Leslie La94

Leslie LA94 – Laure, le journal intime – Sylvie, suite et fin

Le lendemain, le soleil passant par la porte fenêtre grande ouverte, me réveilla alors que je dormais nue, allongée sur le lit.
Damien n’était plus près de moi, s’étant certainement levé plus tôt ou ne voulant pas être découvert près de moi. Le fond de l’air était doux, une belle journée commençait…
Avant d’aller prendre une douche et descendre déjeuner, je me suis levée pour tirer le rideau de la chambre et me vêtir. Mais lorsque je me suis présentée nue dans l’encadrement de la porte fenêtre, j’ai découvert Antoine à quelques mètres de là, un grand sourire aux lèvres, qui me regardait.
Il me voyait alors que j’étais debout, totalement nue, il ne put s’empêcher de me dire :
- Charmante vision du matin !
J’ai fermé la porte-fenêtre rapidement et tiré les doubles rideaux, sous le regard amusé d’Antoine qui, bien-sûr pendant tout ce temps, n’en as pas perdu une miette.

Je me suis ruée sous la douche et après un petit coup de peigne, je me suis regardée dans le grand miroir de la salle de bain. Je me suis trouvée belle et j’ai pris le temps de laisser mes mains glisser le long de mon corps, soupesant mes seins, pinçant doucement leurs pointes qui durcirent immédiatement, m’arrachant un petit frisson.
Satisfaite de ce trop court instant, j’ai enfilé un peignoir en éponge pour aller m’offrir un bon café.
Arrivée dans la cuisine j’ai commencé à faire le café et en le faisant depuis la fenêtre de la cuisine, j’ai aperçus Antoine qui se promenait dans le jardin, peut-être encore à l’affût d’une vision que je pourrais lui offrir.
C’est vrai qu’il est beau gosse, et le temps étant au beau fixe, j’allai l’inviter à partager un café avec moi sur la terrasse.
Je suis sortie un instant et j’ai interpellé Antoine :
- Eh, Antoine, tu veux prendre un café avec moi ?
- Avec plaisir, me répondit-il, j’arrive dans deux minutes.



Il passa ses sandales et vint vers moi, une fois de plus, je pris le temps de le regarder et une pensée coquine me traversa l’esprit, car si tout était proportionné par rapport à ses épaules et ses bras, il devait avoir un sacré morceau caché dans son short.
Antoine ‘installa sur la terrasse et nous primes le café en échangeant quelques banalités, mais ses yeux ne quittait pas ma silhouette, espérant certainement que mon peignoir s’ouvre sur ma nudité, mais son regard, je l’ai senti avait fait durcir mes tétons sous mon vêtement et une étrange chaleur monter en moi !
Une fois le café but et les deux tasses nettoyées, me voici à nouveau dans ma chambre, allongée sur le lit, le peignoir grand ouvert, je fais un petit tour sur internet pour lire les derniers messages de mes copains et copines, deux ou trois coups de fils, puis je vais ouvrir les doubles-rideaux et entrouvert la porte fenêtre avant de rallonger sur le lit.
Je me suis laissée aller, mon esprit rêvait un peu et se perdait vers ce jeune garçon athlétique, Antoine, l’imaginant nu devant moi et son sexe en érection, une douce chaleur commença à monter en moi et je ne résistais pas à l’envie de caresser lentement mes seins d’une main par l’ouverture du peignoir et de l’autre je frôlais mon sexe en imaginant…

Soudain je sentis comme une présence et un coup d’œil vers la fenêtre ouverte me fit découvrir Antoine dans l’embrasure, qui regardait me caresser, le peignoir ouvert sur ma nudité.
- Antoine, que fais-tu là ! Dis-je surprise.
- Chut !
Antoine passa l’embrasement et entra dans la chambre, puis s’approcha, me regarda debout au pied du lit en disant :
- Continues, tu es très belle et tu allais prendre du plaisir !
Nos regards se croisent et se fixent un instant les uns dans les autres, puis le sien descendit, je le sentis presque comme une main, parcourir mon corps nu et s’arrêter au niveau de mon pubis, que ma main couvrait, deux doigts insérer dans mon sexe.

Il put ainsi contempler sans difficultés, une nouvelle fois mais plus longuement cette fois, mes seins nus puis, ma main sur mon sexe qui avait repris son activité, mais à cet instant, ce sont ses mains que j’aurais aimé sentir fouiller mon sexe.
Je frémis sous son regard qui parcourait mon corps, il le sentit car il contourna le lit et se plaça près de moi et je vis une bosse déformait son short.
C’est lui qui rompit le silence :
- Tu es très belle…
- Antoine…
- Ne dis rien ! Depuis ce matin je pense à toi et maintenant…
Et se penchant vers moi, il pose ses mains sur mon cou et commence à dénuder mes épaules en faisant descendre mon peignoir, de longs frissons parcourent aussitôt mon corps et soudain je me sens électrisée.
- Antoine… Qu’est-ce que tu fais ? Dis-je troublée.
- Chut ! Laisses-toi faire…
Et aussitôt, ses mains descendent doucement vers ma poitrine, puis ses mains empaument mes seins gonflés de désir à pleine main, sa bouche frôle un téton durci, mais dans un dernier sursaut je me défais de cette étreinte, me redresse et me lève en disant à Antoine :
- Arrête, laisse-moi maintenant…
- Tu ne dis pas ce que tu penses, dit-il en se rapprochant de moi.
- Arrête ! Tu es fou !
- Oui, et alors, je pense que tu en as envie, non ?
Je n’ai pu répondre, tant mon désir était fort, alors il me prit dans ses bras et ses lèvres coururent sur ma peau, je me suis laissé faire car le désir l’emportait et je voulais maintenant qu’il me fasse jouir !

Dans la précipitation de l’action, mon peignoir s’était complètement ouvert, dévoilant ma nudité à Antoine qui me serrant contre lui, avec une habileté démoniaque il glissa aussitôt une main entre mes cuisses pour trouver ma grotte humide de désir.
Un doigt se posa sur mon clitoris et le malmena délicieusement avant de s’enfoncer en moi, me faisant frémir et feuler, alors je m’offris entièrement, ouvrant largement les jambes pour lui laisser prolonger sa caresse en savourant ses lèvres sur mes seins, ses doigts dans mon ventre.

Puis alors que son pouce agaçait mon clitoris, j’ai sentis son autre main partir dans la raie de mes fesses, à la recherche certaine de ma rosette intime, alors pour lui offrir l’accès qu’il cherchait, je me suis cambrée, faisant ressortir aux maximum mon postérieur et aussitôt son index vint appuyer doucement sur mon anus.
Lubrifié par mon plaisir qui montait, son doigt força mes reins et s’enfonça complètement en moi avant d’entamer de petites poussées qui complétèrent son jeu dans mon ventre.
Je sentis l’orgasme monter comme une grande vague. Je jouis brutalement lorsqu’il m’acheva en mordillant le bout de mes seins !

Essoufflée, pantelante, je repris ma respiration tandis que les mains, les lèvres d’Antoine me couvraient de caresses et faisaient perdurer mon orgasme.
Plaqué contre moi, je sentis contre mon pubis son sexe dur et épais, m’arrachant un petit cri de surprise et un long soupir de contentement, dans un délicieux frémissement.
Ses lèvres se plaquèrent sur les miennes, maintenant contre le mur de la chambre, le peignoir ne cachait plus rien de mon corps offert à ses regards et ses caresses. Mon ventre accessible à ses caresses et je ne pus résister à poser la main sur l’énorme bosse qui déformait depuis longtemps son short.
Il semblait en effet être bien équipé, alors je me laissais glisser à genoux devant lui, libérant rapidement l’objet de mes désirs.
- Ohhh… Antoine ! Quel membre splendide ! Dis-je en posant la main sur l’énorme mandrin dressé devant mes yeux.
Un membre circoncis musculeux, long et large, surmontée d’un gland carmin brillant de désir, frémissant au contact de mes doigts. J’entamai une lente caresse. Mes doigts ne parvenaient pas à entourer le mât dressé sous mes yeux mais je pris un plaisir immense à aller et venir sur cette tige dure comme du bois, douce comme du satin. Hypnotisée par le désir d’Antoine orgueilleusement tendu vers moi, je penchais la tête, déposais un petit baiser sur le gland avant, très lentement de laisser mes lèvres s’entrouvrirent et l’envelopper puis l’engloutir tendrement.


J’ai joué de la langue et des lèvres sur ce membre, mais je ne pus l’absorber entièrement, plus tard après de longues caresses de ma bouche, je sentis Antoine se raidir, près à jouir, mais il m’obligea à l’abandonner et à me redresser…
En me conduisant près du lit, il me dit :
- Tu vas t’embrocher sur ma queue et prendre ton plaisir…
- Non, prends-moi maintenant !
Alors, Antoine me retourna et, me faisant poser les mains sur le rebord du lit, il m’ôta mon peignoir, puis me saisissant par les hanches, fléchit sur ses jambes et lorsqu’il se redressa, je sentis son gland glisser entre mes cuisses pour atteindre son but et, lentement mais d’une seule poussée, il s’enfonça en moi, totalement.
J’ai laissé échapper un petit cri lorsque son gland est arrivé en bout de course, butant au fond de mon ventre.
Je me sentais complètement remplie par l’énorme tige et j’ai gémit quand elle s’est mise en mouvement, c’était dantesque. Antoine entama de lents et puissants va-et-vient, me pénétrant délicieusement. Puis tout en me possédant à grands coups de reins, il prit mes fesses à pleines mains et les écarta afin de découvrir ma rondelle et j’ai sentis son pouce forcer doucement sur mon anus. À peine la légère douleur du premier moment, de la première intromission. Puis mes reins furent violés lentement et cette fois je ne pus résister à la vague de jouissance qui monta en moi, l’orgasme me submergea m’arrachant des cris de démentes, puis le membre se retira doucement de mon ventre et le doigt habile glissa hors de mes reins…

Alors qu’Antoine me poussait sur le lit afin que je m’allonge, je vis avec stupeur Damien, dans l’ébrasement de la porte-fenêtre, tenant son membre en main entre ses doigts serrés. Il avait dû voir toute la scène précédente…
Nous basculâmes, avec Antoine sur le lit, et Damien vint nous rejoindre, Antoine m’ouvrit doucement mes jambes et sa langue agile vint agacer mon petit bourgeon déjà très excité, quant à Damien, il présenta son membre à mes lèvres, j’entrouvris mes lèvres et il l’enfonça pour venir buter sur mon palais. Mes jeunes amants allaient m’emporter vers la jouissance…

La vulve fouillée par une langue habile, accompagnée de doigts vrillant mes deux orifices offerts, mes lèvres écartelées par un membre frémissant, je me laissais emporter dans le délire du sexe, du plaisir et des orgasmes à répétition. Longtemps ils jouèrent de moi et de mon corps, puis Antoine s’allongea sur le lit, et aussitôt m’attira sur lui et me saisissant par les hanches me guida pour que je m’empale sur son membre dressé, qui glissa lentement en moi, me remplissant complètement et mettant mon ventre en fusion.
Je gémissais, le plaisir qui agitait mon corps devenait fureur tandis que le sexe de mon amant buttait contre mon utérus, reculait pour mieux me défoncer au coup de reins suivant.
Antoine me tenait maintenant contre son torse, les mains sur mes fesses. Je sentis qu’il écartait mes globes, un doigt inquisiteur vint se poser sur ma rondelle. Je frémis sous la caresse.
Il poussa doucement, son doigt s’enfonça en moi… Quelle sensation ! Embrochée sur ce sexe viril et perforée par ce doigt qui s’agitait maintenant dans mes reins ! Les caresses sur mon dos, mes bras, mes seins étaient autant de sources de frissons délicieux… Les caresses ? Antoine maintenait toujours mes fesses !

Je tournais la tête et croisais le regard de Damien qui souriait le sexe dur en main, il s’agenouilla dans mon dos et ses mains se posèrent sur mes épaules afin de m’obliger à m’allonger sur le torse d’Antoine. Puis Damien posa ses mains sur mes hanches tandis qu’Antoine, abandonnant mes reins, me maintenait contre lui, me forçant à me cambrer encore plus.
La langue humide de Damien parcourut ma raie et lécha ma rosette pour l’humecter, l’agacer et la pénétrer comme un petit sexe, m’arrachant un long feulement de plaisir.
Cette caresse intime me sembla durer une éternité, faisant monter en moi une grande vague de plaisir puis, brusquement Damien se redressa et c’est son gland puissant qui se posa sur ma rosette, Damien poussa délicatement et je m’ouvris insensiblement…
Waouh ! La tige dure comme de l’acier s’enfonça lentement dans mes reins, d’une seule poussée jusqu’à la garde ! J’avais deux membres brûlants qui allaient et venaient maintenant en moi.
Comblée, distendue et remplie par cette double pénétration, je ne pus résister à l’orgasme qui montait en moi, j’hurlais mon plaisir, transpercée par mes deux adorables amants, lorsqu’ils explosèrent en longues giclées qui inondèrent mes reins et mon ventre !

Puis après une bonne douche, nous avons regagné le salon où nous avons regardés la télé, moi entre les deux garçons qui ne pouvaient s’empêcher de me caresser.
J’étais comblée, repue et encore toute frémissante sous les caresses des deux jeunes-hommes, plus tard Barbara et Sylvie sont rentrées et nous ont rejointes au salon pour prendre le thé.
Quelques instants plus tard, Barbara nous demanda :
- Alors mes chéries, ces deux jeunes garçons virils ont-ils été efficaces en tant qu’amants ?
- Euhh… Dit Sylvie.
- Du peu que j’ai pu en voir et entendre ! Dit Barbara, j’ai le sentiment que vous avez apprécié.
- Je dois avouer, dis-je qu’ils ont été bien formés !
Les deux jeunes hommes éclatèrent de rire, Barbara s’approcha et se pencha vers moi pour m’embrasser très tendrement sur les lèvres, tandis qu’Antoine et Damien continuaient de me caresser doucement.
- T’es quand même une sacrée manipulatrice, dis-je à Barbara, me tendre un piège pareil.
- Et tu le regrettes ?
- Non, parce que c’était sublime !
- En plus, au restaurant, c’est toi qui m’as allumé…
- J’avoue, mais tu ne t’es pas dérobée, allant même à répondre à mes avances…
- Non ma chérie, j’ai joué dans ton jeu et avec mes deux jeunes complices et élèves, nous n’avons pas la moindre honte ? Et d’ailleurs, il me semble que nous serions prêts, tous les trois, à te faire à nouveau subir les derniers outrages… Avec Sylvie bien sûr, qui ne savait rien de mes projets…
En fait Sylvie, s’est fait aussi piéger, comme moi.
- Si vous êtes tentées, allez prendre tranquillement une douche pendant qu’avec mes jeunes complices nous servons l’apéritif... Puis ensuite nous dinerons tous les cinq nus et nous prendrons le dessert ensemble…
- Que le dessert ? Demanda Sylvie.
- Voyons, dit Barbara, ce dessert se prend uniquement en chambre !
- Voilà qui est clair, répliqua Sylvie, comment refuser ?

A suivre…

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