Initiation
PREMISSES
Nous avons commencé Paul et moi a faire de léchangisme il y a 20 ans, javais alors 38 ans , puis par gout commun nous sommes passés au triolisme . Je préfère me retrouver seule avec deux hommes rien que pour moi seule , quant à Paul il aime me voir dans les bras dun autre en train de jouir .Je ne me souviens plus comment Paul avait trouvé cet hôtelier il y a quelques années . Peut être par Internet ou par annonce. Un jour Paul me dit « nous sommes invités ce week end par Claude , il possède une auberge sur les hauteurs de Valence , nous pourrons y faire de la randonnées » . Je savais pertinemment que nous ny allions pas que pour faire de la randonnée . Nous sommes arrivés un vendredi soir . Il y avait peu de monde au restaurant . Claude un homme de 50 ans nous accueillit et se présenta comme le gérant et le cuisinier de lhôtel . On nous servit un excellent repas . Vers 11h du soir alors quil ny avait plus personne dans la salle , Claude nous rejoignit . Il apporta une bouteille de champagne et nous avons commencé a discuter de tout et de rien . Une demi heure plus tard la serveuse et lemployé aux cuisines quittèrent le restaurant . Claude nous indiqua quil ny avait personne a lhôtel et se proposa de nous faire visiter les chambres situées dans une tour . Son regard était de plus en plus pressant sur moi et sans équivoque . Paul a mi voix me fit comprendre que Claude voulait me voir plus intimement . Je men étais douté un peu ! Il me fit passer devant lui pour monter dans la tour ou se trouvaient les chambres . Lescalier était en colimaçon , je men souvient très bien . Jétais la première , Claude me suivait , Paul fermait la marche .Alors que nous montions les marches , je sentais a travers ma robe le regard concupiscent de Claude . Nous sommes arrivés à lune des chambres , Claude me dit alors « déshabille toi ma belle » . Paul me fit comprendre que je devais mexécuter . Après mavoir un peu caressée , Paul me lécha longuement comme il le fait à chaque fois que nous rencontrons un partenaire , très vite je me mis a jouir .
Après avoir passé une nuit courte mais au sommeil réparateur , Claude vint de nouveau me retrouver dans la chambre , alors que Paul était déjà descendu prendre son petit déjeuner . « Allez ma belle on y va « dit il un peu vulgairement. Il me présenta sa verge et me fit comprendre que je devais le sucer. Je le fis avec application, engloutissant tour à tour sa verge , puis ses couilles . Il bandait comme un taureau en rut. Je mappliquait à monter et descendre ma langue le long de sa hampe , mattardant sur son gland. Il me fit mettre en levrette et me baisa de nouveau cette fois avec plus dapplication, au moment déjaculer je lentends encore dire « je me vide les couilles en toi salope » .
Nous sommes reparti le samedi soir après le repas . Alors que nous roulions je demandais à Paul ce quil avait payé . « Rien « me dit il « Cest toi qui a payer avec ton corps , dailleurs notre ami a été satisfait de tes services et il ma chargé de te donner cela » dit il en me tendant, je ne me souvient plus du montant , quelques billets deuro.
Je crois avoir eu a ce moment une bouffée de chaleur , jétais honteuse et jen voulais à Paul . « Jai honte et je te hais » je crois lui avoir répondu .
Alors que nous arrivions à quelques kilomètres de chez nous , Paul sest arrêté dans un chemin a labri des regards et des phares de voitures .
Par la suite nous avons continué a rencontrer dautres partenaires masculins jusquà ce que lun dentre eux souhaita me revoir seule . Je lui avais laissé mon numéro de portable. Lorsquil me rappela quelques semaines plus tard jhésitai à le rencontrer , jen parlai à Paul qui bien sur mencouragea à le faire . Je ne sais pas ce qui ma pris lorsque je lui ai téléphoné, mais je me souviens lui avoir dit « daccord je viens seule , mais je souhaite une attention de ta part » Interloqué il fit comme s il navait pas compris .Dans mon esprit je pensais à une lingerie ou un parfum. Je lui ai réitéré ma demande . Je lentends me dire alors « Tu es une pute, tu veux de largent » . Excitée à ces mots et sans contrôle je lui répondis « oui » . Cet instant de folie aurait pu être sans suite, cétait sans mesurer combien Paul fut ébranlé par mon culot pour ne pas dire mon inconscience .
Virginie
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