La Laisse 03
Je sursaute, certaine d'avoir rêvé. Ce serait trop beau franchement, que tu sois dans la pièce, mais je ne vois pas comment ce miracle pourrait avoir lieu... J'ai passé l'âge de croire aux contes de fée ! Pourtant j'entends à nouveau très clairement " tu peux jouir ". Et cette fois-ci je reconnais ta voix sans aucun doute et soudain je comprends. Je réalise brutalement que si j'ai autant de mal à résister au plaisir depuis le début, c'est parce que ce qui est planté en moi, c'est ta queue.
Je cesse de réfléchir et toute l'énergie que j'ai mis à lutter contre l'intrus, je l'investis maintenant dans mon plaisir qui monte, incontrôlable, à la hauteur de ma frustration, de ma peur passée et de la sensation de bonheur que j'éprouve maintenant. Je vais jouir sous tes coups de boutoir... Mon orgasme arrive, dévastateur. Je hurle sous mon bâillon, mon corps se cambre et tire spasmodiquement sous ses liens, mes reins montent à ta rencontre, s'offrent avec la facilité inverse à la résistance qu'ils ont offert tout à l'heure.
Tu m'empales, me prends jusqu'à la garde et restes planté en moi le temps que mes spasmes de jouissance se soient complètement dissipés. Je m'effondre sur la table, à moitié inconsciente, toujours aveugle, toujours muette, mais heureuse.
Qu'est ce que tu fais là ?! Comment es-tu arrivé sans que je ne m'en rende compte ? Je comprends que la musique a probablement masquée ton arrivée, et que depuis le début, c'est toi qui me possède. Quel vicieux stratagème... Et la brune elle est où ? les questions arrivent au fur et à mesure que mes neurones se reconnectent !
Je sens qu'on m'enlève les pinces sur les lèvres. Ouf...Non, Aie ! la circulation se rétablie, j'ai mal ! Puis on me détache, et enfin, on me débarrasse de mon bandeau et de mon bâillon. Je découvre en me redressant que j'ai des spectateurs : l'autre couple est confortablement assis dans le canapé, assistant à la scène aux premières loges.
La fille me tend un verre d'eau et me sourit. Pour un peu je la trouverais presque sympathique, maintenant qu'elle a cessé de te reluquer avec des yeux de merlan frit...
Tu t'assoies dans le canapé à coté d'eux, un verre à la main. Tu n'as toujours pas joui contrairement à moi. L'homme regarde la brune et lui dit nonchalamment " tu vas peut-être t'occuper de notre invité ? "
Aussitôt, la voilà à tes genoux, occupée à te réouvrir la braguette que tu as remonté après avoir jeté la capote avec laquelle tu m'as sodomisé.
Je la vois sortir ton sexe, le sucer. Je ne suis pas jalouse. Savoir qu'une femme te mate et cherche à te séduire m'agace. La voir te donner du plaisir et savoir que tu peux jouir de son corps m'indiffère. Si tu as du plaisir ma foi... Quand je vois ce genre de scène, ça aurait plutôt tendance à m'exciter. Je suis toujours debout et je la regarde emboucher ta queue. Ou plutôt tenter de l'emboucher. " Voyons si tu arrives à gober tout ça " pense-je avec un fond de malice, car je connais la taille de ton sexe...
Effectivement, elle ne tarde pas à baver et à tousser, quand tu la saisis fermement par la nuque pour l'obliger à gober ton sexe dur et bien dressé sur toute sa longueur. Elle a des hauts le coeur...
je me surprends à penser : "Bienvenue au club surette " et je me cale contre la table pour assister au spectacle ! Ca va me faire oublier un peu la douleur de mon cul tient.
Manifestement la scène amuse son compagnon, qui att la badine et lui tapote fermement la croupe, encore dissimulée sous sa jupe, pour la motiver à bien faire. Elle capte le message et s'applique...
Les yeux mi-clos tu me regardes à la dérobée. Puis en suspendant le mouvement de la fille quelques secondes, tu me montres l'autre homme qui attend patiemment dans le canapé et tu me fais signe de m'en occuper.
Je me retrouve à genoux à coté de la brune, et comme elle l'a fait pour toi, je dénude le sexe de son compagnon. Il est en érection, une érection bien dure et tendue. Il faut dire qu'il ne l'a planté nulle part en réalité depuis que je l'ai vu gonflé dans son pantalon avant le début des festivités...Je pose ma bouche dessus et m'applique à lui donner du plaisir, comme sa compagne le fait avec toi. Il est monté correctement mais rien à voir avec tes dimensions, il m'est donc bien plus facile de le prendre entier dans ma gorge. A coté j'entends toujours la fille souffler comme un buf. Manifestement elle est en train d'apprendre une nouvelle définition de ce qu'est une " gorge profonde " !
Je suce son compagnon avec conviction. Il monte progressivement vers le plaisir. Je te regarde du coin de lil... tu ne vas pas tarder à jouir car elle s'y prend bien la bougresse, malgré tes dimensions... Tu finis par lui exploser dans la gorge avec un râle de plaisir. Je suis un peu vexée de n'être pas à l'origine de ton orgasme mais tant pis. Je ne vais pas bouder mon bonheur d'avoir échappé à l'accouplement avec un autre que toi ! Elle avale avec douceur, nettoie soigneusement ton membre encore dressé puis recule les yeux baissés. Elle est vraiment bien éduquée... Enfin je me reconcentre sur ma tâche, c'est pas le tout, mais il ne faut pas te faire honte. Montrons à l'autre que moi aussi je peux être une soumise valable... Je le suce avec application, le faisant bander de plus en plus fort. Je sens qu'il monte de plus en plus. J'ai un peu l'appréhension qu'il me gicle dans la bouche : je suis toujours prudente sur le coté sanitaire, et les autres font ce qu'ils veulent, mais je n'ai pas envie de recevoir sa jouissance sur la langue.
Il continue à la besogner vigoureusement, puis se retire au moment de jouir et se renfonce à peine : je vois son sperme dégouliner de ses fesses, il a joui juste à l'entrée de son cul, histoire de bien lui faire sentir qu'elle est à lui. Elle se redresse, pleine de sa semence, avec un air de fierté que je connais bien : celui de la soumise qui a satisfait son Maitre...
Maintenant que tout le monde a joui, sauf la brune, nous nous accordons un moment de répit. Elle s'éclipse dans la salle de bain quelques minutes pour faire une rapide toilette, puis nous allons toutes les deux chercher à boire pendant que nos Doms restent à discuter sur le canapé.
Dans la cuisine, j'échange quelques mots avec ma partenaire d'un soir. Elle s'appelle Mylène. Elle a 38 ans. Je la regarde en détail, pendant qu'elle s'affaire à sortir les verres, les alcools, le plateau et quelques biscuits. Elle est plutôt bien foutue Mylène. Brune, des seins ronds, un cul rebondi... Plus petite que moi, les cheveux raides, des grands yeux noisette. Pas super canon mais beaucoup de charme. Elle me dit qu'elle est soumise à son compagnon depuis 5 ans. Je la regarde et je me dis soudain qu'elle est décidément sexy Mylène, et que je m'en occuperais bien un peu.
Nous repartons dans le salon avec nos victuailles. Chacun prend son verre. Les Doms dans le canapé, les soumises... Au pied de leur Maitre.
"Ca fait cliché " est la pensée qui me traverse la tête. Je trouve l'idée amusante et un peu caricaturale. Mais soudain, me vient à l'idée qu'on aurait aussi bien pu boire dans une gamelle attachées au pied de la table, si on était tombé sur deux fêlés. Au final, être "seulement" assise au pied de son Maitre, c'est plutôt bien !
L'autre homme - qui s'appelle Marc - est en train de t'expliquer qu'il mène sa soumise à la dure. Effectivement elle a l'air plus maso que moi, à écouter son descriptif. Il la cravache et la corrige régulièrement. Et elle aime ça... Moi ça me laisse perplexe. J'aime bien avoir peur, j'aime bien un peu de douleur pour aiguiser mes sens, mais me faire flageller... Non je suis clairement D/s pas maso. Me prendre une correction en punition parce que j'ai failli, passe encore. Mais il faut vraiment que la situation soit juste ! Me faire battre au bon vouloir du Dom, ça me hérisse. Même si je peux comprendre que ça excite certaines filles. Après tout, tous les goûts sont dans la nature...
Nous avons quasi fini nos verres. Marc se lève et ramène un gros coussin de sol, un truc géant qui doit faire 1m50 de coté, couleur cerise, qu'il balance sur le sol à coté de la table du salon.
Il te regarde et te dit " maintenant qu'elles ont montré leur talent de soumise à leur Maitre, si elles nous montraient ce qu'elles sont capables de se faire entre chiennes ?
Ah... Je suis bi certes, mais assez pudique quand même... Et m'amuser avec une fille inconnue devant vous ce n'est pas ce qui me met le plus à l'aise. Marc se dirige vers un buffet, il ouvre un tiroir et en sort des bracelets en cuir. Il lie les bras de Mylène dans son dos, puis lui pose une paire de pinces sur les seins, reliées entre elles par une chainette. Elles sont dures les pinces, je connais ce modèle de réputation pour être douloureux à porter. Plus tu tires, plus elles serrent. Elle grimace mais ne dit rien. Ca l'excite surement. Puis il l'att par les cheveux et la balance ( il n'y a pas d'autre terme ) négligemment sur le dos sur le gros pouf. Elle atterri au milieu et s'immobilise. Engoncée dans le tissu, elle ne peut pas vraiment bouger.
" Va-y, occupes-toi d'elle " me dit-il nonchalamment.
Heu... Je te regarde d'un air interrogatif. Mais évidemment, comme pas mal de mecs, ça vous excite deux filles ensemble, alors je me doute que tu ne vas pas contredire ton comparse...
Après tout... Je vais avoir l'occasion de me venger un peu du plaisir qu'elle t'a donné. Je m'agenouille à coté d'elle et je promène les mains sur son corps. C'est comme caresser un autre soi. Totalement différent d'un corps d'homme. Un corps masculin, c'est dur. C'est noueux, musclé, conquérant. C'est fait pour la guerre, le combat, la conquête. Une femme c'est soyeux, c'est moelleux, c'est souple et rond. Ca attire, ça charme... C'est doux.
Je suis un peu frustrée par les pinces : j'aurais bien aimé en profiter pour jouer avec ses seins. Mais peu importe. je tiraille légèrement la chainette reliée aux pinces. Elle gémit. Je tiraille plus fort, juqu'à lui arracher un petit cri. Ca y est, j'ai sa tabulation en matière de douleur. Je jette un oeil vers son Dom : il me regarde avec un peu d'étonnement. Il doit me trouver bien dominante avec sa compagne... Mais c'est vrai qu'avec les femmes, je suis de moins en moins soumise. Et puis après tout, elle est maso !
Je plonge maintenant les doigts vers son sexe. Un peu brutalement. Je le fait exprès. Je n'ai pas envie d'y passer des heures. J'ai envie de la prendre par surprise, sans lui laisser le temps de se préparer. Je titille son clitoris, elle gémit. Je descends ma main vers sa fente, aussi trempée que la mienne, j' humecte mes doigts, je remonte. Je joue avec son clitoris, je fais des ronds autour. Puis je passe aux choses sérieuses : je me positionne entre ses jambes et je descends ma bouche vers son nombril. J'embrasse la douceur de ventre soyeux, je parcours son pubis parfaitement épilé, et j'arrive à mon but : c'est là que se fait toute la différence entre un homme et une femme...
J'ai un petit secret pour caresser une femme et la faire jouir à coup sur : les hommes ont la manie de nous pénétrer avec les doigts et de faire des va et vient vigoureux reproduisant une pénétration. Au mieux ça nous excite, au pire, ça nous fait mal ( moi c'est souvent le cas ! ). Alors que ce n'est pas ça qui nous fait grimper au plafond. Non... C'est juste d'avoir une présence dans le vagin. Pouvoir se contracter autour des doigts, se sentir possédée par cette présence, c'est ça qui nous excite. Nul besoin de bourrinage : rentrer plusieurs doigts et simplement les remuer lentement à l'intérieur, sans va et vient, c'est explosion de plaisir garanti quand c'est couplé avec un cunnilingus bien fait. En tout cas, sur toutes les femmes sur qui je l'ai testé ( et par procuration via tous les copains mecs à qui je l'ai conseillé et qui m'ont chaudement remercié ! ) ça a toujours marché. Essayons sur elle pour voir...
J'enfonce trois doigts. Puis quatre. Je la dilate. Pour un peu, j'aurais envie d'y mettre la main entière, pour la posséder pleinement, la soumettre, l'envahir entièrement. Mais je n'ai jamais fisté, alors je préfère m'abstenir. Sans gants et avec des ongles ce n'est pas très prudent. Inutile de la blesser. J'enfonce ma main au maximum, je la sens palpiter autour de mes doigts. Je pose ma bouche sur son clitoris et je lèche. Précisément. Sans changer de rythme, car ça c'est la deuxième astuce. Je tourne autour, je passe dessus, pas trop directement car c'est tellement sensible... Mais au fur et à mesure qu'elle monte, je peux y aller plus franchement. Elle se cambre, se met à moduler en fonction de mes caresses, de plus en plus fort. J'ai complètement oublié la présence de spectateurs : elle est à moi, j'en profite à fond. Je la monte de plus en plus rapidement. Elle mouille abondamment autour de mes doigts, elle dégouline, elle ondule. Je sens qu'elle est bientôt prête à jouir. Elle n'attend pas l'ordre de son Dom ? Ma foi, peu importe. Je guette le moment ou elle va basculer. Elle y est presque. Je ralentis pour la tenir le plus longtemps possible à la limite. Pas trop quand même, sinon elle va redescendre : c'est de la mécanique de précision une femme !
De ma main libre, j'att la chainette et je guette le bon moment. Et je tire. Fort. Juste avant qu'elle ne jouisse. La douleur la fait basculer : elle explose dans un orgasme puissant, qui la fait crier sans même qu'elle en ait conscience. Je l'accompagne sans cesser de la caresser jusqu'à ce qu'elle retombe dans le coussin. Je lâche la chainette. Bonne soumise !
Je me rappelle soudain que nous avons des spectateurs. Je vous jette un regard en coin : vous êtes figés tous les deux, mais la bosse affichée dans votre pantalon ne fait aucun doute sur l'effet de notre démonstration sur votre libido...
Ma " victime " se repose, pantelante, lovée dans le coussin. mais je n'ai pas envie de l'abandonner tout de suite. Je ne suis pas encore fatiguée de la stimuler. Je me retourne vers son Dom et lui demande en montrant les pinces " je peux Monsieur ? "
Il acquiesce. J'enlève les pinces, occasionnant une grimace de douleur sur le visage de Mylène quand le sang se remet à circuler. je lui masse le bout des seins pour activer la circulation. Elle a de très jolis seins... J'ai envie de continuer à les lui tripoter et je suis ravie qu'ils soient maintenant libres d'être touchés !
Elle est encore en pleine descente orgasmique. Or je sais vicieusement qu'il n'y a rien de pire que de pousser une femme en la caressant encore et encore alors qu'elle vient de jouir. Je me retourne donc vers elle, je la plaque au sol en l'attrapant à la gorge, puis fermement j'insinue ma main dans sa fente et recommence à la caresser un peu brutalement, sous vos yeux éberlués. Elle gigote pour soustraire son clitoris hyper sensible à ce frottement limite insupportable. Ca m'agace, je n'arrive pas à l'immobiliser.
Son Maitre nous regarde avec intérêt puis me demande " tu veux que je la calme ? "
" J'aimerais bien Monsieur ".
Tu me regardes perplexe. Voilà que ta soumise révèle un coté domina ?
Marc se lève, vient vers sa compagne et la lève. Puis il l'emmène vers la table et l'attache sur le dos, les bras écartés et les mollets liés au bord de la table. Elle est plaquée sur la table et pour faire bonne mesure, il lui écarte les genoux avec un autre lien. Elle est immobilisée, les jambes grandes ouvertes, impossible pour elle de se soustraire à mes caresses. Ahhh ! Ca me plait ! Je replonge entre ses cuisses et je recommence à la caresser de plus belle. Elle crie presque, je sais que ce que je lui fais subir est limite douloureux. Mais bon elle est maso ou pas ? je la stimule directement sur le clitoris : je sais que ça va être douloureux au début mais qu'elle risque de remonter aussi très vite. Elle ne peut pas se dégager de toute façon et j'en profite pour m'adresser à elle avec fermeté : " tu vas arrêter de gigoter ? Ecarte les genoux et laisse-toi faire ". Ca la sidère... Elle s'efforce de m'obéir.
" Hé bien, voilà un petit coté domina chez cette soumise " s'exclame Marc en te regardant...
" Oui elle a son petit caractère... Mais c'est encore moi qui décide " t'entends-je lui répondre avec un fond d'amusement. Oh oui, c'est toi qui a le dessus, c'est clair, sinon je ne serais pas là à cette heure en train de caresser cette fille sur une table !
Je la chauffe toujours à blanc, et au bout d'un moment, pendant que vous êtes de nouveau captivés par le spectacle de ses soubresauts sans espoir et ses petits cris, je me tourne vers vous :
" Je pense qu'elle a besoin de quelque chose que je ne peux pas lui donner " .
Marc t'offre galamment la place.
Tu te lèves et te diriges vers Mylène, toujours écartelée sur sa table. Tu l'atts par les fesses et la tires au bord. Les liens lui remontent les jambes en tirant ses genoux vers le haut. Elle est parfaitement accessible. Je te regarde avec gourmandise et je plonge vers ton sexe dressé. je vais enfin pouvoir te sucer, j'en meurs d'envie... Je coulisse le long de ton membre, te rendant le plus dur possible. Je m'étrangle... Comme d'habitude... Mais tant pis, au moins j'ai vu que je ne suis pas la seule ! tu enfiles une capote et tu la prends d'un coup. Elle gémit, empalée par tes coups de queue puissants. Qu'est ce que j'aime te regarder baiser une autre femme... C'est étonnant mais cela stimule ma libido terriblement. Je suis fière d'entendre cette fille crier sous tes coups de queue, qui lui font comprendre à quel point elle est chienne et soumise. J'en profite pour continuer à la caresser. Elle monte en excitation à une vitesse impressionnante, entre tes coups de boutoir et ma main qui titille son clitoris. je sens ce dernier complètement dilaté sous mes doigts. Je me mouille les doigts pour continuer à la caresser sans l'irriter, mais de toute façon elle est tellement excitée que même à sec elle crierais de plaisir je pense...Je glisse ma deuxième main sous ses fesses pour ne pas te gêner, et je remonte vers son cul. J'enfonce deux doigts dans son anus et je la tire vers le bas, l'obligeant mine de rien à se cambrer complètement et à offrir encore plus son sexe à tes coups de queue. Elle est écartelée entre ma contrainte qui la plaque à la table et tes coups de rein qui la pénètrent à fond. Au frémissement que je sens je me doute qu'elle ne va pas tarder à exploser. Ses cris changent de tonalité. Tu le sens aussi et tu accélères...Vous explosez dans une belle synchronicité. Je sens ses contractions vaginales se répercuter dans mes doigts toujours enfoncés dans son cul.
Pantelant tu te retires d'elle, tu arraches ta capote et m'empoignant par les cheveux tu m'agenouilles devant toi pour que je nettoie ton sexe. Je m'exécute avec minutie et plaisir. Marc s'est levé pour profiter du spectacle et il regarde sa soumise avec tendresse. Puis il entreprend de la délier et de l'aider à se redresser. Elle le regarde, les yeux dans le vague. Je crois qu'elle est shootée aux endorphines.
J'aime bien cette soirée décidément...
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