Collection Black. Lors Des Heures De Travail. Saison I (2/3)

Fidèle, je suis restée fidèle, cette chanson d’un autre âge chanté par Charles Trenet pouvait s’appliquer à moi.
Je suis mariée à Renzo avec lequel j’ai eu trois s.
Trois s dont chacun d’eux a marqué une étape de ma vie.
Camille, car j’ai dû réduire mes études devenant mère de famille.
Dino car notre couple a failli éclater lorsqu’il a fait trois jours de fête sans rentrer à la maison.
Un fils pour un sicilien même habitant à Paris, j’avais compris que c’était important.
Mais rentrer complètement bourré, des grands cheveux blonds sur sa veste et du rouge à lèvres sur le col de sa chemise ça faillit être fatal pour notre couple.
Heureusement, ce sont ces mêmes origines de Sicile qui ont sauvé notre couple, car il a su être enjôleur et un bon resto avant d’une nuit de folie sexuelle à sceller nos retrouvailles.
Et puis l’oublie faisant, c’est Sophie qui a rejoint notre famille juste au moment où je créais ma boîte d’éolienne.
C’est dans mon bureau qu’à cette heure avancée de la soirée, que je me retrouve avec la bite d’un grand noir essayant de le sucer.
Il me demande de continuer, alors je descends tout le long pour trouver ses boules qui elles aussi refusent de rentrer dans ma bouche.

J’avais failli reprocher à Renzo de m’avoir trompé avec Susy, car au fil du temps j’avais compris à une certaine gêne entre eux que c’était elle la fille aux longs cheveux blonds.
Le rouge sur son col de chemise était le même que celui qu’elle se mettait lorsqu’elle se refaisait une beauté à tout moment et surtout quand dans notre espace un beau ténébreux mangeait à nos côtés.
Susy avait la cuisse légère comme la mienne ce soir quand mon touareg me fait lever, prend ma place et relevant ma jupe descend mon string.
Prémonition, je voulais relancer la libido avec Renzo et pour la première fois j’en porte un acheté pour me détendre de la tension que mon projet suscitait en moi.


Sa bouche vient se coller à mon clito.
Plutôt sa langue agile qui écarte mes lèvres très facilement, car je mouille comme jamais.
Ma main le masturbe et mon regard se pose sur ce pieu pointant vers le ciel.
Ma bouche l’a refusé, ma chatte arrivera-t-elle à la faire entrer sans pour autant me sentir écartelé.

• Empale-toi, tu es la plus belle femme que j’ai pu connaître.

Premier tutoiement, au moment où passant ma jambe au-dessus, je la présente à ma chatte avec un peu d’appréhension.
En mécanique, il y a des pièces mâles et des pièces femelles.
Son sexe est bien sûr la pièce mâle, je lui offre la femelle.
Femelle je le deviens en m’empalant comme il me l’a demandé.
J’ai failli comparer Amara avec les élans avec Renzo, ce serait dégueulasse, Renzo a sa façon de me baiser tout en douceur, mon amant aime me prendre avec un brin de rudesse.

• Embrasse-moi, je veux sentir ta bouche sur ma bouche.

Ma bouche, j’ai toujours considéré que c’était un sanctuaire pour celle de mon mari, mais prenant Amara par le cou dans un dernier geste au moment où il est entièrement au fond de moi, mon premier orgasme me ratt.
Un, deux, trois, quatre jets de sperme au fond de moi.
Non, cinq, un ultime me faisant crier de plaisir une dernière fois.
Je reste sur son épaule, un moment inerte, tellement mon corps a joui.
Je reprends mes esprits.
Je me libère.

• Amara, que faite-vous demain matin ?
• Rien, je prends mon poste à 17 heures à la fermeture des bureaux que je nettoie.
Pourquoi ?
• Aimeriez-vous travailler à mes côtés ?
J’ai vu votre valeur et je suis prêt à faire quelque chose pour vous.
• Comment peux-tu faire ?
• J’ai un ami qui travaille au ministère des transports, mais qui a beaucoup de relations.
Si je lui expose la situation, je suis susceptible de vous fournir un emploi, je vous obtiendrais un début de régulation de votre situation.


Jean est mon amour d’, s’il avait été moins con, ce serait lui qui m’aurait offert cette bague que je vois à mon doigt et que je viens de trahir.
Le plus drôle de la situation, c’est que nous sommes restés copains et je suis témoin de sa femme, Susy ma copine lors de leur mariage.
Je savais Jean cocu, Renzo l’a rejoint comme je l’avais été à la naissance de mon fils.

• Tu ferais ça pour moi !
• Si ça marche, ça vaut le coup.

Je suis à ses côtés, mon string est au sol.
Je suis appuyée à mon bureau, ma jupe tirebouchonnée autour de ma taille.
Il se lève, m’embrasse.
Ma main retourne vers son sexe.
Mon dieu, il bande, quel homme, inutile de dire que depuis les débuts de nos rapports, Renzo, est du genre, bande un coup après bonsoir.
Il me retourne, m’appuyant à côté de mon écran, j’écarte ma jambe et de nouveau il est en moi.

• Oui, bourre-moi, mets-moi bien profond comme tu l’as fait une première fois.

Comment je m’exprime, une vraie charretière ?
Mais que c’est bon et bien différent de ce que le fait Renzo toujours très prévenant envers moi.
Quand il éclate, je suis épuisé, j’ai encore eu deux orgasmes moi qui suis habituée à un seul.
Je m’écroule dans mon fauteuil, reprenant mon souffle.

• Ce midi, je rencontre des Canadiens qui vont fabriquer cette pièce que vous m’avez démontré qu’elle serait plus efficace si elle était plus volumineuse.
Seriez-vous en possibilité de m’accompagner, nous serons plus forts à deux ?
S’il signe le contrat, je pourrai créer votre poste et vous deviendrez mon ingénieur assistant.

Voilà, c’est fait, je remets ma robe et mon string, m’aurait-il porté chance ?
J’appelle un Uber, je récupère mon portable et le quitte nous devons nous retrouver à 10 heures au café en face de mes bureaux.
Je le vois reprendre son balai serpillière, me montrant sa conscience professionnelle.


J’arrive chez moi, j’ai du sperme qui coule le long de mes jambes tellement il a déchargé en moi.
Tous dorment, je referme sans faire de bruit, inutile d’avoir des questions embarrassantes.
Contrairement à ce que je lui ai dit, j’ai faim.
Devenir une femme adultérine, ça creuse.
J’ouvre le frigo, il a fait des endives aux jambons.
J’en prends une dans mes doigts et je la mange avec gloutonnerie même froide.
En plus du sperme dans ma chatte, de la béchamel coule sur mon menton.
Je vais dans ma salle de bains.
Je me mets nue, me regardant dans ma glace, à part ces traces, rien de changer, sauf que je vous une grosse salope, mais qui a aimé ça.
Une douche, nue, je me glisse dans mon lit.
Renzo se retourne, me prend dans son bras, sa main sur mon sein.
Je sens sa queue tendue sur mes fesses.
Je me retourne, me plaçant sur mon dos.

• Bonjour mon cœur, je t’attendais.

Je l’embrasse, mes dents propres comme mon vagin que j’ai particulièrement nettoyé voyant partir dans l’évacuation de notre douche des traits blanchâtres de sperme.

• Oui, mon chéri, je suis fatiguée, mais c’est tellement bon de faire l’amour avec toi.
• Viens, je suis prête comme au premier jour.

On peut penser que je joue les faux-culs, m’étant fait baiser par Amara comme une chienne dans et sur mon bureau par sa bite gigantesque.
Mais ce que je dis, est l’exacte vérité de ce que je pense, j’aime profondément mon mari, mais je sens en moi la profonde volonté d’avoir une liaison extra conjugale avec mon amant.
Lorsque Renzo entre en moi, j’aime qu’il me laboure tendrement, sans rudesse tout en douceur alors qu’avec Amara, tout était plus virile, plus puissant.
Est-ce la grosseur de la verge de mon amant, à quelques minutes de ce que j’ai fait avec lui dans mon bureau, je suis dans l’incapacité de dire mon ressenti.
Renzo me fait jouir plus graduellement qu’Amara qui fait exploser mon corps comme si une bombe avait été placée dans mon utérus.


• Ah ! Ah ! Aaaaaah !
• Ah ! Aaaaah !

J’atteins l’extase, il atteint l’extase, je m’endors, il s’endort alors qu’il tombe dans mes bras.
Quelques traits de sa semence viennent remplacer celle de mon amant avec délice...

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