Dernier Récit

Récit : La dernière fois

Salut C’est Bob. Je remercie encore tous ceux qui apprécie mes récits et qui ont la gentillesse de laisser un commentaire même si je ne réponds à chacun, faute de temps.
Ceci sera peut-être le dernier récit de la série « Virginie » car cette fois-ci il en est belle et bien fini de ma chérie aux yeux d’anges et au regard pétillant.
Ce récit sera donc un résumé et servira peut-être de leçons aux hommes amoureux d’une fille qui manifestement n’a jamais eu froids aux yeux. Il ne faut toutefois pas généraliser.
Voilà. Je commence l’histoire.
Virginie et moi, nous nous sommes connus très jeunes lorsque nous étions au lycée. 16-17 ans peut-être 18. Nous nous sommes mis en couple rapidement parce que nous nous trouvions beaux l’un l’autre ; et sur la même longueur d’ondes avec les mêmes plaisanteries et les mêmes blagues, le même humour.

Très vite, nous avons fait l’amour. Au bout de trois mois en fait ; mais c’était notre première fois autant à elle qu’à moi, même si elle m’avoua ultérieurement s’être déjà faite tripotée plusieurs fois avant cela. Avant moi cependant, elle ne s’était jamais donnée vaginalement et n’avait jamais sucé une queue de toute sa vie, à ce qu’elle m’eut dit.

A nos débuts, je trouvais la fellation sale et déshonorante pour une femme et je lui disais que je ne ferai jamais ça avec elle juste par respect pour elle. Je vis rapidement qu’elle en était attristée et un jour sans m’y attendre elle décida d’elle-même de me sucer sans pour autant tout avaler. Ce fut une expérience inoubliable. Puis, elle voulu gouter et c’est ainsi que quelques mois plus tard ou semaines elle m’empêcha de sortir ma queue de sa bouche pour que je décharge en elle ; et elle gouter à ma semence puis avaler.

Ma chérie trouva le sperme très bon quoiqu’un peu salé et continua à plusieurs reprises à prendre mon sexe dans sa bouche et à me vider les réservoirs tout en avalant.

Je pensais à elle, à mon plaisir mais Ô combien elle était belle dans ces moments, de loin la plus belle fille du Monde et seule et unique. Mon amour pour elle est allé en grandissant et réciproquement. Nos idées étaient souvent portées sur le sexe et nous faisions l’amour partout où l’on pouvait : jardins publics, forêts, bois, prairies et même dans le bus et dans le train, juste pour une fellation ; complète.

Avec le temps, Virginie prenait de l’assurance et suçait de mieux en mieux. Et pour cause, en cachette derrière mon dos et derrière le dos de sa mère, elle enregistrait puis se matait toute seule des films pornos, pas érotiques, pornos. Ma chérie, très vite m’en fit part et finalement, nous les mations ensemble par la suite chaque fois que sa mère n’était pas là car à l’époque, même si nous étions tous juste majeurs, nous vivions encore chez nos parents.

Puis ma belle à commencer à faire d’autres rencontres : Nono le moniteur d’auto-école, Domi le chauffeur de bus avec qui elle eut une liaison coupable.
Avec Nono, elle me disait que ce dernier la draguait et qu’il sortait son sexe devant elle pendant qu’elle conduisait. Le gars l’emmenait sur un petit parking en lisière de forêt. Et ce qu’il devait arriva, arriva : il la sauta, la baisa et l’encula profondément. Ce fut sa première sodomie. Le soir en rentrant, elle ne m’eut rien dit de tout cela. Elle m’eutdit simplement :
- « J’ai envie d’essayer la sodomie »

Devant la tentation et pour faire plaisir à ma belle, je succombais à ses désirs ; et je dois dire, sans m’en douter, que je suis rentré très très facilement dans son cul. C’était pour moi, la première fois que je sodomisais une femme et ce fut très très bon. Inoubliable.

Ce n’est que plus tard, quelques jours plus tard, que ma belle m’avoua sa relation avec Nono : le gars exhibait son sexe devant elle. Il était assis côté passager.
Sur le parking, il détachait les ceintures de sécurité, bascula les sièges en arrière et incitait ma chérie à le sucer, ce qu’elle finit par faire, après lui avoir dit plusieurs fois :
- « Nono, non, je ne peux pas.
Tu sais que je suis en couple ».
Le gars se fichait éperdument de savoir si Virginie était en couple ou pas. Il voulait se la faire, la baiser et moi comme un con, j’ai dit à ma copine :
- «Bah, vas-y si tu en as envie. Fais-toi plaisir »

Je ne pensais pas que ma chérie allait craquer aussi vite car l’homme, en trois ou quatre séances d’auto-école, avait déjà fait son œuvre.

Puis il y a eu Dom ou Domi. Autre mâle dominant et arrangeant. Virginie ne le trouvait pas spécialement beau car il était presque chauve et avait une cinquantaine d’années. C’était son chauffeur de bus, celui qui l’emmenait chaque samedi matin prendre ses cours de conduite.

Virginie eut très tôt de lui parler de moi et de Nono et des relations hommes-femmes en général. A vrai dire, ce fut Domi le premier qui la titillait sur le sujet. L’homme, pourtant marié, deux s, draguait ma chérie pendant que lui conduisait. Ma belle restait tout le temps à côté de lui dans le bus et restait avec lui après le terminus. Elle restait encore avec lui sur son temps de pause avant de reprendre le parcours suivant. Il la fit s’asseoir sur le siège du conducteur pour lui apprendre les commandes disait-il. Moi je crois qu’il la fit se mettre à genoux ou accroupie devant lui jambes écartées pour qu’elle le suce, ce qui est sans doute vrai car dans tous les cas, un dimanche matin, alors que sa mère n’était pas là, je vis sortir Domi de chez ma chérie avant que je n’arrive. En arrivant ma belle était en nuisette ou chemise de nuit. Bien sûr, au moment où je lui demandais ce qu’elle faisait avec lui, elle nia tout, malgré le quasi-flagrant délit.

A bientôt.
Bob.

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