencontre que des canettes de bière font leur apparitions dans les gradins, il est pourtant interdit d’en introduire a l’intérieur du stade
Mon mari connait tous ceux qui nous entourent, deux hommes placés devant moi se retournent souvent pour lui parler … pour lui parler ou pour mater entre mes cuisses ?

Je prends la précaution de garder les genoux bien serrés, mais après avoir bues deux bières ma vigilance faiblit …mes genoux se séparent, les deux gars qui sont devant ne suivent plus beaucoup la compétition, sans me tromper je peux affirmer qu’ils sont père et fils , le même menton volontaire, et regard vicieux qui semble dire : ‘ je te la mettrais bien au cul, salope’ ! et mon regard de leurs faire comprendre : ‘ vous aimeriez bien me baiser , mais vous ne pouvez pas , nananerre ‘ !

Ils examinent mon string rouge qui moule parfaitement les grosses lèvres de ma vulve, sans compter que des poils capricieux doivent déborder de la bande trop étroite, ceux qui sont derrière nous ne se privent pas pour visiter mon décolleté depuis qu’Alain m’a défait deux boutons, petit a petit je commence à apprécier d’être le centre d’intérêt de ces mecs excités qui préfèrent mater mon cul et mes ‘ballons’ ronds a l’ovale qui circule sur le terrain

Adrien s’en aperçois, mais n’en prend pas ombrage, au contraire ça le fait marrer, du moment que sont équipe favorite gagne c’est le principal, a un moment des clameurs montent, des sifflets fusent, des trompettes résonnent, Alain me tire par-dessous le bras

- VITE !! Lève toi et regarde ce qui se passent sur le terrain c’est phénoménal !

Boff ! Je ne vois qu’un groupe de gars fumants de sueur, mais je suis juste devant mes admirateurs qui profitent de la bonne aubaine, ‘ça progresse’, deux mains différentes passent sous ma jupe, mon string malmené et descendu a mis cuisses, des doigts investissent ma vulve, je mouille comme une dingue, hélas l’action prend vite fin sur le terrain, quelle déception lorsque les doigts s’arrachent de ma chatte, les hommes hument et portent leurs doigts a leurs bouches, je me rassoie, mal a l’aise avec ce slip a moitié descendu, mieux vaut le faire glisser vers le bas que de le remonter , je le glisse dans la poche d’Alain qui ne s’en aperçois même pas

L’obscurité tombe sur les gradins, des mains audacieuses en profitent pour caresser mon dos, et même plus bas, hélas, le coup de sifflet final retentit, ‘nous’ avons gagné haut la main, maintenant le plus dur est de quitter l’enceinte et rejoindre le bus du retour, corps contre corps nous avançons dans les couloirs de béton mètres par mètres, des gens crient au scandale

- Pardon, pardon !
- Ne bousculez pas imbéciles, ça n’avance à rien !

D’instinct, je me retourne devinez qui a fait tout ça pour se retrouver derrière moi ? … le père et le fils ! Immédiatement deux mains impossibles à détecter de part et d’autre passent sous ma jupe, cramponnée au bras de mon mari je ne proteste pas, ils testent la fermeté de mes fesses avant de revenir visiter ma moule libre de toutes entraves, dire que c’est agréable, non, car les mouvements de foules nous bousculent, les doigts entrent et sortent constamment

Plus de trois heures de trajet nous attendent, mon mari m’entraine dans le fond du bus, a l’avant dernière rangée de sièges, je suis coté couloir, il règne une ambiance impressionnante, de cris, de rires, de mots grossiers, sans oublier les chansons paillardes !
Nos voisins demandent d’être corrects prétextant qu’il y a une femme a bord, mais Alain rétorque que j’en ai vus d’autres !.

.. depuis que notre voisin m’a baisée ….

- Alain ! Tu exagère ! Ne raconte pas notre vie intime à tous ces mecs a moitié ivres
- Ben quoi ? c’est la vérité

Je ma cale confortablement dans mon siège, dés la sortie de ville il fait noir, le chauffeur a beau demander aux hommes de ne pas encombrer le couloir rien n’y fait, un gars est posté debout a coté de moi si prés que sa hanche pousse mon épaule…sa hanche ? Je suis prise d’un doute …c’est quelque chose de dur et rond qui se frotte a moi …une queue ? Mais oui, c’est bien ça, il bande et se masturbe sur moi a travers le pantalon, j’en fais pars a mon mari qui marmonne d’une voix pâteuse

- Laisse le faire chérie, assume, ne passe pas pour une ingénue
- Je peux le sucer alors ?
- Fait ce que tu veux, mais laisse moi, je m’endors
- Va-y cuve ta bière !

La pression se fait plus forte sur mon épaule, un autre homme s’est il aperçut de la scène ? En tous cas il vient prés de l’autre pour faire écran, et pose une main sur mon genou, personne ne peut voir ce qui ce passe a cette rangée … ça y est je les aie reconnus … le père et le fils du stade….
L’excitation qui me tenait au stade remonte, il fait noir, mon mec dors, ma chatte réclame son dût, j’ouvre imperceptiblement les cuisses lorsque la main remonte et je penche la tête vers la braguette de l’autre, la bosse frotte ma joue, il est dur comme du bois ce membre

Un moment de flottement, l’homme s’est retiré de ma joue, zut ! Haaaaaa, le contact est rétablit …..Mais il n’y a plus d’étoffe entre le membre et ma joue, j’apprécie la douceur et la rondeur du gland qui glisse sur mon visage, même s’il y a des relents de pisse, normal après toutes ces bières il faut bien évacuer, entre mes cuisses des doigts grattent ma chatte, dans mon corsage un sein est sorti de son bonnet, Alain ronfle …. Je me tourne vers la queue et la gobe, a la texture je parierais pour celle du père…Striée de grosses veines, bien moelleuse au toucher, il dose savamment ses coups de reins, les doigts du fils grattent nerveusement les parois de ma moule, le père se crispe et retient au maximum un long râle en déversant sa semence dans ma gorge

C’est finit ? Non, l’homme se penche vers moi

- Lève toi et vient derrière, sur la banquette, nous seront plus a l’aise pour te baiser
- Mais ?
- Ton mari ? écoute-le ronfler !

Comme une automate je vais m’allonger sur la banquette, désertée par les hommes qui font la foire a l’avant, sans perdre de temps le père s’installe entre mes cuisses et me pénètre tandis que le fils me présente sa bite a sucer, la queue laboure méthodiquement mon vagin, le fils pétrit mes seins sortis de leurs bonnets et se laisse sucer, trop excité pour se contrôler il décharge en une minute, soudain j’entends murmurer …

- Hé les gars ! Venez voir ! Y’a la femme d’Alain qui se fait baiser !
- C’est vrai ? Hoooouuuuaaaa ! ont va se la faire nous aussi y’a pas de raison, surveillez son mari ….

Celui qui me baise est prié de faire vite ….effectivement, il jouit dans mon con, aussitôt remplacé par un autre… et un autre prend possession de ma bouche …je n’ai pas comptées les queues prises dans la chatte et dans le palais pendant le reste du trajet, j’ai le ventre et l’estomac saturés de foutre, dans le fond du bus il règne une odeur âcre de baise, je ne peux cacher a Alain, qui vient de se réveiller, mes cheveux sont collés par le sperme, mon corsage taché, sans parler de mon entrecuisses poisseux …il me dit simplement …

- T’es une belle salope, mais je t’aime ! ….