La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°275)
Suite de l'épisode précédent N°271 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Le Marquis dEvans vient de quitter le salon en laissant Thierry, son futur chien-esclave repartir avec comme consigne et première exigence de devoir Lui adresser dans les 24 heures un mail plus conforme à sa nouvelle condition dans lequel il Le suppliera, mais avec plus de conviction, de soumission et dabnégation, de bien vouloir accepter de devenir Le Dominant et Maître de cette petite créature sans nom quil est encore mais cependant déjà à lessai avec lespoir de rejoindre le cheptel des esclaves du Château. Parallèlement, le Noble a pris le menton de Thaïs entre ses mains pour la conduire dans la chambre particulière de la suite quIL occupe dans le Château de M
.. jusquà la fin du week-end, car comme IL vient de lui dire, IL éprouve lenvie et le désir de profiter de celle qui lui appartient totalement, lui ayant juste rappelé auparavant que son cou était bien vide et quIL ne lui avait toujours pas remis les marques de son appartenance à son Maître, dont le plus élémentaire reste le collier de soumise portant les Initiales du Maître. Le Marquis a pris dans les mains lécrin contenant le nouveau collier-bijou quIL a acquis pour Sa belle chienne et divers accessoires D/s, chaînes et mousquetons, ayant la ferme intention de sen servir sans plus tarder.
Thaïs sest immédiatement mis à quatre pattes, pour emboîter le pas de son Maître, le suivant comme son ombre, telle la chienne fidèle quelle est. Mais le Marquis dEvans regrette à ce moment là de ne pouvoir attr la dragonne de la laisse qui pendrait au cou de sa chienne, même sIL na pas besoin de ce lien symbolique pour exiger de sa soumise quelle le suive, car IL sait bien quIL pourrait lui demander de le suivre ainsi jusquau bout du monde, sIL en exprimait même seulement un simple souhait. Cependant pour marquer encore plus lemprise quIL a sur celle qui est sienne, IL att lune des chaînes quIL a dans les mains et la passe juste derrière lencolure de Thaïs, sans en faire vraiment le tour pour ne pas l, conservant les deux extrémités en mains presque comme on laurait fait dune corde jetée en lasso, juste afin de pouvoir marquer encore plus symboliquement la prise de possession de celle qui dans tous les cas est déjà depuis longtemps volontairement pieds et poings liés au service de son Maître Vénéré et à son entière merci.
Le métal froid des gros maillons de la chaîne, qui pèsent sur son cou, la fait frissonner tant le contact est marquant en opposition avec la tiédeur et la douceur de sa peau claire. Elle ne peut sempêcher de penser à la parure que le Marquis dEvans lui a montré quelques minutes plus tôt et qui ornerait si bien son cou, même si elle sait quelle regrettera toujours le collier et la laisse de petite chienne que son Maître avait serré autour de son cou la première fois où elle lavait pu le voir en réel car IL avait daigné venir dans sa modeste demeure. Elle suit dune grâce animale, qui fait onduler ses lourdes mamelles à chaque avancée, sans le moindre à-coup jusquà la porte de la chambre quelle franchit à la suite de son Maître. A ce moment là, le Marquis dEvans sarrête net. Tendant le doigt en direction du sol, IL lui fait signe de simmobiliser. Le Marquis dEvans se retourne pour fermer derrière lui à clef la porte quIL a claquée dune impulsion nette, même sIL nimagine pas que Thierry aurait dans lidée de tenter de forcer cet accès intime. Mais cest aussi une manière de lui faire comprendre que le Châtelain ne sintéressera plus à lui de la journée et quil doit donc seulement veiller à exécuter les exigences de son futur Maître sil veut tenter de le satisfaire et quil ne lui reste plus quà quitter les lieux dans les formes qui lui ont été indiquées.
Le Marquis dEvans tient toujours Thaïs par lencolure, quIL avait recouvert dune chaîne de métal à gros maillons, pliée en deux afin de sen servir comme dune laisse provisoire de fortune, pour faire malgré tout avancer sa soumise en layant bien en mains.
- Ma belle chienne ne bouge pas pour linstant, que je te regarde ainsi.
Thaïs baisse la tête encore plus, ressentant le poids et la force du regard Dominant de son Maître posé sur elle. Un frisson la glace tout en même temps quune onde de chaleur diffuse depuis son plexus vers chaque extrémité de son corps. Elle creuse le haut de son dos entre les deux épaules et arc-boute les fesses pour relever sa croupe. A ce moment là, elle est aux anges, car elle sait quelle se sent à sa place, si radieuse quand elle peut être soumise aux pieds de son Maître Vénéré. Le plaisir en elle se fait aussi très humide car il la prend dans son bas-ventre, tant elle ressent de désir, de dévotion et damour pour son Maître Vénéré, même si elle sait que son plaisir à elle ne dépend plus de sa volonté car elle a abdiqué tout pouvoir sur ses désirs et plaisirs sensuels en se remettant entièrement entre les mains de son Maître, et qui plus est, quil ne passe dans tous les cas que par le don de soi dune part, et dautre part le plaisir charnel et intellectuel de son Maître quelle cherche avant tout à satisfaire dans la moindre de ses exigences et à rendre le plus heureux possible, car cest en cela quelle trouve son plaisir de Lui faire plaisir et de Le combler. Le Marquis dEvans se plait à regarder son esclave immobile mais frissonnante, dont IL pourrait exiger nimporte quoi dun simple claquement de doigts tout autant que de ne rien exiger du tout sauf de ne rien dire de plus et de la laisser là où elle se trouve, juste à quatre pattes dans une position dattente passive et docile, absolument indéfinie.
- Thaïs ! Est-ce que tu ne ressens pas le vide sur ton corps dénudé ? Navais-je pas dit quil te manquait quelque chose ? Nas-tu pas envie que je te permette de porter à nouveau mes Initiales sur toi et un collier à ton cou ?
Thaïs ne sait pas si elle doit répondre à ce qui sont, certes des questions qui lui sont posées, mais dont les réponses ne sont pas en son « pouvoir » desclave-soumise qui justement na dautres pouvoirs que celui de soffrir et de se donner corps et âme à son Maître. Elle reste donc muette, car elle na pas à souhaiter autre chose que de répondre aux exigences de son Dominant et ne veut surtout pas exprimer, queffectivement, elle aimerait bien être parée du beau collier que le Marquis dEvans a mis sous ses yeux, mais dont elle ne sait pas si son Maître considère quelle en est digne et sIL a dans lintention de lui offrir cette parure en guise de nouvelle marque dappartenance.
- Et bien Thaïs, je viens de te poser quelques questions !!! Ne crois-tu pas que cela méritait une réponse quand je daigne tinterroger ? Et bien, puisque tu nas pas voulu me répondre, tu nauras plus le droit de texprimer jusquà ce que je décide quil en soit autrement !
Le Marquis dEvans se lève, att dans lun de ses sacs un bâillon-boule quIL insère immédiatement dans la bouche de la soumise et dont IL referme aussi sec lattache en cuir derrière la tête. Attrapant alors le menton de la belle, IL loblige à redresser la tête et à le regarder dans ses yeux tandis quIL la toise de son regard perçant et incisif.
- Je veux que tu te sentes à ma merci dans tous les cas et à chaque instant, vulnérable et servile, acceptant sans rechigner, comme tu viens de le faire, la moindre de Mes exigences. Je taurais mis ce bâillon dans tous les cas, et à fortiori si tu avais eu le malheur de Me répondre, car tel est mon plaisir pour linstant. Ce nest donc pas une punition à proprement parlé mais une contrainte que je timpose, car je veux que ce soit de ton regard que tu texprimes et que tu viennes maintenant me supplier.
Le Marquis dEvans retourne vers le centre de la pièce et prend place dans lun des fauteuils de la chambre, quIL tourne de telle manière quIL se trouve face à Thaïs.
- Ma belle chienne, je veux te voir ramper jusquà moi avec toute la sensualité et la suavité dont tu pourras faire preuve. Tout à lheure, jai demandé à mon futur chien-esclave de faire la même chose et ce fut un spectacle des plus déplorables, tu nas pas pu le voir, cest dommage ! Mais, je suis sûr que tu sauras bien mieux répondre à mon attente. Il y a en toute femme, fille dEve, une part du serpent tentateur qui a poussé Adam à croquer la pomme du péché originel et je suis certain que ta reptation sera des plus excitantes et capable de réveiller en moi ma virilité qui vient pourtant dofficier en déposant ma Noble semence dans le fondement de mon soumis à lessai.
Le Maître sinstalle confortablement dans le fauteuil et regarde avec délectation Sa chienne Thaïs qui vient de sallonger carrément par terre sur la moquette de la chambre et qui a redressé la tête. Sa bouche est grande ouverte, et à cause du bâillon-boule qui lempêche de déglutir à sa guise, sa salive commence déjà à sortir de ses lèvres, mais Thaïs sent bien que ce sont ses autres lèvres roses plus intimes qui sont les plus mouillées dun tout autre liquide onctueux à souhait qui sont la preuve de son excitation quelle ne renie pas. Ses yeux scintillants se sont fixés sur les yeux du Maître avec dans le regard son désir de femelle sensuelle quelle exprime à merveille. Elle se redresse légèrement prenant appui sur lun des coudes pour pouvoir faire riper son corps de quelques centimètres. Et à nouveau elle incline la tête devant son Maître et Seigneur en signe de profonde soumission, pour recommencer linstant daprès de lautre coude, regardant à nouveau droit dans les yeux celui quelle Vénère plus que tout, tandis quelle semble glisser sur la moquette, sinclinant à nouveau respectueusement de la tête ne pouvant soutenir le regard de son Maître trop longtemps au risque de craindre de loffenser. Par quatre fois, elle avance donc ainsi, rampant de tout son corps à même le sol en se basculant dun côté et de lautre de ses avant-bras, dans ce qui reste une vraie danse érotique de reptation dont elle perçoit limpact sur son Maître, car Ses yeux ne la quittent pas et Son visage affiche un large sourire chaque fois quelle croise Son regard, imaginant limpact quelle peut produire sur sa virilité dhomme par delà le plaisir du Maître.
Mais Thaïs nest pas une simple danseuse nue de cabaret qui devrait exciter son Maître pour le faire bander. Elle sait quelle est et reste son esclave-soumise et quelle rampe avant tout pour supplier son Maître de toujours la garder à ses pieds, souhaitant pouvoir à nouveau voir son cou paré du collier quil plaira à son Maître de lui ceindre. Se redressant légèrement, pour marquer un temps de pause, elle se remet à quatre pattes comme la belle chienne quelle reste aussi et incline la tête jusquà ce que son front touche le sol. Elle reste ainsi immobile pendant quelques secondes avant de reprendre, allongée à même le sol, sa reptation pour une nouvelle avancée comme si sa danse recommençait à nouveau les même pas quelle se plairait à répéter. Elle entend son Maître qui vient dexprimer un « joli ! bien ! » quand elle a déposé son front à même le sol dans une attitude de profonde soumission et dallégeance. Ces quelques mots lui donnent encore plus de volupté dans ses gestes et son regard qui happe à chaque fois celui de son Maître avant de sincliner respectueusement tandis quelle saplatit sur le sol. Coudées après coudées, elle approche du fauteuil, donnant encore plus de force aux échanges visuels des regards de plus en plus proches qui se croisent et qui expriment à ce moment là et pendant quelques secondes à chaque fois le désir partagé du mâle et de sa femelle mais aussi la force du lien de Domination/soumission qui existe entre eux.
Thaïs se trouve maintenant à moins dun mètre des pieds de son Maître, quand IL interrompt la danse reptilienne et si érotique de sa chienne en lui attrapant le menton pour la tirer jusquà lui sans ménagement sur les derniers centimètres en lobligeant à se remettre vite fait à genoux. Thaïs bave tout ce quelle produit en salive, et elle a laissé derrière elle ce qui pourrait ressembler à une vraie trace descargot qui doit être un mélange suave entre sa salive et la cyprine qui a coulé entre ses cuisses.
- Approche ma belle, jadore te voir ainsi. Baisse la tête maintenant ! Tu es là où tu voulais être à Mes pieds, nest-ce pas ? Alors ne crois-tu pas quil serait temps de déposer sur Mes Nobles pieds un baiser en signe dallégeance, au lieu de continuer à baver tout ce que tu sais.
Le Marquis dEvans défait lattache du bâillon-boule quIL enlève de la bouche de Thaïs et IL passe délicatement la main sur le cou nu de sa soumise qui se trouve à ses pieds. Sa main large et tactile descend ensuite le long de la colonne vertébrale lentement pour simmiscer dans la raie plus étroite entre les fesses avant de se glisser profondément dans la chatte abondamment humide de la femelle qui a su ramper comme un vrai serpent tentateur avec sensualité. Il fouille de Ses doigts cette chatte trempée et prend plaisir à aller et venir lentement en elle. Thaïs en gémit de plaisir. Puis le Maître accélère cette masturbation occupant toute la paroi du vagin en écartant Ses doigts cadencés et tendus. Des clapotis se font entendre à chaque vas et viens de cette main dominante, signe de lextrême lubrification naturelle du sexe tant humide de Thaïs. Pendant ce temps là, la soumise si excitée sest courbée entièrement jusquà ce que sa tête vienne se poser sur les pieds nus de son Maître, quelle baise délicatement et humblement du bout des lèvres, comme sils étaient de précieux objets de valeurs quelle pourrait craindre de ternir. Le Marquis dEvans retire Ses doigts poisseux de cette chatte béante, puis soulevant le menton de sa chienne, Il lui intime lordre de lécher sa mouille restée sur Ses doigts présentés devant son visage :
- Allez lèche, Ma belle, oui lèche bien ta mouille de chienne... Je vois que tu es toujours aussi mouillée et onctueuse, ma belle petite chienne lubrique
Aurais-tu donc déjà envie de jouir ? Mais il va te falloir attendre la belle, car ce nest pas ce qui est au programme pour linstant, même si je reconnais que, en rampant jusquà Mes pieds que tu viens dembrasser comme tu sais si bien le faire, tu mas sérieusement excité ce qui a fait se tendre ma Queue qui attendra bien un peu cependant. En effet, Je veux beaucoup plus de solennité pour ce que jai à faire maintenant, instant dont Je veux que tu te souviennes avec autant de force que lorsque je tai posé la première fois ton collier de chienne-soumise
.
(A suivre
)
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