La Chute - 5
J'étais encore en train de déglutir le foutre qu'il m'avait balancé dans la bouche, assis par terre entre le canapé et le fauteuil, et ça poissait au fond de ma gorge... Il ne m'avait pas menti, sa deuxième giclée était à la fois plus abondante et plus épaisse. Je reprenais également mon souffle, tant cette pipe avait été sauvage... Se mêlaient sur ma langue et mon palais des gouts très différents, aussi forts les uns que les autres... Son sperme, sa sueur, sa... son urine... et même sa, son... les profondeurs de son cul... Ma tête tournait d'émotion mais la honte reprenait le dessus. Je voulais fuir, maintenant... Tout de suite!
Il s'arracha du fauteuil et passa dans sa chambre... j'en profitai pour me trainer jusqu'à l'entrée, à la recherche de mes vêtements. Ils les avaient bien rangés quelque part, mais où ? J'avisais la porte de la salle de bain mais il en jaillit avant que je n'ai pu faire un geste. Elle devait donner sur la chambre également.
- Tu cherches de quoi t'habiller ? Mets-donc ça, ma petite pute, me dit-il en me tendant quelque chose...
C'était une culotte en dentelle dans les violets et roses, assez sophistiquée, une culotte de femme, un genre de tanga. Un dessous délicat comme j'aimais en voir sur ma femme, étonnant dans la garde-robe de cette brute... Etait-il marié ? l'avait-il été ?
- Enfile... répéta-t-il, menaçant et caressant à la fois
J'obéissais - au point où j'en étais - curieux de voir à quoi je pouvais bien ressembler ...
On sonna.
Il ouvrit la porte en se dissimulant à moitié derrière mais moi je me retrouvai nu, ou plutôt en petite culotte de dentelles exposé au beau milieu de l'entrée.
Sur le seuil il y avait un petit homme sec d'une cinquantaine d'années, maghrébin, avec une épaisse moustache et des cheveux très noirs, mi longs, pas très soignés, des touffes de poils jaillissant de ses narines et de ses oreilles, un paquet de lettres à la main. Il me regarda d'abord, puis mon hôte ensuite.
- Monsieur Victor, je... je vous ai remonté votre courrier...Excusez-moi de vous avoir dérangé...
Il parlait avec un fort accent arabe sans me quitter des yeux. Je rougissais des pieds à la tête en essayant de me cacher mais il avait du voir la culotte, et que je ne portais rien d'autre... Quant à... Victor - je découvrais son prénom - même dissimulé en partie par la porte on voyait bien qu'il ne devait pas être beaucoup plus habillé que moi... La honte!
- Merci Tareq, dit-il en prenant les enveloppes et retenant un sourire. Tu ne me déranges jamais...
Le gardien me jeta un regard lubrique - ou avais-je rêvé - et s'effaça vers l'ascenseur. La porte se referma et je me retrouvais à nouveau seul avec mon tortionnaire...
- Hmmm tu es mignonne comme ça... retourne au salon...
Et tandis que je me retournais il me flatta les fesses, qui débordaient nettement de la culotte. L'effleurement de ses doigts, la douce pression qu'il exerça par en dessous pour mieux sentir mes chairs me provoqua un long frisson dans les reins.
Je ne savais pas comment bouger ou me comporter, et ne pensais plus qu'à une chose: rentrer chez moi, me sortir de cet enfer où je ne maîtrisais plus rien, où je n'étais plus moi-même - quoi qu'il en dise.
Il s'installa à nouveau dans le fauteuil, cette fois assis confortablement au fond, et me détailla avec attention...
- Tu es belle comme ça... Toute cette virilité anéantie par ce petit bout de tissu.. regarde-toi comme tu es timide, tu te dandines d'un pied sur l'autre sans savoir quoi faire... Tu ne t'es pas encore libérée totalement, tu n'es pas encore tout à fait la femelle que je cherche... Tu crois que tu peux faire mieux?
Bon sang je faillis acquiescer, pris au défi, soucieux de me faire bien voir... Mais je me retins et le toisait en essayant d'y mettre le plus de fierté et de mépris possibles...
- je ne suis pas votre chose, pour qui vous prenez-vous à la fin! lui lançai-je avec courage.
- Ah ouais? répondit-il.
Et il esquissa ce geste dérangeant: il posa sa main à plat sur l'accoudoir du fauteuil, paume en l'air, et redressa lentement le majeur vers le plafond, jusqu'à former ce geste vulgaire...
- Viens-là... Approche.. Mets les mains derrière la nuque et approche, ma belle...
Il remuait le doigt avec obscénité, me faisant signe d'avancer, et le tenait dressé comme une invitation...
- Mais .. Je... A quoi jouez-vous... ?
Il me paralysa du regard, la menace y était omniprésente, la violence sourdait de tout son corps, et je pris peur...
- Je te dresse, me dit-il d'une voix blanche. Mains sur la tête, dépêche... Et viens donc te planter sur mon doigt, chienne!
J'obtempérai et les mains croisées derrière la nuque, vint jusqu'à lui. Devant le fauteuil, j'hésitai...
- Une jambe d'un côté de l'accoudoir, l'autre sur moi... A califourchon, et garde tes mains sur la tête.. Avance ton bassin, c'est ça, mets-toi à l'aplomb de mon doigt et descend, viens à sa rencontre...
J'étais rouge de confusion et d'humiliation... Quelle scène ridicule! j'étais en train d'essayer de m'empaler sur le doigt d'un homme que je ne connaissais que depuis ... quoi... deux à trois heures ? et qui me parlait comme à un animal...
je sentis son majeur à l'entrée de mon orifice, une fois qu'il eut écarté ma culotte. Il s'amusait à en caresser brusquement l'entrée, et me faisait presque mal. Je m'enfonçais dessus pour faire cesser cette agression, et me traitais de tous les noms dans la foulée: c'était exactement ce qu'il cherchait! Et moi je venais de lui démontrer, quoi... ?
- Bonne chienne, vas-y, branle-toi la chatte, tortille-toi du cul, ondule, tends tes petites tétines, c'est ça...
Et il m'attrapa un sein entre les lèvres, commença à le suçoter, le lécher... Je sentais à nouveau mon sexe répondre, en essayant de l'en empêcher... Il avait ajouté un deuxième doigt et me malaxait le trou sans vergogne.
- Vas-y, baise-toi sur mes doigts, cambre-toi, offre-toi... encore... Tu aimes ça ? tu en veux, hein?...
J'ondulais du bassin et me surpris à gémir, cambré, le regard au plafond, la bouche entrouverte... Et lui qui ne me lâchait pas les seins, à me les aspirer l'un après l'autre, les mordiller, et me flatter les fesses d'une main pendant que les doigts s'ajoutaient les uns aux autres...
Il finit par tirer sur mes cuisses la culotte et positionner tous ses doigts en pyramide...
- Force la dessus, que tu sois prête, enfonce-toi bien sur ma main...
Tout en lui obéissant, non sans grimacer, j'osais demander...
- Prête à quoi ?
- Mais à te faire prendre, ma belle! A te faire baiser pleinement... Ce n'était rien tout à l'heure, c'est maintenant que les choses vont se jouer... Si tu te débrouilles bien, s'il s'avère que tu es un bon coup, alors je te baiserai un autre jour, je ferai de toi ma petite poupée sexuelle... Ca te dirait ça ? tu aimerais ?
J'eus une palpitation anale et m'enfonçait encore plus sur ses doigts... Il les fit jouer et m'écarta l'anus dans le mouvement...
- Oui ça te plait, tu t'ouvres pour m'accueillir... C'est bien... Viens sur moi maintenant, j'ai envie de toi...
Ces mots me firent fondre littéralement et j'enjambais les accoudoirs pour m'offrir à lui, toujours sans le regarder...
Il se plaça à l'aplomb et me souleva les cuisses: je m'empalais directement et sous la surprise avalait la moitié de son membre, soit une bonne dizaine de centimètres, gland inclus... Un gland qui ne passait pas inaperçu en se frayant le passage...
- Oh putain ce que tu es serrée ma belle, vas-y, prends-moi, baise moi comme tu en as envie...
Je ne savais pas trop comment bouger et essayais plutôt de réduire la douleur... Enorme, il était, et brulant... Je tentais de m'en accommoder le plus possible, oscillant pour trouver la meilleure position, me retirant pour souffler un peu et me relâchant sur lui, et puis pressant d'avant en arrière sans autre mouvement, lui pesant sur mes épaules pour m'enfoncer plus encore sur son membre.
Mes mouvements, malgré -moi, m'avaient excités, je me serrai sur sa bite chaude et gonflée et outre la réduction de la douleur, ça me procurait un plaisir croissant... Il était tellement... en moi! Cette sensation nouvelle - je n'étais pas allé plus loin qu'accepter deux doigts de ma femme - finissait par m'occuper le cerveau comme une obsession...
Il se leva du fauteuil comme si je n'avais rien pesé... et pourtant je n'étais plus dans mon poids de jeunesse! Sans effort, il me porta et me prit, lentement, puis plus fort, dans ses bras... j'avais abandonné ma pause mains croisées derrière la nuque pour accrocher la sienne et m'y arquebouter... Et son sexe, comme un fer rouge, me taraudait le fondement plus encore... je le sentais m'envahir, prendre possession de moi, me porter quasiment à lui seul comme un pal, forer dans mon intérieur pour m'arracher je ne sais quel aveu... Il colla se lèvres aux miennes un bref instant et j'en perdis le souffle... Des mots se formaient dans ma tête, je voulais lui dire des choses mais n'osais pas, ne voulais pas... Je me concentrai donc sur les sensations, cette pénétration intense...
- Hmmm T'es bonne, j'en reviens pas... Laisse-toi aller, vas-y, prends ton pied.... me murmurait-il à l'oreille tout en la léchant...
Je frissonnai de plus belle et m'accrochait à lui comme à une bouée. je le sentais gonfler encore et coulisser dans mon cul comme un vérin hydraulique... Il devait cracher du liquide séminal à gros bouillons dans mes entrailles ou alors je m'étais mis à mouiller... Ou encore la sueur qui me coulait le long de la raie avait lubrifié le tout pour mieux le servir...
- Rahhh tu me fais du bien, tu sais? Sens comme je te remplis, c'est ça, serre ma bite avec ta chatte, contracte ton con... Ahhh qu'il est délicieusement étroit, ton fourreau...!
Et je sentais monter en lui toute l'énergie et la tension du plaisir, une vague de joie féroce, aussi, de m'avoir à sa botte, à sa bite, généreusement, car je me lâchais vraiment maintenant et accompagnais ses mouvements pour plus d'harmonie et de fluidité... et mieux sentir ses 20 cm de queue aller et venir dans mon trou, comme chez eux... Je poussais des râles de plus en plus convaincus...
Il me posa enfin et me retourna face au mur. Me manipulant à sa guise il me fis cambrer au maximum tandis que je m'appuyais des deux mains sur la cloison... Je me tendis pour le recevoir mais il voulait jouer un peu... Je sentais comme une caresse délicieuse sur mon anus, puis il s'enfonçait doucement et son gland semblait rouler à l'intérieur, comme une pierre chaude... Il ressortait et recommençais, encore et encore... je finis par comprendre qu'il frottait délicatement son prépuce sur mon orifice puis se décalottait en me pénétrant doucement... la sensation était terrible! Il poursuivit la manuvre en me claquant les fesses juste avant la pénétration, ce qui provoquait une contraction de ma part: je sentais alors son gland forcer la porte , et vaincre ma résistance pour mon plus grand plaisir...
- Ohhhh, oui... encore... Comme ça... Oui, là... Là... c'est bon.... C'est si bon...!
C'était moi... mes digues avaient cédé et je lui manifestais mon plaisir... Moi qui quelques heures plus tôt était un pur hétéro... qui certes avait déjà fantasmé sur des hommes mais juste fantasmé! Tandis que là, je me donnais, j'avais envie de me donner, de lui plaire, à ce salaud...
- Ca y est, ça vient, vraiment cette fois... Laisse monter, tu vas voir ça va être puissant... tu crois que tu as jouis du cul tout à l'heure ? Ce n'était rien, un effet mécanique parce que je te bourrai le fion et qu'il n'en avait pas l'habitude... Mais là c'est ta chatte que je baise, ton con que j'enfile, tes lèvres que j'écartèle...
Il me caressait l'intérieur des cuisses de ses grosses mains velues, il frottait ses paumes sur mes tétons gorgés de désir, il me massait vigoureusement les épaules, ou saisissait mes hanches avec vigueur pour mieux me tarauder les reins... Et je criais mon plaisir, me cambrais plus encore, je tendais ma main entre mes jambes pour le saisir, sentir ses couilles me tamponner, sa hampe aller et venir en moi, quelle sensation, son braquemart de compétition allant et venant dans ma chatte, oui... ma chatte, qui s'ouvrait comme une fleur...
- Prenez-moi... Prenez-moi encore, possédez-moi... Je suis à vous, toute à vous...
Il attrapa à nouveau la bouteille de Poppers et me chargea... Je décollais dans un nuage noir et une explosion dans le crâne... Mon sexe se tendit au maximum et je m'ouvrais plus... Il me fit passer dans sa chambre et s'allongea sur le dos... je montais à califourchon sur lui et après une nouvelle inhalation m'empalais d'une traite...
Je le chevauchais maintenant, haletant, gémissant ...Se dégageait de son corps et de ses draps une odeur encore plus puissante, de mâle, de sexe, d'humeurs de toutes sortes et ça me montait au cerveau aussi efficacement que les vapeurs de la petite fiole...Il me retourna pour mieux me fesser, longuement, à pleines paumes, me secouant le cul sur son épaisseur qui n'en finissait plus de me remplir, et me baisa ainsi de longues minutes, un temps infini
Il m'éreintait, me murmurait des choses salaces, m'insultait, m'encourageait, et mes gémissements montaient comme une plainte... Et cette sensation des couilles au milieu de l'urètre, comme une tension dans un fil qui m'aurait traversé la bite de part en part, et qui demandais à se libérer...Quelque chose me remontait du plus profond, quelque chose de volcanique, de bouillonnant...Et ça durait, ça durait... la libération ne voulait pas venir...
Il le sentit et ralentit le mouvement... attrapa un objet dans la table de nuit et sortit de moi à mon plus grand désarroi...
- Non! Encore ! m'écriai-je...
Il me sourit vicieusement, et je ne voyais plus en lui aucune laideur, juste sa virilité exacerbée...
- Tu es prête, ma belle... Tu as juste une derrière étape à franchir... C'est dans la tête que ça se passe... Tu prends ton pied, tu veux jouir, mais tu ne sais pas à quoi tu le dois...
Il s'attachait l'objet sur le sexe et je baissais les yeux pour voir... Il s'agissait d'anneaux et d'une bague constellée de picots - j'avais vu le nom quelque part, mais ne me souvenais plus, un étui pénien ou quelque chose d'approchant, un terme anglais était plus précis... Celui-ci était imposant et surtout, la bague s'avançait haut sur son sexe maintenant et je compris très bien ce que ça allait me faire, ces aspérités aigues, et m'inquiétais sérieusement... Les anneaux lui remontait la bite, poussait ses énormes couilles en avant et le gonflait encore plus... Le gland avait pris une teinte plus violacée et menaçait semblait-il d'exploser tend il était tendu...
- Tu es à moi, c'est ton homme qui te donne ce plaisir... Prends-en conscience, abandonne-toi à ma supériorité, donne-toi quoi qu'il t'en coute, et laisse moi te faire jouir... ne pense qu'à mon, plaisir maintenant, sois reconnaissant de ce que je fais pour toi aujourd'hui, et le reste suivra... Tu ne pourras plus t'en passer, tu vas voir... Et cet accessoire va juste marquer ce jour d'une pierre blanche...
Il me mis sur le dos, releva mes cuisses vers ses épaules... Mon coeur battait la chamade...
- guide-moi, accueille-moi...
Je le guidais vers mon trou, sentant le métal, les picots, les bouts de cuir, mais aussi ses chairs gonflées, sa moiteur poisseuse... je le regardais dans les yeux comme il me regardait dans les yeux, son gland était posé contre mon trou et palpitait... Au dessus de moi, son visage ruisselant de sueur gouttait sur moi...et j'ouvrais la bouche pour le recueillir comme une pluie bénéfique.. il souriait et laissait ses lèvres entrouvertes, sa salive dégoulinait en longs filaments et je l'attrapais de la langue, comme la pire des chiennes, pour m'en délecter...
- Tu es à moi maintenant ?
- Oui, Oui je suis à vous...
- C'est qui ton homme ?
- C'est vous, c'est vous !
- Qu'est-ce que tu veux maintenant ? Qu'est-ce que tu veux vraiment ?
- Que vous me baisiez... Baisez-moi, baisez-moi comme une femelle, baisez-moi comme une femme...
- Sois-le, alors... Sois-le jusqu'au bout... me dit-il tout bas en approchant son visage...
Et tendis qu'il s'enfonçait un peu plus, j'attrapais sa nuque d'une main, son dos de l'autre, l'attirais sur moi et me jetais sur sa bouche pour l'embrasser de toutes mes lèvres, cherchant sa langue de ma langue, m'engageant dans un baiser passionné.
Il plongea dans mes reins et j'hurlais de douleur, de plaisir et de soulagement mêlés...
- Oh mon chéri, mon amour, oui, prends-moi, prends-moi fort!
je n'en croyais pas mes oreilles mais rien ne pouvait plus m'arrêter maintenant.
La demi-heure qui suivit fut une extase des sens... la bague me déchirait délicieusement les sphincters à chaque passage, tandis que son gland, dans cette position bien placé, me maltraitait la prostate... Je sentais son membre avoir raison de moi de la tête aux couilles et tout concourrait - son plaisir montant surtout - à mon propre plaisir. Il râlait de plus en plus fort, pesait sur mon corps de toute sa masse et mon propre sexe se frottait dans ses poils comme dans une fourrure...
Son plaisir croissait, je le sentais aux palpitations de sa bite et à la densité de ses couilles qui claquaient sur les miennes, sans cesse plus lourdes et tendues...
Le mien irradiait de tous mes membres pour se nouer au creux des reins.... Je me sentais me retourner comme un gant, sur ce point de concentration ultime...
- Oh... je vais jouir, me dit-il... Une bonne giclée encore... je vais bien te remplir ma belle, et apr_s tu seras à moi...
Je n'ignorais pas le risque que nous prenions, moi surtout, mais le train était lancé...
Il jouit dans un cri sauvage, une première giclée dans mon cul, puis se retirant un peu, les suivantes sur mon anus... comme dans ces pornos qui m'excitaient tant... de longs jets de foutre brûlant qui me mirent le feu aux poudres et tandis qu'il continuait de m'arroser j'éclatais également, douloureusement, comme jamais je n'avais joui... Il prolongea mon plaisir en s'enfonçant à nouveau, me remplissant de son sperme comme la salope que j'étais devenue... Oh j'aimais ça, et quand je me calmais enfin, et lui également, rien ne me fut plus naturel que de plonger vers son ventre et de lécher ses poils, d'y recueillir mon jus puis de le prendre en bouche, amoureusement, pour le nettoyer de gourmands coups de langue...
Je me sentais femelle, cette fois, épanouie. J'embrassais tout son corps qu'il m'offrait avec paresse, allongé sur le dos, les bras croisés derrière la tête...
20 minutes plus tard je me retrouvais dans la rue, auréolée d'une odeur de foutre et de cul, avec son numéro de téléphone.
C'est en bandant que je me dirigeais vers le métro pour regagner mes pénates, et avec l'horrible sentiment que tout le monde savait ce qui venait de m'arriver. Je ne m'en sortais pas si mal, me disais-je pour me rassurer... Et je me promis de ne pas le rappeler et de restaurer mon honneur.
J'étais bien loin d'imaginer que je pouvais tomber plus bas encore.
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