La Démonstration
Ce qui devait arriver arriva, Dominique, ma femme, a lu mon histoire ( voir 21/03/2014 plombier et chef de service)
Un peu lâche, il faut bien avouer que je lavais écrite pour quelle soit lue par elle, je nai pas osé lui dire en face que je lavais trompé et que cétait pour la bonne cause.
Depuis cest lhôtel du cul tourné, je la comprends mais maintenant ça fait un bon moment que ça dure. Nous sommes un couple libéré, je ne pensais pas que ça prendrait une telle tournure jusquà lautre jour où revenant du marché elle dépose sur la table outre les courses, cinq ufs « Kinder surprise ».
Etonnement, scepticisme de ma part, quest ce que ça signifie.
« Tu comptes faire un cadeau à tes neveux, ils ont passé lâge et tu le sais bien ( voir la leçon danatomie). Tu veux faire quoi avec ça, ce nest même pas la période de Pâques ? »
« Je veux vérifier par moi-même si tu ne ma pas menti avec lhistoire de ta petite pute de chef ».
« Je tassure lhistoire est on ne peut plus vrai, elle était coincé de larrière train ».
« Ne te méprends pas sur mes intentions, je nai pas encore tout pardonné, je voudrais seulement faire une expérience. Ce soir tu me carres dans lanus les cinq étuis jaunes des jouets Kinder, puisque tu dis que cest le nombre que ta salope de supérieure avaient dans le rectum ».
Tiens, tiens ça devient intéressant, je retrouve ma Dominique. Elle fait la sévère mais il nen est rien.
Le soir venu, je la retrouve debout devant le lavabo, le cul en arrière, les fesses bien écartées.
« Je me suis déjà enfoncé trois capsules mais ça devient pénible, soit ta pouffiasse nen était pas à son coup dessai, soit tu ma menti avec ton histoire dévacuation ».
« Combien de fois il va falloir que je te dise que tout est absolument vrai, tu veux que je finisse le boulot ? »
« Il en reste deux, essaie de les faire rentrer, jai déjà lubrifié ».
En mapprochant je vois du jaune à lintérieur de son petit trou pas tout à fait refermé.
« Bien sur, jai mangé les ufs en chocolat et jai une tendance à la constipation, cest peu être pour cela que ça ne rentre pas si bien que je laurais cru. Dans le cas de ta chefaillon, son trou de balle était vide et elle a pu le remplir sans trop de problème, ses déjections sont venues se coller derrière le faux god. Et maintenant, cest au tour du tube daspirine en plastique, tarrêtes si ça se passe mal, jai des doutes quil puisse encore entrer ».
Dès que je commençais à introduire lobjet, ses fesses se couvrirent de chair de poule et par gestes elle me fit signe de continuer. Ca y est il est entré, son anus ne sest pas refermé immédiatement mais cétait en bonne voie.
« Je ne pensais pas que ça aurait pu être possible, ça me fait comme quand je suis pas aller chier pendant un certain temps et cette chose na pas lair de vouloir ressortir. Viens tasseoir dans la cuisine ».
Elle avait toutes les peines du monde à marcher et pour sasseoir ce fut le martyr, je sentais bien quelle avait mal.
« Tes descriptions des difficultés provoquées par le fait davoir quelque chose dans loignon ont lair vraies, je commence à croire à ton histoire, mais pas question que je garde ça deux jours je ne pourrais pas aller travailler, viens on va essayer dévacuer ça ».
Elle se couche sur le canapé les fesses sur laccoudoir, exactement comme Elizabeth. Je prends le même angle de vue ( la vue nétant pas tout à fait la même, ma femme ayant un popotin plus imposant et plus velu que celui de ma chef, si Elizabeth achète des culottes « petits bateaux » ma femme aurait plutôt tendance à acheter la taille « paquebot »)
« Sans que le tube se retourne sest quand même difficile dextraire tous ces objets, aide moi avec tes doigts » me dit elle.
Et je lui farfouille le ptit trou, lhistoire se répète. Elle pousse et le tube ressort sans difficulté, le reste suit par à coup, les Kinders sont englués dans la merde qui sest formée autour, le dernier est suivi dun petit boudin qui tombe dans la cuvette et comme la dernière fois lair se précipite à lintérieur.
« Alors, tu vois que cest en tout points conforme à ma description ».
« Javoue que je suis bluffer, tout correspond » me dit elle en évacuant des pets éclaboussants. Lair ressortait. « il y a une chose qui nest pas semblable, il me semble que tu ne bandes pas ».
« Lémotion, sans doute, la peur que tu ne me crois pas, et pourquoi bander puisque tu ne veux plus de moi ».
« Qui ta dit ça. Cest vrai javais lintention de te punir. Mais me mettre ces choses dans le troufignion ça ma fait de leffet, tu ne vois pas que je mouille, gros bêta »
Leffet fût immédiat, jétais au garde à vous, pantalon baissé en moins de deux, javais sa fente humide à portée de queue et sans poser plus de question je mintroduis en elle, ce qui la fît râler de plaisir (il y avait si longtemps que nous attendions ça).
Dominique me dis alors « encule moi »
Je continuais mes aller retour dans son sexe de plus en plus humide, je pensais ne pas avoir bien entendu et je ne voulais pas rompre le charme.
« Tas entendu ce que je viens de te dire, encule moi. Tu nauras aucune difficulté après ce que je viens dextraire de mon cul ».
Javais bien compris et dun trou je passais à lautre et sur la lancée ce fut une fois dans le cul une fois dans le con et ça ne pourrait pas durer bien longtemps.
« Tu veux que je tarrose où »
« Sur le ventre mais fais vite, je suis prête à veniiir. Ah ça y est je viieens !!! »
En même temps je déchargeais sur son pubis poilu et maffalait sur elle.
Ouf, je pense que jétais pardonné.
Toujours enlacés lun sur lautre elle me dit :
« Ca métonnerais que ton Elizabeth ai pu tenir 2 jours avec ce quelle sétait fourrée dans le cul, elle aurait eu le réflexe incontrôlé dévacuer.
« Ah, tas peut être raison, je ny avais pas pensé »
Oh si que jy avais pensé et ce furent deux moments bien agréable, un avec ma chef, lautre avec Dominique, mais il ne faut pas le lui dire, elle le saura bien assez tôt.
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