Expériences

Expériences,
Depuis longtemps la vue de mon épouse blonde aux yeux bleus en mini jupe et top moulant sans soutien-gorge me faisait fantasmer au vu des regards qui convoitaient ses formes. Je découvris avec passion que l’insistance de ces voyeurs malgré eux ne me laissait pas indifférent et qu’à l’occasion mon épouse profitait de certaines situations pour en montrer un peu plus. Elle avait en effet remarqué mon intérêt pour ces situations et m’avoua qu’elle y trouvait un certain plaisir qui se traduisait par des tétons exacerbés sous son top et une chaleur intense entre ses cuisses.
Nous décidâmes donc de pousser un peu plus loin les exhibitions au fur et à mesure des rencontres, pas toujours fortuites car il fallait que le ou les mecs qui la mataient aient un physique qui bien évidemment lui plaise. Attablés en terrasse elle ne manquait aucune occasion de jouer avec ses jambes dés qu’un mec lui plaisait, croisant, décroisant, ouvrant plus ou moins largement ses cuisses jusqu’à écarter carrément son compas afin que le regard inquisiteur de celui qu’elle venait de coincer face à elle puisse par-dessous la table ou par coté entrevoir le fruit mur. Pas besoin de discours, je comprenais vite par le regard qu’elle me faisait et par la dureté de ses tétons qui ne passaient pas inaperçus au travers du petit top rose à fines bretelles, qu’elle faisait mouche et que la chaleur de son entrecuisse la titillait. Aussi par des déhanchements j’essayais de voir moi aussi ce que le mec, que j’avais à quelques pas dans mon dos, pouvait entrevoir quand ce n’était pas voir étalé au grand jour, l’intimité de son minou protégé par un string et, lorsque le lieu permettait ces excès, par le peu de fréquentation de l’instant ce qui permettait d’isoler un homme intéressant et intéressé sans offusquer personne, elle tirait sur son top vers le bas afin qu’affleurent ses pointes tendues en limite de l’évasion. Dans ces occasions je découvrais que mon membre prenait des dimensions plus importantes qu’à l’accoutumé et elle su en profiter maintes fois
.

Au début la suite se passait entre nous deux et pendant que mes mains finissaient de l’émouvoir nous parlions de ce qui aurait pu se passer, de l’approche d’un intéressé, par une main malencontreusement passée aux fesses dans un escalier, par l’étreinte des bras la ceinturant par derrière par surprise en lui prenant les seins sans voir celui qui osait et ainsi elle atteignait des sommets dans la jouissance en imaginant toutes ces situations qui la mettaient en ébullition. Au fur et à mesure de ces fantasmes à haute voix il devenait certain que le premier qui lui passerait une main entre les cuisses ou qui lui chopperait les nichons par derrière aurait toute liberté de continuer à lui ploter son 90b et finirait entre ses cuisses sans qu’elle ne l’en empêche. Son état d’excitation serait tel à ce moment là qu’elle ne pourrait contenir ses pulsions.

Un jour j’eu la surprise de constater qu’elle était plus timide que d’habitude, cela faisait au moins un quart d’heure qu’elle s’exposait à un beau brun, ouvrant quelques boutons de son chemisier jusqu'à laisser voir la naissance et une grande partie de ses seins que l’échancrure du chemisier ne cachait plus avec toujours les tétons en limite de l’échappée. Mais bizarrement ses jambes restaient un peu immobiles, juste croisées pour attirer la convoitise, en limite de la décence. J’ai été obligé d’insister d’un hochement de tête pour qu’elle commence à ouvrir un peu ses cuisses, ce qu’elle fit très lentement en rougissant, découvrant e plus en plus de chair que la mini jupe ne pouvait plus camoufler. Son visage était rouge écarlate et ses seins devenaient impudents tellement ils se gonflaient feignants de sortir du chemisier, mais vu l’insistance de mon regard elle écartât les cuisses de plus en plus au fur et à mesure des mes signes discrets pour arriver à une position qui ne cachait plus rien, mais surprise, plus rien du tout car elle était nue sous sa jupe et son minou épilé s’offrait au regard de l’autre, son minou qui brillait de l’humidité qui ruisselait de son antre, son minou offert cuisses écartées au regard du brun qu’elle fixait du regard en savourant l’état qu’elle provoquait chez notre lui.

Celui-ci ne tint pas longtemps, deux trois minutes et quitta sa table pour disparaitre sur les trottoirs de la ville, le « con » ! s’il avait osé, s’il avait tenté une approche, si seulement il s’était dirigé vers les toilettes du bar, j’aurai osé je crois, demander à mon épouse de l’y rejoindre, elle était dans un tel état que cela n’aurait pas été difficile de la convaincre de le suivre pour…tout défilait dans ma tête, pour quoi faire ? Qu’aurait elle fait, jusqu’ou serait elle allé ? Cette fois là resta dans nos délires quelques semaines avant que…

Voilà comment le désir des autres envers le corps de ma femme fut le début de beaucoup d’expériences.
A suivre

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