Chap 25 Le Gynéco

« Tu sais Alfred, il y a longtemps que je ne suis pas allée chez le gynécologiste, il faudrait que je prenne un rendez-vous...
- J'en connais un...c'est un vieil ami...de fac, il n'exerce plus depuis longtemps, mais il était très renommé, il a gardé son cabinet...si tu veux je peux lui demander de t'examiner...!! »
Je savais que cela cachait quelque chose, mais il était tellement gentil et aux petits soins pour moi que je ne puis lui refuser.
« Tu vas voir, il va te plaire... » me dit-il avec un clin d'œil !
Il s'éclipsa et revint un moment plus tard.
« Ça y est, j'ai téléphoné, il peut nous recevoir dans une heure, il est très content... 
- Bon je vais prendre une douche, et on y va... »
Il avait l'air tout excité, il souriait en me regardant, ayant l'air d'apprécier mon corps, mes seins offerts aux regards par la nuisette seins nus, la chainette d'un collier de seins en or pendait entre mes globes fermes et mes mamelons étaient enserrés par une cordelette noire reliée à deux gouttes d'or, cela les maintenait en légère érection..
Son regard descendit, sur mon sexe bien épilé encadré par mon porte jarretelles. Mes jambes étaient gainées de bas noirs. C'était la tenue qu'Alfred me demandait de porter à la maison pour vaquer à mon travail de secrétariat. Ce n'était vraiment pas désagréable, de sentir en permanence les regards amoureux et lubriques de mes petits vieux posés sur mon corps. Ceux de mon patron Alfred et de son majordome Victor. Car Alfred avait plus de soixante dix ans, il était vraiment très riche, dépensait sans compter pour moi et me passait tous mes désirs. Il avait embauché Victor, un domestique très stylé, mais le critère principal de sélection avait été la longueur et la grosseur de sa queue...Alfred avait vite compris mes goûts...
Il m'accompagna à la salle de bain, il adorait me voir faire mes ablutions, y participait souvent et Victor aussi...
« Tu sais que j'aime te voir faire bander les hommes, alors tu ne mets pas de soutien gorge, tu gardes ton collier de seins, viens ici que je serre les nœuds coulants pour bien faire pointer tes tétons, voilà parfait.

..ton chemisier transparent en soie noire. Le porte-jarretelle, les bas...très bien...je me demande si je te fais mettre un string...oui...
- Dis donc Alfred...tu veux que ton copain soit ébloui par ta petite blonde !! Car vois-tu dans ce genre d'examen on se déshabille entièrement !
- Et oui je sais, mais lorsqu'on a un trésor, on l'exhibe !! Et comme je te l'ai déjà dit ce monsieur devrait te plaire...en plus c'est un très bon médecin... les parties génitales féminines n'ont aucun secret pour lui.»
Le cabinet du docteur était en ville dans un immeuble cossu, c'est surement pour cela qu'il l'avait gardé, car il jouxtait son appartement. Un domestique genre Victor vint nous ouvrir et nous conduisit dans une salle d'attente luxueuse. La porte de la salle d'examen s'ouvrit, un petit homme noir, de l'âge d'Alfred, bedonnant, les cheveux blancs crépus, vêtu d'une blouse verte qui s'arrêtait à mi cuisse sur ses jambes nues vint vers nous.
« Encore un excentrique, pensais-je, il reçoit ses clients en short !! Ah c'est vrai il est à la retraite et on a du le déranger ! »
Un large sourire illuminait sa face. Alfred dut voir que je faisais une drôle de tête, en effet il était noir, mon patron savait que j'adorais me faire baiser par un noir bien membré. Mais celui-là ne me branchait pas tout...
« Attends un peu avant de juger, me chuchota-t-il »
Le Docteur donna une accolade à Alfred, apparemment heureux de le revoir. Ils prirent respectivement des nouvelles de l'un et de l'autre, mais tout en parlant ses yeux m'étudiaient. Ils se fixèrent sur les petites bosses que faisaient mes tétons, et sur les gouttes qui en pendaient, qu'on pouvait deviner grâce à la transparence du chemisier. Ils s'approcha me tendit la main, je faisais presque une tête de plus que lui. Lorsqu'il s'avança, il me sembla percevoir un mouvement de balancier sur le devant de ses cuisses sous sa blouse, en secouant ma main, le vêtement remonta légèrement, un morceau de peau noire qui ressemblait au bout d'un prépuce, dépassa furtivement.
J'écarquillais les yeux pensant avoir rêvé.
« Alors vous êtes Trixie, la secrétaire particulière d'Alfred. Dis donc, il en a de la chance de passer sa vie avec une jolie blonde aux yeux verts, aux courbes et aux jambes parfaites »
Ses yeux ne quittaient pas les bosses que faisaient les attaches de mon porte jarretelle sous ma jupe collante.
« Mais passons dans mon cabinet, si vous voulez bien. Et toi Alfred, je suis sûr que tu veux assister à l'examen, dit-il en riant »
Il se tourna pour se diriger vers la porte, je n'avais pas rêvé... sa blouse se fermait derrière par deux rubans, il était nu dessous, elle baillait sur ses fesses noires et dodues.
Un frisson me parcouru, sa bite au repos lui arrivait à mi-cuisses, Alfred avait-il raison, allait-il me plaire ? Ce Docteur attisait ma curiosité.
Il fit positionna Alfred face à la table d'examen, et me fit asseoir dessus les jambes pendantes.
«Nous allons procéder a une auscultation plus que complète. Je vais commencer par examiner vos seins...qui ont l'air parfaits d'ailleurs »
Il commença à déboutonner un à un, sans se presser les boutons de mon chemisier, puis il l'écarta lentement mes seins jaillirent sous la lumière blafarde de la puissante lampe.
« Magnifique...très érotique votre bijou...on ne sait pas si lui qui met vos seins en valeur ou le contraire ! On va le laisser, il ne gène pas pour la palpation... »
Il s'était rapproché, je sentais son phallus frotter contre ma jambe. Il ôta entièrement mon chemisier. Pour sa petite taille, il avait des mains assez conséquentes et de longs doigts. Il passa derrière moi et engloba mes seins, il commença à les malaxer doucement, les palpant lentement, puis avec ses pouces et ses index, il fit rouler mes mamelons entre ses doigts. Mes nichons s'étaient raffermis et avaient enflés sous la caresse.
« Très bien, très bien...aucune anomalie...ils sont parfaits... »
Je sentais ses ongles griffer, la chair tendre de mes tétons qui se gonflaient de sang, et durcissaient.
Ses attouchements me tirèrent un gémissement. Mes seins étaient une zone très érogène.
« Très bien, oui parfait...les mamelons réagissent parfaitement...dit-il en se replaçant sur le côté, tu suis bien le déroulement Alfred ? Trixie a des mamelons très érectiles, nous allons voir si nous pouvons les allonger encore...Mais permettez moi de me mettre à l'aise...! »
Joignant le geste à la parole, il dénoua dans son dos les deux attaches de sa blouse et la fit tomber au sol.
Mes yeux se portèrent aussitôt sur le plus gros sexe qu'il m'eut été donné de voir. Pour l'instant il ne bandait pas et pendait mollement entre ses cuisses. L'acteur porno noir américain Mandingo qui avec sa bite de 29 cm me faisait fantasmer, était battu, pas de beaucoup mais battu. Surtout au niveau du diamètre, celle qui était devant moi, devait lorsqu'elle était en érection avoisiner les 8 cm de diamètre. Elle était entourée d'un toison blanche et crépue, deux testicules énormes semblait faire contrepoids. Le prépuce était légèrement rétracté sur un gland brun foncé.
« Oui, n'est-ce pas...elle est impressionnante...mais je suis plus à l'aise ainsi pour travailler... »
Me dit-il en voyant mon regard ébahi. En effet Alfred ne c'était pas trompé...cet examen gynécologique commençait à me plaire au plus haut point.
Une fois nu, sa bouche se plaqua sur l'un de mes tétons et aspira le petit cône de chair enserré par le fin cordon. Puis ses dents entrèrent dans la danse, me mordillant de l'aréole au bout du mamelon, sa langue faisait le tour, les lèvres lippues prenaient la relève pour aspirer...je tendais les seins en avant, espérant que cette caresse ne s'arrête pas...Il alterna avec l'autre...ma respiration s'accélérait...Il rapprocha la grosse lampe.
« Regarde Alfred, la petite salope elle aime ça...regarde ses tétons comme ils sont longs, et durs, en général on peut les étirer de 1 cm, les siens en ont atteint au moins 2 cm. Regarde ses aréoles elles sont violettes et couvertes de chair de poule.
..Je n'ai jamais vu une patiente avec des seins aussi parfaits...Il continuait à me les masser doucement...
- Oui, oui, encore, encore, encore...gémissais-je
- Mais bien sûr jeune fille, ce n'est qu'un avant goût...quand nous en aurons fini avec les glandes mammaires, et que nous serons surs qu'elles répondent parfaitement au stimuli érotique, nous poursuivrons l'examen... »
Je sentais sa bite se presser sur ma cuisse, il me semblait qu'elle prenait de la consistance. Au bout de ce qui me parut une éternité, il dut penser que ma poitrine s'était assez raffermie, que mes tétons étaient arrivés au terme de leur étirement, donc que ce côté là tout allait bien. Et surtout que mes seins répondaient au delà de ses espérances en tant que zones érogènes. N'était ce pas le boulot d'un gynéco ? Et ce n'était pas pour me déplaire...
« Bon, nous allons continuer...si vous voulez bien... »
Il défit la fermeture éclair de ma jupe, et me demandant de soulever mes fesses il me l'ôta. Sa queue était sans atteindre son apogée, d'une bonne longueur et d'une grosseur conséquente maintenant. Sa peau noire luisait sous la lumière crue de la grosse lampe.
« Ah, vous avez un string ! Nous garderons le porte jarretelle et les bas, j'adore les filles avec cette lingerie. Mais pourriez-vous vous mettre à genoux sur la table pour que j'enlève votre string, et qu'Alfred puisse bien apprécier la suite. Ça va mon ami ? Tu peux te mettre à l'aise toi aussi... »
J'obtempérais, mes fesses étaient en pleine lumière. Il attrapa les minces ficelles du string sur mes hanches et lentement, délicatement fit glisser le petit triangle de dentelle le longs de mes jambes. Je frissonnais...
 «Écartez les jambes, s'il vous plait...oh, mais petite coquine...on dirait que votre chatte est humide, des perles de rosée suintent de vos lèvres...on va s'en assurer »
Il insinua son majeur et le promena le long de la fente de ma chatte.
« Mais oui, Alfred Trixie a vraiment aimé les caresses buccales du vieux noirs »
Je senti le doigt s'enfoncer un peu plus, puis il le ressortit trempé de foutre. Il le porta sa bouche et le suça longuement, sa queue continuait à enfler.
« Délicieux...Tu veux voir Alfred ? Écartez un peu plus mademoiselle Trixie...»
Je sentis ses deux pouces ouvrir mon orifice vaginal en grand...Cela m'excita...
«Parfait ce conduit vaginal... Mais c'est qu'elle mouille beaucoup...la petite salope...c'est dommage de laisser se perdre ce délicieux nectar... »
Sa langue se faufila entre mes lèvres, força l'entrée de ma vulve, je cambrais les fesses. La langue s'activait à l'intérieur de ma chatte, puis les lèvres du vieux médecin se mirent à aspirer mon clitoris, je criais d'extase. Ses attouchements sensuels perduraient, il avait joint sont majeur au tréfonds de ma chatte. Je cru que j'allais jouir. Je mouillais comme une folle...Il lubrifia mon anus...
« Au niveau vagin, rien à signaler...je vais vérifier l'anus...regarde Alfred, la petite garce est prête a jouir, elle est vraiment super cette fille. »
Doucement son index noir entra dans mon orifice anal, puis il commença une lente série de va et vient, avec ses deux doigts, l'un dans ma chatte l'autre dans mon anus, c'était merveilleux...je gémissait sans discontinuer.
« Putain ce qu'elle mouille Alfred, Tout va vraiment bien chez elle, au fait ça te plait cet examen ?
Moi ça commence à me donner des idées...Je crois qu'elle aimerait que tu malaxes ses seins »
Il accéléra ses va et vient, du majeur de sa main libre il se mit à me titiller le clitoris, je ne pus résister à cette nouvelle caresse, surtout qu'Alfred avait commencé à me masser les seins. Je sentis mon corps se raidir, un spasme de jouissance me traversa, et je me laissais, avec un grand cris, aller à un orgasme violent.
« Très, bien, très bien, de mieux en mieux tout est parfait...tout fonctionne à merveille, elle vient de jouir. Nous allons passer a un examen plus poussé. Vous voulez bien continuer avec le vieux docteur mademoiselle ? 
- Oui, oui répondis-je... »
En reprenant mon souffle et en admirant la queue noire qui maintenant se dressait fièrement, elle était vraiment énorme. Il m'avait faite allonger sur le dos, sa queue noire oscillait devant mes yeux Je tendis la main, pour la saisir.
« Profitons de ce que votre vagin soit bien lubrifié, pour voir ce qu'il peut recevoir comme attribut mâle...Nous allons essayer tout d'abord ce Godemiché blanc à prépuce. C'est la réplique fidèle d'un sexe, comme vous voyez ce gode, offre une souplesse et un contact remarquables. La finesse du prépuce est telle qu'on a l'impression qu'il s'agit d'une vraie peau. Les veines ajoutent du piquant. Vous pouvez le toucher. Il fait 23 cm de long et 5 cm de diamètre. Puis ensuite si c'est concluant nous passerons à la taille supérieure, si vous êtes d'accord ! Ce gode noir est ultra souple, il me semble que vu votre regard il vous fait fantasmer. Il est long, fort comme un bras, arqué et saillant au possible, il vous promet la jouissance comme avec la bite d'un noir. Sa longueur totale est de 35cm, son diamètre 8,5cm. Êtes vous prête ?
- Oui, oui....... »
Tandis qu'il me parlait, j'avais enfourné son gland décalotté dans ma bouche. Ma langue faisait le tour de sa bande striée noire, j'en titillais les terminaisons nerveuses qui sont des récepteurs sensoriels extrêmement sensibles. Puis j'aspirais doucement le gland. Je sentais qu'il se raidissait.
« Très bien, oui, oui, j'apprécie...mais nous avons encore du travail ! »
Ses mains remontèrent doucement le long des lanières de mon porte jarretelle, passèrent à l'intérieur de mes cuisses et arrivèrent sur ma chatte. Il enfourna trois doigts dans mon vagin pour s'assurer de que la lubrification naturelle était encore là. Puis tenant les lèvres écartées, il approcha le gland du plus petit des godemichés, il est vrai que l'on aurait dit une vraie bite. Il l'enfonça régulièrement, s'arrêtant puis la ressortant, pour mieux la faire glisser, les 25 cm et les 5 cm de diamètre entrèrent sans coup férir. Satisfait, il ne fit que deux aller et retour. Je n'avais pas lâché sa bite et le branlais doucement. Calottant et décalottant son énorme gland.
« Parfait, parfait j'en étais sûr...Tu as des mains expertes...mais passons à l'autre... »
Cette pénétration m'avait encore un peu plus excitée, mon foutre ruisselait...Il ouvrit de nouveau mes lèvres approcha la tête de l'énorme bite noire factice, le gland s'insinua, le vieux docteur appuya, le godemiché glissa écartant mon orifice vaginal, le gynéco procédait par petites pressions successives. Ressortait un petit peu du cylindre démesuré, pour mieux l'enfoncer à nouveau...
Je me trémoussais pour faciliter la pénétration, écartant puis resserrant mes muscles vaginaux pour absorber le monstrueux rouleau... qui lentement disparaissait dans mes entrailles. Il me besognait très délicatement, le plaisir montait...le gode s'enfonçait, s'enfonçait...j'adorais, il me semblait immensément long, il ne resta bientôt plus que 5 cm hors de ma chatte.
« Je savais que tu allais y arriver...mais c'est mon boulot ! Tu aimes ?
- Ouiiii, ouiiiiii...j'adore...»
Le vieux noir se pencha alors sur moi, sa bouche se plaqua sur la mienne, sa langue força mes lèvres, je lui rendis passionnément son baiser, serrant fortement sa bite. Il commença alors à entrer et sortir l'impressionnant tube, doucement d'abord puis de plus en plus vite, je crus que j'allais exploser de jouissance. Mais il cessa avant que je puisse atteindre ma jouissance.
« Non criais-je, continue fait moi jouir...je t'en supplie...
- C'est ce que je vais faire, petite salope, mais c'est moi qui vais te faire jouir, je voulais avec les godes savoir si tu étais capable d'accueillir ma queue, mais là aussi tu es parfaite, je vais pouvoir te baiser...Cela nous permettra de voir comment se comporte ta glaire cervicale. »
En disant cela il s'était mis entre mes jambes, et d'une main ferme avait commencé à entrer son volumineux gland marron dans ma chatte ruisselante. Ayant vu la grosseur que j'acceptais il enfilait son sexe à grand coups de reins...je hoquetais de plaisir sous ses coups de boutoirs, j'écartais au maximum les jambes pour faciliter cette monstrueuse pénétration. Chaque fois que son pénis pénétrait dans mon vagin, le prépuce frottait avec délice contre mes parois vaginales puis il était repoussé et encapuchonnait le gland à nouveau. Cette stimulation nous faisait hoqueter de plaisir à l'unisson...le plaisir montait dans nos entrailles. Il m'attrapa fermement aux hanches...
«C'est bon, c'est bon...ça vient... Tu as vu Alfred, je lui ai enfilé entièrement ma queue...et elle aime ça cette petite salope...je n'ai jamais eu une telle patiente... putain que c'est bon...Il y a longtemps que je n'avais pas fait un tel examen...Putain ouaaaahhh... je jouis... tiens, tiens, tiens ma semence...on fera un prélèvement pour voir comment se comportent mes spermatozoïdes ainsi l'examen sera complet. »
Je sentais le sperme chaud du vieillard gicler en jets puissants et couler au fond se mon vagin, avec un dernier cri il enfonça entièrement sa monstrueuse bite, son dernier spasme fit monter ma jouissance, je criais à mon tour enserrais sa taille de mes deux jambes et sentis mon vagin se resserrer avec une force inouïe autour de l'énorme bite noire.
« Euh demanda, Alfred en éjaculant sur mes seins, les résultats de l'examen sont donc parfaits... 
- Oui, mais j'aimerai que Trixie me dise si mon sperme de vieux n'a pas trop le goût de rance ! »
Il me présenta son exorbitante bite noire, me la mit dans la bouche, eut un dernier spasme qu'il accompagna d'une pression et éjacula un filet chaud et poisseux qui se répandit sur ma langue.
« Avale, le sperme du vieux docteur noir... »
Je déglutis...

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