Boum ! Badaboum !!

Faut quand même que je vous raconte un de mes meilleurs souvenirs avec Ali. En plus de celui de notre rencontre, bien sûr. Ca restera sûrement un souvenir marquant dans ma vie.
Cet été là, on avait pris l’habitude de s’échapper à deux, de se trouver un coin tranquille et d’y passer l’après midi à…batifoler. Comme on aime le sport tous les deux, on prenait nos vélos et on partait, nez au vent, par les petits chemins de campagne. Par chez nous, la campagne est légèrement vallonnée, avec beaucoup de petits prés, clôturés de haies, on appelle ça le bocage. On roulait ainsi, au hasard des chemins, sans trop savoir où o, allait, ni même où on était. Il serait toujours temps de regarder un panneau- quand il y en aura un -, quand on voudrait rentrer. Ce jour là, Ali avait un look d’enfer : short court vert anglais et tee shirt ocre jaune et de grosses lunettes de soleil. A un moment, on se fit dépasser par une petite décapotable jaune avec deux jolies jeunes filles. Le cabriolet nous klaxonna gentiment en nous doublant. Pour nous avertir ou nous faire un signe ? Vingt mètres plus loin, elles donnèrent trois petits coups de frein qui allumèrent les stops de la voiture. Alors, tout à trac, Ali leur lança :
« - Sorry, girls, I only suck dicks !!!
« -T’es gonflé quand même, elles pourraient comprendre l’anglais ! » Ca le fit bien rigoler
- T’inquiète, elles ont pas entendu. De toute façon, c’était mort, non ?
- Ca t’aurait pas dit si elles s’étaient arrêtées ?
- ??????????????
- T’as déjà baisé avec des filles ?
- Ben oui, qu’est ce que tu crois ! Faut connaître tous les plaisirs de la vie, non ?
- Et…Tu sais pourquoi tu préfères les mecs ?
- ……..J’sais pas trop. Peut être que c’est parce que j’ai commencé par eux quand j’étais plus jeune. Et aussi, un mec, ça sait exactement ce qui va te faire plaisir un max. C’est fait comme toi… ».
On arrivait au creux d’un petit vallon, complètement isolé.

Ca faisait déjà un moment qu’on n’avait pas vu une ferme. Ali s’arrête et me dit :
« - Là, ça sera super ! Personne à l’horizon. Cool ! Regarde, il y a même un petit ruisseau. »
On passe nos vélos par-dessus la barrière, on étend une grande serviette de plage derrière la haie, en plein soleil. La haie nous isole parfaitement de la route. De toute façon, il n’y a pour ainsi dire pas de trafic. On commence à se déshabiller l’un l’autre, très lentement, avec force caresses et baisers. Finalement, c’est assez vite fait vu qu’on n’a pas grand-chose sur le dos, à part un short et un tee shirt. On décide garder notre slip. Un boxer hipster en mousseline violet qui lui souligne parfaitement bien les formes pour Ali. Un mini slip vert flashy, en « sensitive », comme ils disent, pour moi. Ali a pris un magazine et moi un journal. Sans se concerter, on décide de ne pas se sauter dessus tout de suite mais de bien profiter du chaud soleil, de la lecture, de la rivière. On commence par se reposer, les yeux fermés, les mains légèrement baladeuses, à la limite de sombrer dans le sommeil. Collés l’un à l’autre, quand même ! Au bout d’un bon moment, je commence à lire le journal. Je pense qu’Ali s’est endormi. Pas du tout. Le voilà qui pose sa main sur mon slip, sans la bouger, en attendant sans doute que ça gonfle tout seul. Ce qui ne tarde pas à arriver. Je fais de même, je pose ma main sur son cul. Il remue légèrement les fesses de contentement puis continue à rester immobile, les yeux fermés. Une bonne heure se passera ainsi à s’agacer…au ralenti.
Et que je te pose la tête sur le bas ventre de l’autre pour s’en servir comme d’un oreiller, mine de rien…Et qu’on plonge nos mains dans nos slips puis dans le slip de l’autre pour se caresser, en ayant l’air de penser à autre chose…Et que je te masse les couilles délicatement à travers la fine mousseline du boxer – trop bon ! On dirait qu’il n’y a pas de tissu-… Et que je te croise nos jambes bien serrées…Et que je te branle doucement le gland à trois doigts par le dessus, dans l’entrebâillement du slip…Toujours calmement, pour ne pas exploser tout de suite.
Toujours en continuant à lire…De temps en temps, un long baiser, les yeux dans les yeux, chavirés. On veut faire durer cette ambiance de préliminaires au ralenti. On sait trop bien comment ça va finir, on veut juste amener ça tout doucement. Malgré tout, le plus bizarre, c’est qu’on arrive à lire quand même…et à comprendre ce qu’on lit !
A un moment, Ali, qui a posé sa tête sur mon slip, accentue la pression de sa nuque en la faisant rouler de gauche à droite, glisse trois doigts sous le tissu et me caresse les couilles. Puis il entrebâille le haut de mon mini slip et commence à me lécher le gland déjà bien humide à grands coups de langue. On dirait que les hostilités ont commencé…Ce qu’on a aussi remarqué, c’est que le ciel s’est progressivement chargé. Il continue à faire chaud et lourd.
« - Tu crois qu’il va pleuvoir ?
- T’inquiète ! Ca va passer. ».
On continue donc à se chauffer de plus en plus. Cette fois, Ali a pris « les choses en main ». Il me couvre de baisers, de la tête aux pieds, appuie ses caresses aux endroits les plus chauds. Il m’agace le slip en me mordillant la bite à travers le tissu. Ils ont raison, on sent super bien les sensations à travers ce tissu « sensitive » ! Il fait glisser et commence à me pomper somptueusement. Il a l’art de faire monter la pression tout doucement en gardant bien le contrôle de lui-même le plus longtemps possible. Je lui demande de se mettre en 69 pour que je puisse moi aussi lui rendre la pareille. Sa bite a déjà largement débordé de son hipster. Son gland dégouline de mouille. Je lui lèche du bout de ma langue. Il gémit. Maintenant, on se pompe à fond tous les deux. Trop bon ! Trop chaud ! J’essaie de l’avaler le plus possible mais vu la taille de sa bite, c’est pas évident. Alors je lui enserre ses couilles et la base de sa queue de ma main. Sa bite dégouline de salive. Il ondule du bassin en cadence. Tout en se suçant, on se passe un doigt, puis deux. On se dilate bien, l’un l’autre. Ali récupère le gel qui ne le quitte jamais dans son sac, m’enduit copieusement le trou et sa bite et commence à essayer de me pénétrer.
Je suis totalement offert à son sexe de ouf. Les épaules au sol, à l’oblique sur mes jambes largement écartées. Tendu vers lui, je lui offre mon cul. Assez vite, il passe son gland et pousse doucement sa tige à l’intérieur de mon ventre. Ce sont les moments que je préfère : quand il entre ainsi et quand il ressort complètement pour me fourrer à nouveau d’un seul coup ! C’est chaud ! C’est vivant !
Il commence à me limer doucement.
C’est à ce moment précis que les premières grosses gouttes de pluie s’écrasent sur nous. Le vent est monté d’un coup, le ciel est devenu tout violet et un éclair vient même de déchirer le ciel. Je regarde Ali. Il rigole. Sans se dire un mot, on s’est compris, on a décidé d’aller jusqu’au bout, quoiqu’il arrive ! Un peu comme le temps, Ali monte en pression. Cette fois il me lime complètement, sur toute la longueur de sa belle bite, facilement. Je le sens parfaitement bien aller et venir dans mon ventre. Je ne m’en lasserai jamais. J’ai empoigné ses fesses et le tire vers moi à chaque va et vient. Il accélère sa cadence. Ca y est, la pluie se déchaîne en cataractes, d’un seul coup. Les éclairs se rapprochent et le tonnerre aussi. L’orage est vraiment sur nous. Ali, en phase avec la météo se déchaîne littéralement. Il est là, dressé sur ses genoux, la crinière de dreads complètement trempée, le torse ruisselant de pluie. Il est tout simplement magnifique.
« - Tu me sens ? Tu la sens ?
- Ouiii, Aliou ! Je la sens ta belle bite !! J’aime ta belle bite !! Bourre moi fort !!
- Oui, je vais te bourrer ! te la mettre à fond ! A fond !
- - Vas y Aliou, vas-y !! ».
Je sais qu’il adore quand on se dit des mots crus, que ça l’excite encore plus. Il se met alors à me pilonner de plus en plus vite, sauvagement, puissamment. Ouuuuuuuuiiiiii !! Comme je veux jouir en même temps que lui, je me branle de plus en plus vite. On est complètement trempé, on s’en fout. On continue à se donner du plaisir à fond, dans le même tempo que le temps déchainé.
Et si on devait mourir foudroyés ? Ca serait une belle mort…Je sens Ali qui vient , il va jouir. Je commence à le connaître un peu, à sentir ses réactions. Un énorme éclair pas bien loin, ses ongles qui s’enfoncent dans mes fesses, un cri sauvage et il se vide une fois, deux fois, trois fois…C’est brûlant. Je serre mes cuisses à fond sur ses côtés, enserre son cul avec mes mollets, me contracte au maximum pour le bloquer en moi, tout en continuant à me branler frénétiquement. Il a empoigné ma main et l’accompagne dans son va et vient. Assez vite, je sens monter la chaleur et je jute deux longs jets sur son torse trempé de pluie.
On retombe, tous les deux, haletants, comme débranchés. On a un peu froid, alors on s’enroule dans la grande serviette, tout en restant collés, imbriqués. Bientôt, la pluie ralentit et cesse tout à fait. Aussi vite qu’elle avait commencé. Sans trop savoir pourquoi, on se met à rigoler tous les deux, à rigoler à ne plus savoir s’arrêter. Sûrement le bizarre de la situation, ou la joie d’avoir…survécu ?
« -Finalement, on a bien fait de continuer, non ?
- C’est clair ! C’était super excitant ! Ca m’a boosté terrible !!
- J’ai vu ça…On s’en rappellera !
- C’est sûr ! Cette baise là, je m’en souviendrai ! ».
La petite rivière nous servira à nous laver un peu. Par contre, les fringues devront sécher sur nous. Déjà le soleil revient. La vie est belle !

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