La Voisine
Cest avec mon permis de conduire en main, que je monte les marches, quatre à quatre, heureux daller lannoncer à ma famille. Jai du mal encore à me faire dans lidée que je peux dorénavant conduire une voiture. Je suis tellement joyeux, que jen fais part à ma voisine du haut, la croisant sur les même marches.
- Mais cest bien
bravo Alain ! Me dit-elle. Cela tombe bien je mapprête justement à aller au jardin ramasser les cerises, et vois-tu, jai très envie de me faire conduire.
- Si jai bien entendu
vous
vous voulez que je vous y conduise
que je prenne le volant !
- Tu as parfaitement entendu !
- Cest que
je ne sais pas si je pourrais
- Mais oui, tu le peux. Je te propose, que tu ailles sur le pas, apprendre la nouvelle à ta famille, quant à moi, je tattends dans la voiture. À tout de suite
Chez moi, seule ma mère est présente. Elle en a des larmes aux yeux en apprenant la nouvelle. Ceci fait, je rejoins Bernadette, la voisine qui attend sagement sur le siège passager. Je minstalle derrière le volant, et mets le contact. Ma mère me regarde du balcon. Pour ne pas la décevoir, je mapplique et sors sans encombre la Simca 1100 du parking. Bernadette est admiratrice.
Malheureusement pour moi, la distance me parut beaucoup trop courte. Jaurai aimé prolonger de quelques kilomètre, rien que pour le plaisir de conduire. La seule liesse, vient de la bouche de ma passagère.
- Je trouve que tu as une bonne conduite, Alain, souple, pas de coup de volant, bravo pour une première, cétait parfait. Surtout que tu ne connais pas la voiture.
Avec un gloussement, elle mattire, panier en main, sous le cerisier, saturé de fruits bien mûrs. Débordant dénergie je grimpe sans problème dans le fruitier, sous les exclamations ravies de Bernadette, surprise de ma facilité de monter dans larbre. Elle na plus quà me jeter le panier. Je le cale à laide de branches et je commence à le charger de succulents fruit gorgé de saveur.
- Tu as encore besoin de moi ? Me lance-t-elle
parce que jai envie de faire pipi, fit-elle avec un petit sourire lascif.
- Non, non madame, je nai pas besoin de vous dans immédiat.
Et elle séloigne de mon champs de vision, derrière le cabanon, là-même où est entreposé le tas de fumier. Les toilettes de campagne, pour ce qui ne connaisse pas.
Elle porte une élégante et longue robe en jean avec ouverture sur le devant, et des sabots à hauts talons. Une tenue pas très approprié pour venir au jardin. Japprécie ce moment de solitude. Par ce que Bernadette très gentille, reste pas moins une très grande pipelette.
Mais cela ne dure pas, à mon goût. Je sursaute, là-bas,, des hurlements ont retenti. Des cris qui nont rien damical. Inquiet, je descend tant bien que mal de larbre. Mécorchant à plusieurs endroits mes bras, et me précipite en direction des appels.
Je trouve, alors Bernadette en état de panique, les joues roussies. Sapercevant de ma présence, elle mexplique quelle sest fait piqué par une abeille.
- Par une abeille ! Mais où ?
Elle écarte un pan de sa robe, se tourne, et me montre une rougeur sur le haut de sa cuisse. Ma gorge se sèche dun coup.
- Tu vois quelque chose ? Je ne sais pas
un dard, enfin regarde je ten pris.
Je me penche sur la zone indiquée, sans rien percevoir de particulier.
- Ça brûle
veux-tu aller jusquà la voiture, dans le coffre se trouve une trousse de pharmacie. À lintérieur une pommade, ramène la, vite sil te plaît.
Je me précipite, et revient quelques secondes plus tard avec la fameuse pommade, remède contre les piqûres de moustiques.
Elle me la prend des mains et bredouille.
- Je pense que je vais avoir beaucoup de mal à men mettre, tu ne crois pas Alain, alors si tu aurais la gentillesse
Sans attendre, elle me redonne le tube, puis retrousse sa robe, au-delà du nécessaire. Je magenouille à ses pieds.
- Ne profitez pas de la situation, jeune homme
veux-tu ! Puis elle se passe la langue sur les lèvres. Du bout du doigt, jétale une noisette de pommade sur une rougeur, que je présume être lendroit où labeille la piquer. Bernadette pousse de plus en plus des plaintes de souffrance.
De mon côté, je ne gêne pas à égayer les yeux du spectacle qui mest offert. Une belle paire de cuisses. Elles sont très charnues. Cela mexcite. Mon doigt senfonce dans la chair élastique. Je perçois la respiration de la voisine saccélérée. De mon côté, ce nest pas mieux. Je nose à présent croiser son regard. Pourtant Bernadette porte sur elle une sacrée réputation. Il se dit quelle adore la chair fraîche. Quavec son mari, il y a longtemps que ça ne marche plus.
Encouragé par cette réflexion, jexplore sous la robe, ravi de ce que je découvre. Avec peut-être aussi, lespoir de la provoquer. Je masse à cet instant plus large. La vision des cuisses de Bernadette, môte tous mes moyens. Cest alors que je lève la tête et nos regards se croisent. Le sien a changé. Il est brillant et ses prunelles pétillent déclats dorés comme celles dun chat sauvage.
Provocatrice, elle retrousse davantage sa robe, faisant même sauter un bouton. Ma position agenouillée va peut-être bientôt me permettre de voir un début de culotte.
Mais lasse dêtre debout, Bernadette prend appui sur le tonneau récupérant leau de pluie, se penchant un peu en avant. Malheureusement pour moi, même cette pose je me permet toujours pas, dapercevoir le précieux sésame. En porte-t-elle seulement une ? Là est la question
- Merci
grâce à toi la brûlure est supportable. Me lance-t-elle.
- Vous désirez peut-être que jarrête à présent? Tout en me relevant, déçu de ne pas avoir vue sa lingerie, je vais retourner sur mon arbre, si vous le voulez bien.
Mais voilà, qu elle rétorque.
- Il nen est pas question
je te dois tout de même un petit remerciement, devenant dun coup de plus en plus pressante. Je suis sûr quelle a senti combien la vue de ses jambes mont troublé. Elle me fait face avec un petit sourire enjôleur.
- Tu nes pas daccord avec moi ? Non, tu mérites une récompense. Attends que je réfléchisse ! Oui, tiens pourquoi pas ! Que dirais-tu que je te fasse voir ma poitrine.
Figé à ses pieds, mon cur bat la chamade, je sens mon sang se retirer de mon visage. Les bras ballants, je frissonne, mais aucun son ne sort de ma bouche.
- Je prends ton silence pour un oui.
Sans plus attendre, Bernadette déboutonne sa robe portefeuille jusquà la ceinture. Je cesse de moxygéné. Mon inaction touche visiblement la voisine. Avec un regard prometteur, elle écarte les pans de son vêtement, fait sortir les seins orphelins de toutes protections.
Ils paraissent lourds, avec des aréoles étroites et roses, au centre desquelles les mamelons allongés pointent comme des crayons. Bernadette me prend la main.
- Tu peux les toucher si le cur ten dit ! Me lance-t-elle.
Il men faut pas plus. Dune main tremblante, je me mets à effleurer la peau élastique de son sein droit. Elle est chaude. Les yeux mi-clos, Bernadette respire plus vite. Elle marmonne.
- Oui, prend lautre aussi, nai pas peur ... tu a déjà fait ça ?
Sans répondre, je taquine les bouts tardées sous mes doigts. Sous les palpations, les mamelons s'allongent encore. Alors quautour de nous les oiseaux piaillent. Dune drôle de voix de gorge, elle mencourage.
- Vas-y, n'aie pas peur de les martyriser ... Jaime ça.
Docile, je serre, étire les mamelons qui sépaississent en prenant une couleur violacée. Ses yeux se voilent, elle parle d'une voix rauque.
- Tète-moi, mon grand, aller ... Vas-y suce...
De la langue, je titille le téton durcit par le plaisir. la voisine respire de plus en plus fort en se maltraitant la base des seins.
- Mordille un peu aussi, je t'en prie, j'aime tant ça ! Je me le fais, mais ... ce nest pas pareil avec toi...
Je mexécute, mordillant à tout va les pointes, elle gémit, se cabre. Je sens une main fébrile courir sur ma braguette. Avec une ingéniosité, et souplesse que seule peut donner une femme, Bernadette parvint pour mon plus grand plaisir, à défaire mon pantalon. Mon sexe, tendu comme un ressort, jaillit à lair libre, oscille lourdement une seconde ou deux, avant de simmobiliser à lhorizontale, défiant Bernadette. Avec ses doigts, elle momifie ma queue, je lentends murmurer.
- Oh, mais ... c'est que ... il est dur ton joujou ... Elle ajoute d'une voix sourde, jai envie de te téter, à mon tour, tu ne sais peut-être pas, mais jaime faire cela ... viens, ne restons pas là... mettons-nous à labris des regards.
Une fois dans la cabane à jardin, Bernadette, sans crier gare, se débarrasse de sa robe qu'elle abandonne sur la tondeuse. Elle est nue, je sens un flot de sang me monter au visage. Elle avance rapidement dans ses sabots.
Avec des gestes maternels, la voisine maide à finir de me déshabiller. Ses gros seins aux chairs molles remuent sur ses cotes, ses mamelons irrités, mouillés de salive, brillent. Mais cest surtout sa vulve qui me fascine.
- Elle te plait, la femme
se collant à moi. C'est la première fois que tu en vois une, hein ? Une femme, une vraie !
Je ne sais quoi répondre, pour ne pas loffusquer. Comment va-t-elle réagir si je lui confis quelle est loin dêtre la première femme de son âge, à soccuper à me faire plaisir.
Mais à voir ses yeux brillants, sa bouche entrouverte qui esquisse déjà un sourire salace, à nen pas douter elle a envie dêtre mon initiatrice. Il est de mon intérêt de jouer le jeu.
- Oui madame
je ne savais comment vous le dire
mais comme vous en avez parler
je vous le confirme, je suis novice
à la chose.
Bernadette pousse un soupir de satisfaction.
- Embrasse-moi, gémit-elle, ça tu sais le faire ?
Je me penche, et colle mes lèvres contre les siennes. Elle a une bouche immense, chaude et active. Ne prenant aucune initiative je me laisse faire.
- Ah, fit-elle à voix basse, reprenant son souffle, mon Dieu, il y a longtemps que
bon, alors maintenant viens, supplie-t-elle, je vais bien moccuper de toi
je te promets pour une première une grosse jouissance. Je te déshabille entièrement ou préfères-tu le faire.
Je choisis de le faire. De son côté, elle recouvre les bottes de foin, à laide dune couverture. Par pur provocation, elle exagère son mouvement en creusant les reins, soulevant même son gros cul en ma direction. Le sillon en arc de cercle est très mince, tant les fesses ballonnées se présentent lune contre lautre, et, détail bestial qui fait battre plus vite mon sang, quelques poils affleurent en bas, comme pour mindiquer lemplacement de lanus. D'une voix enrouée, tout en tendant davantage encore sa croupe en arrière, Bernadette me présente notre lit de fortune.
- Voilà, comme ça, on sera bien, tous les deux.
Elle sallonge sur le dos, bras et jambes largement écartées. En attente. Ses mamelles débordent sur les cotés, bougent au moindre de ses gestes. Penché sur la couche où je vais bientôt aller la rejoindre, je peux admirer une chatte gourmande, grande ouverte, du clitoris à la touffe brune. Le bouton est gonflé. Il émerge de sa protection comme un crayon. Bernadette tend la main, ce qui fait remuer ses seins, elle murmure:
- Viens, jen peux plus !
Elle passe son bras autour de mon épaule, elle mattire sur elle.
- Mais avant tout mon grand
jaimerais savoir si tu te branle?
- Oui, ça marrive
madame.
- Et
devant des photos de femmes à poils, où bien
tu fantasmes sur des femmes
des inconnues, ou peu être même en pensant aux voisines
aller, avoue
tu tai déjà branler en pensant à moi?
Sans répondre, jhoche la tête de haut en bas.
- Je ne sais pas pourquoi, mais je le savais
et si tu me montrais comment tu procède ?
Jembaume de ma main la queue, et lagite le long de ma tige. Appuyée sur un coude, Bernadette mobserve. Et jaime ça. Elle effleure sa fente luisante des doigts.
- Tu vois, moi aussi je me branle
regarde comment je fais ? Délicatement, je commence par tourner autour.
En soupirant d'aise, sans perdre de vue mes va-et-vient sur ma queue, elle fait monter et descendre ses doigts dans sa fente.
- Tu vois, il faut faire comme je fais. Je ne sais pourquoi, mais je suis sûr que tu apprends vite
Ecartant ses lèvres gonflées, elle se lime l'entrée du vagin, puis fit pénétrer son doigt de plus en plus profond, bientôt, il se couvre sécrétion. Jobserve intensément son manège, elle me donne son doigt souillé à sucer. Bien élevé, je ne refuse jamais ce quune dame moffre. Je le prend dans ma bouche, et le suçote.
- Alors comment trouves-tu la sauce Bernadette ?
- Très bonne, madame.
- Il est temps que je moccupe de toi
veux-tu commencer par ma bouche ou mes reins ? À moins que tu veux me la mettre dans ma chatte
elle menjambe. Jespère que je ne vais pas décraser sous mon poids. Sans fignolage, elle décide de sempaler sur moi. Je sens la large chatte gluante adhérer à ma peau comme une ventouse. Elle noue ses jambes autour de mes hanches pour me forcer à la prendre encore plus fort, encore plus profondément.
- Regarde
je te branle avec mon ventre.
Son vagin se contracte autour de ma queue, mouille sur mes couilles. Ses yeux brouillés me font peur. Soulevant son bassin, puis se laissant retomber, elle sagite sur moi. De son vagin montent des chuintements mouillés. Me prenant les mains, elle se les plaque sur ses seins.
- Oui, continue, je te sens bien
quel étalon, tu es
Sans cesser de faire coulisser la queue dans son vagin, elle se penche, me donnant la tétée. Je laspire goulument.
- Les deux ! Suce-moi les deux ensemble ! J'ai envie de tout, vois-tu !
Docile, je presse les mamelles l'une contre l'autre de façon à accoler les mamelons, et suce les gros bouts roses qui memplissent la bouche.
Je ne peux me contenir et explose en elle, accompagnant mon éjaculation dun grondement de fauve. Bernadette plante ses dents dans mon épaule et me mord de toutes ses forces pour ne pas hurler son plaisir.
Au bord de l, je roule sous le corps de Bernadette, et meffondre à plat dos sur la couche improvisée, pour récupérer. Mais pas le temps.
- Vite habillons nous vite
mon mari pourrait venir à limproviste.
Il men faut pas plus, pour sauter sur mes jambes et me revêtir. Alors que je lasse mes baskets, dune voix presque inaudible, elle me confie.
- Ça mexciterait, que tu me baises un de ces jour dans mon lit.
Cela me fis sourire.
- Quand ? Mentendais-je lui répondre.
- Le plus rapidement, sexclame-t-elle.
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