La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°276)
Suite de l'épisode précédent N°275 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Le Noble marque un temps darrêt et Thaïs a compris aussitôt quelle doit se positionner correctement quand elle a entendu son Maître prononcer ces derniers mots tandis quIL adoptait un ton plus posé. Elle tente dabord de calmer sa forte excitation tant son bassin allait et venait naturellement démontrant cette envie dêtre prise, dêtre baisée comme une bonne femelle en chaleur. Elle souffle un bon coup, se calme en se concentrant, mesurant linstant solennel du moment qui va suivre. Puis elle se remet à genoux, laissant reposer ses fesses sur les talons avec les jambes écartées, le corps bien droit et la tête inclinée au maximum. Elle pose ses deux mains sur ses cuisses, paumes ouvertes vers le haut, nayant pas reçu de consignes contraires. Son cou est totalement plié à lextrême et sa nuque exposée sous le regard Dominant de son Maître sest couverte dune légère chair de poule due à la tension qui traverse la soumise ainsi positionnée.
- Tu es et tu restes Ma chienne, Ma soumise, Ma chose. Tu mappartiens totalement et je veux que tu sois fière de pouvoir montrer ta condition et ton appartenance à tout moment, à ton Maître bien sûr mais à tous ce que tu peux croiser également. Ton collier et ta laisse de chienne, je ne les renie pas car cest avec cette laisse que je tai si souvent tenu à Mes pieds, aimant tout à la fois te tenir par lanneau qui pendait à ton collier et à ton cou, que par le bout de la laisse. Je sais aussi que tu les portais fièrement en ma présence mais que tu ne pouvais pas les garder facilement dans ta vie de tous les jours, surtout dans ta vie professionnelle. Je savais ton désir de porter un vrai collier desclave, mais les temps ont changés et cela ne serait pas plus facile à arborer dans la rue et dans lentreprise que tu gères, si tu ne veux pas avoir dennuis avec tes clients et ton personnel, et telle nest pas ma volonté, car jai dailleurs de nombreux projets dont je te ferais part le moment venu au sujet justement de la société que tu gères à ce jour.
Le Marquis dEvans prend le temps de passer sa main tout autour du cou de Thaïs qui tremble sous ses caresses et dont les yeux perlent de larmes démotions et de bonheur de se savoir ainsi aux pieds de son Maître et sous son joug.
- Le collier que je tai fait faire est plus en relation avec ta condition actuelle desclave heureuse à Mes pieds. Tu ne pourras en aucun cas lenlever et tu le porteras donc nuit et jour et chaque jour de la semaine. Il est en métal et tu peux le garder même pour faire ta toilette sans le moindre souci. La fermeture se fait grâce à une goupille spéciale que moi seul détiendrai, donc je serai le seul à pouvoir le cas échéant louvrir si je devais décider de te lôter. Tu as conscience de ce que cela signifie, Thaïs. Ce ne sera pas une marque gravée sur ton corps, même si je ne nie pas que lun nempêche pas lautre, mais chaque chose en son temps. Et ce sera bien une marque de ton appartenance que tu ne pourras plus cacher, car elle sera visible, pas question de te mettre à porter des écharpes autour de ton cou, cela va devenir un accessoire qui te sera interdit sauf autorisation spéciale.
Le Maître prend à ce moment là le menton de son esclave-soumise entre les mains, lobligeant à redresser les fesses, à se tenir le dos bien droit, mais tout en restant à genoux. Il lui lève la tête pour croiser son regard quelle tient toujours baissé, prise par lémotion.
- Thaïs, tu as bien entendu, ce que je viens de te dire ? Regarde-moi maintenant ! Es-tu daccord pour que je referme ce collier sur ton cou de manière permanente si ce nest définitive ? Ne crains rien cependant, il a été ajusté à tes mesures que je connais et tu pourras respirer tout à fait normalement, car il laisse suffisamment despace pour permettre tous tes mouvements. Il nest pas question de t mais bien de faire en sorte que tu ressentes ta condition desclave-soumise à chaque instant ainsi que le poids de Mon joug qui doit peser sur toi.
Thaïs a attendu que son Maître termine ses phrases et dune voix émue, en levant et ouvrant les yeux, qui sont humides démotion, elle répond :
- Mon Maître Vénéré, jai bien entendu tout ce que Vous mavez dit. Oui, je suis bien évidemment daccord, dabord parce que je suis Votre esclave-soumise et que je dois obéir à chacune de Vos exigences sans poser de questions et sans pouvoir my soustraire, mon accord nest donc que de principe car Vous pouviez Vous en dispenser. Mais, sil mest permis malgré tout dajouter, je peux Vous dire, mon Maître Vénéré, quil ny a rien qui me ferait plus plaisir que de Vous laisser fermer sur moi ce magnifique collier dont je me sens si peu digne et quil me sera si facile et si plaisant de pouvoir conserver tout le temps et dans toutes les circonstances.
- Oui, il est suffisamment beau pour que le commun des mortels ny voit quun simple bijou de qualité en or et en acier qui ornera ton cou et brillera de ses strass bleus vifs que jai fait insérer dans le métal. Seuls quelques initiés en comprendront aussitôt le sens profond D/s et apercevront lanneau en « O » qui pend au centre, ainsi que les brillants de couleur saphir qui représentent des chaînons entremêlés. Mais en outre, il sera clair que comme Mes armoiries et Mes initiales sont gravées sur le devant du collier, même sil faut se trouver assez près pour voir ce dont il sagit, les autres Dominants que tu serais amenée à croiser hors ma présence, sauront que tu nes pas une simple soumise, mais bien une soumise qui appartient à ton Maître.
Le Marquis dEvans sest légèrement décalé pour sapprocher de la desserte sur laquelle IL a posé le fameux écrin contenant le nouveau collier en métaux superposés, or et acier. Et revenant près de Thaïs, tandis quIL saffaire à sortir la parure de sa boite, IL ajoute :
- Noublie pas que cest à Moi seul que tu dois obéissance, éventuellement à Mes serviteurs en Mon Château quand tu seras autorisée à venir my retrouver car ils nagissent, en tout état de cause, que sur Mes ordres exclusifs.
Prenant sa voix la plus cérémoniale qui soit, pesant chaque mot pour faire durer linstant, le Marquis Edouard dEvans se baisse pour passer lobjet quIL tient entre ses mains sous la tête de Sa soumise après lavoir écarté à la jointure pour louvrir en deux sur le côté.
- Thaïs, Ma soumise fidèle et dévouée, baisse la tête devant ton Maître et reçoit de Mes mains ton nouveau collier desclave que tu garderas sans pouvoir lôter, et ce tant quil me plaira quil en soit ainsi. Il est orné de Mes initiales MDE et de Mes armoiries. Tâche de les honorer.
Le Marquis dEvans scelle le collier autour du cou de Thaïs en refermant la fermeture invisible qui est incluse à lintérieur du métal juste du côté opposé du bijou, qui reflète déjà en bleu les rayons de lumière qui se posent dessus.
- Redresse la tête que je puisse voir ce que cela donne à ton cou
Tu es magnifique ainsi parée, mais noublie jamais une chose, ce ne doit pas être à tes yeux un simple bijou pour te permettre de tenorgueillir de sa présence en paradant. Ce que je tai donné, je peux à tout moment le reprendre si telle est Ma volonté et à fortiori si jestime que tu nen es plus digne ou si tu venais à Me décevoir. Cest un collier de simple soumise sans plus, sauf que nétant pas de cuir, tu nauras plus ni le besoin, ni le loisir de pouvoir lenlever. Donne-moi tes poignets maintenant que je complète lensemble.
Le Maître installe tour à tour à chaque poignet le bracelet de métal assorti au collier quIL referme également sur les deux bras de Sa soumise de manière permanente. Sans attendre, IL retourne chercher plusieurs chaînes de taille et de longueur différentes.
- Si le collier et les bracelets resteront définitivement à ton cou et à tes poignets, tu vas vite comprendre la raison des différents arceaux disposés tout autour, qui ne sont pas questhétiques. Je disposerai ainsi plus facilement de plusieurs points dancrage pour te restreindre tout à loisir, et je ne vais pas me priver pour user et r encore plus de toi à Ma guise.
Le Marquis dEvans att un mousqueton quIL accroche directement à lanneau central qui pend au cou de Thaïs. Celui-ci se prolonge par une chaîne à gros maillons quIL laisse tomber à la verticale. IL tire par le bras la soumise pour quelle se remette debout et la force à écarter les jambes au maximum. Se plaçant derrière elle, IL att entre les cuisses la chaîne qui pend et la remonte vers la nuque de Thaïs. De lautre main, IL a accroché un nouveau petit mousqueton sur larceau qui se trouve à larrière du collier et IL vient accrocher la chaîne de manière à ce quelle soit suffisamment tendue pour passer entre les parties intimes de la belle chienne avant de remonter par lintérieur de la raie des fesses.
- Tu navais pas tout vu quand tu avais ouvert le carton que javais fait livrer. Il sagit dune chaîne spéciale dont les maillons peuvent tous souvrir ce qui permet de régler à un maillon près lajustement de la longueur de la chaîne suivant lusage et la position dans laquelle tu te trouveras.
Thaïs sent la chaîne qui sest immiscée au plus profond de ses parties intimes et cela la fait encore plus couler, même si elle ressent le tiraillement des gros anneaux sur les chairs sensibles qui sont meurtries par le métal indécent qui la pénètre. Quand son Maître a fermé le dernier maillon en tendant au maximum la chaîne, Thaïs na pu quesquisser un clignement des yeux, serrant les dents en se mordant la lèvre pour ne pas crier. Elle a tenté de remonter les fesses en les contractant pour réduire la tension sur le lien qui sest introduit en elle, mais elle a beaucoup de mal à maintenir la contraction et doit donc se résoudre à soulager les muscles fessiers, ce qui a pour effet de provoquer une tension encore plus grande dans sa chatte et le sillon étroit qui partage ses fesses. Le Marquis regarde les yeux de la belle chienne quIL a fait passer en quelques secondes très volontairement du plus beau sourire radieux au regard presque inquiet, bien que confiant, car IL est persuadée quelle doit se demander combien de temps son Maître va ainsi la laisser avec une chaîne qui lui scie carrément ses parties intimes sexuelles. Mais le Maître voulait que Sa soumise ne se fasse pas griser par le cadeau dont IL venait de la parer, mais quelle en ressente bien la fonction première, celle qui est de lui faire prendre conscience par le port permanent de ce collier de métal de sa condition desclave-soumise aux pieds de son Maître et limpossibilité pour elle de sy soustraire une seule seconde, même quand elle ne sera plus en présence de son Maître.
Sans lui laisser plus de temps, le Marquis prend alors une chaîne plus petite qui se termine par deux pinces à seins quIL referme sans tarder sur les tétons pointés de la soumise, qui est malgré tout terriblement excitée par tout ce quelle vit, malgré la douleur quelle ressent dans son bas ventre. Excitation quelle ne peut cacher quand son Maître passe entre ses cuisses sa main quIL ressort encore une fois trempée et quIL approche des lèvres de Thaïs pour se laisser essuyer par une petit langue bien docile de la petite chienne bien dressée qui se délecte de sa propre mouille, comme tantôt. Le Maître prend ensuite les morceaux de chaîne non utilisés dans la main gauche, et de la main droite, IL att la chaînette et tire Sa soumise à sa suite sur quelques pas en la menant carrément par le bout des seins, par une tension que Thaïs peut difficilement réduire car elle a bien du mal à marcher tant que la chaîne à gros maillons lui strie le bas ventre et les fesses, lobligeant à se déplacer maladroitement
Mais la belle est tellement excitée quelle prend un véritable plaisir à suivre son Maître ainsi.
- Viens par ici la belle sur la table basse, Je vais jouer un peu avec toi maintenant...
(A suivre
.)
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