Partouze Avec Yves

Excitée depuis hier : je dois aller chez un copain pour une partouze. C’est ma première fois. Je rêve depuis longtemps de baiser devant d’autres personnes, particulièrement devant mon époux Yves qui en est d’accord. Cette nuit nous baisons comme rarement : c’est lui qui remet le couvert sur notre soirée :
- Tu te feras mettre par combien de mecs ?
- J’en sais rien, le plus possible, comme toi qui va te payer plusieurs filles.
- J’y compte bien.
- Nous allons bien jouir tous les deux.
- J’y compte bien, mais pas ensemble.
- Baise-moi en attendant.
- Et qu’est-ce que je te fais en attendant ?
- Tu me branle, ce n’est pas pareil.
- Attend je vais t’enculer.
Je ne dis plus rien, j’attends tranquillement qu’il me sodomise comme j’aime. Je suis en levrette quand je mouille l’entrée de mon cul avec ma cyprine qui coule depuis un bon moment dans le sillon de mes fesses. Je le sens venir derrière moi, je sens sa bite venir sur mon anus, je sens son gland pénétrer sans problème, je sens surtout le début du plaisir inégalable d’une bite dans un rectum. C’est bon quand il s’enfonce à fond, quand mon plaisir et le sien arrivent lentement. J’adore sa bite qui me donne tant de plaisir…Yves fait coulisser sa queue d’abord lentement puis il accélère : je sens mon plaisir arriver plus vite que le sien. Sa pine gonfle dans mon rectum, c’est encore meilleur et enfin je jouis. Je sens bien mon cul se serrer autour de sa queue. C’est bon, je jouis longuement.
Il sort de mon vente, je le prends dans la main pour le branler comme il aime. Je fais durer la masturbation le plus possible. Il reste couché sur le lit, sur le dos, les jambes à peine ouvertes, et les yeux fermé profitant de ma caresse. J’arrête souvent pour finir par la vitesse la plus rapide pour le faire bien juter.
J’attends qu’il jouisse pour approcher ma bouche : je recueille son sperme dans la bouche. Pour moi c’est un délice de l’avoir sur ma langue.


J’ai encore envie de jouir, comme il est complètement raplapla, je me contente seule devant lui, comme souvent : Ma main gauche ouvre bien les lèvres de mon con pour faire sortir le clitoris, ma main droite se consacre à le caresser lentement. Je sens un autre orgasme qui envahi mon corps. Que c’est bon de se branler surtout devant celui qu’on aime.
Enfin la nuit passe. Je me prépare pour la soirée, pendant qu’Yves est au travail. Je sais qu’il s’est branlé ce matin, comme tous les jours, il attend comme moi la soirée.
Je prends une bonne douche (au passage je me branle encore sous le jet) je mets un peu de gloss légèrement coloré sur mes aréoles. Ce soir je rectifierais le maquillage de mes seins, je ne mettrais pas d’autre fards sur mon visage. Je peigne à peine ma longue chevelure brune, je pose uns goutte de parfum sur ma fourrure. Je n’ai plus qu’à attendre l’heure en grignotant.
Yves arrive bien avant l’heure : lui aussi veut se préparer : il enlève tout ce qu’il porte pour le remplacer par un simple pantalon sans slip, et une chemise ouverte. Au moins son déshabillage sera rapide. Devant lui je me mets nue, j’enfile une paire de bas et ma robe transparente.
Dès l’entrée chez Antoine, le copain, je sens que l’ambiance est déjà chaude en voyant une fille presque nue, assise sur un fauteuil, les jambes ouvertes se masturber regardant un homme qui en fait autant. Je commence à mouiller et Yves à bander.
Nous déposons nos vêtements dans une chambre vide de présence humaine. Prêts pour la baise nous rejoignons les autres. Antoine m’embrasse sur la bouche, je sens sa langue venir contre la mienne : je partage le baiser sans a priori. Je suis dans la course pour baiser qui voudra de moi. J’aimerai que la fille qui se branlait tout à l’heure me fasse une petite avance.
J’ai de la chance, elle est disponible. Elle me plait avec ses seins pointus et sa taille fine. Un sourire et l’affaire est dans le sac. Pendant qu’Yves commence déjà à peloter une grande fille brune, je pose mes lèvres sur celle qui m’accompagnera dans les cieux.
Le baiser est partagé. Nous ne cherchons pas à nous cacher, nous allons nous faire du bien au milieu de la troupe de baiseurs. Nous trouvons une petite place entre deux couples mixtes, bien avancés dans leurs plaisirs : à gauche lui est assis pendant qu’elle sur ses genoux se fait enculer. A droite c’est la fille qui est dessous, la queue de son amant juste au bord de sa chatte, prête à se faire mettre.
Pour nous c’est encore facile de nous assoir à coté, nos mains caresse l’autre partout où c’est possible : ma main est sur sa poitrine et la sienne sur ma chatte. Ses seins sont durs, je me plais à les caresser encore pour faire ressortir ses tétons que je lèche ensuite.
Sa main est bien incrustée sur ma moule totalement inondée. Ses doigts ne cherchent pas, ils trouvent de suite leur cible. Mon clitoris est sous ses doigts qu’elle sait bien manœuvrer. Son autre main ne s’occupe que de mon puits : elle me fait jouir une première fois en mettant en plus deux doigts dans l’anus.
Je me venge en me penchant sur elle : j’arrive à poser ma bouche sur son coquillage odorant. Cette fois c’est moi qui la fais jouir longuement. Mon bout de langue traverse tout son sexe pour aboutir à son anus : j’y entre même un peu.
Nous voulons aller plus loin aussi nous nous couchons sur le tapis, en vue de tous. La position du 69 est la plus commode pour jouir à deux filles. Nous l’a prenons de suite. Je me trouve sous elle jusqu’au moment où nous arrivons à nous mettre sur le coté. Je me trouve presque sourde : ses cuisses entourent tellement mon visage que mes oreilles sont coincées. Nous jouissons presque en semble. Elle en voudrait encore. Alors, elle me donne sa chatte pour que je la fasse partir encore. L’idée me vient de la fister. Toujours en 69, elle me lèche la figue pendant que je commence à mettre mes doigts réunis dans l‘abricot.
Elle connait déjà la chose puisqu’elle se laisse faire sans rien dire sinon des soupirs de plaisir. Ma main entière dans son con me sert à la faire jouir en la tournant sans cesse.
Je force pour la rentrer totalement, j’arrive même à entrer mon poignet. Elle cri son plaisir à tel point qu’elle oublie de me lécher.
Des gens se regroupent autour de nous pour admirer ce que je fa is alors que je débute dans la discipline. Même Yves est là. C’est la première fois qu’il me voit dans les bras d’une fille. Je vois que sa queue monter vers le plafond. Il me baiserait bien à l’ instant où alors il baiserait ma compagne. Ce n’est pas dans nos accords. Il le sait, alors il cherche juste à coté de lui une autre femme plus âgée que nous, une cougar attirée par une belle bandaison de mon mari.
En tout cas, il en profite. Le peu que je vois est une belle femme de 45 ans, environ ; bien conservée en tout cas : Yves aurait pu tomber plus mal. Je suis certaine qu’elle doit baiser au moins aussi bien que moi : elle le branle avec autant de maestria que moi. Bien sur la façon de faire est différente, mais à voie les réactions d’Yves, je sens bien qu’il va bien jouir avec elle. En attendant il lui a posé la main entre les fesses à la recherche de son cul : l’endroit préféré de mon mari.
J’arrête ma baise avec celle avec laquelle je suis. Je regarde Yves qui encule la femme : il a lui met au moins aussi profond que pour moi. Je vois la queue disparaitre dans des fesses agréables à voir. J’aimerai moi aussi la baiser. En regardant bien autour de moi je vois une autre cougar. Celle là est certainement plus jeune que celle d’Yves. Elle ne me rejette pas : elle m’a vu fistant l’autre nana.
Ce n’est pas ce qu’elle demande : elle veut des caresses de filles pour jouir simplement sans tralala. Nous nous embrassons debout pour que nos seins se connaissent mieux. C’est agréable d’avoir d’autres seins sur les siens juste avant d’aller se branler comme je veux faire. Elle attire ma main sur sa chatte, je trouve rapidement l’endroit rêvé pour la faire jouir. Son expérience de la baise fait qu’elle sait jouir rapidement : elle pose sa main entre mes jambes.
Elle me branle à sa façon qui est sacrément bonne, meilleur que celle de ma précédente amante. Elle allie sa masturbation à ses baisers sur mes seins.
Je ne peux plus résister à cette femme expérimentée : elle en sait plus que moi. Je me trouve comme l’élève devant son professeur. Nous nous allongeons sur un divan libre elle vient sur moi comme si elle avait une bite. Son pubis frotte contre le mien : je mouille encore plus. Je sens son jus contre ma toison. Elle me désire comme je la veux. Nous nous tournons sur nous même ; je me trouve sur elle. Je passe ma main entre ses fesses : elle ne rechigne pas pour que je caresse son anus. Je n’entre pas d’un seul centimètre. Je ne fais que le masser. Elle soupir de plus en plus fort : elle jouit sur mon doigt.
Elle me rend presque la pareille en mettant sa langue sur mon cul. Elle la rentre un peu pour la faire aller et venir. J’ouvre mon anus le plus possible, étonnée de sentir tant de dépravation chez cette femme. Elle fait tant et si bien que je ne peux plus me retenir : je jouis dans sa bouche. Elle me retourne facilement pour prendre mon clitoris dans sa bouche. Pas possible, elle a appris depuis longtemps à être partisante de Lesbos. Je ne sais plus au j’en suis. Je la laisse me guider dans ses sentiers des gouines. C’est bon, bandant presque. Mon plaisir est multiplié de nombreuse fois. Le peu que je rends me semble ridicule à coté de celui qu’elle me donne.
Je ne pensais jamais qu’une femme puisse donner tant de choses à une autre femme sensuelle comme moi.
Quand Yves s’approche je comprends qu’il est l’heure de partir et pourtant :
- Si tu veux prendre rendez vous avec ta compagne, pourquoi pas si elle t’a faite bien jouir.
C’est-ce que je fais devant lui. Au moins il sait que j’aime baiser avec les filles puisque pour moi la soirée s’est limitée au même sexe que le mien.
En rentrant chez nous, il me dit qu’il a baisé quatre filles et que le manilleur était la dernière : la cougar. Il ne m’en voudra pas si je baise avec la dernière puisque j’y prendrai du plaisir comme il aime que j’en prenne devant lui. La seule condition est que je le lui dise après.

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