Ma Robe Légère
Cest bien pour lui faire plaisir. En partant je lui montre que je nai quune légère robe sur moi. Je reste immobile sur mon siège pendant quil conduit un peu vite à mon gout. Malgré ma volonté je me découvre un peu les jambes : il fait chaud. Jespère quil se dirige vers une grande forêt : jaime me mettre nue entre les arbres, mappuyer sur un tronc quand je trouve le bon endroit, attendre sa demande pour me caresser comme jaime.
Je sens bien les caresses de lair sur mon corps, particulièrement sur les fesses et la chatte. Je trouve un tronc couché. Je my installe à cheval. Cest plus excitant que les autres fois. Il me regarde puis lui aussi se déshabille. Vers la fin, il tourne le dos. Je vois ses fesses quand il enlève son caleçon. Je devine à peine sa queue. Je sais quil bande : tant mieux, jaime la voir grosse, prête à me baiser. De voir ses globes me donne envie quil vienne entre mes fesses. Jaime bien le sentir là sur lanus. Pour moi cest plus excitant que lavoir devant mon sexe qui pourtant est fait uniquement pour ça.
Tu sais, me dit-il, je tai préparé une surprise.
Tu veux me baiser et menculer avec un gode ?
Mieux que ça : je te donne à une autre fille.
Je nen veux pas, je veux uniquement ta bite.
Vous vous la partagerez.
Il me retient par les épaules : sa queue balance contre mon visage. Je sens à ce moment des mains sur mes seins. Les caresses sont habiles. Je lève la tête pour voir qui se permet de me toucher ainsi. Cest une fille qui parait avoir mon âge : 25 ans. Elle est aussi nue que moi. Je sens ses lèvres sur ma joue. Ce nest pas un simple baiser, elle me lèche doucement. Jen frémis de plaisir. La bouche passe sur le cou, descend encore vers mes seins. La voila qui aspire mes tétons. Elle me les fait bander. Et lui ? Il moublie pour mabandonner à cette fille.
Il mavait dit, il y a déjà quelques jours quil voulait que je baise avec une autre.
Je me laisse aller sur mon tronc en mallongeant presque. Jai conservé mes cuisses ouvertes. Sa bouche continue de membrasser les seins. Une main vient sur le ventre. Je me tends vers elle. Elle caresse le pubis : je mets ma main sur elle comme pour approuver ce quelle entreprend. Je sens un doigt sur la fente, lécarter, sécraser un peu sur mon bouton qui doit bien bander.
Elle passe en semblant ignorer le clitoris. Elle va plus bas. Mes lèvres la laissent passer. Cest doux de sentir son doigt là ou je ne mets que les miens. Ca y est, elle entre dans mon intimité. Je suis mouillée à lextrême. Javais peur que ses ongles longs me fassent mal. La pulpe des doigts est contre mon ventre. Elle me baise comme jaime. Jaccepte son désir de me masturber.
Elle me branle mieux que je le fait. Je suis crispée, je sens venir le moment important que jaime : je vais jouir, pas comme les autres fois, ni avec une bite, ni avec mes doigts. Elle lime mon sexe. Ah, elle sait bien branler. Je sens aussi un doigt venir sur le petit trou. Il faut que je force pour quelle y entre un peu.
Ces doigts mont quitté. Dommage je venais de jouir jen avais encore envie. En ouvrant les yeux je le vois pencher son visage vers moi, vers mon ventre. Je sens son souffle sur le pubis. Jespère quelle va me lécher. Non, elle se retourne, me montre sa fente près du visage. Jen sens lodeur particulière. Elle caresse son ventre sur ma bouche pendant quelle pose la sienne sur le monticule den bas.
Mais mon amant ? Que fait-il ? Il se branle en me regardant, il attend, chose qui métonnerait, il se prépare à venir visiter un con ou un cul ?
Je vois sa queue bien dure venir vers le cul de mon amante. Je passe vite fait ma langue dessus pour le mouiller à peine, je dirige la bite de mon type vers le cul dune autre, par nimporte quelle autre : mon amante du moment.
Quand il me laisse, je vois quil serra sa bite avec sa main. Une toute petite goutte de sperme séchappe. Il vient sur ma bouche, lâche la pine et laisse couler le sperme dans ma bouche. Je ne suis pas jalouse, je vais donner sa part à notre amante qui me lèche les lèvres, me donnant envie de recommencer avec elle. Elle aussi a es envies :
Baisons encore toutes les deux.
Oui, je te veux.
Nous ne pouvons plus rien dire dintelligible : nos langues sont très occupées à embrasser, lécher, avaler. Pourtant sans rien dire nous nous occupons de la bite de notre amant : nous navons pas de gode pour le remplacer. Miracle, il bande à nouveau. En lui caressant les couilles il durcit encore.
Nous le mettons sur le dos, je vais sur sa bouche, il me lèche le clitoris et le reste du con, même un peu le cul. Elle est assise sur son bas ventre. Je vois la queue entrer dans le con baveux de notre amante. Je peux ajouter ma main sur elle en caressant la partie délaissée. Je serre les fesses plusieurs fois en jouissant. Elle aussi.
Le vent fait bouger les feuilles des arbres sur nous. Nous restons immobiles après nos multiples orgasmes communs.
Je remets ma robe légère : elle reste nue pour partit vers la ferme la plus proche.
Nous repartons avec lintention de revenir. Cest sur, demain nous chercherons cette jeune femme, moi surtout qui ai découvert des délices nouveau entre femmes.
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