Katherine 2
Une semaine avait passé depuis mon aventure avec Katherine. Pendant tout ce temps, je ne cessai de penser à elle. Malheureusement, impossible pour moi de reprendre contact avec elle, car, trop distrait, je n'avais pas pensé à prendre son numéro. J'hésitais à demander à Laure, ma meilleure amie (qui nous avait présentés Katherine et moi) son numéro, car je n'avais pas très envie de raconter que moi et son amie d'enfance avions couché ensemble... Et je n'osais pas retourner à la maison de Katherine, comme ça à l'improviste, ne sachant pas comment elle me recevrait (même si de toute évidence, elle avait aimé ça autant que moi), je n'étais d'ailleurs pas sur de retrouver sa maison. Bref la semaine qui venait de passer avait été très longue tiraillé comme j'étais.
Mais, le vendredi soir, à la sortie du Lycée, Manon, une amie de Laure me dit :
"J'ai un service à te demander"
"Ah ? Et c'est quoi ? Répondis je."
"Voilà, avec mon copain on voulait faire une sortie ciné et restaurant avec un autre couple, on s'était dit qu'une sortie à 4 ça pourrait être drôle. Mais vu qu'on connaissait pas de couple, on a décidé d'organiser une rencontre entre une amie à moi célibataire, et un ami à lui. Mais mon mec a pas très bien compris ce que je lui ai demandé, et au lieu de me trouver UN ami à lui, il m'a ramené UNE amie à lui ! Bref, j'ai réussi à trouver un garçon pour accompagner ma pote, mais la sienne est toujours seule, ça te dirait de venir avec nous, histoire de lui tenir compagnie pour qu'elle ne tienne pas la chandelle ?"
Je n'étais pas très chaud à l'idée de rencontrer une autre fille alors que j'étais obsédé par Katherine, mais j'acceptai quand même.
Je rentrai donc chez moi, me préparai sans enthousiasme pour la soirée, et allai au cinéma où je devais retrouver Manon, son copain, l'amie de Manon et le garçon qu'elle lui avait trouvée, ainsi que la fille à qui je devais tenir compagnie.
Lorsque j'arrivai devant le cinéma, à 20h, Manon était déjà là avec son copain, et la fille à qui je devais tenir compagnie. Le copain de Manon était grand, un peu rond, le visage sympathique, son amie, à qui j'évitais de tenir la chandelle ce soir était petite, mince, des cheveux blonds courts et carrés, de grosses lunettes rondes, bref ce n'était pas à proprement parler une beauté.
Néanmoins en vrai gentleman, je lui fis la bise, et me présentai.
"Enchantée, je m'appelle Lise, me répondit elle, sans avoir pourtant l'air enchanté".
Nous avions encore à attendre l'amie de Laure, ainsi que la garçon qu'elle lui avait trouvée. Nous les attendîmes environ un quart d'heure. Pendant ce laps de temps, j'essayais de faire plus ample connaissance avec Lise et le copain de Manon (qui s'appelait Karl), mais si je m'entendais très bien avec ce dernier, je ne parvenais que très difficilement à discuter avec Lise, tant celle ci était froide et distante. Je commençais doucement à m'enuyer quand Manon dit :
"Ah, ça y est, ils arrivent".
Je tournai la tête pour suivre son regard, et je vis arriver deux personnes, une fille et un garçon. Le garçon était élégant, grand, la peau noire. La fille... c'était Katherine ! Elle était très sexy, comme lors de notre dernière rencontre, en robe noire moulante. Ses cheveux noirs, ramenés en une seule tresse, qui pendait sur son épaule. Lorsqu'elle me vit, elle me décocha son sourire provocateur, qui me troublait tant.
Manon fit les présentations, et c'est ainsi que j'appris que le garçon s'appelait Kévin. Alors que Manon commençait à nous présenter Katherine et moi, celle ci l'interrompit :
"Pas la peine, on se connaît, il a fait une soirée chez moi le week end dernier..."
"Ah dit Manon, je savais pas, il paraît que c'était une super soirée !"
"Oh oui dit Katherine en me regardant dans les yeux avec un sourire charmeur, c'était vraiment délicieux"
"Oui dis je un peu gêné, et en évitant Katherine des yeux, c'était super comme soirée.
Nous fîmes la queue et entrâmes dans le ciné. Alors que fidèle à ma mission de tenir compagnie à Lise, je m'installai à côté d'elle, Katherine vint d'un air faussement innocent se mettre également à côté de moi. Je me retrouvai donc entre Lise, toujours aussi froide et distante, et entre Katherine qui de toute évidence était contente de me revoir, mais sans que je sache exactement ce qu'elle avait dans la tête. Après tout elle était là pour tenir compagnie à un autre garçon elle aussi, et peut être qu'il lui plaisait plus que moi...
Cependant, durant le film je fus vite rassuré. Dés les première minutes du film, Katherine, profitant de l'obscurité de la salle se mit à me caresser furtivement. D'abord, elle se contenta de prendre ma main, puis ses caresses commencèrent à aller sans cesse plus loin, passant de la main au bras, du bras à la cuisse, et lorsqu'elle commença à me caresser l'entre cuisse, j'eus peur qu'on nous vît et me levai pour aller aux toillettes, afin de reprendre mes esprits.
Alors que dans les toillettes, je me passai de l'eau sur la figure (je me sentais en proie à une grosse chaleur), j'entendis une voix derrière moi
"Je suis sur que je t'ai manqué pendant la semaine"
Je me retournai, et vis Katherine derrière moi, son sourrire narquois aux lèvres.
"Oui, recconnus je, tu m'as beaucoup manqué"
"Le film te plaît ? Me demanda t elle en se rapprochant"
"Je sais pas, j'ai pas trop suivi..."
"Moi non plus dit elle, en s'approchant encore, j'ai pas envie d'y retourner tout de suite..."
Et alors, n'y tenant plus, je me jetai sur elle, l'embrassant sauvagement. Elle me rendit mon baiser avec fougue, et m'entraîna dans un des cabinets et referma la porte à clé avant de me plaquer contre le mur et de m'embrasser le cou. Puis, elle m'enleva mon pantalon et entrepris de me masser l'entre-jambe.
"C'était génial, dit elle, mais heureusement, la soirée n'est pas finie ! Oh et cette fois ci, donne moi ton numéro."
10 minutes plus tard, nous étions retournés l'air de rien au cinéma. A la fin du film, nous allâmes tous les 6 au restaurant.
Durant tout le repas, Katherine ne cessa de me chauffer, me faisant du pied, faisant exprès de me mettant son décolleté sous le nez aussi souvent que possible, et allant même jusqu'à me masser l'entre-jambe avec son pied. J'avais l'impression d'être en feu, et m'imaginais constament entrain de la baiser sauvagement. Inutile de dire, que je ne fus pas très bavard pendant le diner.
Après le repas, Katherine proposa de rammener tout le monde à sa maison, puisqu'elle était la seule à avoir le permis. Elle déposa d'abord Manon et Karl chez eux, puis ensuite déposa Lise (qui me dit tout juste aurevoir) et enfin déposa Kévin chez lui. Celui ci eut l'air déçu de partir, comme si il espérait passer la nuit avec Katherine... Après qu'il soit parti, Katherine me dit de venir m'asseoir à côté d'elle à l'avant sur le siège passager, puis démarra la voiture. Nous roulâmes un temps, sans dire un mot, puis elle s'arrêta devant une maison. Je remarquai alors que c'était chez elle.
"Ce n'est pas chez moi dis je."
"Non en effet, quel observateur tu fais ! Dit elle d'un ton moqueur, tu vas passer la nuit ici, n'essaie pas de me faire croire que ça te déplaît.
Pour toute réponse, je l'embrassai. Elle me rendit mon baiser, puis vint sur moi. Elle m'enelva mon pantalon et après avoir abaissé le dossier du siège, pour avoir plus de place, s'empala sur moi et commença à se déancher, provoquant chez moi des décharges de plaisir, cependant je ne restais pas inactif, lui massant les seins à travers sa robe, et lui léchant le cou de temps en temps. Elle me chevaucha ainsi durant un quart d'heure de folie, gémissant à chacun de ses mouvements, et me menant au bord de la joussance, avant de changer de position. Elle se leva, se retourna, s'assit sur moi en me tournant le dos et entreprit là encore des vas et viens. Dans cette position, j'avais accès à tout son corps, à ses seins, son clitoris, déclenchant, lorsque je massais une de ces parties de son coprs des cris de plaisir chez mon amante, et je pouvais également embrasser son cou ce dont je ne me privais pas. Au bout d'une demi heure, je ne pus plus me retenir, et finis par me déverser en elle, l'inondant de mon plaisir.
Après ce délicieux moment passé dans sa voiture, nous rentrâmes chez elle, où elle me présenta rapidement à ses parents (en "oubliant" de dire que nous avions déjà baisé trois fois ensemble) et leur demanda si je pouvais rester dormir, pretextant que mes parents n'étaient pas chez moi (ce qui était faux, mais elle ne pouvait décemment pas dire à ses parents ce qu'elle comptait faire avec moi cette nuit).
Ils acceptèrent sans problème, et après m'être douché (tout seul à mon grand regret), j'enfilai un pyjama que le père de Katherine m'avait prêté, tout en espérant que je le quitterai bientôt...
Mes espoirs ne furent pas déçus, au bout de quelques minutes, quelqu'un toqua à la porte. J'allai ouvrir et à ma grande joie, c'était Katherine.
Elle était vétue d'un pyjama ultra sexy, composé d'un short court, et d'un débardeur qui dénudait son dos intégralement ainsi que son ventre plat. Le tout avec un décolleté large et généreux, je ne vous étonnerai donc pas en vous disant que je bandai immédiatement en la voyant.
Avec son sourire habituel elle entra dans la chambre, referma derrière elle, et me poussa sur le lit, puis s'installa sur moi et commença à m'embrasser langoureusement. Au bout de 5 minutes, ni elle ni moi n'avions commencé à nous désabhiller, elle ne semblait pas pressée de passer aux choses sérieuses, alors je repris le dessus, la faisant basculer me mettant au dessus d'elle et entrepris de l'embrasser partout. Je partis de sa bouche, puis m'attaquai au cou que je léchai délicatement, avant de descendre et d'embrasser et masser ses seins, je descendis encore, embrassant son ventre dénudé, avant de lui masser l'entre-jambe provoquant chez elle des cris de plaisir. J'ai déjà dit dans le précédent récit que la maison de Katherine était énorme, et c'était heureux, car si ses parents avaient entendu ses gémissements, ils n'auraient sans doute pas apprécié. Après l'avoir ainsi comblée, j'enlevai mon haut de pyjama, et voulus la désabhiller elle, mais elle ne se laissa pas faire. Elle m'interrompit, reprit le dessus, me plaquant sur le matelas, et me dit
"Tiens toi tranquille deux secondes, j'ai un truc à te montrer".
Curieux j'attendai de voir ce qu'elle me réservait, et fus surpris de la voir sortir deux paires de menottes de la table de nuit.
Avant que je n'eus le temps de protester, elle m'avait déjà attaché la première main à son haut de lit. Pour la deuxième main, elle eut un peu plus de mal, car je me débattai (l'idée d'être menotté me mettait un peu mal à l'aise) mais je ne pouvais rien faire, et elle finit par arriver à ses fins.
"Maintenant, tu es à moi et tu ne peux rien faire, dit elle avec son sourire narquois"
Je voulus protester, mais elle m'embrassa, me faisant taire, puis, elle entreprit de m'embrasser le torse, puis la bouche, puis le cou, puis de nouveau le torse, bref un peu partout, sauf à la zone volcanique... Elle me rendait complètement fou, j'avais envie de la prendre immédiatement, mais je ne pouvais rien faire, c'était horrible mais pourtant, je dois dire que la sensation d'être à sa merci, de subir le plaisir qu'elle me donnait sans pouvoir réagir était très agréable. Après quelques minutes de ce délicieux supplice, elle décida de me bander les yeux. Là ce fut à la fois pire et encore plus agréable. Pire, car elle ne semblait toujours pas décidé à s'occuper de mon sexe, qui était si dur et si raide que ça en devenait douloureux, plus agréable, car je ne voyais rien, et que Katherine prenait un malin plaisir à embrasser l'endroit où je m'attendais le moins qu'elle m'embrasse. Un coup elle m'embrassait la bouche, un autre coup le cou, l'instant d'après le torse, puis de nouveau le cou, puis le ventre, bref partout mais jamais elle ne s'occupait de mon sexe. L'effet de surprise, combiné à l'impuissance et à la frustration rendait mon calvaire tout simplent exquis. Soudain, je la sentis enlever mon pantalon, enfin ! L'heure de la délivrance avait sonné ! Pourtant il n'en fut rien, et elle continua de m'embrasser partout sauf là où je le désirais le plus... Vint un moment où elle m'embrassa sur la bouche, je lui rendis son baiser fiévreusement, et après un baiser torride elle quitta soudainement mes lèvres, je pensais qu'elle allait m'embrasser le torse (cela faisait longtemps qu'elle n'y avait pas été) mais à ma grande surprise, et à ma grande joie, ce fut mon sexe qu'elle embrassa, puis qu'elle prit carrément en bouche, entammant une décilieuse fellation. Au momment où elle le prit en bouche, l'énorme frustration que je ressentais se transforma en plaisir immense et je poussai un hurlment de plaisir et de soulagement. Ses vas et viens bucaux m'envoyaient tous au 7ème ciel me faisant presque oublier mon prénom tant le plaisir qu'elle procurait était grand. A un momment elle m'administra un coup de langue si expert que je faillis jour dans sa bouche. Elle s'interrompit alors, me laissant tremblant de plaisir.
Elle retira mon bandeau, et j'y vis de nouveau clair.
"Alors mon grand tu t'éclates ? Me demanda t elle son sourrire narquois aux lèvres"
"T'as pas idée, dis je, t'es une vraie experte !"
"Je sais, et t'as encore rien vu !"
Sur ce, elle se désabhilla lentement, ce qui me rendit à nouveau fou, je me levai mais les menottes me retenaient, je me débattis comme un fou, mais rien n'y faisait, j'étais bel et bien immobilisé, incapable de baiser cette magnifique créature qui se désabhillait lentement devant moi, son sourrire narquois aux lèvres. Une fois nue, elle revint sur moi, s'empala sur mon sexe et entama de déliieux vas et viens. Cependant, comme tout à l'heure, elle me torturait : elle s'amusait à alterner le rythme de ses vas et viens. Tantôt elle allait vite, laissant mon sexe entrer profondément en elle, me faisant défaillir de plaisir, tantôt elle allait lentement, et ne me permettant que de rentrer qu'un tout petit peu en elle, provoquant chez moi la frustration. A un moment, alors qu'elle me frustrait depuis plusieurs minutes je lui dis :
"Il faut que je te supplie pour que tu me baises vraiment ?"
"Pourquoi pas ? Me répondit-elle, je ne te promets rien, mais ça ne peut qu'aider..."
Refusant de jouer son jeu, je ne la suppliai pas, mais deux minutes plus tard, alors qu'elle me frustrait toujours, je capitulai :
"Katherine, s'il te plaît baise moi ! Dis je dans un cri"
Elle sourit d'un air triomphant, puis accéléra ses coups de reins, atteigannt une vitesse folle. J'étais alors au nirvana : quelle experte cette fille ! Elle me baisait si bien que par moment, je voyais des points lumineux danser devant mes yeux. Des frissons me parcouraient le corps, partant de mon sexe et se répendant partout ailleurs, jamais je n'avais ressenti de plaisir aussi grand, je criais, serrais les dents pour ne pas jouir, haletais, me toritillais de plaisir, tandis qu'elle, me chevauchait, ses seins lourds se balançant au rythme de ses vas et viens. Si moi je devais me retenir pour ne pas jouir, elle en revanche eut trois orgasmes rien qu'au cours de cette nuit. Elle faisaist de moi ce qu'elle voulait, me baisait, m'embrassait de temps en temps, approchait ses seins pour que les lèche, me griffats et me mordait (pas trop fort non plus), et surtout, tout au long de cette formidable baise, elle ne me quitta pratiquement pas des yeux, me toisant d'un regard fier et dominateur, un sourire provocateur aux lèvres. Bref, en un mot, j'étais totalement à sa merci, et j'adorais ça. Malgré mon héroïque résistance, je finis par jouir, me déversant en elle. A ce moment là, le plaisir fut si grand que je crus m'évanouir.
Katherine, son beau visage rougi par l'effort (il faut dire qu'elle s'était bien dépensée), me détacha et sans un mot se pelotonna contre moi. Nous nous endormîmes ainsi.
Le lendemain, je rentrai chez moi, ravi de cette torride aventure. Au cours des deux semaines qui suivirent, elle et moi couchâmes souvent ensemble.
Mais quand vinrent les vacances de Pâques, Katherine partit en vacances, tandis que moi je restai ici. Ce fut l'occasion pour moi d'avoir une aventure avec une autre fille, Noémie, mais cela, c'est une autre histoire...
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