Leslie La93

Leslie LA93 – Laure, le journal intime – Sylvie, suite

Je vais lui apprendre tout ce qu’il doit savoir faire avec une femme, tout ce qu’il soit savoir pour la faire hurler et la laisser sans voix, tremblante de plaisir…
Tout en parlant, je me suis assise sur le mit de la chambre, une jambe pendante et je replie l’autre et la pose sur le matelas, découvrant ainsi complètement mon entrejambe dénudé.
- Je vous trouve très excitante ainsi…
- Vraiment ? Et qu’est ce qui t’excites le plus en moi ?
Je me caresse alors les seins en les prenant à pleine mains jouant quelques secondes avec, en lui demandant :
- Ma poitrine ?
Ma main glisse plus bas, sur mon pubis lisse, dénué de tout poil, en continuant :
- Ou autre chose ?
- Tout, je crois.
- Tu me désires, tu as envie de faire l’amour ?
- Ohhh, oui, mais vous êtes…
- Lesbienne ?
- Oui, c’est à quoi je pense, mais l’êtes-vous ?
- Oui, mais pas uniquement. J’aime aussi les hommes, je suis bisexuelle…
- Et puis, en plus j’aime aussi… Comment dire… Votre côté…
- Salope !
- Oui, on peut dire ça comme ça.
- Et qu’est-ce que tu rêves de faire maintenant à une salope comme moi ?
En prononçant cette phrase, je m’allonge sur le lit de façon à être face à lui, jambes écartées, laissant ma tête reposer sur un coussin et, jambes ouvertes, ma main rejoint mon sexe en feu. Mes doigts le trouvent détrempé comme je le sentais et largement ouvert et glissent sur mes lèvres béantes et gonflées.

Il s’approche du lit et se met à genoux entre mes jambes ouvertes et sa tête se glisse entre mes cuisses écartées et sa bouche entre en contact avec mon sexe, sa langue s’insinue dans mon sexe et le lèche doucement.
Il me dévore et me suce comme il a dû voir dans certains films de sexe, me mordille tendrement et sa langue essaye d’aller au plus profond de mon antre dégoulinant de plaisir.

Comme si je n’étais pas assez écartelée, ses mains se placent sous mes genoux pour me relever et écarter encore plus les cuisses. Il me pousse tant que j’ai l’impression d’être écartelée, soumise consentante à sa volonté et à sa bouche. Mes mains se sont naturellement portées sur mes seins que je caresse en haletant dans un début de plaisir.
Pour son âge, sa lèche est presque experte, et je me demande s’il n’a pas été initié avant moi, certes ce n’est pas comme les autres filles avec qui je me gouine, mais mes caresses vigoureuses sur mes seins et son travail entre mes cuisses m’amènent rapidement à l’extase, que je rends évidente en propulsant un long râle continu, que je n’arrive d’ailleurs pas à interrompre tellement le plaisir m’envahit et qui explose en moi me faisant crier.
Ce hurlement de femme en pleine jouissance doit lui donner une nouvelle envie car il se redresse d’entre mes jambes, me tire vers lui par les cuisses pour que mon fessier déborde du lit et je ne tarde pas à sentir son sexe me pénétrer, il rentre comme dans du beurre, bien que je ressente que son membre est très épais, comme je m’en doutais…
Mais alors je ne l’ai pas encore admiré, il me pénètre et me saoule à nouveau de jouissance, comme il y a quelques secondes, il entreprend alors un mouvement de va-et-vient vif et nerveux, toute la fougue de son jeune âge se révèle dans cet acte. Ses mains, plaquées derrière mes genoux, coincent toujours mes jambes en les relevant et les repoussant autant que possible vers le lit. Je sens le plaisir revenir au grand galop et commencer à me broyer les tripes. Bouche ouverte, je lâche des petits cris au rythme de ces coups de reins…

Puis mes yeux rivés sur les siens, je vois à son faciès se crisper en le sentant se raidir, j’ai juste le temps de lui dire :
- Non pas encore !
Il se retient quelques secondes mais explose en moi, de jets successifs qui me remplissent l’antre et je jouis à mon tour et entre deux plaintes j’arrive à dire :
- Ahhh… Mon salaud… encore… Oui ! Ton membre… Encore !
Le coquin a vite compris, non seulement il s’est remis à me la dévorer mais des doigts, deux ou peut-être plus, me pénètrent en profondeur, ce qui m’arrache un lourd gémissement.
Il continue ainsi à me labourer de ses doigts tout en me suçant le clito et les lèvres pendant un long moment.
L’extase n’est plus aussi violente mais je continue à prendre mon pied.

Il se relève d’entre mes jambes et je vois enfin son sexe, vraiment très épais qui est dur près à me pénétrer. Il me tire alors plus en dehors du lit tout en essayant de me retourner.
Je comprends qu’il souhaite me prendre en levrette et le moins que je puisse faire est de céder à ses caprices. Je me retourne, et lui offre ma croupe en me plaçant en levrette. Ses mains enserrent ma taille et son sexe se glisse entre mes fesses et pénètre une nouvelle fois mon sexe béant. J’entends en même temps que je sens le choc de son bassin sur mon cul.
Je sens son sexe se durcir de plus en plus en moi, comme lui, mon plaisir remonte doucement et je sens que l’on a besoin l’un comme l’autre, du petit plus qui nous mènera au bonheur total. Je ne sais pas pourquoi, une fois de plus, la première parole qui me vient à l’esprit est :
- Oui baise la salope que je suis, je suis toute à toi !
Son va-et-vient redouble d’intensité, le bruit de son bassin sur mes fesses claque dans le silence de la chambre, la jouissance aussi devient plus forte en moi, à tel point que je gémis de nouveau, mes seins bringuebalant dans tous les sens tellement ses assaut sont violents.
De plus en plus ivre, je redresse la tête pour me cambrer encore plus et j’explose à nouveau dans les secondes qui suivent, suivie de Damien qui en remet une giclée…
Ma plainte résonne contre les murs de la maison vide puis, Damien se retire et je sens dans la foulée la chaleur de son sperme en moi…

J’entends alors la voix essoufflée de mon jeune amant dire :
- Mince, il est déjà super tard, marraine va rentrer et je ne voudrais pas qu’elle me trouve chez toi, il faut que j’y aille ! Euh… on remet ça quand tu veux, c’était super.
- Ne t’inquiètes pas mon chéri, ta marraine est au courant et cela ne la dérange pas, d’autant plus qu’avec Sylvie, elles vont bien s’occuper de ton copain Antoine !
- Elle n’a pas pu s’en empêcher de se faire mon ami, c’est vraiment une salope !
- Écoute, c’est la vie et comme ça tu peux rester avec moi cette nuit.

- Je suis déçu, moi qui pensais que j’étais son seul amant !
Alors là, je reste sans voix, moi qui pensais initier Damien, voilà que j’apprends que c’est Barbara qui l’a déniaisé, et qu’elle m’a fait croire que je serais sa première femme…
Mais, maintenant j’ai l’occasion de me retrouver le cul à l’air en train de jouir comme une chienne sous les assauts de Damien et je me jure d’en profiter…

Car, il est vrai qu’à cet instant, je lui offre le spectacle d’une salope dans la dépravation totale, offerte à ses désirs les plus secrets, et je me demande si Barbara s’est aussi faite sodomisée pas son cher filleul…

Et le coup de grâce tombe, quand Damien dit :
- En même temps, marraine à raison, t’es bien une salope qui adore montrer son cul !
Disant cela, il me tapote le postérieur, puis sa main s’insinue entre mes fesses et un de ses doigts entre en contact avec ma rosette, alors il rajoute :
- Peut-être que même tu adores, comme marraine te faire enculer !
Bon, maintenant je suis fixée, il est au point sur tout, il ne me reste plus que d’en profiter au maximum et jouir de son membre…
- Je suis presque sûre, que toutes les trois vous êtes de sacrées cochonnes, dit Damien.
- Euh…
- Faut dire que ta copine Sylvie est plutôt bandante.
- Oui, elle l’est !
- Antoine va se régaler entre elles-deux !
- Certainement…
- Mais ce qui me plairait bien, s’est de vous voir vous gouiner avec marraine et Sylvie, ça doit être très excitant…

Ses mains glissent sur mes fesses et le doigt sur ma rosette force un peu et s’enfonce doucement dedans, Damien dit :
- Alors ton petit cul a besoin de se faire remplir ?
- Damien !
- Allez, ne fait pas l’ingénue, avoue que tu en as envie.
- T’as pris ton pied, hein tout à l’heure, je suis certain que ton petit trou frétille d’impatience !
Ma respiration devient haletante en entendant les propos de Damien, et son doigt s’enfonce d’un seul coup dans mon cul, et par réflexe mon sphincter se resserre aussitôt sur le doigt inquisiteur, faisant dire à Damien :
- Tu vois, t’aimes !
- Oui, j’aime ça…
Je dis ça en me cambrant en arrière pour le faire ressortir encore plus et mieux profiter de cette insertion, il est collé dans mon dos et je sens son souffle sur ma nuque.

- T’es une salope, hein ?
Son souffle s’accélère sur ma nuque, sa main quitte mon cul en feu, et ses mains étreignent mes hanches et je sens son membre se poser sur mon œillet.
- Humm… Je gémis sous la surprise.
Il pousse un peu le gland pour forcer mon sphincter, l’entrouvrir et le faire pénétrer en moi.
- Humm… Je geins de plaisir.
Le gland passe la barrière et soudain je me sens ouverte et possédée, accueillante, puis je sens le membre de Damien, raide et chaud s’enfoncer dans mon cul, puis commencer ses allers et venues.
Je recommence à gémir, de plus en plus fort, à haleter au rythme de ses mouvements, son bassin entre en contact avec mes fesses à chaque fois qu’il pousse son membre en moi et mes gémissements se répandent dans la nuit alors qu’il me bourre comme une salope.
Ses mains agrippent mes épaules et me tirent vers lui pour me pénétrer encore plus profondément, son rythme s’accélère, son souffle devient de plus en plus court et le bruit de son bassin sur mon cul de plus en plus violent.
Il me faut peu de temps pour jouir, et je beugle ma jouissance dans la nuit, et je n’arrête pas de beugler sans interruption, Damien aussi arrive à terme et, m’inonde les entrailles de sa semence, mais continue de me bourrer sauvagement quelques secondes de plus, puis m’abandonne fier de m’avoir fait jouir du cul.

J’ai du mal à me relever et reste pliée en deux sur le lit, accroupie la tête sur la couette, essoufflée et tremblante. À l’aide de mes main, je me redresse, Damien est toujours là, derrière moi, ma nudité de nouveau à sa vue et ma poitrine l’inspire car il se jette à nouveau sur moi pour m’enlacer et recommencer à me caresser, les seins, la chatte et le cul…
Je recommence à gémir, c’est bon, je ne serais donc jamais rassasiée de sexe ?
Damien est un amant endurant qui n’a cessé de bander, ses mains malaxent mon corps et pénètrent mes trous encore entrouverts de ses pénétrations sauvages, tandis que je sens son membre contre mes fesses.
Je suis le dos en appui contre son corps, la bouche ouverte les yeux mi-clos en train de me faire doigter les trous comme une salope en gémissant.
Je repousse doucement mon amant, j’insiste car il ne veut rien entendre. Il me regarde étonné et, comme il s’apprête à ouvrir la bouche, je lui pose un doigt dessus et le repousse vers le pied du lit de mon autre main.
Je constate, s’il m’en était nécessaire, que sa vigueur est une nouvelle fois, revenue, je me penche en avant et en appui sur mes bras, j’ondule du bassin pour masser ma chatte sur le membre de Damien et ce contact réveille en moi le plaisir à peine ensommeillé.
- Ahhh, salope, dit Damien, tu en veux encore ?
La tête dans l’oreiller, les fesses en arrière, jambes écartées, dans toute mon excitation, je lui offre à nouveau mon cul pour qu’il se jette dessus, me foute dedans son membre épais et me fourre encore et encore, en me titillant mon clitoris d’une main.
Il me sodomise à nouveau, et le résultat lui parvient rapidement aux oreilles, mes râles sont devenus des cris, faibles au début mais puissants désormais. Mon corps tremble, tellement les mouvements de ma main sur mon intimité sont énergiques et que ses pénétrations m’envoient dans une jouissance fabuleuse…
J’aime ça, j’adore même…
Plus tard, après avoir hurlé nos jouissances, nous sommes allongés sur le lit, alors je lui dis :
- Peut-être est-il temps de dormir un peu… Demain une belle journée s’annonce et je crois qu’on va beaucoup l’aimer cette journée.

A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!