Leslie La90

Leslie LA90 – Laure, le journal intime - Sylvie

C’est déjà la fin du printemps, bientôt les beaux jours et je suis bloquée dans ces
satanés bouchons du vendredi soir, bien que je ne sois pas pressée j’ai hâte d’être
rentrée et de me prendre un bon bain et me préparer pour sortir.
Dans la voiture, je pense déjà à ma soirée, j’ai une de ces envies de sexe ce soir je
ne vous en dit pas plus… Sortir, rencontrer et me faire bien baiser et qui sait passer
le reste du week-end à faire l’amour avec un amant prodigieux…

Mon téléphone sonne sur la banquette du passager, je laisse sonner et s’il y a un
message, je l’écouterais à la maison…
Arrivée à la maison, j’interroge ma messagerie et j’entends :
- Laure ? Bonjour, c’est Sylvie, excuses-moi de te déranger mais j’ai une
urgence, rappelles moi dès que tu as ce message ! À tout de suite, bises !
Sylvie, une ancienne amante au tempérament de feu, est devenue une de mes meilleures
amies, nous avons gardées de bonnes relations. Sylvie, aujourd’hui à vingt-cinq ans,
toujours aussi menue et toujours une petite poitrine de jeune fille, et je dois avouer
qu’en ayant gardé un bon souvenir de nos ébats, je ne serais pas contre recommencer si
d’aventure l’occasion se représentait. Sylvie tient un petit restaurant que ses
parents lui ont laissé, et je l’avais dépanné quelques fois dans le passé en faisant
le service.
Je la rappelle aussitôt et elle me dit qu’elle a besoin de moi demain pour l’aider au
restaurant.
Comme je n’avais rien de prévu pour le lendemain, je lui dis qu’elle peut compter sur
moi, comme au bon vieux temps.
Inutile de vous dire que mon projet de sortir ce soir fut vite oublié… pas de sexe, je
me rattrais plus tard…

Le lendemain, samedi, je n’ai pas fait grand-chose, ne tenant pas à arriver crevée
pour la soirée qui m’attendait, j’ai flânée en me laissant vivre et en pensant à ce
que j’allais me mettre pour aller chez Sylvie.


Sans me presser j’ai fait mon choix mon choix, un top dos nu blanc avec les bretelles
du corsage se nouant derrière la nuque, pas de soutif pour être à l’aise, une jupe
courte en cuir noir complètera ma tenue. En fin d’après-midi, après une douche, un
léger maquillage et un peu de parfum, je m’habille, chausse des escarpins à talons
courts, me regarde dans la glace. Parfait !
Et me voilà partie, comme prévu, je me gare dans la petite cour à l’arrière et j’entre
par la porte de service et vais rejoindre Sylvie en pleins préparatifs en salle.
- Coucou, Sylvie, je suis là !
- Ah, Laure ma chérie ! Je suis heureuse de te voir.
Embrassades, examen de ma tenue, et petites remarques :
- Tu es très belle, les clients vont être ravis… J’ai prévu de te laisser la
petite salle, je garderais la grande.
- Parfait, je vais jeter un œil, et c’est parti…
J’abandonne Sylvie à ses derniers préparatifs, bien consciente qu’elle n’a pas le
temps de jouer les pipelettes avec moi maintenant.
Je finis de préparer la salle mais il n’y a quasiment rien à faire, elle contient sept
tables disposées le long des murs, tout autour et j’en profite pour me renseigner sur
les détails des menus en cuisine.

Vers huit heures les premiers clients arrivent, deux couples de personnes âgées puis,
comme s’ils s’étaient donné le mot, les suivants arrivent aussi, à intervalles
réguliers. Un trio d’hommes entre la trentaine et la quarantaine, quatre filles en
sortie entre copines, deux autres couples assez jeunes et finalement, un couple vers
les trente-cinq ans dont la femme attire mon attention car c’est une splendide brune,
aux cheveux très noirs et avec des yeux magnifiques.
C’est parti, la soirée commence…
Le début du service n’est pas de tout repos, je remarque néanmoins des regards qui se
tournent sur moi, ceux des trois hommes ne quittent pas ma silhouette et ceux du
couple avec la brune, je me sens détailler, presque même déshabillée…
Certainement que mes seins qui ballottent de façon voyante au gré de mes mouvements y
sont pour quelque chose, je comprends un peu mieux et un frisson de plaisir me
traverse le corps.

Je continue mon service, non sans remarquer les yeux des clients plonger dans mon
corsage à chaque fois que je sers une table, et les deux yeux de la brune fouiller mon
corsage à la moindre occasion, et de plus elle me sourit, ce qui finit par me mettre
en transe.
Je prends mon pied à me laisser me mater, surtout par la brune qui me fait tant
d’effets et réponds juste par un sourire à chacun de ses regards

Le service continue normalement, tout se passe à merveille et je fais un effort
particulier d’exhibition pour la belle brune, qui semble apprécier…Lorsque je me
penche pour servir sa table je lui donne l’opportunité d’admirer ma poitrine dans
toute sa nudité, mes bouts tendus et gonflés d’excitation et mes larges aréoles
claires.
Mes yeux sont fixés sur elle quand les siens, brillants, se lèvent enfin vers moi, nos
regards se croisent et je lui fais un sourire plein de charme et me le rend
longuement.
Lorsque je repars, je sens ma chatte trempée et brûlante de désir, c’est alors que je
vois Sylvie regardant dans ma direction, puis lorsque je suis près d’elle, elle me
demande :
- Alors ça va ? Tu t’en sors bien, on dirait.
- Euh… Oui super !
- Tu es vraiment incorrigible !
Elle a tout vu et n’est pas dupe, elle me connait bien, alors vite, je m’éclipse, pour
couper court à ses éventuelles remarques…
Le reste du service se passe sur le même ton et vers une heure du matin le restaurant
est vide, déserté des clients, ma salle est en place pour le lendemain, et nous nous
retrouvons avec Sylvie, au bar, pour trinquer à la fin de la soirée.
- Merci encore, me dit Sylvie. Tu as été merveilleuse toute la soirée.
- Et j’y ai pris beaucoup de plaisir !
- Là, j’avais remarqué, me dit Sylvie.
Je rigole avec elle et je suis à peine gênée de voir qu’elle me regarde les yeux
brillants, comme dans le passé et de nos meilleurs moments, alors je termine mon verre
et après la bise, je m’éclipse, sous les yeux de Sylvie, que je sens un peu déçue…

Une fois assise dans la voiture, je remonte ma jupe sur la taille et une de mes mains
se glisse sous mon string, mes doigts sont vite au contact des lèvres trempées de mon
sexe, deux me pénètrent et commencent leur travail.
Ils ressortent, glissent sur mon
petit bouton d’amour et replongent sans cesse. Mon autre main caresse mes seins et il
me faut peu de temps pour jouir violemment en pensant à la brune et à Sylvie.
Après quelques minutes, je démarre et rentre à la maison.

Le dimanche passe à toute allure, je suis encore bercée par le souvenir de mon samedi
soir, le soir dans mon lit, bien que je sois exténuée, je me suis adonnée à une
nouvelle séance violente de masturbation. Heureusement, le lundi je suis revenue sur
terre pour reprendre le boulot, enfin dans un état plus normal si tant est qu’il le
soit habituellement.
Mon téléphone sonne en fin d’après-midi, c’est Sylvie de nouveau :
- Salut, c’est Sylvie
- Bonjour ma chérie.
- Si tu es libre passe ce soir au restaurant, une petite invitation pour te
remercier et le lundi comme on est fermé, nous serons tranquilles chez moi.
- Avec plaisir, je viens !
- Ok, à tout à l’heure.

Le soir venu, habillée d’une petite robe courte, légère et moulante, avec un aspect
noir satiné qui met en relief mes formes, s’arrêtant assez haut sur mes cuisses et le
haut en forme de bustier, qu’un lacet central noué derrière le cou cache ma poitrine
dénudée, je me rends chez Sylvie. Elle habite dans l’Ouest de Paris, et je suis vite
arrivée à son appartement.
Je sonne à sa porte, j’entends le bruit de talons dans son couloir et la porte s’ouvre
sur une Sylvie très belle, dans une robe blanche particulièrement sexy, et le
décolleté laisse entrevoir ses petits seins nus sous l’étoffe.
- Tu es splendide, dis-je.
- Pour toi, mon amour !
Je me surprends de sentir en moi des sensations comme dans le passé, quand j’allais la
retrouver pour une nuit d’amour, la soirée comme bien…
Sans me laisser le temps de réagir, elle me prend par la main et m’entraîne dans son
salon.

Les fenêtres sont ouvertes en grand et Sylvie me dit :
- Nous les fermeront plus tard quand la nuit sera tombée, car avec ces nouveaux
immeubles en face, je n’ai plus l’impression d’être chez moi si je ne ferme pas.

La table du salon est déjà garnie de bouteilles d’alcool et de diverses choses à
dévorer. Sans rien me demander, elle me sert un grand verre de Gin et un autre pour
elle. Nous continuons à discuter de tout et de rien un certain temps quand Sylvie me
dit en nous servant un nouveau verre :
- Au fait j’ai eu une visite pour toi le dimanche.
Ses yeux brillent d’une étrange lueur en me disant cela
- Une visite pour moi ?
- Oui, une fille bien brune qui était dans ta salle, samedi soir.
- Ah ? Et que voulait-elle.
- Elle voulait te voir et je lui ai expliqué que tu faisais juste un extra pour
la soirée. Elle semblait très déçue quand je lui ai dit ça.
Sylvie scrute alors mon visage à la recherche d’une réaction quelconque.
- Ah ?
- Elle semblait si désappointée que je me suis permis de lui donner ton
téléphone, tu ne m’en veux pas ? Tu as une idée de ce qu’elle te voulait ?
- Non, pas le moins du monde…
Ma voix doit manquer d’assurance car je vois un sourire s’afficher sur le visage de
Sylvie. Elle se lève alors brusquement et me dit :
- Bien, quand elle t’appellera, tu sauras !
Je vois ses seins libres se secouer sous le tissu, un tissu si fin et si moulant
qu’ils me semblent aussi visibles que si elle était nue. Sa poitrine m’apparaît dans
toute sa splendeur, d’autant plus qu’une des bretelles de sa robe a glissé sur son
épaule. Je sens mon corps s’électriser malgré moi, je résiste mais mon bas-ventre me
chatouille. Par réflexe, je serre les cuisses car mon sexe me brûle encore plus après
cette caresse peut-être pas involontaire. Je réalise soudain que mon regard est rivé
sur cette poitrine depuis de nombreuses secondes, je lève brusquement les yeux. Je
vois alors un visage épanoui de Sylvie qui boit d’un trait le verre qu’elle venait de
se remplir et me rejoint sur le sofa.

Je vide aussi le mien et l’esprit encore embrumé par le déroulement inattendu de la
soirée et peut-être aussi par l’alcool, je lui montre mon dos pour ne pas lui montrer
mon embarras, une main baisse le tissu de ma robe pour dévoiler ma poitrine et je sens
sa poitrine rentrer en contact avec mon dos nu. Le tissu de sa robe est doux, la chair
de sa poitrine se déforme sous la pression tellement elle est collée à moi. Elle me
dit alors en chuchotant presque :
- Cette brune, tu sais très bien pourquoi elle cherche à te revoir, n’est-ce pas
? Tu peux me le dire depuis le temps que l’on se connaît
- Oui… enfin peut-être…
Bredouillant cela, je sens son souffle dans mon cou.
- Allons ! Tu crois que je ne t’ai pas vu faire avec elle ?
- Je… Je n’ai pas fait attention…
- Petite menteuse !
Je sens sa main se glisser sous mon bras, venir cueillir mon sein droit comme un fruit
trop mûr. Elle commence à le caresser par-dessous.
- Sylvie ? Qu’est-ce que tu…
Ma voix se coupe, la caresse me laissant bouche ouverte sous l’effet de la caresse,
les yeux mi-clos.
- La brune était très excitée à te regarder, ça sautait aux yeux, moi aussi
d’ailleurs, ça m’a excitée et je me suis sentie jalouse.
- Sylvie…
- Comment ferais-tu, là, maintenant pour l’exciter cette salope de petite brune.
Tu lui montrerais un sein sous son petit nez retroussé ?
Sa main tire alors sur ma robe, fait glisser le tissu et dévoile ma poitrine qu’elle
était en train de caresser. Sa main s’en empare de mes tétons dressés et commence à
jouer avec, je pousse un petit gémissement.
- Mais elle voudrait sûrement en voir plus et tu ferais tout pour lui faire
plaisir, parce que ça t’excite de faire ça n’est-ce pas ?

Son autre main entame le même travail que la première, mes seins sont massés, malaxés,
mes bouts tendus sont titillés, tirés à la limite de la douleur et un gémissement sort
de ma bouche.
Sylvie continue à me parler doucement dans mon dos, la bouche collée à mon oreille :
- Ça l’exciterait, cette salope, de te voir comme ça, non ?
- Humm…
- Réponds, dis-le-moi !
- Oui, ça l’exciterait…
- Moi aussi, ça m’a excitée de te voir samedi, tu sais que tu me fais toujours
autant d’effet, même après temps de temps, je n’ai jamais osé te le dire, mais je ne
t’ai jamais oublié ! Dis-moi que ça t’excite encore plus de le savoir maintenant.
- Ohhh… Sylvie !
Elle n’a pas arrêté de me caresser les seins de plus en plus vigoureusement pendant
son interrogatoire, ça me rend folle de désir, je suis ruisselante, je le sens et ne
réponds plus que dans un souffle.
- Oui, tu me rends folle d’envie aussi… Et samedi j’étais jalouse…
Elle me pince le bout des seins, me tirant des gémissements de plaisir, mêlés de
douleur.
- Tu aurais fait quoi, pour lui faire mouiller sa culotte à cette salope, tu lui
aurais montré la tienne ?
Sa main droite stoppe ses caresses pour glisser sur ma cuisse, instinctivement,
j’écarte mes jambes pour lui laisser le passage, mais elle tire sur ma robe pour me
l’ôter, alors je dandine du croupion pour la laisser passer sous mes fesses, et je me
retrouve nue, avec juste mon string comme dernier rempart à mon intimité. J’écarte mes
cuisses davantage dans l’espoir de sentir sa main en prendre possession.

J’entends la respiration de plus en plus lourde de Sylvie dans mon dos, je sens le
souffle chaud de sa respiration sur ma nuque. Soudain elle me tire violemment sur le
bout du sein en me disant :
- Tu lui as tout donné à cette salope que tu ne connais pas, pendant que je
masturbe le soir dans ton souvenir…
- Ohhh !
Sous la violence de son geste j’ai relevé la tête. La nuit est tombée dehors, je vois
parfaitement les lumières allumées de l’immeuble d’en face et des silhouettes s’agiter
en ombres chinoises à travers les vitres. Mécaniquement, je détaille les intérieurs
des appartements visibles et je me dis que l’on doit aussi bien voir ce qui se passe
ici d’en face, ce qui pousse encore plus loin mon excitation et mon envie. J’agite mon
bassin dans l’espoir de faire glisser cette main toujours sur ma cuisse un peu plus
haut, sur ma chatte en ébullition.
- Dis-moi que tu as envie de moi maintenant et pas de cette salope !
- Oui ! J’ai envie de toi, mais aussi d’elle !
- Salope !

Sylvie se recule et me tire en arrière et je me retrouve couchée sur le sofa. Elle me
passe par-dessus moi et sa poitrine ronde vient m’effleurer le visage. Je finis de
m’allonger totalement, ma jambe droite reste pendante dans le vide alors que je pose
l’autre sur le dossier du canapé pour bien m’écarter.
Son ventre me passe au-dessus du nez, puis son bassin. Sa robe à voler au loin et je
découvre sa chatte luisante sans la moindre culotte, ses lèvres sont béantes et sa
chatte avide de caresses. Alors que je commence à relever la tête, attirée par ce sexe
en chaleur, une main tire sur le côté mon string et des doigts viennent au contact de
mes lèvres humides.
Je me rends compte alors que Sylvie m’attire la tête de ses deux mains vers son sexe
luisant, alors que des doigts commencent à me fouiller…

Je voudrais savoir qui me fouille, mais Sylvie maintient ma tête contre sa vulve,
m’empêchant de voir qui me fouille en disant :
- Suces-moi, salope !

Les mains commencent à jouer avec mon sexe, caressent mes lèvres de haut en bas, de
bas en haut et soudain me pénètre avec un doigt puis deux. Je pousse un cri de plaisir
et halète au rythme du va-et-vient. Mes mains sont restées crispées sur les fesses de
Sylvie, je les empoigne et mon bassin s’agite pour mieux sentir les doigts me
pénétrer. Je hurle enfin mon plaisir et ma jouissance à plusieurs reprises.
À demi consciente, j’entends Sylvie me dire :
- Rends-moi le plaisir que tu viens d’avoir…
Et elle plaque encore plus mes lèvres sur son sexe qui ruisselle de plaisir.
Je la lèche, tandis que mon clitoris est caressé, je la bois, alors qu’une bouche se
pose sur mon sexe, je la fouille de la langue, tandis qu’une langue me lèche l’anus,
et Sylvie jouit alors que je m’abandonne à cette bouche inconnue et cette langue qui
entre dans mon œillet…
Elle se dégage et me permet de me relever, et je découvre une chevelure brune entre
mes cuisses, la tête se relève et je découvre la brune du restaurant, qui me sourit…
- Tu vois Barbara, est là !
Elle est splendide, encore plus que samedi et vient de me faire jouir, Sylvie a bien
caché son jeu, mais je ne m’en plains pas…
Mon regard est aussi attiré par la porte-fenêtre restée ouverte et par les lumières
des appartements d’en face, je vois deux ombres se détacher dans l’encadrement d’une
fenêtre un peu en surplomb de nous, ils seraient en train de regarder ce qui se passe
ici qu’ils ne feraient pas autrement.

Nous nous retrouvons toute les trois dans la chambre de Sylvie, dont la fenêtre est
grande ouverte et sur le lit, sous les éclairages de la chambre, nous nous aimons
comme de folles…
Quand ma bouche va au contact de la chatte en feu de Barbara, la brune du restaurant,
et que mes doigts glissent dessus, elle gémit et quand je la pénètre avec deux doigts,
qui rentrent facilement, elle pousse un râle tonitruant, elle tortille son cul pour
mieux s’empaler sur mes doigts qui rentrent et sortent, glissent sur son clitoris,
rentrent de nouveau sans interruption. Aux bruits qu’elle pousse, je sais qu’elle
jouit à maintes reprises. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai envie qu’elle exhibe ça à
aux voisins si curieux.
- Couche-toi sur le dos, non, dans l’autre sens.
Je la fais se placer de façon à ce qu’elle soit face à la porte-fenêtre, je l’enjambe
et place mon cul au-dessus de son visage. J’empoigne ses jambes pour les glisser sous
mes bras et rendre bien apparent son sexe en éruption. Avec défi, je me redresse, les
deux ombres sont toujours derrière la vitre, d’une main je me caresse la poitrine
tandis que l’autre rejoint la chatte de Barbara.
Sylvie près de nous se branle face à la fenêtre, elle a certainement repéré les ombres
qui nous matent.
Barbara est une furie insatiable, nous usons d’accessoires pour nous pénétrer, nous
jouissons comme des folles à tour de rôle, dans la chambre de Sylvie.
Les voyeurs, doivent avoir un spectacle fabuleux, surtout quand, harnaché d’un gode
ceinture j’ai baisé et sodomisé Sylvie, puis Barbara, leurs hurlements devaient
s’entendre car elles ont jouis sans retenue.
Puis Sylvie a pris le relais et ensuite Barbara.
Une longue nuit de sexe, car il est deux heures du matin quand nous éteignons pour
nous endormir, en face les fenêtres sont noires, plus personne ne nous regarde…

A suivre…

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