Weekends: Erwann Et Félix (1)
Erwann rentra du boulot épuisé comme dhabitude. Il savait que pour le reste du weekend il était tranquille, et quen plus il se retrouvait seul avec Félix, ce qui lui redonna un peu de courage et dénergie.
Félix lisait sur la terrasse, Erwann alla lembrasser, et fila directement à la douche comme à chaque fois quil rentrait du boulot, pour se relaxer et chasser les odeurs de friture qui lui collaient à la peau. Il perdit ma notion du temps, sabandonnant au plaisir de cette douche relaxante, sentant tous les muscles de son corps de détendre au fur et à mesure que leau chaude lui coulait sur le corps.
Il sortit de la cabine, se sécha, enfila un teeshirt et un jean et rejoint Félix.
Ce dernier avait installé la table sur la terrasse, et saffairait en cuisine.
Va tassoir, lui dit-il, sers-toi un verre, jai presque terminé, jarrive.
Erwann sinstalla, but une gorgée de vin, et regarda son amant préparer le repas. Depuis quils sétaient installés ici, et même sils avaient à quelques occasions baisé avec les autres, Félix et lui sétaient beaucoup rapprochés, plus quil ne laurait cru possible. La tension sexuelle entre Émilie et lui sétait dissipée à partir du moment où ils avaient cédé à leurs envies, et il néprouvait plus cette attirance irrésistible pour elle. Il la trouvait belle, désirable, mais cétait tout. Il préférait faire lamour avec Félix. Il se savait homo, et sil couchait parfois avec des femmes, il préférait les hommes.
Félix arriva, apportant deux assiettes de salade aux noix de Saint-Jacques poêlée. Erwann se régala en dégustant ce plat qui était loin de ce quil voyait défiler sous ses yeux à longueur de journée dans son fastfood. Il remercia Félix, qui lui dit que ce nétait pas terminé. Félix retourna en cuisine, et revint avec un pavé de buf et une purée truffée. Erwann se demanda pourquoi il était autant gâté. CE quil ne tarda pas à découvrir, en dégustant le désert.
Je vais partir, dit Félix, en septembre jai trouvé un job dans le nord, une opportunité pour moi, mais qui moblige à déménager.
Tu me dis que tu me quittes, cest ça.
Non, jaimerais rester, mais je dois partir, tu comprends, ce nest pas contre toi, à cause de toi, mais
Je viens.
Quoi ?
Je viens, je te suis, je pars avec toi. Je nai rien ici qui me retienne. Mes parents ne le sont pas vraiment, mon boulot est merdique et je pourrais en retrouver un aussi pourri. À part Émilie, je nai aucune attache. Je pars avec toi.
Félix ne sattendait pas à cette réaction. Il pensait que son amant serait déçu, quil chercherait à le retenir, mais pas quil accepterait de tout plaquer pour partir avec lui. Erwann se leva et vint lembrasser. Félix se prit dans ses bras et lui rendit son baiser avec encore plus de force.
Jai envie de toi, dit Erwann en posant sa main sur la braguette de Félix.
Ils rentrèrent dans le salon. Ils auraient pu baiser sur la terrasse, personne ne pouvait les voir, mais ils préféraient lintimité de lappartement.
Erwann poussa Félix sur le canapé, défit les boutons de sa braguette dont jaillit sa belle et grosse bite. Il la prit en main, la caressa, la flatta. Félix bandait déjà ferme. Erwann sapprocha doucement, posant dabord le bout de ses lèvres sur le gland, puis glissa le long du membre tendu, descendit vers les couilles bien lisses, Félix prennent soin de se raser chaque jour, laissant son pubis glabre. Erwann lécha ces boules, sinsinua ensuite entre les fesses de Félix, titilla un peu son trou et remonta vers sa bite pour lavaler, et la sucer.
Cétait à chaque fois une sensation de plénitude de sentir ce sexe lui envahir totalement la bouche, venir buter au fond de sa gorge. Le sentir rouler sous sa langue, sentir le sang pulser sous la peau lisse, douce comme du velours.
Félix renversa sa tête en arrière, ferma les yeux, soupira de plus en plus fort.
Erwann se leva, fit glisser son jean, son caleçon, tendit ses fesses vers la queue de Félix. Celui-ci lui massa le trou avec son pouce, le détendit, sy glissa, le masturba, louvrit, et le laissa sempaler sur son sexe dégoulinant de salive.
Baise-moi, baise-moi fort, comme jaime, cria Erwann alors que Félix investissait son cul. Jaime ta grosse queue, jaime quelle mencule, quelle me prenne complètement, quelle me déchire en deux les entrailles.
Jaime ton petit cul étroit et chaud, lui répondit Félix, je vais te faire hurler de plaisir, tu va jouir du cul, tu va tomber par terre terrasser par ma bite.
Erwann hurlait, sa bite se balançait au rythme des coups de boutoir de Félix. Il avait chaud, le plaisir montait en lui, irradiait de son cul vers tout le reste de son corps. Des larmes coulaient et se mêlaient à sa sueur. Félix senfonçait en lui complètement, il sentait leurs couilles se frôler, sentrechoque à chaque coup de bite de son amant.
Un long jet de foutre lui sorti de la bite alors quune explosion de plaisir envahissait son corps. Il hurla. Il avait limpression dêtre transpercé par une lance. Félix nen avait pas fini, il continuait de la baiser, de défoncer son petit cul qui adorait ça. Erwann eut un nouvel orgasme avant que Felix se retire et se vide sur lui. Le sperme chaud et collant coulant sur ses fesses.
Il tomba sur le sol, dévasté par le plaisir. Félix sallongea sur le parquet à côté de lui, passant sa main dans son dos, le caressant tendrement après lavoir baisé violemment. Ils sembrasèrent.
Il faut que je te raconte, dit Erwann en se redressant, je me fais draguer au boulot depuis quelques semaines.
Un mec ?
Non une fille.
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