La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°277)
Suite de l'épisode précédent N°276 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Le Marquis dEvans vient dentraîner sa soumise enchaînée vers la table basse de la chambre. Thaïs avance maladroitement, tirée par la chaînette que le Noble tient entre ses doigts et qui se termine par deux pinces accrochées sur chacun des mamelons. Elle est terriblement excitée parce que son Maître vient de lui dire quIL a envie de jouer avec elle et aussi parce quelle aime sentir la puissante Maîtrise de son Dominant quand IL la tient à sa merci, et ce malgré la douleur de la grosse chaîne qui lui strie ses parties intimes et la plus petite qui lui tiraille les seins. Ses deux tétons sont presque arrachés car elle narrive pas à suivre le rythme imposé par son Maître, à cause de la chaîne à gros maillons qui pend de son cou, attachée à lavant et à larrière et qui a été tendue à lextrême en passant par lintérieur de la raie des fesses et entre ses lèvres humides. Thaïs est malgré tout contente de savoir quelle na que quelques mètres à faire pour rejoindre péniblement le centre de la pièce où se trouve la petite table, mais à ce moment là, la taille de la chambre de la suite occupée par son Maître Vénéré lui semble gigantesque.
- Et bien voilà, nous sommes enfin arrivés. Tu te déplaces finalement mieux à plat ventre en rampant ou à quatre pattes en petite chienne que lorsque je dois te traîner difficilement par tes mamelles ! (dit le Marquis dEvans dun ton assez coquin, car IL sait très bien que Thaïs ne pouvait guère faire mieux dans lembarras dans laquelle IL a laissé sa soumise se mouvoir avec peu de marge de manuvre pour avancer à son aise) Bon, passons ! Allonge-toi sur la table basse.
Thaïs ne sait pas comment sy prendre pour y arriver, car elle se rend bien compte que lorsquelle essaye de sasseoir sur la table avec lintention de sallonger, la tension de la chaîne qui passe entre ses jambes, mais plus précisément entre ses fesses et ses grandes lèvres devient insupportable.
- Dépêche-toi, je nai pas que cela à faire ! (rajoute le Maître dun ton très directif cette fois qui ne laisse pas dalternative).
Prenant sur elle, Thaïs sassoit maladroitement, sentant les maillons de la chaîne qui lui rentrent dans le dos, au fur et à mesure quelle commence à vouloir sallonger, et la gêne qui augmente sur ses parties intimes malmenées. Elle ne peut sempêcher de laisser un petit cri séchapper quand elle sent la morsure sur ses seins se faire plus prégnante, tandis quelle se penche vers larrière et que son Maître lui oppose une forte résistance en maintenant la chaîne pince-tétons en tension. Tant bien que mal, se mordant les lèvres, elle continue à forcer pour pouvoir arriver à se coucher et sent les pinces qui enferment ses deux seins céder peu à peu au niveau des mamelons. Elle a vraiment le sentiment quils pourraient être déracinés complètement tant la douleur sest fait violente au moment où la chaîne à lâché. Et Thaïs ne peut à cet instant sempêcher de glapir, autant de douleur que de surprise mêlée de peur car elle est presque tombée à la renverse sur la table une fois quelle sest trouvée libérée de ce lien que son Maître tenait encore fermement, retenant à peine sa tête qui a basculée vers larrière mais qui par chance na pas heurté la petite table. Elle ferme les yeux, rentre le menton dans son cou et la tête dans ses épaules, car elle sait quelle naurait pas dû crier et quelle va être punie pour cela.
- Voilà ! Je veux que tu apprennes à obéir au moindre de Mes ordres sans attendre, même si, sur le premier instant, la difficulté et la douleur te semblent être insurmontables. Noublie jamais que ton corps Mappartient et que je suis libre den disposer à ma guise. Jaime bien te voir un peu galérer pour donner la suite quil convient à mes nombreuses exigences, qui ne sont pas toutes des parties de plaisirs faciles, mais qui sont avant tout là pour ma satisfaction personnelle et pour mon seul bon plaisir.
Le Marquis dEvans, tourne autour de la table, pour installer sa soumise telle quIL la désire. IL défait la chaîne qui lui avait passé entre les jambes pour libérer laccès à son sexe et son anus. IL lui passe des bracelets de cuir autour des chevilles quIL attache sur une barre décartement extensible. IL att deux petits morceaux de quelques maillons quIL relie par un mousqueton sur les arceaux des deux bracelets en métal qui ont été précédemment verrouillés aux poignets de la soumise dont les jambes sont déjà écartelées. IL saisi la barre décartement et la ramène en amont de la tête de Thaïs qui se trouve donc carrément courbée à partir de cet instant et repliée en deux, et IL att aussi sec chacun des poignets quIL attache également sur la même barre quIL tend pour obtenir un écartement maximum. Thaïs se sent presque comme un culbuto reposant sur le dos, dans un équilibre précaire, car elle na aucun de ses membres libres pour pouvoir arriver à séquilibrer. Elle se sent dans une position particulièrement indécente, exhibée car son sexe et son anus sont dautant plus béants quelle a les jambes très écartées et que ses parties intimes se trouvent juste tournées vers le haut et exposées totalement à la vue de son Maître. Elle en ressent une excitation dautant plus grande quelle sait que la cyprine, que la chaîne fouillant lintérieur de ses lèvres avait déjà fait venir en abondance, est en train maintenant de couler à lextérieur de son bas-ventre pour se propager entre ses fesses et sur son entrecuisse du simple fait de la position de son corps renversé et ses parties intimes tant exposées au regard de son Dominant.
Son Maître avait plutôt tendance jusque là à la vouloir en levrette, ou à quatre pattes, la croupe relevée et les jambes écartées, la tête sur le sol, et elle aimait bien être sa petite chienne lubrique ouverte, totalement à sa disposition, lui offrant tous ses orifices lorsquIL lexigeait.
- Tu sais que tu es vraiment désirable quand je te vois ainsi à ma merci, ne sachant même pas ce que je vais te faire subir de douceurs ou de douleurs.
Le Marquis dEvans att une cravache, dont IL se plait à promener le bout sur le corps de sa belle, la sentant frémir et tressauter à chaque fois, quIL sapproche de ses parties intimes. Sa respiration se fait plus haletante, quand elle se fait rappeler à lordre :
- Tu ne jouis pas, nest-ce pas ! Tu sais très bien que tu ne peux pas jouir sans mon autorisation express mais simplement au moment précis où je ty autorise.
- Oui mon Maître Vénéré, je connais la consigne que jai toujours respectée.
- Alors cest très bien, car je vais tamener vers des plaisirs de plus en plus forts avec le temps, mais pour lheure, jai envie de prendre possession de celle qui mappartient, et de trouver du plaisir à te baiser, à te remplir, te posséder, te savoir toute à moi, et jai lexigence de jouir en toi encore une fois avant mon départ, pour te laisser en partant ma semence et mon odeur bien ancrées en toi.
Le Maître sinterrompt quelques instants. Thaïs entend nettement le bruit de la fermeture éclair quIL ouvre rapidement mais elle ne sait pas comment son Maître va décider de la prendre. De toute manière, elle est bien incapable de bouger et danticiper quoi que ce soit.
- Avant de commencer, il me semble quil te restait en suspens une punition. Tu navais pas oublié ? Je suppose !!! Dis-moi alors pourquoi je suis obligé de te punir.
- Mon Maître, je nai rien oublié ! A cause de mes cris intempestifs, Vous avez dit que Vous seriez contraint de reposer la chaîne et les pinces sur mes seins. Je Vous prie de bien vouloir me pardonner de Vous obliger à me châtier pour ma faute inacceptable et je Vous remercie de la punition que Vous minfligerez, qui maidera à maméliorer pour mieux Vous servir en respectant à tout instants Vos consignes et exigences.
IL att la chaîne avec la pince à seins, et la pose à nouveau sur les mamelons sensibles et douloureux, qui sont turgescents et gonflés de sang. La belle soumise se mord la lèvre pour ne pas gémir et risque une punition encore plus importante. Le Noble prend également une petite chaînette qui lui permet dattacher en tension la chaîne pince-seins trop courte directement sur la barre décartement. Chaque fois que Thaïs bouge les jambes ou les bras, la tension sur ses tétons se fait plus forte, et elle ressent une douleur qui la martyrise dautant plus que ses tétons sont, du fait de son excitation croissante, en train de vouloir se gonfler encore plus malgré les pinces qui les empêchent. Mais en même temps, cette douleur vive à laquelle elle shabitue essayant de bouger le moins possible attise son excitation et ceci dautant plus quelle commence à sentir le phallus gonflée de son Maître qui sest posé juste contre sa petite rondelle déjà lubrifiée par lexcès de cyprine qui coule de sa chatte.
- Ma belle chienne, tu es déjà toute trempée, pas besoin de lubrifiant pour ma queue qui va te pourfendre. Tu vas pouvoir émettre tous les sons que tu veux à partir de maintenant. Je veux lentendre cette petite chienne lubrique, haleter, souffler et crier
. Mais pas de jouissance avant mon autorisation.
Le Marquis dEvans prend possession de lanus exhibé qui soffre à lui et qui souvre pour le laisser entrer profondément tandis que Thaïs sefforce de relâcher la contraction de ses muscles fessiers. Dun grand coup, le Châtelain la pénètre profondément et se retire complètement pour recommencer encore et encore, voulant sentir lorifice céder et se détendre complètement. Thaïs respire de plus en plus fort, elle halète comme une vraie petite chienne, mêlant petits cris de plaisirs et de divine souffrance aussi car à chaque coup de butoir violent quelle reçoit de son Maître, son corps est projeté sous la pression jusquà ce que ce dernier ne la ramène à lui par les hanches quIL tient fermement pour pouvoir leur imprimer le même rythme que celui de sa pénétration anale. Thaïs se sent totalement impuissante et elle ne peut quavec docilité et plaisir se laisser enculer, car ayant les jambes et les bras écartés en arrière au dessus de sa tête elle na aucun moyen de pouvoir bouger son corps qui ne repose que par le dos sur le plateau de la table.
Le Marquis effectue de longs et puissants va et vient dans le fondement de sa soumise, lentendant souffler pour calmer la montée du plaisir anal quelle éprouve et IL la regarde avec délectation voyant comme elle essaye de résister à son propre plaisir pour Lui obéir. Cela provoque en Lui un sentiment profond de Domination de la savoir ainsi à ses ordres, respectant toutes ses exigences du mieux possible, attendant son bon plaisir pour pouvoir prendre le sien si tant est encore quil daignerait ly autoriser. IL aime sentir le pouvoir quIL détient sur celle qui lui appartient totalement. IL ne tarde pas à sentir son plaisir de mâle qui monte en lui et sapprête à jaillir, et juste avant dexploser de longs jets de sperme tiède, IL lui précise :
- Maintenant ! Tu peux jouir tout de suite et avec moi, et couler autant que tu veux.
Dans un long râle de Mâle, le Marquis éjacule sous les cris de plaisirs de sa belle chienne qui est prise de violents spasmes qui la secouent dans tous les sens. Cest presque la queue de son Maître, qui lempale encore, qui la retient sur la table car elle pourrait fort en tomber dans ses tremblements incontrôlables, bougeant dans tous les sens sous les soubresauts dun puissant orgasme. Dans sa jouissance de femme fontaine, Thaïs sest vidée elle aussi de longs jets chauds déjaculat féminin que le Maître a ressentis car ils sont venus couler sur sa verge et sur lanus dilaté qui sest rempli de ce liquide translucide tout autant que de son sperme. Cest donc dans un vrai splash quIL retire sa queue qui commence à se ramollir. IL fait le tour de la table, se positionne au dessus de la bouche de Thaïs et lui dit.
- Lèche ma belle chienne, ma queue, que je puisse me sentir tout propre, bien quen fait, tu lui as presque déjà fait prendre un bain avec tout ton éjaculat féminin qui ma inondé. Tu sais à quel point jaime te voir couler quand tu jouis. Cela reste toujours un spectacle dont je me lasserai difficilement. Mais je nen ai pas fini avec toi, encore que ta punition est terminée, je vais déjà te retirer la pince sur tes seins qui ont été largement mis à contribution, et cest surtout que je veux que tu te concentres sur un autre plaisir que je vais te faire goûter avant de devoir te quitter
(A suivre
)
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