La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°274)
Suite de l'épisode N°259 - Mary au château -
Les cinq minutes étaient écoulées... La porte s'ouvre donc, Walter cédant le passage à Monsieur le Marquis menant toujours Mary en laisse. La soumise progressait d'une façon plus féline, on la sentait plus à l'aise qu'un peu plus tôt. Manifestement, elle avait trouvé sa place et se complaisait dans cette position servile qui faisait d'elle une belle chienne, apprenant à évoluer dans sa position naturelle, à quatre pattes derrière son Maître...
De son côté, Hervé faisait les cent pas dans le salon, l'air visiblement excité. Il s'immobilisa, serrant les poings, et fit face au Marquis, ne pouvant s'empêcher de baisser les yeux vers sa femme qui venait de s'immobiliser aux Pieds de son Maître et qui se tenait accroupie sur ses talons, dans une position tellement avilissante qui ne faisait qu'exhiber plus encore son intimité via sa nudité. Hervé bouillait intérieurement, mais il n'osait pas vraiment se confronter au Marquis dont La Noble attitude et la stature l'impressionnaient, sans compter la présence toujours dissuasive de Walter un peu en retrait.
- Alors Hervé, qu'avez vous décidé ? s'enquit calmement Le Marquis, allez-vous satisfaire ce souhait de mon esclave ? Et de votre épouse, puisque notre Mary cumule ces deux états.
Et d'un main leste, Le Noble tapotait la nuque courbée de Mary qui, dans un réflexe vint coller son visage à la cuisse de son Maître
- Voyez comme elle a su adopter l'attitude qui convient à sa nature, poursuivait Le Marquis en regardant Hervé droit dans les yeux, elle est aussi chienne que chatte, délicieuse chatte, d'ailleurs, aussi lisse que je l'avais exigé d'elle...
Hervé fusillait son hôte du regard :
- C'est... c'est pour ça qu'elle s'est rasée ! Moi qui croyais..., il ne put poursuivre,
- Qu'elle l'avait fait pour vous ? s'inquiète avec amusement Le Marquis, désolé de doucher ainsi vos illusions, mais c'est l'une des premières exigences que J'impose à Mes femelles.
- Je veux parler à ma femme !", trépigna Hervé
- C'est lassant, soupira Le Marquis..., mais je puis concevoir que vous deviez vous imprégner de la réalité de cette situation...
Tirant sur la laisse, il força Mary à se redresser. Elle se tenait maintenant debout face à son époux.
- Je te permets de parler, dit haut et fort le Marquis en tapotant la croupe saillante de Mary qui se redressa, bien droite, les seins fermes et tendus. Elle faisait face à son mari
- Je t'écoute, dit-elle, puisque mon Maître me le permet
- Mais tu te rends compte ! fulmina Hervé..., tu te rends compte que c'est ridicule ! Mais qu'est-ce qui t'arrive !? Qu'est-ce qu'il t'a fait ? Vient et partons, cela suffit !
- Décidément (Mary soupira) je ne partirai pas. J'appartiens à Monsieur Le Marquis dEvans, je suis son esclave et je ne prends aucune décision qui ne soit dictée par Sa Volonté. Si tu veux que je demeure quand même ton épouse, alors il n'y a qu'une option... que tu sois sodomisé devant moi, maintenant. Sinon, tu peux partir, je resterai auprès de mon Seigneur et Maître et nous ne nous reverrons que lorsqu'il daignera y consentir
- Mais...
Hervé fut interrompu par la voix maintenant glaciale et autoritaire du Marquis :
- Cela suffit ! Toi, aux Pieds (intima-t-Il à Mary qui obéit instantanément) Et vous, deux options : Réaliser le souhait de ma chienne, ou quitter les lieux. Ma patience et mon hospitalité atteignent leurs limites, alors décidez vous !
Hervé ne pouvait détacher son regard de celle qui était sa femme, mais qui avait choisi délibérément, de devenir une soumise esclave, une femelle soumise mais pas à lui ! A un autre ! Mais il aimait cette femme et puis... il ne pouvait pas nier que la voir, là nue, tenue en laisse, il ne l'avait jamais trouvée aussi belle ! Et quelle ne fut pas sa propre surprise de sentir sa verge grossir dans son pantalon.
- Alors, votre choix ? s'enquit le Marquis d'un ton sans réplique un long silence...
- Je
Ja
heu
J'accepte, parvint enfin à bredouiller Hervé... d'accord, puisque Mary le souhaite tant, puisque cest son fantasme, je... enfin... oui... d'accord, j'accepte de me faire prendre devant elle, dit-il résigné et mécaniquement, en baissant les yeux.
- Voilà qui est une sage décision ! se réjouit Le Marquis, vous ne perdrez pas votre épouse, je vous en fais la promesse. Mary vous aime, dois-je vous le rappeler, et donc je lautoriserai de rester votre femme et votre couple sera sauvé ainsi que votre vie familiale avec vos s ... Elle aura droit à une vie vanille normale et seulement quand je la contacterai quand bon me semblera, quand je la sifflerai comme je siffle mon labrador, devrai-je dire, elle devra au plus vite me revenir à Mes pieds
Il vous faudra accepter cela
Ce que vous venez daccepter vous engage à accepter aussi sa pleine soumission avec Moi
. Etes-vous daccord à tous cela ?
- Heu
Si cest le souhait le plus cher de Mary
Oui
je
je laccepte, dit-il encore une fois vaincu.
Tendant la laisse à Walter, Le Marquis se dirigea vers Hervé qui ne bougeait plus... Et pendant que Walter menait Mary jusqu'au billard, le Marquis vint face à Hervé, saisissant son menton entre ses doigts qui se fermèrent comme un étau
- Eh bien, nous allons... vraiment faire connaissance... gagnez le billard, c'est un bon endroit pour y prendre une queue !
En quelques minutes, la scène s'était composée dans le plus absolu silence. Penché sur la grande table de jeu, Hervé dont le Marquis avait baissé le pantalon sur les chevilles et arraché le slip demeurait immobile. Walter avait mené Mary juste derrière lui.
- Lèche bien à fond, n'hésite pas à pointer ta langue aussi profond que tu le peux. Et salive abondamment, ordonnait Le Marquis.
En disant cela il guidait les efforts de sa chienne pour lubrifier l'anus de son mari dont Lui, le Maître allait bientôt prendre possession... Lorsqu'il jugea ces efforts suffisants, Le Marquis claqua dans les mains et Walter tira sur la laisse, menant Mary afin de la faire monter sur le billard. Elle se tenait maintenant à quatre pattes sur le feutre vert du tapis, les reins cambrés, les cuisses largement ouvertes, la croupe tendue... son visage tout proche de celui d'Hervé dont les lèvres tremblait et qui était devenu écarlate... Il eut un soubresaut, Le Marquis venait de saisir son sexe à pleine main
- Je vois que les efforts de ma chienne vous ont bien excité mon garçon... Bien ! Autant que cela ne soit pas qu'une contrainte, s'amusa Le Marquis en relâchant la pression qu'il venait d'exercer sur la verge gonflée de l'homme qu'il s'apprêtait à sodomiser.
Equipé d'un préservatif qu'Il avait abondamment recouvert de lubrifiant, Le Marquis approcha son gland de l'anus qui lui était ainsi offert... Il sentait toute l'appréhension d'Hervé dont le corps ne pouvait réprimer un léger tremblement. Il posa Ses mains sur les hanches du mari, et commença à serrer tandis qu'Il commençait à pousser le bout de Son sexe contre la rosette encore dégoulinante de la salive de Mary. Entre les serres de Ses Mains qui l'avaient saisi aux hanches,le corps d'Hervé se raidissait, l'homme eut un mouvement bien inutile de retrait, coincé qu'il était entre Le Marquis et le bord de la table de billard, Le Marquis accentua la pression de Ses mains et dans le même temps, poussa Sa Verge tendue comme un arc d'un violent coup de reins... Hervé se cambra, poussa un cri, tandis que son cul était pour la première fois de sa vie pénétré... le Marquis dEvans le maintenait d'une poigne d'acier et Son sexe commençait à aller et venir dans le fondement lubrifié de l'époux qui se cambrait sans pouvoir réagir.
Hervé serrait le bord de la table à s'en faire blanchir les phalanges et poussait de petits gémissements plaintifs tandis que les coups de boutoir réguliers du Marquis le forçaient à s'ouvrir malgré ses tentatives de serrer un peu son anus... Malgré lui, il s'ouvrait. Le Marquis dEvans sentait que malgré la tension, Hervé peu à peu se relâchait. Le Seigneur prenait un rythme lent, il fallait que celui dont il brisait autant la volonté que la virginité accepte petit à petit ce qu'il subissait, qu'il s'abandonne... Et Le Noble savait parfaitement s'y prendre, il allait et venait dans le cul d'Hervé tout en douceur, imposant Sa Virilité autant que Sa Volonté... face à elle, Mary contemplait cet homme, son mari quelle aimait, qui grimaçait tandis que Celui qui avait fait d'elle Sa chose, le pénétrait et le possédait pleinement, profondément... Elle regardait son mari en lui souriant, elle aimait le voir ainsi, elle savait que ses sentiments pour lui demeureraient, mais qu'il devait comprendre que plus jamais les choses ne pourraient être comme avant... elle aimait qu'il ait choisi d'être enculé, pour elle et par Lui... ainsi il la rejoignait sans l'offrande absolue de leur couple. Elle était devenue l'esclave du Marquis, elle ne pouvait plus imaginer son avenir autrement que sous Le Joug inflexible de Ce Maître qu'elle vénérait... il fallait que Hervé comprenne, qu'il accepte et qu'il la rejoigne dans cet univers, dans cette dimension nouvelle qui s'ouvrait devant eux et elle était convaincue que désormais, ils pourraient aller de l'avant sans plus jamais regarder en arrière.
Les pensées de la belle esclave furent interrompues par un râle d'Hervé... Mais un râle de
plaisir ! Ce qui néchappa au Marquis qui venait d'accélérer son va-et-vient, Il poussait plus fort et plus loin, pénétrait au plus profond, prenait, possédait, s'imposait... et Il sentait sous lui que l'attitude d'Hervé avait changé. Il ne tentait plus de Lui échapper, il commençait à s'abandonner, il ne serrait plus son orifice, il l'offrait... le soulevant presque, Le Marquis s'enfonça plus encore dans le cul d'Hervé et ordonna à Sa chienne :
- Embrasses le ! ... Mary comprit immédiatement ce qui lui était ordonné et colla son visage à celui de son époux qui gémissait de plaisir... leurs lèvres se collèrent, leurs langues s'emmêlèrent. Ils échangeaient leur plus fougueux baiser lorsqu'un ultime coup de reins fut accompagné d'un rugissement du Marquis... Hervé poussa un dernier cri de bien-être et s'effondra tandis que Le Marquis se retirait et contemplait la scène... Hervé, cul nu et ouvert, effondré sur le large billard, face à Mary, toujours à quatre pattes sur le tapis de billard, penchée sur son époux... Le Marquis Edouard d'Evans appréciait cette scène, ce moment, les perspectives que cette situation nouvelle ouvraient pour Lui, pour sa belle chienne et pour ce mari qu'il venait de déniaiser...
(A suivre
)
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