Telle Mère Telle Fille
Voici la suite de mes aventures sexuelles.
Mon précédent récit relatait mon dépucelage avec ma belle Claire :
http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=18071
Comme je l'avais deviné, elle était vraiment nymphomane et elle m'aura tout appris.
Depuis notre première fois, nous faisions l'amour absolument tous les jours. Avant de passer au moment que je souhaite vous raconter, je vais tout de même vous faire un petit résumé des galipettes les plus épiques.
Je ne mangeais pas à la cantine et je pique-niquais sur un banc sur un quais, en face de l'eau. Il n'y avait vraiment pas beaucoup de passage et on avait l'habitude de pratiquer dans une petite ruelle à labri des regards. Un jour, alors que je prenais Claire en levrette, appuyée contre le mur, nous fumes dérangés par une petite vieille qui passait par là pour aller à son jardin. A notre grande surprise, elle ne soffusqua pas du tout et nous invita à terminer sans faire attention à elle.
D'habitude je finissais toujours dans la bouche de Claire, pour le coté pratique, mais ce jour là je pris un malin plaisir à maculer son visage de mon sperme, sous les yeux ébahis de la petite vieille. C'était la première fois qu'elle voyait ça.
Croyez le ou non, elle nous invita chez elle pour que Claire puisse se nettoyer et nous proposa de venir chez elle plutôt que de sembêtait à aller dans la ruelle.
Les jours suivants, on faisait l'amour devant la vieille ! (elle n'avait surement plus toute sa tête mais on s'en fichait pas mal, au contraire c'était amusant pour Claire).
Claire qui m'avait formellement interdit de parler de notre relation s'était permise d'en parler à sa meilleur amie (soit disant que les femmes ont besoin de se confier, etc... mais moi non, interdit).
Son amie qui trouvait nos pratiques vraiment extrêmes (pour elle) était devenu mal à l'aise en à ma présence. Pour rompre la glace, Claire avait eu la brillante idée de la convaincre de nous regarder faire l'amour (sans me demander avant bien entendu).
Lucie et Claire, dans la même classe avait prétexté un devoir à la maison et voilà comment le père avait accepté de nous laissé dans son logement en son absence.
Lucie, la mijaurée, se mis assise sur une chaise face à nous et nous laissa son lit (dont elle avait pris soin de recouvrir d'une serviette de bain). On lui montra la totale : gorge profonde, "face sitting" de Claire prenant soin de bien écarter son sexe pour moi, 69, vaginale, anale et éjaculation faciale. Pour le coup Claire réussi à son coup à merveille puisse que Lucie, tellement surprise et excitée, écouta les conseils de sa copine et retroussa sa robe pour se masturber devant le spectacle qui lui été offert. Cela décupla mon excitation et lorsque nous nous placions à coté d'elle pour le bouquet final, je réussi à faire rebondir quelque traits de sperme sur la tête de Claire pour les faire atterrir sur la cuisse de Lucie.
Par contre, pas moyen de tenter un truc à trois... je n'y avais pas le droit et jamais plus je ne revu l'entrejambe de Lucie.
Ces deux moment inoubliables étaient devenu presque anecdotiques pour moi avec ce que je vais vous raconter.
Je passais souvent le week end chez Claire. Elle vivait dans un village à quelques kilomètres du mien, avec sa mère, son petit frère et sa petite sur, 49 ans, 15 ans et 8 ans respectivement. Le père était décédé et cela avait conduit la mère dans une dépression sans fin.
La chambre de Claire était un lieu de débauche totale pour nous. Le plus dur était de ne pas crier tellement nos corps ne faisaient qu'un dans un plaisir bestial.
Les quelques fois où la petit sur dormais chez sa grand mère et que le petit frère rentrait tard (et ivre malgré son âge), on se lâchait vraiment.
Je fais une petite parenthèse pour vous expliquer où j'en étais arrivé sexuellement parlant, à ce moment de l'histoire. En gros, même Claire fut surprise quand un jour mon sexe glissa rapidement dans ses fesses (avec son désaccord au début) alors que sa mère dormais à coté de nous. Cela ne lempêcha pas de passer devant cette dernière avec le visage souillé pour aller à la salle de bain. Fin de la parenthèse.
Un matin, alors que nous étions que tous les trois, Claire décida d'aller directement à la douche dès le levé. Elle avait ses règles et avait mal au ventre. Moi j'avais faim et soif alors je décidai d'aller à la cuisine. Quand j'ouvris la porte de la chambre, je vis Martine assise sur son lit en train de fumer une cigarette. Çà et les médocs, c'était son truc. Elle était en robe de chambre et avait la tête penchée vers le bas. Au fur et à mesure que javançais, je devinais qu'il y avait un truc anormal. C'est quand j'arrivai à sa hauteur pour lui faire la bise que je fus fixé. Martine avait ouvert sa robe de chambre et fouillait son entrejambe avec sa main libre.
Elle leva la tête et me dit comme si de rien n'était:
M : Salut Nelson, t'as bien dormi ?
N : Heu ouais et toi ? Heu ça va ? (sur le coup je ne savais pas quoi dire d'autre)
M : Ouais comme d'hab, tu me fais pas la bise ?
N : Si ! (Quand elle leva la tête pour mieux m'atteindre un pan se son peignoir tomba pour laisser apparaitre un sein rond, plutôt joli bien que légèrement vieux)
M : Tiens tu m'apportes ma boite de cachet sur la table, tu seras gentil.
Le temps que je mexécute, Martine s'était appuyée sur le mur et avait mis ses jambes sur le coté.
Je fouillai sa chatte et son cul sans vergogne.
N : Tu es sur que ça va ?
M : Ben oui pourquoi (Martine ne se rendait pas compte de ce que je faisais ou alors elle faisait semblant)
N : Tiens regardes (je sortis mon sexe, à moitié fou par la situation)
M : Elle est belle.
N : Tiens prends la ! (Dans le feu de l'action, je lui enfournai mon sexe dans la bouche, j'étais maintenant debout devant elle)
Martine suçait bien, lentement comme une belle mère sous médocs mais très bien. Désireux d'en finir vite car Claire pouvait nous surprendre, bien qu'elle passe plus d'une heure par la salle de bain, je mis Martine à quatre patte pour la prendre en levrette. Je sais pas si les antidépresseurs assèchent autant le vagin que la bouche mais il fallut que je crache sur mon sexe pour pouvoir la pénétrer.
J'y allais comme un malade, en jouant en même temps avec sa petite rondelle. Martine soufflait fort mais ne disait rien. Il fallait absolument que j'éjacule sur son visage. Cela me fascinait de le faire sur Claire.
N : Retournes toi et assieds toi Martine !
M : Oui ... (elle neut pas le temps de dire autre chose que jinondais sa bouche semi ouverte, ses cheveux et une bonne partie de son front)
N : Tu es comme ta fille, il te faut de la bite hein ? Quoi de mieux que de se branler quand son gendre vient nous faire la bise hein ?
Martine nettoyait mon sexe sans rien dire. Elle ralluma une cigarette comme si de rien n'était. La tension redescendu je me suis mis à être honteux de mes paroles et surtout de mes actes.
A ce moment, j'entendis la porte de la salle de bain s'ouvrir : Claire arrivait d'un pas bien décidé vers la cuisine.
Il était trop tard.
Devant ce tableau de folie, Claire piqua une crise... de folie.
La mère se contenta d'un "Nelson m'a bien baisé, t'as de la chance."
Moi, je fus jeté dehors et ce fut la fin de notre histoire.
Voilà comment j'ai gâché notre relation à cause d'une pulsion sexuelle (bien légitime finalement).
Avec le temps, je me dis que c'était mieux ainsi. Vu le comportement de la mère et de la fille, toutes les deux un peu folles, je me suis évité des problèmes.
La suite de mes aventures mettra en scène ma prochaine petite amie. Une "gosse de vieux", vierge et coincée.
Merci pour votre soutient.
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