La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°278)
Suite de l'épisode précédent N°277 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Le Marquis se retire quelques instants, boit un grand verre deau au passage et retourne dans la salle de bains, se passe un peu deau sur le visage, se recoiffe et se rhabille convenablement refermant sa braguette après avoir remis sa queue ramollie bien sagement dans son boxer. IL ramène le verre avec ce quil y reste deau et très délicatement, IL empoigne la tête de sa soumise par larrière pour laider à relever la tête et pour pouvoir lui offrir à boire. Thaïs remercie généreusement son Maître de son attention car elle avait la bouche très sèche à force dhaleter comme une chienne et elle apprécie de pouvoir shydrater, surtout quelle commence à sentir la douleur apparaître dans ses jambes et ses bras qui sont toujours étirés et écartelés au maximum. Pendant tout le temps de plaisirs charnels et dexcitation liée à la pénétration, linconfort de sa situation et de ses entraves avait presque disparu, mais maintenant elle ressent la tension sur ses muscles, et aux points dattaches sur les poignets et les chevilles. Le Marquis a dailleurs pris soin de vérifier dans quel état était la circulation sanguine sur ses extrémités, mains et pieds.
- Alors la belle, tu es prête pour encore jouir pour ton Maître ? Tu as encore de la force, jen suis sûr et de toute manière tu nas pas le choix, dailleurs ce nest pas une question, cest Mon désir et tu ne peux ty soustraire.
- Mon Maître, cest Vous qui décidez de ce qui est bon pour Votre soumise docile et de ce que Vous attendez et exigez delle.
- Très exceptionnellement, je te donne le droit de jouir à partir de maintenant quand tu voudras, et autant de fois que tu le voudras ou le pourras. Je veux que tu prennes du plaisir, beaucoup de plaisirs à ce que je vais te faire subir et pour cela, je vais dabord te bander les yeux pour que tu ne te concentres que sur tes sensations charnelles et sur ton plaisir féminin.
Thais sent la main de son Maître qui sempare de son intimité. Elle pense quIL va passer sa main dans sa chatte comme si souvent, et éventuellement lui caresser son bouton de rose qui est tellement excité à nouveau des simples mots de son Maître Vénéré qui évoquait la félicité quIL allait lui offrir. Elle sent que la main de son Maître de ses doigts écarte encore plus les petites lèvres qui recouvrent son clitoris le mettant à lair libre, totalement dégagé de son capuchon, gonflé et tendu comme un pénis miniature qui voudrait darder et bander. Elle entend un petit bruit de vibration, comprenant que son Maître à mis en route un objet électrique ou à piles, mais elle ne reconnaît aucun des sons des godes qui se trouvent dans sa mallette et que le Maître a déjà utilisés sur elle. Elle se dit quil doit sagir dun des nouveaux joujoux quIL avait fait venir pour samuser avec elle, et attend patiemment que son Maître la gode à sa convenance. Mais elle est surprise de ne pas reconnaître la sensation qui est différente de tous les godes et ufs vibrants quelle a déjà testés, elle ne peut pas identifier la texture, ni la matière, de lobjet qui a pris possession de son clitoris, qui semble être petit car elle ne ressent de mouvements que précisément sur son bouton de rose, comme si son Maître se plaisait à ne titiller que cet endroit dont il semble faire le tour en continue. Cest une sensation nouvelle quelle découvre et qui est loin dêtre déplaisante.
Thais aimerait bien poser une question car elle est curieuse de savoir avec quel objet son Maître joue, mais elle sait quelle ne doit pas céder à son envie au risque de sattirer une nouvelle sanction et de voir son Dominant courroucé capable dinterrompre sans préavis la séance plus que récréative quIL est en train de lui accorder. Et ceci dautant plus que le délice, des caresses vibrantes sur son clitoris hyper-sensible, a déjà fait monter le plaisir en elle et lui a fait totalement oublier la douleur des muscles de ses membres écartelés et attachés. Tout dun coup, la sensation sarrête. Thaïs commence à le regretter car elle prenait beaucoup de plaisirs à ces caresses tournoyantes, mais elle nose pas demander à son Maître de continuer, car elle est son esclave-soumise qui doit se contenter de ce que son Maître lui octroi en ressentant déjà beaucoup de gratitude pour ce quelle a pu recevoir de lui, et ce même sIL ne désire pas poursuivre et lui permettre daller jusquà la jouissance suprême quelle na pas encore atteinte contrairement à ce qu'il avait laissé entendre. Cependant le bruit qui provient de la vibration de lappareil ne sest pas arrêté. Il lui semble que pourtant elle connaît ce genre de bruit, mais vraiment elle na reconnu aucun des godes et autres sex-toys vibrants qui ont déjà fait palpiter son corps. Le Marquis dEvans sest approché de la tête de Thaïs et lui dit :
- Ouvre la bouche maintenant !
Thaïs sexécute, pensant que son Maître veut comme si souvent lui faire lécher sa mouille de femelle excitée, sur ses doigts et sur les objets dont IL se sert pour la goder. Mais elle est surprise de voir quIL lui soulève les lèvres et quIL passe lobjet sur ses dents. Cette fois-ci, elle reconnaît immédiatement la sensation dont cette partie là de son corps est coutumier.
- Alors que dis-tu de mon nouveau jouet ? Je suis sûr que tu ne tétais jamais titillé le clitoris avec une brosse à dents électrique. Mais tu nas pas encore tout vu la belle ! Celle là est particulière et la brosse en est amovible, tu vas sentir la différence sous peu et je crois que je vais tentendre couiner cette fois.
Le Marquis dEvans commence à reposer la brosse à dents sur le clitoris de Thaïs et IL lincline petit à petit pour que la partie vibrante de lobjet et non plus les poils viennent mettre en vibration le bouton de rose au plus près dans un mouvement de rotation si rapide, la soumise commence à sentir le plaisir quelle ne peut retenir et elle laisse échapper les cris de jouissance de son premier orgasme.
Le Châtelain appuie lentement sur la partie amont pour commencer et immédiatement Thaïs se sent prise par une onde de chaleur et de plaisirs quelle a rarement connue, et qui est dautant plus forte quelle est localisée sur une toute petite partie de son corps et de ses zones érogènes. Elle sent son Maître qui se balade lentement sur lensemble de son clitoris qui ne lui a jamais paru plus grand quen ce jour, où elle peut savourer des sensations diverses et intenses en des points distincts et pourtant très proches. Dorgasme en orgasme, Thaïs est de plus en plus haletante, arrivant à peine à reprendre son souffle entre deux montées en puissance, chaque fois quIL appuie un peu plus pour maintenir le contact entre la tige vibrante et le clitoris qui est devenue une véritable boule de feu dans la tête de Thaïs qui ne ressent plus que cela. Un gode en général transmet une vibration sur lensemble de la zone vaginale et clitoridienne, mais là cest en chaque petit point quelle ressent le plaisir, les multiples plaisirs. Sa respiration est devenue en quelques secondes plus quintense et elle commence à hurler carrément tant les orgasmes la submergent, serrant ses doigts fortement à sen faire rentrer les ongles dans les paumes, mais pour autant son Maître narrête toujours pas de déplacer lengin sur la zone déjà toute excitée, gonflée de sang et rouge vermillon. Cest dorgasme en orgasme que la femme fontaine quelle est coule de longs jets comme jamais, qui jaillissent de son corps comme ils pourraient le faire dune fontaine, commençant à monter vers le haut avant de redescendre pour venir atterrir sur son corps, sur la table et sur le sol.
Le Maître voyant le plaisir inondant de sa belle soumise continue car IL savait quelle voulait voir depuis longtemps ce quil pouvait y avoir au-delà de lorgasme le plus jouissif et IL lui semble quaujourdhui, IL est en train de pouvoir lui faire découvrir quelque chose de plus puissant même quun orgasme à répétitions. IL accentue la pression de la tige vibrante sur la partie la plus sensible du clitoris de Thaïs, il lui semble que cest le haut, car chaque fois quIL passe à cet endroit là, ses cris de jouissance étaient encore plus forts. Elle gémit de plus en plus fort, et pousse même de grands râles profonds qui sortent du fond de sa gorge et tout dun coup, cest un grand silence qui se fait, elle sest mise à respirer plus lentement, et pourtant son corps bouge encore et son bas-ventre expulse de longs jets de manière saccadés, accompagnés de puissantes contractions du bas ventre. Le Marquis se plait de voir sa soumise fontaine qui semble être dans un parfait état second de bonheur extrême, continuant visiblement à jouir du plaisir, mais dun plaisir différent de celui dun simple orgasme, dun plaisir qui dure et dure encore, qui coule et coule encore pendant plusieurs minutes.
Le Marquis dEvans na pas dit un mot pendant tout ce temps, et IL sait quIL doit maintenant aider sa soumise à sortir de létat où elle se trouve en la faisant revenir progressivement dans le monde présent, un peu comme quand on réveille doucement quelquun qui a été plongé dans un sommeil hypnotique. IL vient darrêter la brosse à dents électrique et doucement la retire de lintimité de sa soumise qui nest plus quune immense mare de cyprine et déjaculat mélangée qui déborde et coule sur le sol. IL pose ses mains sur le corps presque encore en transe de Thaïs qui sursaute et se met à être secouée de spasmes convulsifs qui lui traversent le corps.
- Doucement, la belle, tout va bien, ne cherche pas à parler, reprend ton calme, je crois que tu reviens de loin.
IL sapproche de Thaïs se met tout près delle pour pouvoir la prendre dans les bras quand IL va la détacher, car IL se doute quelle va se trouver sans force et sans moyen de bouger. IL défait le plus rapidement possible maintenant les attaches qui reliaient les poignets et les chevilles de la soumise à la barre décartement et fait basculer la belle chienne dans ses bras tandis quIL sest mis à même le sol pour la prendre. Le corps complètement ankylosé, Thaïs a du mal à pouvoir simplement se dérouler sur elle-même, et le Marquis lui masse les jambes et les bras pour refaire circuler le sang dans toutes les parties du corps et au niveau des attaches en particulier. Elle sest complètement lovée dans les bras dans lesquels elle a atterri, ceux de son amant et Maître tant Vénéré, savourant le plaisir absolu quelle a pu vivre, comme jamais de sa vie, ayant perdu pied sur la réalité et le temps qui passe. Elle voudrait lui dire mille fois merci pour tout ce qui sest passé, mais sa voix ne répond pas encore à ses désirs. Alors Thaïs ouvre doucement les yeux, car le Marquis lui avait retiré depuis plusieurs minutes le bandeau, mais elle était restée « enfermée » dans son monde de sensations extrêmes.
- Thaïs, ma belle chienne, jai vécu de bons moments intenses pendant ce Week-end. Je crois que je ne suis pas le seul, si jen juge à tes yeux qui semblent si radieux, même si tu ne dis toujours rien.
- Mer
Merci, mon Maître Vénéré, je ne saurais jamais Vous le dire assez longtemps et assez souvent (finit-elle par sortir)
- Je vais devoir partir sans attendre, car je veux rejoindre mon château en Beaujolais avant ce soir, où je suis attendu. Tu nauras pas toujours la chance de bénéficier de la présence de ton Maître aussi longtemps. Je suis content car je vais récupérer le terrain que je convoitais, et je naime pas quand mes affaires ne vont pas dans le sens que jai décidé. Tu vas pouvoir rester dans la chambre encore cette nuit et te reposer, tu las bien mérité, mais dès que tu seras un peu remise de tes émotions fort réjouissantes et de ta dose intense de plaisirs, il te faudra veiller à ranger toutes mes affaires. Je pars sans rien emporter.
Le Marquis se lève laissant encore Thaïs à même le sol, presque recroquevillée en position ftale de bien-être. Une totale plénitude a envahi son corps.
- Ne bouge pas
- Mais, Maître, laissez moi Vous remercier à genoux et Vous saluer comme il se doit avant Votre départ, en Vous baisant les mains et les pieds.
- Thais ! (réplique aussi sec le Châtelain dune voix autoritaire qui dénote largement avec celle quIL avait adopté précédemment) Aurais-tu dans lintention de discuter mes ordres ? Je sais ce que je dis et jai dit, je naime pas avoir à me répéter. Alors, ne bouge SURTOUT pas ! Ce nest pas parce que je men vais quil te faut oublier les bonnes manières et ta condition desclave-soumise obéissante qui est la tienne à chaque instant, et ce même en mon absence. Tu seras punie pour ton écart de langage, pour avoir parlé sans y être autorisée, pour avoir cru pouvoir commencer ta phrase par « Mais » et pour avoir parler à ton Maître en utilisant limpératif. Crois-tu que jai des ordres à recevoir de toi ! Tu nes quune chienne qui doit se tenir à Mes pieds quand je daigne la siffler et mintéresser à linsignifiante chose que tu restes. Demain matin, à 10h très précises, mon majordome, Walter, viendra te chercher avec toutes Mes affaires. Ne sois pas en retard dune seule seconde. Il naime pas non plus attendre une soumise qui naurait pas su écouter les ordres de son Maître et il est largement aussi intransigeant que Moi, si ce nest plus. Il aura Mes consignes et tu devras lui obéir en tous points comme si cétait moi. Il me rapportera chacun de tes faits et gestes, sois-en certaine. Ta vie ne tappartient plus maintenant, tu es à Moi.
Thaïs ressent à cet instant le poids pesant de sa condition, toujours à la merci de son Maître, vulnérable, devant obéir aveuglément, ne pouvant rien décider par elle-même, mais la dévotion quelle porte à son Maître est telle quelle souhaite en tous points le satisfaire. Elle sait aussi que cest cette soumission et le fait de sentir son Maître qui marque son emprise et sa Maîtrise sur elle qui veut rester à Ses pieds, là où elle a trouvé sa place, qui lui apporte un réel plaisir et un bien être qui va au-delà du plaisir physique quelle peut recevoir quand son Maître désire quil en soit ainsi. Elle reste immobile, sans bouger, entendant le Marquis Edouard dEvans vaquer dans la pièce, avant de percevoir le bruit de la porte qui sest fermé. Le Marquis dEvans est parti sans même un mot de plus, sans un au revoir, et volontairement sans lui laisser la moindre information sur lavenir. Thaïs est une esclave soumise dévouée, qui sait se satisfaire des bienfaits que son Maître lui octroie et qui a appris à sen contenter sans y trouver à redire. Sans attendre, elle se lève pour commencer à tout ranger dans les appartements occupés pendant ce week-end par le Châtelain, et ce comme son Maître le lui a ordonné, très triste malgré tout en son fort intérieur de lui avoir déplu au moment de son départ, sen voulant dans la précipitation davoir ouvert la bouche de manière intempestive et inapproprié pour une soumise bien dressée, elle dont le cur ne voulait être que remerciements et gratitude pour exprimer toute la reconnaissance quelle éprouve dêtre encore et encore aux pieds de son Maître Vénéré
(A suivre
)
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