Le Relais
Ma famille tient le même établissement depuis des temps immémoriaux, sans doute depuis 1320. Notre relais sert à changer de monture pour les voyageurs à cheval, à en acheter ou en vendre. Nos ancêtres avaient construit un endroit pour que les passants se reposent, se restaurent. Pour notre modernité, en 1550, nous avions des aides dans le personnel des palefreniers, de servantes ou cuisinières. Pour le reste, fainéant comme je suis jai embauché un maréchal et un réparateur (même constructeur à ses moments perdus)
Pour moi compte dans la vie : la bonne chair, le bon vivre, le vin de chez moi et les belles filles. Ma femme en est un peu jalouse, mais quoi lutiner une gamine nest pas pécher, cest le curé qui me la affirmé ! En attendant il ne se passe de journée sans que les voyageurs passent de Castelnaudary à Limoux et même de Mirepoix où linverse. Entre 11 heures et 15 heures (lheure des vêpres, à Belvèze de Razès, ou même à Brugairolles. Jai une foule de coqs qui font avec les gallines des ufs merveilleux pour les omelettes préparées par ma femme.
Jai une belle femme, le plus belle le plus séduisante du baillage. Il a bien fallut que je me dispute à coup de poing sur la figure pour quon me laisse la paix pour compter fleurette à Cunégonde que jai rebaptisé Cuné. Nous nous étions accordés sur le champ derrière le relais, derrière une haie. Elle est peu châtaigne, avec de grands yeux bleus comme le ciel de notre Razès. Je lai surprise quand elle gardait des bêtes qui ruminaient. Jétais debout devant elle, je la détaillais pour le regarder encore (oui elle me plait) Je lui plais, cest visible. Pour nous dans ce siècle se profile une grande période de paix. Cest visible avec les gens qui passent. Beaucoup sarrêtent boire un verre ou deux, dautre mangent, certains dorment, dautres profite des charmes de ma femme ou dune des servantes. Je ne pousse jamais une femme à coucher avec un voyageur : cest elles qui décident de leur préférence pour choisir si elles veulent ou non un amant, des fois une amante.
Un après midi vient une femme âgée accompagnée dune mignonette, sa fille : elle voulait que je lui donne du travail pour bien lui apprendre la cuisine et le service, son vux était daller dans une grand maison dun noble. Les nobles chez nous ne sont pas très bien vus ! En plus les nobles étaient vers Carcassonne ou Toulouse. Je garde la fille, la mère repart en pleurs. La gamine pour moi sadapte vite. Elle fait même des progrès, pas comme je le lui aurais souhaité. Elle sintéressait plus aux toilettes des dames, aux pourpoints des messieurs. En gros, pour parler cru, elle chassait.
Mon principal apprenti faisait les frais des recherches de la fille. Elle disait toujours oui. Jai voulu savoir jusquou elle irait. Je lai trouvé un soir dans mon lis, sous les draps, couverte jusquau cou. Quand jai levé les draps, elle était nue, étalée. Javais brusquement envie delle, je le lui disais, elle répondait oui.
Jaurais eu tord de me gêner. Elle me prenait dans ses bras membrassait, me guidais vers elle. Jétais en elle, bien au fond : elle gémissait, je continuais pour moi, elle ne comptait pas. Je me trompais : elle aimait, jouissait plusieurs fois avant moi. Elle ameutait la maison à tel point que ma femme est venue voir ce qui se passait. Elle nous a engueulé puis est venue avec nous pour partager ce que nous faisions, surtout ce que faisait la fille. Plus tard, je mendormais après mettre mis hors jeu. En me réveillant au matin, elles étaient encore accordées à se faire du bien. Je crois quelles sétaient caressées partout, même, jen ai honte dans le petit trou.
Dès mon réveil elles soccupaient de moi encore sans pudeur de leur part. Jétais le mari dune delle : elles en profitaient à deux. Mais elle avait de la ressource quand je tombais en panne. Elle couchait ma femme sur le lit, lui faisait écarter les jambes, ce que ma femme aime, passe un doigt dans le sexe, puis un autre pour finir avec la main entière.
Notre plaisir arrivait en même temps. Jéjaculais en elle, elle éclatait sous les doigts de son amante.
Elle est restée chez nous un ou deux mois. Elle me baisait souvent, surtout en présence de ma femme. Souvent ma femme se masturbait en nous regardant. Mais souvent aussi elle se branlait seule devant moi. Que vouliez vous que je fasse en la couvrant de mon regard : je me touchais la queue, bien évidement.
Ma femme me poussait souvent à me masturber devant elle, comme elle le faisait aussi. Notre couple vivait des moments dintense jouissance. Jadorais voir sa main et ses doigts astiquer son sexe : elle gémissait de plaisir. Souvent elle plantait un doigt puis un autre dans son cul. Elle se faisait jouir avec deux doigts dans lanus. Souvent quand nous baisions elle me demandait de lenculer. Je ne sais ce quelle trouvait de plus à avoir le cul ouvert pas une bite. Le sommet venait quand javais ma bite enfoncée dans lanus, et quelle se caressait le clitoris.
Un dimanche après midi, nous étions seuls, elle se mettait moitié nue dans lécurie. Lodeur dun cheval qui bandait devait linciter à baiser. Elle était assise sur une mangeoire, les jambes ouvertes, une main sur son sexe. Elle mappelait pour que je vienne remplir mon devoir conjugal. Je venais contre elle, me mettais totalement nu. Elle passait ses jambes sur mes hanches, tendait son ventre vers ma queue. Je tenais mon sexe dans la main, je le passais contre toute sa chatte, du haut vers le bas : je passais de la zone mouillée vers la partie plus séche, vers le périnée. Elle attendait encore. Quand jétais sur son anus, elle donnait un grand coup en avant : jentrais dans son magnifique cul. Il était serré, plus que son con.
Elle se faisait enculer, les yeux fermés, la tête en arrière sans rien regarder.
Jai eu la surprise quand une main est venue entre nous : elle cherchait ma queue. Je le pensais, alors quelle cherchait le clitoris de ma femme. Ce coté était libre, ma femme se laissait branler pendant que je lenculais.
Ses soupirs montraient bien son plaisir. Jen bandais plus fort. Elle se levait, me laissait dans le cul, puis offrait son con à lautre bite. Je sentis bien lautre queue contre la mienne. Je me demandais qui me faisait jouir : elle ou lui. Je regardais cette nouvelle bite : un gros morceau plus gros que moi, en plus dans son con. Elle gémissait en jouissant. Je me serais retiré : elle me voulait en elle. Je me retenais pour ne pas jouir trop vite. Celui qui la baisait devait aussi se retenir. Quand nous avons joui, presque ensemble. La bite est sorti du con de ma femme, je la regardais : elle me faisait peur. Et pourtant pris dans lambiance de la baise, je lui donnais aussi mes fesses.
Jétais penché en avant, elle prenait ma queue dans les lèvres, les faisait glisser entre elles. Elle tenait mes fesses ouvertes, daccord pour la suite qui allait marriver. Jai eu mal au début quand il est venu en moi. Cétait plus agréable après, surtout grâce à la bouche de ma femme. Je sentais cette queue aller et venir dans le cul. Et là jai joui comme rarement. Jai joui dans la bouche de ma femme qui avalait la semence alors quelle me la refusait toujours. Je sentais la bite sortir de mon cul. Ma femme voulait la prendre aussi dans la bouche : elle goutait et la bite et mon cul.
Ses mains étaient sur sa chatte : elle se branlait encore.
Nous pouvions voir ses orgasmes à deux. Jai eu envie de lui donner du plaisir alors quil avait joui en moi de mon cul. Cette fois cest ma main droite qui le caressait. Il bandait de plus en plus ; Ma femme regardait ce que je faisais. Elle reprenait encore une masturbation. Je ne lavais jamais vu se donner autant de plaisir. Cette fois elle entrait deux ou trois doigts dans son intimité. Elle allait plus loin en mettant les doigts de son autre main dans son anus ouvert. Notre amant jouissait sans que sa bite soit excitée. Je me masturbais devant eux. Je sais que mon jus allait sur eux.
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