Yannath : La Promenade Scolaire

Promenade scolaire
Je continue de vous raconter nos aventures puisque certain me les ont demandées.
Celle que je vais vous raconter aujourd’hui s’est passé au mois de mai il y a 2 ans. Cela faisait presqu’ un an que nathalie était ma maitresse. Chaque année l’école organisait une sortie scolaire sur 2 jours avec des lieux variant en fonction du thème étudié avec les s durant l’année.
En général, elle demande toujours quelques parents pour accompagner et évidement, nous en avions parlé avant car l’occasion était trop bonne. Après en avoir également discuter avec ma femme, celle ci me dit, « oui c’est une bonne occasion de t’investir un peu car c’est trop souvent moi qui le fait ». Je décidais donc de poser 2 jours de congés. Il y avait 2 autres mamans, Nathalie et moi. Nous avions 3 chambres de 2. Officiellement, les 2 mamans se retrouvaient ensemble et Nathalie et moi avions chacun la notre.
Le jour du départ arriva enfin, nous avions environ 3 heures de car à faire et partions de bonne heure le matin, . A peine montés dans le car, les 2 mamans s’étaient naturellement assises l’une à côté de l’autre et donc sans éveiller les soupçons je pu m’asseoir à côté de Nathalie.
Elle avait mis une petite robe bleue que j’aimais particulièrement. Comme il faisait un peu frais cependant, elle posa sa veste sur ses genoux et me pris la main en la cachant dessous. Les s étaient occupés à bavarder et à jouer à leurs consoles et les 2 mamans ne risquaient pas de nous voir puisqu’elles étaient sur le siège devant nous. Nous roulions depuis une bonne demi heure et tout en bavardant, ma main commença alors à caresser les cuisses de Nathalie, elle en mourrait d’envie. Je plongeais donc un peu plus pour lui masser l’intérieur des cuisses qu’elle avait doucement écartées m’invitant ainsi à aller plus loin. Elle me murmura alors discrètement, soulage moi, je t’en prie, j’ai l’impression d’être complètement trempée. Je glissais donc directement ma main vers sa chatte et écartant l’élastique de sa petite culotte je me rendis compte que celle-ci était vraiment mouillée et à la limite de traverser la fine dentelle .

Je décidais alors de commencer à lui masser le clitoris, ses yeux brillaient, je savais qu’elle aurait jouis très vite, elle posa à son tour sa main sur ma queue qu’elle senti bien dure à travers mon jean, l’excitant encore plus. C’était trop bon, elle ne pouvait rien dire, j’étais alors son maître. Je la sentais juste appuyer de plus en plus sur ma queue puis elle baissa le zip de ma braguette, glissa sa main à l’intérieur de mon boxer et saisit ma verge à pleine main, elle était prête à jouir, son jus me coulais sur les doigts, sa culotte devait être dans un drôle d’état. Son clito était dur et gonflé et je voyais à travers sa petite robe la pointe de ses seins dardés quand soudain elle fut prise d’un spasme et resserra ses cuisses sur ma main l’emprisonant , étreignant ma queue à la limite de me faire mal, elle venait de jouir très fort et en silence. Son cœur battait très fort et sa respiration était rapide. Après une minute elle commença à se détendre, je pu lui réajuster sa culotte innondée de sa propre mouille. J’espère que ma robe n’est pas tâchée me murmura t-elle, c’était vraiment trop bon. Je te récompenserai mon chéri, je te promets que tu ne vas pas regretter ce que tu viens de me faire.
La journée se poursuivit et à part quelques regards, nous ne pûmes échanger grand choses mais nous attendions avec impatience tous les deux la soirée à venir. Après une veillée avec les s, il était environ 21h00 quand nous les avions envoyés dans leur chambre respective. Nous avions décider de veiller tous les 4 jusqu’à ce que les s s’endorment, il fallu attendre pratiquement 22h30 pour que les derniers s’endorment et nous laissent regagner nos chambres respectives.
Nathalie vint me rejoindre dans la mienne 30mn plus tard, nous allions enfin passer notre première nuit ensemble. C’est sans doute un moment de notre relation que je considère comme un des plus forts. Elle rentra donc dans ma chambre vêtue d’une nuisette en satin qui laissait clairement apparaitre la pointe de ses seins me montrant ainsi que nathalie était déjà bien excitée.
Personnellement je n’avais pas de pyjama car je dors toujours complètement nu mais j’avais encore à cet instant mon boxer. Elle vint aussitôt se blotir contre moi et nous échangrammes un long baiser. Tout en s’embrassant elle se frottait contre moi provoquant une érection terrible à tel point que ma queue sortit de mon boxer toute seule. Je n’y tenais plus, j’avais trop envie. Je dis alors à Nathalie, mets toi immédiatement accroupi et suce moi petite cochonne, je veux te voir avec ma bite bien au fond de ta bouche. Nathalie ne se fit pas prier, elle englouti mon gland et commença à me pomper pendant que je lui tenais la tête, c’était trop bon. Je lui demandais en même temps de se caresser, les cuisses bien écartées, juste ce qu’il faut pour bien s’exciter.
Après quelques minutes, Nathalie se releva et me dit : « prends moi s’il te plait, j’ai besoin de sentir ta queue en moi ». Je ne voulais pas la décevoir mais j’avais envie de la lécher à mon tour, je lui dit donc de s’asseoir sur le lit puis après lui avoir brutalement arraché sa culotte pleine de son miel puis la lui passait sous le nez. « 9a sent bon non ?, je lui écartais ensuite les cuisses bien larges et commençais à lui titiller le clito. Celui-ci était tout dur et gonflé, elle n’en pouvait plus. Et maintenant tu vas l’avoir ma queu ma belle, tu vas avoir ce que tu souhaites. Je vais te baiser comme une chienne en chaleur et joignant le geste à la parole, je la prie dans mes bras puis l’obligeait à se mettre à quatre pattes. Elle était tellement mouillée que je n’eu aucune difficulté à la pénétrer. Je m’enfonçais jusqu’à la garde et faisait la pointe de ses seins entre mes doigts, elle gémissait me demandant de lui mettre des bons coups, de continuer à bien lui défoncer la chatte. Elle était comme moi en transe, je sentais qu’elle allait venir, son corps était secoué de spasmes et ses yeux étaient révulsés. Soudain elle poussa un cri un peu plus fort et serra son vagin sur mon gland. Après quelques aller retour supplémentaires je me vidais en elle.
Je sentais des jets de sperme chaud et gluant se répandre dans sa chatte. Je l’embrassais alors dans le cou avant de la retourner puis la serrer contre moi. Elle passa alors la main entre ses cuisses pour récupérer ma semence qui coulait au bord de sa toison puis la porta ensuite à sa bouche pour me prouver, me dit-elle, son amour. Nous fîmes 2 autres fois l’amour au cours de la nuit de façon à la fois torride suivie à chaque fois de câlins empli de tendresse, c’était merveilleux.
La journée du lendemain passa très vite, trop vite et vers 20h00 nous remontions dans le car pour le retour et reprenions nos mêmes places qu’à l’aller. Elle posa sa veste comme à l’aller et m’invita à faire de même . Vers 21h30 alors que la nuit était tombée, Nathalie me glissa alors à l’oreille : « et maintenant mon cochon je vais te renvoyer l’ascenceur, tu vas comprendre ce que c’est de se promener avec la culotte trempée qui m’a collé à la chatte toute la journée hier. Elle ne me laissa pas le temps de réagir que déjà sa main commençais à défaire le bouton de mon jean et baisser ma braguette, cette façon de s’imposer à moi me faisait terriblement bander, le fait que ce soit dans un lieu public, on aurait pu nous surprendre. Elle se tourna alors vers moi et me fixait. Elle avait dicrètement glisser sa main dans sa culotte et se masturbait en même temps, c’était terriblement excitant. Je voulu alors la caresser mais elle me l’interdit, j’ai juste eu le droit de lui enfoncer un doigt dans la chatte pour avoir son odeur mais je dû le retirer aussitôt. Elle avait décidé de me soumettre à ses désirs. A chaque passage sur mon gland elle le serrait un peu, cela dura presque 10mn car elle allait doucement. Je lui dis alors, « je t’en prie ma femme va voir que j’ai éjaculé ! J’espère bien, me répondit-elle, je veux que tu lui dises que tu t’es branlé comme un salaud pendant le voyage car tu fantasmes de me sauter et que d’où tu étais assis tu avais l’impression que je me caressais moi aussi.
J’espère qu’elle va retrouver ton boxer rempli de sperme ». « ça t’excite d’entendre ça n’est ce pas, t’es vraiment qu’un gros cochon ». je ne répondais rien mais elle savait que ses mots me faisaient un effet terrible. Elle senti que j’allais jouir, elle remi alors m’a queue dans mon boxer et continua à me masser le gland quelques secondes jusqu’à ce que j’explose. Je senti alors trois jets de sperme chaud remplir mon caleçon. J’étais envahi d’un sentiment de honte et de plaisir incroyable. Elle joui elle aussi à ce moment, je le lisai sur son visage, elle se mordait les lèvres et je sentais sa respiration accélérée. Elle en avait un peu sur les mains car ça avait traversé le coton de mon boxer. Elle les porta très discrètement à nouveau à sa bouche comme elle avait pris l’habitude de le faire Elle me murmura de remonter ma braguette et me dit alors : tu vois, voilà ce que je ressens quand je suis ta soumise, c’est bon non ?
« T’es vraiment un peu salope toi aussi mais tu as raison, c’est vachement bon. J’espère qu’on aura d’autres occasions. »

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