Leslie La91
Leslie LA91 Laure, le journal intime Sylvie, suite
Après cette soirée de folie entre Sylvie et Barbara, nous avons retrouvé Barbara, dans sa maison de campagne le week-end suivant
Barbara, femme libre et célibataire, bisexuelle ne cachant pas son amour du sexe et le vivant sans retenue, propriétaire dune galerie à Paris et experte en peinture, elle possédait une maison de campagne à Barbizon.
Barbara, je vous lai dit est une très belle femme, brune, à laube de la quarantaine, un corps fin aux jolies formes féminines, elle arbore une belle poitrine, certainement du cent, aux larges aréoles foncées, un ventre plat et des hanches pas trop larges, et une vulve aux lèvres brunes proéminentes, le pubis complètement épilé et certainement définitivement
Mais lincroyable, cest quelle est tatouée dans le dos dun joli, mais énorme dragon lui couvrant le dos des épaules à sa raie des fesses, et la queue de ce dragon senroulant autour de sa taille pour terminer, le bout de cette queue en forme de pointe de flèche, juste sur son pubis, au-dessus du début de sa fente, comme pour montrer avec indécence lendroit des plaisirs.
Sylvie, avait pour loccasion fermé exceptionnellement son restaurant pour quelques jours, nous donnant loccasion de passer deux ou trois jours ensemble, après le week-end chez Barbara, ne rouvrant que le vendredi suivant.
Certainement que ces jours prendraient une forme très coquine, car connaissant Sylvie, jétais certaine quelle avait une, non des idées dans sa tête
Moi, évidemment que pour cette occasion jai posé quelques jours de vacances et le vendredi après-midi, jai préparé mes deux sacs de voyage et mon vanity-case, disons plus simplement mon baise en ville
Tout est vite près, car en ce début dété, les journées sont déjà bien chaudes et nemporte que du léger pour quelques jours, et noublie pas deux robes habillées pour le soir, au cas où lon sort le soir, puis mon petit vanity-case est rempli par mon maquillage et quelques accessoires de plaisir, certainement utiles pour ces quelques jours.
Nous avions convenu avec Sylvie que nous irions avec ma voiture, la Triumph, et quelle passerait chez moi, pour partir ensemble
Alors jai sorti la voiture en début daprès-midi pour la stationner en bas de limmeuble et être ainsi prête quand Sylvie serait là.
Linterphone sonne, cest certainement Sylvie qui est en bas
- Oui ?
- Cest moi. Je tattends en bas ou je monte ?
- Non, bouges-pas, jarrive.
Toujours aussi ponctuelle, Sylvie arrive exactement à lheure annoncée
Je la trouve en bas de limmeuble assise sur le capot de ma voiture en train de patienter sous le soleil. Elle porte une charmante petite robe dété, courte, au décolleté ravageur,
- Charmante, ta petite robe ! Elle a lair, humm, très légère.
- Tu ne crois pas que jallais te laisser la vedette devant Barbara, mais là tu es terrible !
Ma courte jupe en jean et mon top moulant à fines bretelles, bien échancré, offrent indéniablement la même mise en valeur de mon corps, mais je serais à laise pour conduire, quitte à ce que ma jupe se relève su mes cuisses et laisse entrevoir mon petit string.
Nous voilà parties pour deux heures de route, que nous occupons par de multiples discussions comme de bonnes pipelettes que nous sommes
Nous parlons, et nous découvrons mutuellement nos nouvelles aventures, depuis que nous nous sommes quittées, et tous ces petits secrets sur nos nouveaux goûts sexuels, qui renforcent cette complicité, qui entre nous, nous a toujours liée.
Nhésitant pas, parfois, à nous laisser aller à certaines allusions, qui bien sûr, font monter en nous les premiers désirs
Sylvie me lance, de temps à autre, un coup dil et nous rigolons toutes les deux lorsque nos yeux se croisent une seconde, car nous voyons dans ce bref contact, le désir qui nous habite
À mi-parcours, nous décidons de faire une halte pour nous rafraichir sur une aire dautoroute qui est là pour ça. Nous nous attablons à la terrasse de la cafétéria disponible et nous buvons un grand verre de jus fruits quand Sylvie me dit :
- Il ny a pas que moi qui dois trouver que tu as de belles jambes.
- Pourquoi tu dis ça ?
- La moitié des hommes te reluquent les jambes, ou le reste
Bon ! Cest vrai que jai les jambes écartées et quavec cette jupe, je dois montrer mon petit string, que ceux qui me regardent doivent découvrir avec envie, et avec le soleil qui me caresse le corps, jai le bas-ventre en fusion. Mais il est temps de reprendre la route.
A peine, rentrées à nouveau sur lautoroute, je sens la main de Sylvie se poser sur mon string et commencer à me caresser, jécarte les cuisses pour lui donner un meilleur accès à mon intimité, et je lentends me dire :
Les chauffeurs routiers vont avoir une attaque sils découvrent ce que nous faisons !
- Et alors, cela ne me dérange pas, dis-je.
Et Sylvie, écartant le bord de mon string me plante son doigt dans la vulve et commence à me doigter, me faisant gémir. Puis Sylvie de son autre main sest caressée et quelques camions que nous avons doublés, nous ont klaxonnés, nous faisant savoir quils appréciaient, car, excitée je prenais le soin de ralentir à leur hauteur, pour leur offrir le spectacle de deux femmes dévergondées et sans retenues
Nous arrivons en fin daprès-midi chez Barbara, après nous être embrassées sitôt descendues de la voiture, Barbara décide de nous présenter la maison, nous franchisons le pas de porte de cette grande maison, un très grand séjour avec plusieurs baies vitrées apportant beaucoup de lumière et donnant sur un jardin joliment arboré, équipées de grands stores permettant de se protéger du soleil pendant la journée.
La cuisine donne dans le séjour seulement séparée par un comptoir et deux autres pièces complètent le rez de chaussée, un bureau, certainement celui de Barbara, et une autre pièce servant de bibliothèque, bien-sûr il y a les commodités et une salle deau avec douche et un sauna privé.
A létage, cinq chambres, deux grandes communicantes, avec dressing privé et salle de bains, une des chambres est celle de Barbara et lautre sera la nôtre pour le week-end, et il y a trois autres chambres avec une salle de bains commune et un espace de commodités.
Nous étions en train de finir la visite et descendions au rez de chaussée, quand deux jeunes hommes sont entrés dans la maison.
Barbara aussitôt nous présente son filleul, Damien et Antoine son copain, qui sont dit-elle venus passer quelques jours, profitant des congés de printemps et se reposer un peu.
Damien, à dix-huit ans et est aussi brun que sa marraine, grand, avec un corps de sportif, mignon comme tout, Antoine est un peu près comme lui, mais plus trapu, cheveux châtains assez long et des yeux clairs à la couleur indéfinissable entre le bleu et le gris, son corps charpenté lui donne un air de puissance, ils ont tous deux un sourire très agréable, voire charmeur, ils forment tous les deux une belle paire de jeunes hommes vigoureux et doivent faire tourner la tête à plus dune jeune fille de leur âge
Après les présentations dusage pour Damien, nous prenons un repos bien mérité sur la terrasse en buvant des litres de jus dorange pour nous rafraîchir, je suis crevée et je mendors, tandis que Sylvie, pas plus en forme, continue de discuter avec Antoine et Damien, avachie dans son transat.
Après un repas léger, le soir, fait de salade, de fromages et de fruits, nous allons rapidement nous coucher avec Sylvie, prétextant dêtre trop crevées pour continuer la soirée, mais trop pressées de nous retrouver seules dans notre chambre, pour continuer notre soirée dans lintimité.
En souhaitant bonne nuit aux garçons, puis à Barbara, en lembrassant sur les joues, je lentends me dire à loreille :
- Je viens vous rejoindre dès que je peux !
En montant les marches pour aller à létage, Sylvie me dit :
- Je pense que tu as tapé dans lil à Damien.
- Arrêtes, ça devient une obsession de me croire que jallume tout le monde.
- Fais linnocente ! Il narrête pas de te regarder.
- Bon, maintenant arrêtes et viens maimer, avant que Barbara ne vienne nous rejoindre !
- Bon mais avoue que ce ma tin tu las bien allumé dans la cuisine !
- Disons que jen ai bien profité.
Sylvie rigole en rentrant dans la chambre et commence à se déshabiller pendant que je ferme la porte de la chambre.
La chambre est grande, comme celle de Barbara, et donne sur un balcon qui fait le tour de la maison, je prends une minute lair dessus pendant que Sylvie se glisse dans le lit, nue évidemment. La chambre de Barbara donne aussi sur le balcon, et ainsi on peut passer dune chambre à lautre, en plus de la porte communicante, par le balcon,
Puis appuyée à la rambarde, je profite du calme et des odeurs nocturnes du jardin, les grandes chambres donnent sur larrière de la maison sans vis-à-vis car il est entouré de grands cyprès masquant tout le voisinage. Rafraîchie, je me mets nue et vais retrouver Sylvie, mais je maperçois quelle dort déjà.
Je retourne sur le balcon, sans me rendre compte que je suis nue et quun des garçons pourraient me voir du jardin, mais quimporte la caresse du vent sur mon corps est trop bonne, alors je reste ainsi
Peu de temps après, une lumière envahie le sol du balcon du côté de la chambre de Barbara, qui trouvant la porte de communication fermée, me découvre nue sur le balcon.
Elle sapproche de moi et menlace dans ses bras, et membrasse à pleine bouche, puis relâchant son étreinte, je lui fais part que Sylvie endormie. Alors elle entre dans la chambre et déverrouille la porte de communication et aussitôt après mentraine dans sa chambre.
Et là, nous faisons lamour longtemps avant de nous endormir enlacées.
Lorsque jouvre un il, la lumière entre dans la chambre, jai dormi comme une souche, déjà presque neuf heures, je me lève et je me sens en grande forme, même si je suis encore engourdie par cette nuit damour avec Barbara, je vais voir dans notre chambre et trouve le lit vide, Sylvie doit être déjà debout et descendue pour prendre son petit-déjeuner.
La faim me tenaille, je repasse rapidement ma chemise de nuit et, descend au rez de chaussée
Arrivée dans la cuisine, je trouve Sylvie qui déjeune et me lance dune voix quelque peu acide :
- Jespère que tu tes bien éclatée avec Barbara !
- Tu dormais comme une souche et javais des désirs, alors jen ai profité
- Tes quune salope ! Dit-elle en sortant de la cuisine.
Restée seule, je me sers une tasse de thé et prends un croissant, et voyant que le soleil inonde le jardin, jouvre en grand la porte-fenêtre du séjour et reste dans lembrasure de celle-ci, profitant de lair du matin et des rayons du soleil qui me caressent le corps et reste ainsi à siroter mon thé et mes croissants lorsque jentends du bruit derrière moi, pensant que Sylvie revient, je reste sans voix et immobile en voyant Damien au pied de lescalier.
Il a lair aussi surpris que moi, alors pour rompre le silence qui sest installé, je dis :
- Bonjour ! Comment vas-tu ?
- Très bien, et cette journée commence le mieux du monde
Dit-il en sétranglant un peu.
Je constate quil me regarde de façon étrange, ses yeux ne quittant pas mon corps, et soudain je me souviens que je suis en chemise de nuit, faite dun léger coton blanc et que je suis à contre-jour, la vue de mes formes doivent lémoustiller un peu. Mais je ne peux mempêcher dêtre heureuse de leffet que je semble lui faire.
Trop flattée par lintérêt de ce jeune homme pour mon corps, je ne quitte pas ma position et en plus je madosse au montant de la porte-fenêtre, une jambe repliée en appui.
Damien continue à profiter de la vue que je lui offre, ses yeux fouillent toutes les courbes de mon corps, sans se cacher. Il profite de ma poitrine dévoilée dans le soleil, la cambrure de mes reins et mon ventre plat, et surtout de mon pubis imberbe.
Je reste à discuter avec lui, ainsi baignée par un soleil qui révèle tout de mon corps à ses jeunes yeux, décidément très friands de mes formes.
Sylvie arrive sur ces entrefaites, douchée et habillée et semble assez surprise par ce quelle voit en compagnie de Damien, qui lui sans un mot quitte la cuisine, certainement retourné par ce que je lui ai offert.
Sylvie, ne dit rien et se resserre un café quelle va boire dans le salon, Barbara étant certainement partie faire des courses.
Alors je remonte prendre une douche et mhabiller. Quelques temps plus tard, je redescends et retrouve Sylvie et Barbara dans la cuisine.
Pendant le repas et la soirée, Damien continue de me reluquer dès que loccasion se présente. Il est vrai que ma tenue estivale offre de multiples opportunités, jupe courte et maillot à bretelles au large décolleté me donnent souvent loccasion daiguiser ses sens, surtout quand jy mets de la bonne volonté. Cela, amuse énormément Barbara, je le vois dans ses yeux,.
Plus tard, je suis dans la cuisine avec Sylvie et Barbara, quand cette dernière me dit :
- Tu as lair de plaire à Damien, je lai vu te regarder avec un drôle dair ce midi.
- Je nai rien remarqué, dis-je, rien du tout !
- Bon ! Admettons, réponds Barbara, mais ne te gêne pas pour moi, ça ne me déplaît pas de voir que Damien passe son temps à te mater dès quil peut.
- Chut, pas si fort, il pourrait nous ! Dis-je.
- Tinquiète pas, Damien sait que je moccupe de son ami, et il est un peu jaloux, alors ainsi si tu allais avec Damien, les pendules seraient remisent à lheure.
- En fait tu me mets dans le lit de Damien ?
- Si tu veux, mais surtout il ne doit rien en savoir
En me pinçant les fesses, Sylvie ajoute en sadressant à Barbara :
- Et moi, si tu veux, je pourrais venir taider et me joindre à vous.
- Alors là, dit Barbara, ce serait vraiment top, un vrai souvenir pour lami mon filleul.
Nous quittons la cuisine, et je fais les gros yeux à Sylvie quand celle-ci, après un coup de coude, me fait remarquer que Damien est resté en bas dans le salon alors quAntoine a disparu à létage.
Nous finissons la soirée avachis dans le canapé, devant la télé, à siroter des cocktails que nous prépare Barbara.
Damien demande alors :
- Marraine, on pourra se baigner dans la piscine demain ?
- Bien-sûr, réponds Barbara, dailleurs les filles si vous voulez, vous pourrez en profiter.
Puis avec Sylvie, nous partons nous coucher, laissant seule Barbara avec les garçons.
Dans la chambre, Sylvie me saute dessus et tout en me déshabillant, elle me dit :
- Je pense que ce soir, Barbara va inviter Antoine dans sa chambre !
- Cest bien possible, dis-je.
- Quand même, me dit Sylvie, Barbara à un sacré tempérament
Je rentre dans la salle de bains et passe sous la douche, suivie peu de temps après par Sylvie qui nue passe sous la douche et se colle aussitôt à moi, nous nous embrassons comme des folles, comme si nous ne nous avions pas vu depuis des semaines, nos mains parcourent nos corps, tandis que leau coule dessus. Nos mains fouillent nos intimités et des gémissements commencent à se faire entendre dans la salle de bains, embrumée.
Puis après sêtre séchées, nous nous sommes ruées sur le lit pour nous enlacer, embrasser, caresser et faire lamour comme des mortes de faim, mais de sexe
Nous avons jouis comme des folles et Sylvie, heureuse et comblée sest endormie près de moi.
Plus tard dans la nuit, alors que Sylvie sétait endormie depuis déjà un moment, jai entendu des bruits et des voix dans la chambre dà côté, celle de Barbara. Donc elle nétait pas seule comme lavait pensé Sylvie.
La curiosité ma gagné et sans bruit je me suis levée et passant par la porte fenêtre, jai été sur le balcon. Une lumière douce éclairait la chambre de Barbara, alors doucement je me suis approchée pour regarder à lintérieur de la chambre
Et là, quel spectacle, Barbara à quatre pattes, nue sur le lit, gémissait sous les assauts dAntoine qui, derrière Barbara à genoux entre ses jambes, la pénétrait avec un sexe fort présentable
Barbara gémissait, sous les aller et venus dAntoine, en disant :
- Ohhh, petit salaud, comme tu me fais du bien
- Tes trop bonne ! Lui dit Antoine.
Il était endurant le petit qui sactivait derrière Barbara, et sappliquait à lemmener sur les terres de la jouissance, que Barbara ne fut pas longue à atteindre en hurlant son orgasme sui la fit se cambrer et lui couper le souffle. Elle jouit, le corps couvert de perle de sueur, en cherchant de sa bouche grande ouverte, lair qui commençait à manquer
Antoine se recula et sortit son membre de lintimité de Barbara, qui se retournant légèrement regarda le jeune homme avec des yeux hagards et suppliants
- Oui, ma chérie, lui dis le jeune homme, je sais ce que tu veux, mais il faut me le demander !
- Ohhh, Antoine, dit Barbara dune voix suppliante, prends moi, encules-moi
Le jeune homme heureux dentendre Barbara le supplier, posa son gland sur la rosette de Barbara et senfonça dun coup dans ses reins offerts et accueillants.
Barbara, enculée se mit à feuler et jouit en se cabrant encore plus, et hurla quand Antoine jouit en elle, lui remplissant les entrailles de sa jouissance
Je retournais dans la chambre et me couchais près de Sylvie, troublée, frustrée un peu de navoir pas de membre sous la main pour me faire hurler de plaisir comme Barbara.
Alors que le sommeil memportait, je pensais à Damien
A suivre
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