Isabelle Va Finir Par Se Venger De Son Mari
Épisode 2
Le 21 juin, nuit avec Albert
Isabelle, allait pour la deuxième fois rembourser les dettes de son mari en passant à la casserole, comme elle disait. Ce jour-là, cétait avec Albert un des trois créanciers dune mémorable partie de poker. Bertrand avait beaucoup perdu contre ses amis qui avaient eu lamabilité de lui proposer le marché de transformation de la dette en nuit passée à tour de rôle avec sa femme. Leur jeu de poker devait à lorigine rester un jeu mais là, il avait dérapé au détriment de Bertrand, le mari dIsabelle. Les hommes voulaient en profiter. Heureusement, les trois hommes sétaient présentés et Isabelle les avaient trouvés convenables. Les créanciers avaient accepté de prouver quils nétaient pas porteurs du Sida. Aucun deux ne fut étonné davoir un test négatif. Et Isabelle avait une revanche à prendre sur son mari qui lavait trompée il y a de ça un an. Bertrand, le mari faisait une sale tête lorsque sa femme a quitté la maison pour se rendre chez Albert.
Manifestement lorsquIsabelle est arrivée chez lui vers 20 h 20, Albert nen pouvait plus dattendre.
-Allez, madame, on va tout de suite au lit, sil vous plaît.
- Vous êtes direct, vous.
-Vous savez pourquoi vous êtes là, alors autant y aller tout de suite. Albert a laissé allumé. En quinze secondes, Albert était à poils et sétait allongé sur le lit. Isabelle avait juste eu le temps de poser son sac de voyage dans un coin de la chambre et de chercher un pyjama.
- Faut faire comme moi mettez-vous plutôt à poils.
Jaimerais mieux que vous éteigniez.
-Cest pas la peine, de toutes façons, je vais vous voir toute nue, répliqua Albert en modérant son langage qui aurait pu être beaucoup plus trash vu son excitation. Isabelle navait pas pu sempêcher de jeter un coup dil à Albert dont le membre avait déjà fière allure. Elle navait pas le choix. Elle sétait mise de côté afin quelle ne sexhibe pas trop.
-Vous êtes prêt à ce que je vois.
-Ma devise cest Toujours prêt. Le service trois pièces est propre et bon pour le service.
Isabelle allait sallonger à côté de lhomme. Il larrêta.
-Vous avez une bonne touffe noire. Venez vous mettre à califourchon dur son torse velu. Voilà ! Frottez-vous bien contre mes poils ; poils contre poils, on est à égalité.
Albert lui a pris les hanches et a accompagné le mouvement de frottement de lentre jambe dIsabelle contre le torse velu de lhomme. Il a relevé la tête pour mieux voir.
Il lui a à peine caressé les seins. Par contre, il a beaucoup passé ses doigts dans sa touffe.
-Est-ce-que je peux voir la face cachée. ?
Isabelle nétait pas très à laise de se retrouver en position de 69 surtout en pleine lumière. Lui avait lair ravi.
- Magnifique, cest trop beau, bravo ! Vous avez un très joli arrière-train. Penchez-vous vers mon sexe sil vous plaît.
Isabelle avait décidé de laisser faire mais quand même dans cette position elle a eu du mal à ne pas serrer des fesses. Albert lui a lisser les poils de devant avec les doigts puis a continué en remontant jusque dans la raie. Là Isabelle a carrément serré des fesses. Lhomme na pas insisté. Alors, elle sest un peu relâchée.
-Jadore les poils. Superbe ! Ils sont un peu frisés.
Isabelle nen menait pas large surtout quelle avait le bâton dAlbert sous le nez. Il était tellement raide quil ne lui touchait pas le ventre. Elle sentit alors senti sa bouche dans ses poils.
-Vous pouvez la prendre sil vous plaît ? Alors quest-ce-que vous en pensez ? - Elle est très dure. Vous voulez bien me sucer la queue, sil vous plaît ?
Alors, elle la sucée. Avec tous les conseils de Jean-Joseph, elle savait comment faire pour donner du plaisir avec sa bouche. Elle a attrapé le bâton dune main, les couilles de lautre tout en gardant le membre en bouche.
-Hum ! Hum ! Ouh la la !
Albert sest mis à lui lécher lentrejambe comme un fou, à grands coups de langue.
-Ça sort ! la prévient-elle.
Elle le voyait bien que le sperme sortait. Elle a bien vu la seconde giclée partir dans les airs. Ça ne lui a carrément pas déplu. Isabelle a constaté que le membre avait pas mal coulé et quAlbert en avait plein les poils.
-Cétait bon, très bon même. Merci beaucoup pour cette bonne pipe.
Allongés lun à côté de lautre, ils ont commencé à bavarder.
-Ce ne doit pas être facile daccepter de se donner à trois hommes à cause de son mari ?
-Cest comme ça
jai accepté cette solution, tant pis.
Albert lavait prise dans ses bras et la collait. Isabelle a eu limpression que lhomme avait toujours un sexe aussi rigide. Et au bout dune heure de discussion et après de nombreuses caresses sur la chatte dIsabelle, Albert montra quil était temps de remettre le couvert.
-Allez, Isabelle, on y retourne ?
Sans attendre de réponse, en costaud, Albert prend la taille de la jeune femme, la soulève et la met à quatre pattes.
-En route pour une bonne levrette.
À la vue du joli cul blanc agrémenté dun belle touffe noire, lhomme sentit une montée de testostérone. « Je vais lembrochée ! » Et Isabelle a été carrément embrochée. Avec les deux mains qui la tenaient ferme aux hanches, le manche dur comme du fer la pénétré sans coup férir. Sûr de lui, le queutard ne bougeait pas mais faisait aller et venir Isabelle le long de sa trique. Elle sest sentie comme un morceau de viande dans lequel on enfilait une broche.
-Jadore bourrer en levrette.
-Oui, oui, se sentit obligé de répondre Isabelle.
Lorsquà un moment, Albert sarrêta de la faire aller et venir le long de sa queue, il eut la bonne surprise de de constater quIsabelle continuait le mouvement delle-même. Elle stoppa net quand elle saperçut de son mouvement. « Je vais passer pour une salope si je fais ça. Je me laisse faire ; cest le contrat mais cest tout », pensa-t-elle.
-Faut pas vous arrêter !
Elle imagina la tête de lhomme. Il était hyper chaud. Il avait repris son mouvement et la faisait bouger le long de son membre. Il devait être crispé. Cette idée ne lui déplut pas et elle se mit à mouiller légèrement. Elle ne voulait pas le montrer mais la sensation de se faire manipuler ne déplaisait pas au moins à ce moment. Elle en est même venue à mieux se positionner et sétait penchée un peu plus et de sappuyer sur ces coudes.
-Vous avez raison mettez-vous à laise.
-Je fatiguais un peu, répliqua Isabelle qui ne dit rien de son début démoi et qui se pencha encore un peu plus. Le poilu était aux anges : un cul bien relevé avec sa queue qui bourrait.
-Attention ! Ça monte. Cest super. Jai tout dans les couilles.
Isabelle était sur le point de senvoyer en lair tout en se retenant de le manifester. Il ramenait fermement les fesses de la jeune femme contre lui. Le bruit était monté dun cran. Il sencourageait.
-Vas-y mon Albert ! Vas-y envoie tout au fond. Ouais ! Je jute à fond.
Il y avait envoyé beaucoup de purée car Isabelle sentit le sperme dégouliner le long de ses jambes. Il avait joui un peu trop vite pour elle. Dommage. Bien que très étonnée du plaisir quelle avait éprouvé, elle était assez contente delle. Elle pensait à son mari qui lavait mise dans cette situation de devoir rembourser ses dettes. Et elle se souvenait aussi, quil y a deux ans il lavait trompée.
-Vous avez vu tout ce que je vous ai mis ! Je vais vous essuyer la chatte.
-Vous avez lair content de vous.
Jai bien bourré et jai bien joui. Alors, tout va bien. Et vous.
-
Cest pas pareil. Je nai pas joui, hésita-t-elle à répondre.
-Écartez les jambes que je vous essuie les poils.
-Si vous voulez, mais je peux le faire, tenta Isabelle tout en écartant les cuisses.
-Hum, les poils, cest génial. Jai un fantasme sur les poils. Et il samusa encore avec les poils, les lissa, mit ses doigts dedans et les tourna pour en faire des frisettes. Mais au bout dune demi-heure de ces petits jeux, Albert sendormit du sommeil de lhomme comblé jusquau matin. Isabelle eut un sommeil mité de réveils où revenait son moment dexcitation ; ce qui létonnait.
Ce qui se passa le matin, Isabelle le raconta à son mari pour se venger sachant que ça nallait pas lui plaire.
-Le matin, il ma bouffé lentrejambe et la raie en me disant : « Bravo pour les poils, magnifique ! » Il ma remis son manche encore à quatre pattes. Et ça a fait pareil. Au moment où il était prêt, il ma enfoncé un doigt dans le cul. Jai essayé de lui retirer la main mais je nai pas réussi. Ton copain Albert était excité.
-Non, arrête Isabelle, je ne veux rien entendre.
-Si justement tu vas mécouter. Jamais je naurais pensé quun jour jallais avoir un orgasme avec un doigt enfoncé dans mon anus.
-Non, tu nas quand même pas joui. Non, cest pas vrai. Dis-moi que tu inventes pour te venger.
- Et si ! Tout est vrai. Ce matin, il y a moins de deux heures, le bâton dAlbert était au fond de ma chatte et son doigt dans mon cul. Son sexe était dur comme un manche de pioche.
Ce que ne raconta pas la jeune femme à son mari cest que ce traitement et lidée de se faire manipuler la fit réagir positivement. Et lorgasme était monté et quelle ne sétait pas retenue. Heureusement, se dit-elle, quil était trop près de jouir et quil ne sest rendu compte de rien. Si Albert sen était aperçut, il laurait prise pour une salope.
-Ho, le cochon, il a osé te mettre le doigt dans lanus ; ce nétait pas ce quon avait dit. Cest un cochon.
-Non, mais cest un sacré queutard.
-Tu pouvais lui dire de ne pas te mettre son doigt dans le cul.
-Jaurais voulu ty voir. Jétais embrochée par derrière. Et il ne ma pas demandé mon avis. Pour finir, Il a conclu : « Jai adoré votre petit anneau bien serré. La prochaine fois, je tente la taille au-dessus. » Tu vois ce quil va me faire ton Albert.
-Je ne suis pas daccord. Non, Je ne veux quil te sodomise.
-Je lui ai dit quil en avait une trop grosse. Ça la fait rigoler. Et il ma dit quil allait en parler à Noël parce quil en connait beaucoup sur les petits trous.
-Après, il ma essuyé le sexe et on est allé prendre le petit déjeuner à poils. Jétais très gênée.
Là-dessus, Isabelle a tourné les talons et est partie se doucher puis dans la chambre quelle a fermé à clé. Bertrand est resté planté au milieu du salon la tête pleine dimages de sa femme baisée par ce deuxième type à qui il devait encore pas mal dargent. Et ce nétait pas fini. La nuit du 13 au 14 juillet, elle serait le tour de Noël, un autre gagnant de lhorrible poker. « Il ne lemmènera pas au feu dartifice. Ma pauvre femme ! Elle va encore devoir payer de sa personne » déprimait-il.
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