Démission
Je ne résiste pas à vous raconter ce qui mest arrivé la semaine dernière.
Je dirige, à Paris, une petite entreprise, avec 6 salariées, que des femmes. Ne commencez pas à vous exciter, petit(e)s coquin(e)s, je ne suis pas du genre à mélanger boulot et gaudriole !
Deux de mes assistantes sont là depuis bientôt quinze ans, donc nous nous connaissons bien professionnellement. Mais il ny a jamais eu dambiguïté dans nos relations.
Bien sûr, comme je suis un mâle un peu porté sur la chose, jai bien profité parfois dun corsage un peu ouvert pour tenter de voir un peu plus les beaux seins dAmélie, et ceux, moins fournis, de Carine.
Mais très discrètement, pendant que lon parlait des dossiers.
Les seins dAmélie et le cul de Carine ont, je lavoue, parfois été lobjet de fantasmes quand je me branlais dans mon lit le soir ou sous la douche. Jen imaginais une venant sasseoir dans mon bureau, elle à la table ronde à quelques mètres, moi derrière mon bureau, pour parler dun dossier.
Carine par exemple, venait en ayant une jupe (pur fantasme, elle nen porte jamais) et je pouvais apercevoir un bout de sa petite culotte. Et ce jour-là, dans mon rêve, elle voyait que je la regardais, alors lair de rien elle écartait un peu les jambes, puis passait une main sur sa motte.
Alors je me levais en souriant, je mapprochais, je magenouillais devant elle et, écartant sa culotte, je lui léchais la moule avidement, avant de la mettre dos sur la table et de lenfiler prestement, puis de la retourner et de lenculer sauvagement.
Amélie, elle, je la voyais plutôt sapprochant de mon bureau et, se penchant pour me montrer un point dans un document, me laisser apercevoir ses beaux seins.
Alors, la regardant, je lui prenais la taille, et enfouissait mon visage entre ses seins après les avoir libérés. Puis elle sagenouillait et me suçait divinement, moi dans mon fauteuil de patron, avant que je ne la bascule sur le bureau pour lui enfourner ma queue bien profondément.
Du fantasme de patron sur ses secrétaires, mais pas plus. Jusque- là.
Amélie ma donné sa démission il y a quelques temps, souhaitant partir dans sa région dorigine pour soccuper de sa maman âgée. Jen ai été un peu dépité mais cest ainsi.
Jeudi dernier, donc, une fois tout le monde partit, je lai invitée à venir signer tous les documents liés à son départ. Lambiance était à la fois un peu tendue, car cétait un moment un peu difficile pour elle comme pour moi, mais aussi conviviale du fait de notre longue collaboration.
Après les formalités, je lui ai proposé, une fois nest pas coutume, de boire un verre de ce délicieux armagnac que je garde dans un placard. Puis nous avons commencé à papoter un peu, nous rappelant les anecdotes qui ont émaillé la vie du bureau depuis 15 ans. Cela nous a fait rire, et lalcool aidant, nous nous sommes détendus.
Amélie portait une jupe large, comme souvent, et un chemisier blanc un peu échancré. Comme à lhabitude, je louchais un peu dedans, mais il faut croire que jai été moins discret que dhabitude. Amélie ma regardé fixement et ma dit :
- Monsieur Steve, je vois que vous regardez encore dans mon corsage. Croyez-vous que je ne vous ai pas vu faire depuis tout ce temps ? Vous devriez avoir un peu honte, non, à votre âge !
Jétais un peu confus, mais jai joué la vérité
- Amélie, depuis des années, je vous regarde, comme mon assistante bien sûr, mais également comme une femme. Je vous ai toujours trouvé charmante, et désirable, surtout quand vous présentez ainsi vos appâts, comme lon disait autrefois.
- Ô Monsieur Steve, vous êtes décidément incorrigible ce soir. Mais puisque lon va se quitter pour toujours, je peux aussi vous avouer que je vous ai regardé comme un homme, souvent. Et que jai parfois imaginé
Je ne lai pas laissé finir sa phrase. Je me suis approché delle et je lai embrassée, la prenant dans mes bras pour la retenir.
Mais nul besoin de la retenir ! Elle ma rendu mon baiser avec avidité, et nous nous sommes enlacés tous deux.
Le baiser terminé, nous nous sommes regardés, un peu interdits par ce qui venait de se passer, un peu gênés aussi. Mais nos yeux disaient notre joie du moment.
- Amélie, je vous veux ce soir, pour un adieu mémorable.
- Steve, ce soir je vous appelle juste Steve, je vous veux aussi, je suis folle, mais jai envie de vous.
Je lai emmené sasseoir sur le canapé de mon bureau (jai un grand bureau).
Je me suis agenouillé devant elle, et jai posé ma tête sur ses cuisses. Elle ma caressé les cheveux, pendant que mes mains remontaient de ses chevilles vers ses cuisses, remontant sous sa jupe pour atteindre ses hanches.
Elle a écarté ses jambes, et, soulevant sa jupe, jai aperçu sa culotte blanche ou une tâche de cyprine sélargissait.
- Amélie, ta chatte est belle, je vais te lécher
- Vas-y, jen rêve depuis des années !
Jai enlevé prestement sa culotte, et je me suis enfoui dans sa toison, recherchant son clitoris pour le happer, et léchant bien sa fente humide.
Elle commençait à gémir sous ma langue, aussi je mappliquais, dégustant cette chatte nouvelle dont je savais que ce serait la seule fois. Jentrais ma langue le plus profondément possible, et elle aimait ça, et quand je revenais sur son bouton érigé, ses soupirs se faisaient plus aigus.
Puis jy ai mis un, puis deux doigts, la branlant lentement, la regardant prendre du plaisir. Son jus coulait, et jai commencé à lui masser le petit trou.
- Mets-moi des doigts dans le cul, jadore aussi cela ma-t-elle soufflé.
Alors, jai inséré mon annulaire pendant que mon majeur et mon index continuaient de découvrir sa grotte.
Au bout de dix minutes, elle a crié sa jouissance. Et moi jétais heureux de lavoir fait jouir.
Je me suis relevé, ai enlevé mes vêtements, et jai présenté ma queue à sa bouche
- Suce-moi, Amélie, ça aussi jen ai rêvé lui ai-je lancé, tout en lui déboutonnant son corsage pour libérer ses gros seins.
Jai rajouté :
- Tes seins, tu ne peux pas savoir combien de fois je me suis branlé en les imaginant autour de ma queue !
- Alors donne-la-moi pour commencer, viens te branler entre mes seins
- Ahhh, jaime que tu serres tes seins sur mon gourdin, je sens leur peau soyeuse.
- Vas-y, cest bon pour moi aussi.
Jaime voir mon vit coulisser entre des seins, et jai déjà eu par le passé limpression que certaines femmes aiment bien cela aussi, que cela doit répondre à un de leurs fantasmes (dites-moi mesdames si cest votre cas).
Au bout dun moment, elle sest reculée, sest un peu penchée et ma pris dans sa bouche, pour me faire une fellation de toute beauté, douce, appuyée, sa langue tournant autour de mon pieu tendu, sattardant sur le prépuce, sur le gland, puis membouchant en entier au risque de s.
Je lui caressais les cheveux pendant ce temps-là, et parfois, je lui maintenais la tête pour rester en elle un peu plus longtemps.
Enfin, sentant quelle ne pourrait raidir davantage mon sexe, elle sest relevée, sest agenouillée sur le canapé et, me présentant son cul magnifique, ma invité à la baiser.
Bien sûr, dun coup, je lai pénétrée et nous avons partagé ce moment de sexe intense, profitant de cette baise que nous savions unique, inscrivant dans nos mémoires la scène pour nous en souvenir.
Au bout dun moment, Amélie ma stoppé, puis a commencé à faire des aller-retour sur ma queue. Je restais immobile, regardant son cul mengloutir et me recracher, ses lèvres sécartant sous sa poussée.
Très excitée, elle criait « ah, je me baise sur toi, jaime ta queue, je la voulais tellement depuis tout ce temps ».
Puis, sarrêtant, elle a baissé un peu son fessier et, tenant ma queue dune main, la présentée à son anus.
- Encule-moi, je veux ce souvenir de toi.
Jai attrapé ses hanches, et je lai enculée lentement, écoutant ses gémissements. Visiblement, elle navait pas mal et devait avoir un peu dexpérience en la matière.
- Défonce-moi le cul, Steve, je veux être remplie de toi.
Jai accéléré le rythme, et au bout de cinq minutes, jai vu son cul tressauter, et ses cris se sont accentués.
- Aaahhh, je jouis, continue, baise-moi à fond.
Tout en lenculant sauvagement, je ne pouvais mempêcher de penser à cette femme qui mavait assisté pendant tant dannées sans un regard équivoque. La nature humaine sait cacher ses envies secrètes
Jai éjaculé en elle, giclant une quantité inhabituelle de sperme épais qui est allé tapisser son fondement.
- Oooohhh, Amélie, je te remplis de mon foutre, ma belle cochonne.
- Ahhh, Steve, mon taureau, enfin tu mas baisée
Une fois calmés, nous nous sommes retrouvés face à face, et un long baiser mouillé a conclu cet épisode inattendu.
Nous nous sommes rhabillés, et, au moment des adieux, elle ma lancé un regard doux :
- Steve, merci pour ce moment, et pour toutes ces années ensemble. Si tu veux, jai une nièce qui pourrait peut-être me remplacer.
- Cest une idée, car la personne qui a commencé le job nest pas très efficace par rapport à toi.
- Tu verras, elle sera opérationnelle, je lui en ai déjà parlé.
- Ah, envoies-la moi, je verrai ça.
- Et surtout, surtout, ne fais pas comme pour moi, nattends pas quinze ans pour la baiser !
- Mais tu sais que je ne mélange pas sexe et boulot.
- Je crois que tu vas évoluer dans tes concepts, mon patron chéri. Quand tu lauras vue, tu jugeras
..
Elle est partie, et trois jours plus tard, Camille prenait sa place.
Cela ne fait que commencer, mais jai compris ce que voulait dire Amélie : sa nièce ma lair dune fieffée cochonne. Si cela évolue, je vous raconterai
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