Peinture À Domicile - 2
Nous nous sommes réveillés quand la nuit tombait.
Nous avions faim et dans la cuisine, nous avons vite trouvé de quoi lapaiser.
Assis à table, nous nous regardions, et nos pensées se croisaient, pleines encore de nos premiers ébats.
Une fois rassasiés, jai pris ma peintre par la main.
Jai voulu la conduire dans ma chambre.
- Attends-moi, je reviens, ma-t-elle dit.
Elle est allée dans la salle de bain.
Jai entendu la douche couler quelques minutes.
Elle est revenue enroulée dans une grande serviette et nous sommes allés sur le lit.
Je lai mise à poil, et moi aussi.
- Je veux te prendre, ma jolie, tu mas donné faim de ton corps.
- Je te veux en moi, je vais te préparer.
Elle ma caressé le corps, a pincé gentiment mes tétons, ses mains dans mon dos, sur mon ventre, sur mes jambes, puis progressant vers ma queue qui recommençait à se dresser.
Elle ma pris dans sa bouche pour finir de me raidir.
Elle sest positionnée sur le dos, les jambes en lair, sa queue molle reposant sur son ventre.
- Je suis clean du HIV. Viens, baise-moi, je veux ta queue nue dans mon cul.
Ses mots crus, soudain, ont fini de mexciter.
Jai approché ma queue de son anus.
- Enfonce-toi, naies pas peur, je naurai pas mal, jaime ça, et je suis toute propre dedans.
Alors je lai pénétrée.
Cétait la première fois que jenculais quelquun, homme ou femme. Jétais hyper excité.
Jai posé mon gland sur son illet. Jai poussé et mon gland sest trouvé emprisonné, enserré par son anus.
- Prends-moi, à fond, encule-moi bien.
Je me suis enfoncé dans son cul, profondément, regardant ses yeux qui indiquaient son plaisir, son sourire qui mencourageait, ses seins qui palpitaient.
Et sa queue, qui allait de part et dautre pendant mes assauts.
Je lai limée longtemps, ma queue restait bien dure.
Elle a commencé à gémir de plaisir, et ses petits cris de femme me revigoraient, me donnaient lénergie de la bourrer tant et plus.
Au bout dun moment, elle a saisi sa queue pour se branler pendant que je lenculais.
Jai accéléré mon mouvement, son cul me serrait, elle tenait son membre à moitié érigé.
Au bout dun moment, elle ma demandé de sortir. Elle sest mise à quatre pattes et ma présenté son cul.
- Baise-moi fort maintenant, encore plus fort.
Jai pris ses hanches, ai pointé mon chibre, et je lai enculée de toute mon excitation.
Elle reculait vers moi à chaque coup de hanche, pour être bien pénétrée.
Je nosais rien dire, mais javais très envie de lui dire des mots cochons.
Cest elle qui ma libéré.
- Salaud, jaime que tu me défonces la chatte, je suis ta chienne en rut, baise-moi bien, je veux ton jus dans mon cul.
- Tiens, salope, voilà pour toi, me suis-je entendu dire, moi dhabitude si prude en amour.
A ce petit jeu, mon pieu enfoncé régulièrement dans ses fesses accueillantes, jai bientôt éjaculé à nouveau, lui remplissant les boyaux de mon foutre.
- Mmmm, jaime comme tu me prends, mon homme, a-t-elle gloussé.
- Jaime ton cul, ma cochonne, mais je veux que tu jouisses aussi.
- Comment veux-tu me faire jouir ? Veux-tu me sucer, ou veux-tu moffrir ton cul toi aussi ?
Holà, je navais pas pensé à ça jusque-là, en tout cas pas distinctement !
Mais je crois quau fond de moi sommeillait aussi lenvie de me faire prendre, dêtre un peu femme moi aussi, de connaître le plaisir dêtre pénétré.
- Je te suce, et après tu mencules. Mais cest ma première fois, tu seras douce.
- Je serai ta femme aimante, comme si javais un gode-ceinture, mais en beaucoup plus doux !
Je me suis agenouillé par terre, elle assise au bord du lit.
Je lai prise en bouche, et jai senti sa tige durcir entre mes lèvres.
Puis elle ma relevé, a sorti de son sac un tube, et ma préparé.
Elle a posé une noix de gel sur mon illet, a commencé à me masser pour assouplir les sphincters.
Puis elle a insinué un doigt, le faisant tourner pour élargir peu à peu laccès.
Au bout dun moment elle ma dit :
- Viens, je vais te nettoyer le conduit en te mettant le jet de douche dans le cul. Cela tassouplira un peu aussi.
Dans la douche, elle ma massé encore, a saisi la douche et a dirigé le jet sur mon cul.
- Tu es tout propre maintenant, je vais te baiser, mon homme.
Jétais à la fois inquiet et excité. Elle ma ramené dans la chambre, et ma allongé sur le dos, les fesses au bord du lit rehaussées par un oreiller.
- Tu as un cul mignon, tu sais, je crois le plus beau que jai jamais vu de si près.
- Tu me flattes !
- Cest vrai, et je vais en prendre bien soin.
Elle a posé à son tour sa queue à lorée de mon cul.
A poussé. Tout doucement.
Jai senti le gland passer ma porte.
Elle sest arrêtée, le temps que je mhabitue à cette sensation un peu douloureuse au début.
- Vas-y, ai-je lâché, je te veux en moi.
Elle sest enfoncée lentement mais sans sarrêter avant que ses couilles ne tapent mes fesses, et sest arrêtée.
Javais le souffle un peu coupé de cette introduction si nouvelle pour moi. Là aussi, mes chairs écartées se sont habituées à cet inconnu.
Quand elle a senti que je me détendais, elle a commencé à me limer.
Et là, jai ressenti un plaisir jamais imaginé.
Jaimais avoir une bite dans le cul. Jaimais sentir ce membre menvahir, encore plus que quand je lavais sucée la première fois.
Elle me branlait en même temps, et bien que ma queue restât molle, jappréciais cette caresse.
Elle a accéléré son rythme, et moi je me laissais envahir par ce plaisir nouveau. Et je me suis senti devenir chienne à mon tour, lui demandant de menculer bien au fond, de baiser mon cul avec force.
Et elle :
- Tu es mon homme, et je tencule
- Tu es mon homme, et jaime te donner du plaisir en te baisant
- Tu es mon homme, et jaime que ma queue te ramone le trou de balle
- Tu es mon homme, et je veux te voir jouir par mon membre en toi.
Et elle me pilonnait tout en me branlant.
Et pour la première fois, jai compris ce que voulait dire jouir sans bander.
A force de me pénétrer, elle a fini par me faire jouir. La queue molle, je voyais ce quil me restait de semence sortir de ma queue. Je criais de plaisir.
Au dernier moment, elle a sorti son sexe de mon cul et ma aspergé de son jus, le mélangeant avec le mien sur mon ventre.
Elle sest agenouillée, et sest mise à laper la petite flaque, en me regardant droit dans les yeux, pleine de douceur.
- Tu es mon homme. Je veux rester avec toi.
Depuis, sur ma boite à lettre, il y a son prénom.
Son nom, cest le même que le mien maintenant.
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