Double Pénétration : Série Les Talons Rouges (Épisode N° 14)
Double pénétration - série Les talons rouges (épisode N°14)
Agathe, Gaëlle et Jacques ont entrepris de dépraver Gilles notaire de la famille et Virginie son épouse plantureuse en les initiant au Strip Poker. Puis l'innocente Virginie après avoir été initiée aux amours de groupe est dépucelée de son petit cul de bourgeoise par le beau Jacques, puis...
Plus tard, les partouzeurs se retrouvent tous dans la chambre d'Agathe après avoir fait chacun un brin de toilette, alors que les femmes se sont en outre remaquillées. Ils ne se sont pas rhabillés et sont entièrement nus, Virginie n'éprouvant plus aucune pudeur à côtoyer l'homme et les deux femmes qui l'ont entraîné dans leurs turpitudes. Elle n'a aucun sentiment de jalousie, car étant la plus jeune des trois femmes, elle a le sentiment de supériorité que toute femme plus jeune détient sur ses condisciples plus âgés. Pourtant, elle reconnaît que les deux aristocrates sont bien foutues.
Agathe possède un corps presque parfait, plantureux à souhait, sa poitrine n'envie rien à celle de Virginie qui a tout de même treize ans de moins, elle est un peu moins lourde d'ailleurs, quant à Gaëlle, cette étonnante presque quinquagénaire lui paraît étonnamment jeune, alors que de toute évidence, son corps n'a jamais subi le bistouri d'un chirurgien. Elle n'est toujours pas revenue des petits seins graciles et fermes ainsi que des globes durs des fesses et du minuscule vagin de la comtesse, qui par contre possède un anus qui s'ouvre facilement, conséquence certaine d'une pratique habituelle. Et puis, l'homme qui les accompagne est très bel homme, grand, musclé et bronzé, il possède en plus une forte belle verge dont il sait se servir, sans exclure ses doigts, sa bouche et sa langue qui ont si bien solliciter ses sens exacerbés.
C'est alors que des chuchotements attirent son attention. Gaëlle vient de se harnacher avec le phallus artificiel dont s'est servi Agathe pour la baiser.
Éprouvant une stimulation de tous ses sens, trop sollicités durant cette soirée extraordinaire, Virginie ne se rend même pas compte que ses mains se sont enfouies dans sa grotte naturelle et qu'elle astique avec violence sa chatte et son clitoris, dans une symbiose étonnante avec les participants de l'orgie à laquelle elle participe, voyeuse et adhérente à la fois du désir sexuel exacerbé de la communauté.
- Non ! Je vous en prie ! Pas ça ! Gilles. Dis-lui que tu ne veux pas. Pas vos deux sexes ! Arrêtez !.... Sanglote-t-elle. Vous allez m'éventrer. Je vous en supplie - arrh.....
Néanmoins, tandis que son mari la tient fermement afin qu'elle ne puisse s'échapper, Jacques n'ayant cure de ses supplications, réussi à entrer deux doigts dans l'adorable lune, malgré le sphincter qui se contracte fermement sous ses doigts, voulant de toute évidence les expulser.
- Oh ! Mon Dieu, gémit-elle, d'une voix brisée étouffée par les sanglots. Oh ! Jacques ! Retirez-vous, je vous en supplie ! Gilles dis-lui ! Je t'en supplie !
Son mari se garde bien de répondre, il sèche ses larmes avec sa langue et caresse ses seins qui ballottent devant ses yeux. À ce moment, Jacques se soulève légèrement, retirant sa verge de quelques centimètres et la renfonçant aussitôt, faisant encore gémir Virginie. Les deux bites, en cadence, percent et transpercent la muqueuse vaginale et le tube anal, se frottant l'une contre l'autre, espacées seulement par la mince cloison qui sépare les deux conduits, se masturbant toutes deux dans les entrailles féminines, et glissant parfaitement dans les gaines lubrifiées, devenues tout à fait élastiques. Virginie ne gémit plus, elle pleure encore un peu, mais des sensations assez étranges envahissent ses deux ventres. Elle se laisse porter par une volupté incompréhensible, prenant à présent plaisir à se faire coïter par les deux hommes qui l'embrochent par ses deux orifices, on ne peut plus intimes.
- Je jouis mon chéri, merci de me faire connaître toutes ces sensations, tu es adorable, je t'aime, je t'aime.
La bête à trois dos se poursuit durant un laps de temps interminable, les deux hommes ont tellement copulé ce soir, que bien que leurs verges soient bien dures, leur éjaculation se trouve retardée. C'est pour cette raison bien simple, que Virginie se révèle toute pantelante d'épuisement, lorsque enfin, presque ensemble, ils crachent leur semence, qui dans sa chatte, qui dans son cul, mettant fin définitivement à cette soirée très exceptionnelle.
Tout de même, songe la plantureuse Virginie un peu plus tard, lorsque son époux dort du sommeil du juste et qu'elle n'arrive pas à trouver le sommeil. Ce soir, elle a découvert les amours lesbiens, puis pour la première fois elle s'est faites sodomiser alors que plus tard, son mari et son amant d'un jour l'ont prise en sandwich, toutes ces pratiques impensables et condamnables pour elle il y a seulement quelques heures. Ce qui la sidère, c'est qu'elle y a pris beaucoup de plaisir et qu'elle se sente prête à recommencer.
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