Première Fois Particuliere

Marie..Marie..Marie a toujours été une faciniation pour moi, et ceux depuis ma tendre adolescence. Les pensées érotiques se libèrent avec l'âge et il est alors aisé de s'imaginer quelconques plaisirs. En parlant d'aisance, ils nous arrivent fréquemment d'aller dinner chez Marie. Cette riche bourgeoise, dans son excès de zèle, me provoquent souvent des érections incontrôlées survenant en plein repas de famille... Son amour pour l'aisance et la richesse ne font souvent qu'accroître mes envies sexuelles envers elle.


Il n'est pas non plus rare que nous allons chez elle pour y barboter dans l'eau. A la simple vue de Marie en maillot de bain, née alors une toride érection soudaine alimentée par sa poitrine pour le moins opulente et généreuse et ses cheveux blonds qui se libèrent au vent.
Après être sortie de leur merveilleuse piscine, je garde ce souvenir où je m'étais retrouvé en face de Marie assis dans son confortable salon de jardin. Celle ci portait une jupe et je pouvais discerner entre ses jambes qui demeuraient paisiblement écartées une culotte blanche immaculée. Quel spectacle fut ce moment... Je dû encore une fois dissimuler mon érection si soudaine fut elle.

A chaque retour à la maison,me vient l'idée que la prochaine fois que j'irais chez Marie, j'irai lui dérober une de ses magnifiques culottes qui doivent inévitablement porter l'odeur de La femme, ainsi que toutes sortes de sécrétions qu'émet une femme durant une journée d'été. Il fallait à présent un plan, comment procéder ? Le meilleur moment pour réussir ma quête inestimée serait alors de se rendre à un repas, et d'avoir évidemment un prétexte pour monter à l'étage de sa somptueuse demeure.
-Je n'ose imaginer le nombre de fois qu'elle s'est faite prendre dans ce palace...- C'est alors que me vient une merveilleuse idée. Lorsque tout le monde se trouve dans l'eau, pourquoi pas simuler une terrible envie d'uriner, et de ce fait profiter de ce moment pour monter à l'étage, se faufiler dans la salle de bain si luxueuse soit elle, et d'y choisir un sous vêtement fort odorant.

Le mieux étant évidemment de ne pas se tromper avec sa fille qui n'a que 15ans... La taille de la culotte ou du string devrait cependant en dire long sur sa propriétaire. Une fois choisi, il fallait redescendre assez rapidement et cacher cette victuaille dans mes propres affaires.
Viendrait ensuite le temps de redescendre dans la piscine comme s'y de rien n'était et d'attendre le retour chez soi, pour pouvoir humer cette délicieuse culotte durant un fort long moment tout en se masturbant et en imiginant les meilleures scénarios possibles...



Ce jour arriva. Ou plutôt, j'allais tenter de mettre mon plan a exécution. Nous fumes invités à une soirée barbecue comme à sa grande habitude. Marie portait une longue tunique sous laquelle ses formes révélaient un étroit maillot de bain deux pieces. Je décida alors de me changer à l'étage, et de rejoindre la piscine. Après une petite demie heure passée dans l'eau, je simulais une forte envie d'urinerje reviens d'ici 5minutes !" m'exclamais-je. Le compte a rebours commença. Dans ma tête le visage de celle qui me faisait tant bander...

Tout le monde était resté dehors, je décidais alors de me dépêcher. Montant 4 à 4 les escaliers de bois cossus, je courus alors vers la salle de bain tout en écoutant si on ne m'avait suivi. -Rien- je laissais la porte ouverte volontairement afin de mieux entendre si quelqu'un venait me déranger. J'ouvris alors le panier à linge sal. Quelle fut ma surprise. D'innombrables culottes regorgeaient dans ce panier avec des couleurs qui variaient du blanc au noir en passant par le rouge. Je décidai alors de prendre une culotte de type commune afin que Marie ne se rende pas compte qu'une culotte lui manquait. Qu'importe ? Celle ci vivait dans l'aisance elle ne le remarquera probablement pas. Je pris alors une jolie culotte noire d'une taille qui laissait penser qu'elle appartenait à une adulte. Je la reniflai avec envie lorsque je senti une forte odeur d'anus qui me provoqua une terrible erection.
Je la cacha alors dans mon short de bain, referma le panier, et reparti en trombe pour la laisser dans mes affaires. Quelle ne fut pas mon érection quand je senti mon pénis durcir en contact de cette culotte qui sentait terriblement fort l'anus de Marie...

La fin de la soirée arriva, et au moment de se dire au revoir, j'eus un terrible sentiment de honte en quittant la maison de Marie ainsi qu'en prenant congé. Mais cette honte se dissipa bientôt en une triomphante envie de replonger mon nez dans cette culotte noire à dentelle nauséabonde.
Durant le trajet en voiture je glissais ma main dans mon sac et le simple touché de cette culotte me provoqua une terrible érection si soudaine.
De retour à la maison je fus pressé de me coucher. Lorsque mes parents firent de même, je m'adonnais alors à un spectacle saisissant.

Reniflant avec frénésie cette culotte dérobée il y a peu, je ne pouvais me retenir de la sentir de tout mes poumons. De toutes mes forces je respirais cette odeur coriace de Femme, qui me faisait terriblement bander. Une odeur d'urine mélangée à celle qui m'était encore inconnue me fit durcir de plaisir. Évidemment on pouvait y déceler une odeur propre à son anus qui devait être très odorant en ce mois de forte chaleur.
Me pris ensuite l'envie de lécher cette merveilleuse culotte et d'y sentir cette fois avec ma langue le goût de ces merveilleuses sécrétions vaginales et anales...
Au fur et a mesure que je reniflais cette culotte pleine d'odeurs si attrayante les unes que les autres, un long jet de sperme s'éleva en hauteur, suvis d'un deuxième, puis d'un troisième, ainsi que d'un quatrième tout aussi volumineux que le premier.
Je replacais alors cette culotte noire si joliement souillée par Marie sous mon oreiller et m'endormi à point fermé en pensant à Marie et sa chevelure blonde.

Au fil des semaines et des mois qui suivirent je ne cessais de me masturber quotidiennement sur cette malheureuse culotte qui commençait à devenir souillée par mes propres semences.
..

Au cours de l'hiver, mes parents furent dans l'impossibilité de me ramener de l'ecole. Et Marie se proposa pour me ramener à sa maison et m'invita donc a dîner le temps que mes parents se libèrent.
Les s avaient des activités extrascolaires ce jour de semaine et ils repartirent de leur maison après être arrivés et avoir manger un 4h.
Vient ensuite le moment où je me retrouvai alors seul en compagnie de Marie et ce durant 2h seulement...
Nous parlions du lycée, des études envisagées, de la famille, de tout et de rien... Celle ci me proposa à nouveau à manger et à boire mais je refusai. Ce tête a tête imprévu me procura une légère érection teintée de honte, vu que nous étions seul à seul pour la toute première fois.

17h approchait et Marie me proposa de regarder la télévision en attendant le retour des s et de leur père. En réalité ceux ci reviendraient pour 19h environ...
Seul dans le canapé je repensais avec honte encore une fois à cette culotte dérobée qui demeurante cachée dans ma chambre. Quelle bonne odeur tout de même pensais-je en me replongeant dans mes souvenirs de longues séances de masturbations...

Marie fit une apparition et bouscula mes pensées. Elle portait une pile de vêtements sur le bras, et me dit "Je vais prendre une douche, tu peux regarder un film en attendant que les s reviennent! Tu devrais trouver ton bonheur parmi tout ces DVD !"

Je la remercia. Je posais alors mon regard sur son posterieur tandis qu'elle etait en train de monter les marches menant à la salle de bain.
Quel beau fessier, si joliement mis en valeur dans une robe noire...

J'entendis la porte de la salle de bain se fermer. Bon sang songeais-je elle doit être à ce moment précis en train de se déshabiller, et je ne peux profiter d'un tel spectacle!
Une pulsion venue de nul-part me fit bondir du canapé et de monter à l'étage. Sur la pointe des pieds, tramblotant, le coeur battant la chamade, le souffle court, et le poul s'accélérant à mesure que je me rapprochait, je vis que la porte était alors fermée.

Je remarquai cependant et à ma grande joie que la porte disposait d'un trou de serrure. Quelle aubaine pour un voyeur... J'essayais de calmer ma respiration qui devenait de plus en plus accélérée et audible...
Je glissai alors un oeil à travers le trou de la serrure. Quel facinant spectacle! Marie était alors à même de défaire sa robe laissant apparaitre ses sous vêtements. Mon dieu pensais-je quelle déesse... Son soutien gorge blanc mettait en valeur a merveille son opulente poitrine, dont j'avais toujours rêvé d'observer. Celle ci porta ses mains derrière le dos et degraffa le soutien gorge...Ce fut trop pour moi, et une érection toride fit grimper mon pénis en haut de mon caleçon. Ses seins étaient a présents a l'air libre. Quelle fascinante vue, ses seins étaient d'un calibre si avantageux, qu'une de mes mains ne pouvait contenir la totalité du sein. Quant à ses tétons...Marie avait des tétons rentrés a l'intérieur du sein, ce qui ne fit qu'accroître ma solide erection...


Marie retira alors sa culotte blanche à dentelle. Qu'elle ne fut pas ma joie quand je découvris sa courte toison blonde entre ses cuisses. Ses fesses étaient pour le moins admirables, avec une grande et épaisse raie des fesses qui scindait en deux gros blocs ces 2 fantastiques fesses qui devaient sans aucun doute disperser tant de bonnes odeur. Tandis que Marie se déplaçait totalement nue dans sa salle de bain, je fus quasiment sur le point de douboutonner ma braguette afin de me masturber tant le spectacle était beau à voir... J'attendis que Marie se glisse dans la douche ou dans le bain. Elle choisissa la douche et malheureusement pour moi, elle demeurait ainsi hors de ma vue. Me vint ensuite une idée. En passant par sa chambre à couché une autre porte menait à la salle de bain, j'y glissa un coup d'oeil. Je pouvais voir Marie qui entrait dans sa douche toute nue, ses seins blancs si gros se balançant au rythme de ses fesses. Mon envie était telle que je songeais un instant à ouvrir la porte et à la sodomiser de force...

Mais cette idée se dissipa et je continuais à offrir à mes yeux un spectacle magnfique. Elle entra dans la cabine de douche et fit couler l'eau. Le désir ardent me brulait le gland...

Absorbé par ses délicieuses courbes, le souffle court, tremblant de tout mes membres, j'en oubliais le fait que je pus me faire surprendre à tout moment !
Je me cogna à la porte...quelle grave erreur, j'osais prendre la fuite mais je deumeurrais paralysé, tout comme mon érection... Marie sorti de la douche en renfilant son peignoir.. Je m'ecarta de la porte déjà rouge de honte et embêté, ne sachant quoi dire lorsqu'elle me verrait dans cette fâcheuse position...
Elle sortit et parut à première vue offusquée. "Qu'y a t il ? Veux tu quelque chose ?"
-"Oh non rien.. Je...je..."
-"Hum je vois..." dit-elle. Elle se recula jeta un coup d'oeil à sa montre posée près du lavabo. Elle revint vers moi et me pris alors la main qui ne cessait de trembler, et referma brusquement la porte, en la fermant à clé. Ainsi que celle donnant sur la mezzanine.
Elle me regardait alors droit dans les yeux et me dit "Tu es puceau ?"
-"Oui" avouai-je naïvement avec une pointe de honte...
Elle libéra son peignoir, et révéla alors ses magnifiques seins encore une fois. Je les voyais a présent bel et bien de prêt. Qu'ils étaient beaux... Gros, blancs et tombant en formant un parfait rond. Cette vision ne fit qu'accroître une solide érection...qui durait a présent depuis une bonne vingtaine de minutes...
Elle se mit a genoux devant moi, et deboutonna mon jean. Sans enlever le jean, Marie s'empara de mon pénis ardent, qui continua alors à durcir dans sa main. Elle me branla quelques instants avec une telle delicatesse, qu'une pure et unique sensation de bonheur m'envahit.
Quoique que timide, toute ma nervosité se dissipa durant cette magnifique branlette que m'offrait Marie. Celle ci posa ensuite sa langue sur mon gland. Quelle étrange sensation de bonheur! Elle engoufra finalement la totalité de mon gland au fond de sa bouche de façon très professionelle. Elle continuait a présent à une cadence quelque peu plus soutenue ce qui accentua mon doux plaisir. Le fait de lui avoir dit la vérité sur ma virginité m'avait libéré de toutes nervosité, et je me laissais alors faire par cette jolie femme qui avait du acquérir une certaine expérience au fil des années...
Me pompant d'abord sans lever la tête, Marie me regarda gémir de plaisir, et continuer doucement à me pomper tout en me fixant. Quel spectacle épatant, cette jolie blonde suçait tellement bien, et elle continuait à me regarder tout en entreprenant sa merveilleuse tache. Je pouvais alors avoir une vue plongeante sur ses seins ce qui me provoqua une première envie d'ejaculer...
"Ralenti..." lui dis-je le souffle court.
Ce qu'elle fit. Mais le moment était tellement bon que je décidait de ne plus retenir ce moment tant attendu...
Dans un soufflement rauque je la prévenais de l'éminence de l'éjaculation. Celle ci me goba le gland une dernière fois et retira mon sexe trempé de salive, et me masturbait délicatement. A peine deux va-et-viens suffirent et Marie rependa ma semence sur ses gros seins à présent souillés par trois longs jets de sperme...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!