Annick
Annick est comme moi, le film est lassant. Juste une petite scène damour justement jouer pourrait sortir du nullissime. Je suis prête à sortir. Annick ne peut pas, en tout cas pas de suite. Je regarde ce quelle fait. Sa main droite dagite de façon très contrôlée sous sa jupe. Son plaisir est évident. Son corps se tend jusquau moment où visiblement elle arrive à un orgasme. Elle me donne envie den faire autant. Je relève ma jupe à mi cuisses. Je me caresse doucement. Je monte ma main sur ma fourche. Je suis mouillée.
Tant pis pour la suite : je vais me donner du plaisir. Devant des images décevantes, je compense en me masturbant. Je fais comme Annick. Ce que jignore encore, ce sont les murs dites particulières de ma copine. On le disait vaguement sans preuve à mon avis. Elle coucherait avec une de ses tantes. Et alors, où est le mal si elle y trouve son plaisir. Elle a du finir sa masturbation quand elle madresse la parole.
- Tu sais jaime beaucoup me donner du plaisir.
Je joue la sotte :
- Ah, bon, quelle sorte de plaisir ?
- Je me caresse la chatte.
- Je peux voir ?
Nous sommes assez liées pour que je demande ça, surtout au cinéma. Pour mieux me montrer, elle passe une jambe sur la mienne. Dun : elle ne porte rien en dessous. Son sexe est bien visible avec ses poils presque blond bouclés. OUA ! Je vois presque tout. Elle pose à nouveau ses doigts sur elle pour frotter les endroits érogènes.
- Tu vois assez là ?
- Pas très.
- Pose ta main sur la mienne, tu comprendras tout.
Je comprends quelle passe en aller et retour ses doigts fins sur des endroits de son sexe. Elle est gentille dans son genre :
- Si tu veux je te le fais. Je tappendrais.
- Pourquoi pas. (je fais lidiote, alors que je sais fort bien me branler)
Je reçois sa main, chaude sur lintérieur de la cuisse. Si elle reste aussi : lapprentissage va durer longtemps. Elle avance dans son enseignent de plaisir.
- Le mieux serait que je te rende tout ce que je te fais. On essaie.
Elle essai bien en caressant tellement doucement que je ne ressens rien de particulier. Elle sait ce quelle fait : elle accentue ses caresses. Je commence à me tordre : cest bon. Jai un peu honte de me laisser faire ainsi, surtout avec une autre. Et puis zut, je sens du plaisir, je ne vais pas len priver.
Habituellement cest un type que je laisse faire. Jaime bien parce que je peux pendre en main sa bite qui grossi entre les doigts serrés. Pour moi cest agréable dexciter un homme qui ne désire quune chose, venir en moi. La première fois que jai permis quune bite vienne en moi, cétait il y a peu. Javais un vide dans le bas de mon ventre. Il passait sa queue dans ma fente, venait frotter le clitoris.
Je tenais avec lui non énorme queue. Elle allait me défoncer la chatte. Javais à peine peur quand il sengageait entre mes lèvres qui sécartaient seules. Il entrait lentement en membrassant sur la bouche. Je crois quil a entré sa langue en même temps quil mettait sa queue. Je nai rien senti sauf que quand il était au fond, javais envie quil bouge. Il restait collé au fond de mon sexe. Cest moi qui ais entamé le va et vient. Jen ai jouit pour cette première.
Depuis je nai connu aucun autre homme... Je me contente seule. Mais là, jai loccasion de ne plus être seule, de partager mon envie.
Annick me plait pour débuter. Elle me donne le plaisir de la regarder et surtout je commencer à la caresser. Ses cuisses sont duces, surtout vers le haut. Elle me laisse faire, je vois son sourire. Je sens ses mains autour de mon cou : elle mappelle. Elle appelle plutôt le plaisir. Ma main ne ségare pas, elle sait exactement où elle va.
Je suis au bord de sa chatoune. Il me semble sentir sa chaleur. Je nai quun souhait, la faire jouir. Je passe toute a main sur elle qui gémit, qui me laisse faire en rectifiant parfois la position. Je la sens jouir ainsi plusieurs fois.
Elle jouit grâce à moi, une copine.
Dès le cinéma fini, elle me demande de venir chez elle. Je pensais quelle allait me rendre ce que je lui avais fait. Cest en gros ce qui sest passé, mais pas seulement avec elle. Sa tante était là aussi. Dès entrée, elles mont étonnée en sembrassant sur la bouche. La tante se collait contre sa nièce. Puis, come jétais là
- Qui est cette fille,
- Elle vient de me masturber et plutôt bien.
En se tournant vers moi : je remarque les traits fins et le corps de la tante : une exception sexuelle. Jai envie delle.
Elle ne sadresse quà moi :
- Si tu veux nous allons nous amuser à trois. Tu connais ?
- Non, je sais comment on peut faire à deux, mais à trois ?
Tu verras. Elle tient la taille dAnnick, se penche vers ma bouche. Ses lèvres viennent sur les miennes, une main vers mon ventre. Elle my caresse pour descendre ensuite vers mon intimité. Elle me donne envie daller plus loin. Mais comment faire avec Annick ? Je pensais quelle allait nous laisser. Non, elle pose une main sur mes fesses. Cest même elle qui me pouce vers sa tante. Pour montrer quelle est avec nous, elle me caresse le dos, les épaules puis les seins. Elle passe sur le corps de sa tante pour la caresser aussi. Cest elle la dévoyée quand elle demande
- Et si nous nous couchions.
- Pourquoi pas, ma chérie.
- Aimons-nous à trois.
Jétais prête à baiser avec une nana, me voilà avec deux filles dont une me semble plutôt bien au courant. Elle doit parfaitement faire jouir les autres.
Annick sallonge, écarte les cuisses en attendant une langue. Celle de sa tante sans doute. Cest bien ce qui arrive. Annick se fait sucer, me regarde, minvite à venir vers elle. Je ne sais ce quelle veut, ma bouche ou
Je suis trop excitée, je choisis le « ou ». Je vais presque lassoir sur son visage. Sa langue balaie mon entre jambes. Elle me fait mouiller encore plus. Dautant plus que la tante se caresse avec des résultats.
Je reste assise, en posant ma main sur le pubis dAnnick à la recherche de son intimité. Jécarte la langue qui la nettoyait. Je nous laisse seules comme amantes. La tante se relève, vient donner son con à lécher. Il a bon gout entre la pisse et la cyprine, même un arrière gout de sperme. La vache, elle a du se faire mettre il ny a pas longtemps. Annick baise, se fait baiser. Elle se baise aussi. Jai fouillé dans sa table de nuit. Ce nest pas un gode, cest une bite de cheval. Elle laura voulu. La tante me prend le gode. Elle le goute avant de me le rendre. Annick râle :
- Mon gode, mettez-moi le !
Pas question de suite. La tant le lui donne. Devant nous elle se baise, se laisse aller à gémir. La tante ne résiste pas, elle participe à sa façon : elle suce sa nièce. Elle en baise une autre, me donne son sexe et moi je me branle.
Je crois que nous avons eu des spasmes presque en même temps. De quoi recommencer encore sans fin.
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