Tomber Plus Bas, Ou La Chute - 6
Ce soir là, je rentrai chez moi la queue entre les jambes, littéralement... Mon état, l'heure de retour, le parfum de sexe qui m'environnait - même si ce n'était pas un parfum de femme, me désignaient comme le mari adultère aussi surement que si j'étais rentré avec quelqu'un à mon bras. D'autant plus que je ne trouvais rien de mieux que me précipiter à la douche avant même de faire la bise à ma femme.
Elle ne dit rien, ou presque...
- Le travail te met vraiment dans un drôle d'état, avait-elle lancé plus tard dans la soirée, alors que je m'écroulais dans le canapé, perclus de fatigue...
Nous avions pour règle de ne pas pratiquer l'ingérence dans nos rapports. Elle l'appliquait à la lettre, bien que sa grimace en dît long sur ce qu'elle redoutait de comprendre.
Les jours suivants furent très pénibles: je vivais un sevrage pire que le tabac, j'avais tenu et refusé de le rappeler, de lui donner le moindre signe de vie, bien que je fus à certains moments à deux doigts de lui envoyer un texto pour dire "c'est fini", pour entériner cette rupture. Mais je savais qu'une réponse de sa part, comme une bouffée de cigarette, me referait plonger, pour peu qu'il ne me laissât pas partir.
Car l'envie était là, restée, à m'obséder jour et nuit. Je me branlais sous la douche, dans le canapé du salon avant d'aller rejoindre ma femme dans notre lit, je me branlais même au bureau, alors que mes collaboratrices étaient dans les locaux. Jamais je n'avais autant joui, autant giclé. Penser à lui, à sa bite énorme - j'avais estimé son épaisseur à bien 5 à 6 cm de large pour une vingtaine de centimètres de long - me mettait dans des états pas possibles. Je bandais parfois dans la rue rien qu'à évoquer son souvenir, ce gland emmailloté de chair, ce long prépuce débordant, fripé à son bout, ces couilles velues, massives, pendant contre ses cuisses... et je me retrouvais le pantalon déformé par mon piquet de tente, à fixer les passants dans les yeux pour qu'ils ne regardent pas plus bas.
Mais je tenais. Je ne l'appelais pas. Il m'avait humilié, traité comme moins qu'un animal, entraîné sur une pente que je ne voulais pas emprunter, de peur de ne jamais remonter. Je n'étais pas comme ça, non. Il avait abusé d'un moment de faiblesse, c'était tout...
Néanmoins, j'étais troublé par la manière dont il m'avait cueilli, dans ce bar, et entraîné chez lui aussi facilement... Il ne m'avait pas offert des bonbons pourtant, pas menti sur ses intentions... La rupture avec les rapports habituels avait sans doute contribué à me faire céder.... A supprimer toute résistance... C'était tellement... Désarçonnant! Il avait si bien joué de mes fantasmes, également... Comme s'il avait lu dans mes pensées. Quel curieux hasard, cette rencontre... En tout cas ça relevait du pur fantasme et il l'avait concrétisé! Mais ce genre de choses devaient rester dans l'ombre, au fond de ses pensées... Comme un secret inavouable... un jardin secret. Je le laissai en friche et m'efforçais de m'adonner à un autre passe temps.
Je n'avais pas su me rattr avec ma femme... Je n'osais pas, en fait. Après ce que j'avais vécu, je devais me refaire une santé morale, redorer doucement mon blason à mes propres yeux. J'essayais de draguer un peu les minettes mais sans vrai succès. Ma femme, qui n'était pas la mère de mes s, que j'avais eu à un peu plus de 20 ans, avait encore toute la fraicheur de la jeunesse... Je m'étais reconsidéré après mon divorce, comme beaucoup d'hommes, avec une femme de 15 ans de différence... Mais cette différence me gênait maintenant. La peur de ne pas être à la hauteur... et mon aventure avec ... Victor ... m'avait encore fragilisé.
Ce fut donc par ma femme que le malheur arriva.
- Chéri, je rentrerai un peu plus tard ce soir, mais soit là vers 19 heures, le type que tu m'a envoyé pour les travaux dans l'appartement, celui qui a un nom russe, il passe voir le chantier pour proposer un devis... Merci au fait d'y avoir pensé... J'espère qu'il pourra me sortir d'affaire parce que là je n'en peux plus! Je t'embrasse.
Clic. J'étais déjà rentré et il était 18h30. Le type pour les travaux. 19 heures. Un nom russe. Je ne connais pas son nom. Mais Victor... Viktor? Est-ce que ça pouvait être lui ? Pas possible, pas possible, me dis-je en essayant de rappeler ma femme pour en savoir plus. Répondeur.
Avait-il pu avoir son numéro? Oui bien sûr, il l'avait déjà appelé, avec mon portable. Le salaud, à quel moment avait-il noté le numéro? Non, non... Et comment avait-il pu savoir pour les travaux ? J'en avais parlé ? Oui? Pendant qu'il se branlait devant moi, que je ne savais plus ce que je répondais en parlant à ma femme, ce soir là... On avait évoqué les travaux? Plausible, c'était plausible, mon dieu c'était affreux! Il pouvait même avoir subtilisé mes papiers un instant, il en avait eu le temps, pour regarder mon adresse... Venir jusque là, se renseigner auprès du concierge, apprendre qu'il y avait des travaux qui n'en finissaient pas dans l'appartement mitoyen au nôtre, qu'il s'agissait de celui de ma femme, l'appeler, lui raconter des bobards... Filer son putain de scénario pour revenir me harceler !
Je paniquais complètement. Qu'est-ce que j'allais faire? Je ne pouvais pas lui ouvrir, pas le laisser entrer, non, pas ici! Qu'allait-il me faire? Que cherchait-il? Je transpirais et tremblais d'avance... Voulait-il me faire chanter ? Devais-je tout dire à ma femme ? Comment devais-je l'accueillir?
Je rentrai en coup de vent dans notre chambre et me regardai dans la glace... Fatigué par ma semaine de boulot, j'accusais un peu le coup côté visage. Un début de barbe affleurait sur mes joues, j'avais le cheveu légèrement en bataille, et des cernes sombres sous les yeux. Mon costume avait mal supporté la chaleur de cet été ensoleillé. J'étais nus pieds, trois boutons de chemise défaits sur mon torse sensiblement poilu, et mon ventre, bedonnant malgré moi, menaçait de faire craquer les boutons restants (je ne m'étais pas résolu à changer de taille de chemise malgré ma prise de poids, dans l'espoir de me récupérer).
Je ne savais plus quoi faire et laissais filer le temps. 19 heures arriva et personne ne sonna. Mon stress augmenta en conséquence. Je n'avais toujours pas choisi quelle attitude adopter, c'était très perturbant. 19h30 et rien à l'horizon! Je ne m'étais pas résolu à me changer, je tournais en rond comme un lion en cage, mais un lion qui attend son dompteur, avec au ventre un mélange étrange d'attente craintive et d'espérance... Que je n'arrivais pas vraiment à définir.
20 heures.
La clef dans la serrure. Ma femme qui rit... une voix... Le sang reflua de mon visage pour aller se nicher plus bas, là où il ne fallait pas, pour me durcir au feu. C'était lui. Victor. Viktor? Je restai campé dans l'entrée avec un sourire figé pour les accueillir, pâle comme un mort, bandant de désespoir.
Ce salaud avait attendu ma femme, j'en étais sûr. Elle riait de ses plaisanteries et j'en fus dérangé. Ma femme n'était pas ce qu'on appelle d'emblée une belle femme. Son visage aux traits trop irréguliers , son nez plutôt allongé, son menton en galoche, cassaient les codes de la beauté classique. Mais elle avait un chien fou, avec ses yeux d'ambre qui vous toisaient en permanence, son sourire en demi-teinte, son air intelligent, et sa chevelure rousse flamboyante, taillée à mi-longueur, en un carré asymétrique. Mais c'est surtout sa silhouette élancée qui frappait, ses épaules de nageuse, sa taille fine sur des hanches plutôt larges pour une jeune femme qui n'avait pas encore eu d's, sa poitrine pointant sous son chemisier en deux poires alléchantes, et son cul... Son cul rond et rebondi, que son tailleur ne manquait pas de mettre en valeur.
Et la voir ainsi se faire draguer - car il la draguait visiblement - par ce type gras, plutôt laid, vulgaire, en salopette bleue de travail qu'il portait apparemment à même le corps, échancrée sur son torse pâle et velu... Ca me tuait.
Et je ne débandais pas. Et pour cause. Son odeur de transpiration était telle que je l'avais laissée derrière moi, et l'enveloppait comme une seconde peau. Il avait pris l'ascenseur avec ma femme! Elle n'avait pas manqué, j'imagine, de le sentir, et d'en être incommodée. Elle n'en montrait rien cependant.
- Chéri, Monsieur Viktor... Ca me gêne de vous appeler comme ça, mais c'est vrai que c'est plus simple! ... Monsieur Viktor est un peu en retard... Sers lui donc un verre le temps que je me change!
Et elle fila dans la chambre sans attendre ma réponse tandis que Viktor me tendait la main, comme si de rien n'était... Abstraction faite du dialogue qui ne collait pas à la scène...
- Bonsoir Paul, tu vas bien ?... Hein, ma petite pute... Il avait ajouté la suite en baissant le ton et en serrant ses doigts sur les miens.
- Tu n'es pas venu me voir, donc je viens... j'avais très envie de rencontrer ta femme, de toutes façons. Sa photo m'avait bien plu...
Il me déshabillait du regard et j'en étais gêné....
- Tu t'es faite sexy pour moi, petite pute ? Réussi... tu es bandante à souhait...
Il effleura un de mes tétons à travers la chemise et se remit les couilles en place dans le mouvement. J'en tombai la mâchoire et il en profita pour me saisir le menton d'une main ferme, approcher le visage et me cracher subitement dans la bouche.
- Ne reste pas ouverte comme ça où la prochaine fois j'y mets la bite...
Instinctivement je la fermai et avalai son crachat, pour faire disparaître toute preuve. Estomaqué par son attitude, agressive et vulgaire, je fis diversion en allant servir les apéritifs.
Ma femme revint au salon en ayant tombé la veste - défait deux boutons de son chemisier ce qui libérait un peu trop à mon gout la vue sur son décolleté - et troqué sa jupe de tailleur pour un pantalon d'intérieur qui, s'il était très sage, soulignait parfaitement ses formes.
Viktor laissa échapper un sifflement admiratif et se détourna avec un demi sourire aux lèvres sur l'appartement...
- Très joli chez vous, et décoré avec goût! J'imagine que vous cherchez le must en toute chose ?
Il se tenait de telle manière, mains sur les hanches, les yeux levés vers les moulures au plafond, qu'il invitait au regard... Et la bosse entre ses jambes offrait un relief tel qu'on ne pouvait éviter d'y jeter un coup d'oeil. Ce que fit ma femme sans pouvoir réprimer un haussement de sourcils d'étonnement.
Viktor devait savoir exactement ce qu'il faisait car il capta le regard et lui sourit à pleine dents, la faisant rougir. Quel salaud!
Je détournai l'attention en proposant les boissons et ma femme nous fit passer au salon. Je découvris ce qu'il avait inventé pour appeler de ma part: il avait fait des travaux pour mon entreprise, assez délicats, qui nécessitaient beaucoup de savoir faire et du doigté car les plans d'origine n'étaient pas conformes. Il avait fallu tout recalculer et le chantier avait été assez sauvage... J'avais craint que les dégâts ne puissent être rattrapés mais finalement ça m'avait bien plu et j'en avais redemandé. cet enfoiré utilisait un double langage qui me mettait très mal à l'aise et je ne pouvais qu'acquiescer, compte tenu de la situation. J'avais pensé à lui puisque le précédent entrepreneur avait mis les voiles et que l'appartement que ma femme avait racheté à côté du nôtre était en pleine friche depuis des mois. Il était prêt à faire un prix parce qu'il avait un faible pour moi - ce qui fit sourire ma femme qui l'observait à la dérobée... Je la soupçonnai de chercher à cerner le personnage.
En bref, il se présentait comme le sauveur.
Ma femme lui expliqua le contexte, donna des détails sur la situation, les principales difficultés à résoudre - dont des problèmes de fuites d'eau venant du voisin du dessus - et précisa sa commande. Et elle m'acheva enfin d'un...
- Paul, tu veux bien montrer l'appartement à Monsieur Viktor? Monsieur Viktor, je vous laisse le soin de m'adresser votre proposition... A bientôt j'espère!
Elle lui serra la main et me fit une bise au passage en me glissant...
- Je vais prendre une douche... A tout à l'heure...
Viktor m'interpella d'un... "allons voir ce chantier alors!" qui m'entraina dans le mouvement... J'attrapai les clefs de l'appartement en maudissant ma femme de sa proposition...
Il ne me sauta pas dessus alors que nous passions dans le couloir puis dans l'appartement en travaux. Celui-ci était assez encombré, et j'avisai avec effroi un matelas posé dans un coin. Mais Viktor regardait à droite à gauche comme s'il s'intéressait véritablement à l'état des travaux... C'était un grand quatre pièces avec un couloir qui distribuait les espaces sur un balcon traversant. Il ouvrit la porte-fenêtre du salon et s'aventura justement sur le balcon.
- Ca donne chez vous ? demanda-t-il distraitement.
- Oui, le balcon tourne à l'angle et rejoint le nôtre... Nous avons d'ailleurs fait sauter la séparation qui n'était plus utile...
Et voilà qu'il entreprend de le visiter.. de le parcourir plus exactement, remontant le long des arbustes que nous avions disséminé pour ne pas avoir de problème de vis à vis - une vraie jungle...
- Euh, non, non... Pas par là, lui dis-je soudain.
Il avait poussé jusqu'au bout du balcon, qui donnait sous la fenêtre de la salle de bains... Il savait bien, le bougre, ce qu'il faisait. une fois devant la fenêtre il me fit un clin d'il et m'invita à me rapprocher, comme si moi aussi ça pouvait m'intéresser, comme si je ne l'avais jamais vu prendre sa douche, salopard... Il se pencha pour mater à travers les persiennes qui, bien que baissées, laissait suffisamment de jour pour voir assez clairement l'intérieur de la salle de bains.
- Hmmm, quel spectacle! Elle est vraiment bonne ta femme, dit-il tout bas...
- Arrêtez ça toute de suite! Revenez! répondis-je sur le même niveau sonore.
Je vérifiais l'état dans lequel elle était et me figeai. Elle était effectivement nue et prenait sa douche le rideau ouvert... Son corps aux formes pleines s'offrait à nos regards, et on voyait nettement sa peau laiteuse, couverte de taches de rousseur, qui ruisselait sous l'eau chaude... Ses seins comme des fruits tendres et gonflés remontaient haut sur sa poitrine, et les pointes se détachaient nettement, et pourtant elle ne devait pas avoir froid ! Son pubis brun roux formait une petite ligne duveteuse des plus ravissante, et comme elle tournait sur elle-même les globes de ses fesses appelaient les caresses... et plus encore...
J'en restais stupéfait un instant...
- Encore la bouche ouverte ? Je t'avais prévenu!
Et le voilà qui me presse sur l'épaule pour me faire mettre à genoux devant lui... Je résiste et proteste en murmurant...
- Arrêtez-ça maintenant, qu'est-ce que vous croyez à la fin! Je ne vais quand même pas...
Et lui de faire ce geste aberrant, défaire sa salopette et la laisser tomber au sol, pour apparaître dans toute sa nudité, cette pâleur de peau noircie de poils, cette chair dense, en muscles relâchés, et ce... cet engin entre les cuisses, plus impressionnant que dans mon souvenir, qui me touche au ventre tant il dégage de puissance et de lubricité, à grossir lentement, se redresser tel un athlète, prenant appui sur ses couilles, relevant le gland, lourd comme une altère... Sa bite, sa bite...
- Tu ne voudrais pas que ta femme te surprenne là en train de pomper une queue, non ? Alors vas-y, occupe-toi de moi, pendant que je la mate...
La menace n'avait aucun sens, vu que je n'avais encore rien commencé...
- Et si tu veux que j'arrête de la mater, alors soit efficace avec ta bouche, petite pute...
Il me toisait, mains sur les hanches, son sexe grandissant encore... Et je m'accroupis enfin pour l'emboucher d'une traite.
- C'est ça, applique-toi, fais-moi bien reluire jusqu'à ce que foutre s'en suive... ca ne t'a pas manqué, dis?
Il faisait jouer son prépuce dans ma bouche pour que je le sente mieux, il le poussait en avant, mettait encore plus de peau entre mes lèvres et j'y glissais ma langue, fouillais à la recherche de son gland... Je libérai au passage un flot de liquide séminal et une liqueur plus ancienne, à base de sueur et d'urine pour l'essentiel... ma langue explorait l'ogive et vint nettoyer le pourtour du gland, agacer le frein au passage et le décalotter finalement...
- Oh putain tu es devenue pro ou quoi? Combien de queue tu as sucé depuis la mienne?
- Au... Aucune... lui répond-je, presque fier d'annoncer que je lui suis resté fidèle...
Son sexe durcit brusquement dans ma bouche, la remplissant pleinement...
- Oh mais elle se touche la salope! Putain ce qu'elle est chaude... tu crois qu'elle pense à ma bite ?
Je ne le croyais pas, ce n'était pas possible, il disait ça pour m'exciter, me troubler... je me mis à le pomper plus fort, décalottant le gland en le branlant, et aspirant son gland dans ma bouche... Son épaisseur me comblait et je me l'enfonçais régulièrement au fond de la gorge... Je voulais le faire jouir et sortir de cette embarrassante situation...
- Oh bon sang ce qu'elle est bonne, et ohhh ... qu'est-ce qu'elle fait là? Ouaouh elle est bien excitée en tout cas... il y a bien quatre doigts maintenant... Elle aime décidément la bite, ta femme... Ma bosse l'a impressionnée, m'est avis... C'est ça, vas-y, doigte toi bien... penche-toi en avant, enfonce les plus profond...
Ses chuchotements provoquaient l'apparition d'images sur ma rétine de ma femme en pleine action, je voyais ses lèvres entrouvertes dans le plaisir, ces lèvres, au naturel, d'un joli rouge carmin, ses doigts plonger entre ses cuisses pâles et charnues, pour y explorer sa fente dégoulinante de cyprine... elle avait tendance à mouiller abondamment dans les préliminaires... Son bouton se gonfle au point d'atteindre la taille d'un ongle de petit doigt... ongle qu'elle utilise habilement pour se le taquiner longuement...
Et moi je pompe avidement une queue, tout en me passant la scène au ralenti, je m'applique à tirer le jus de cet enfoiré qui s'est permis de débarquer chez moi, à l'improviste, et de se payer une bonne pipe en regardant ma femme prendre sa douche...
- Ohhh, bon sang... Qu'est-ce qu'elle fait maintenant? hmmm ça ouvre des horizons ! ohhh C'est ça, Vas-y...
J'ignorais à quoi il faisait allusion mais je m'activais plus vivement sur sa queue... il me passa une main derrière la nuque pour me flatter doucement, et je sentais sa masse enfler dans ma bouche, m'écartelant les mâchoires, tandis qu'il haletait maintenant...
- Oui... Doigte-toi bien le cul, comme ça... Oh, tu sens que ça vient, hein? C'est en train de monter, ça monte... ouiiii... Ahhhh! Chienne...
Il retint son cri mais pas l'avalanche qui l'avait provoqué... Bloqué d'une main de fer au niveau de son gland, un geyser de foutre m'envahit le gosier... Sa première giclée, plus liquide, mais celle-ci très abondante... J'avais l'impression de me taper un plateau d'huitres en quelques secondes, tout y était, la chair, le jus, le goût de la mer... j'avalais malgré moi, appréciais malgré moi, et quand il me relâcha enfin j'eus presque envie de roter...
Je me redressai sans attendre et jetai un coup d'il dans la salle de bain: ma femme était en train de reprendre ses esprits, appuyée au mur de la douche, de profil, la tête appuyée sur un bras, yeux clos et lèvre inférieure tremblante, une main encore tendue sur son fessier cambré, le caressant comme on le ferait d'un animal agité... Ma femme, essoufflée, nue, ruisselante...
Viktor se détournait déjà et m'entraina à sa suite...
- Tu n'as pas honte de reluquer ta femme comme ça sous la douche?
Et m'empoignant le sexe bandé dans mon costume, il ajouta...
- Et ça t'excite en plus... A moins que ce ne soit ma bite aussi? Ca t'a plu, hein?
C'était délirant, il ne s'était même pas rhabillé et se baladait à poil sur mon balcon, avec juste ses baskets, et sa salopette à bout de bras... Revenant au chantier, il me plaqua dos au mur et tout en me déboutonnant le pantalon colla son visage à quelques centimètres du mien...
- Je t'ai posé une question... ça t'a plu, salope, de boire mon foutre à même la pompe ?
Je déglutis et hochais la tête silencieusement... mon pantalon était tombé à mes pieds et je n'étais plus qu'en slip et en chemise... Mais avec la chaleur de l'été et dans cette situation, je transpirai abondamment... Ce qu'il ne manqua pas de remarquer en passant sa main par derrière sous mes fesses, me palpant le cul au passage, mais ne s'y arrêtant pas... Ses doigts filèrent jusqu'à mon petit trou et l'agacèrent vigoureusement, étalant ma propre sueur tout autour et dedans...
- En position, chienne... je ne suis pas calmé...
Et il me balança sur le matelas, et me fit mettre à quatre pattes. Je voulus me rebeller, et lui lançai un regard furieux, qui disparut aussitôt: il me dominait de toute sa masse, la bite proéminente au milieu de sa forêt de poils, jaillissant de sous sa bedaine comme la lance d'un guerrier... Il dégageait un nuage d'hormones mâle au parfum de luxure... Je baissais la tête en geste de soumission.
- C'est bien...
il me poussa un peu jusqu'à ce que ma tête cogne presque une table basse en bois...
- ... mords là dedans...
Je ne comprenais pas. il cracha sur son sexe, baissa mon slip d'un coup sec et cracha sur mon anus puis empoignant son dard, me le planta sans autre préparation. Je compris et mordis la table de douleur...
- C'est ça, ... sors les dents, salope, parce que je vais te bourrer come une jument... Et si tu ne veux pas que ta femme rapplique et te trouve là, à prendre son rôle dans le scénario qu'elle vient de se fourrer dans la tête, alors tu encaisses...
Et il me baisa en levrette, violemment, à grands coups de reins mesurés, qui claquaient mes fesses puis prenaient possession de mon fondement d'une pression plus appuyée.. Il se retirait de toute sa longueur, s'arrachant à mes contractions, pour replonger aussitôt, et recommencer, recommencer, à me claquer le cul, me défoncer le fion.. Je bavais sur la table basse à force de la mordre, et je sentais le feu de son braquemart d'abord me brûler, puis se répandre comme la lave, et me chauffer le corps entier... Il me tisonnait comme un malade enfiévré, et moi je gémissais de honte et de douleur... J'étais sa pute, sa poupée sexuelle comme il me l'avait annoncé, je me donnais à lui sans retenue, malgré la douleur... Mon sexe bandait sous moi, pleurait de plaisir en filaments de mouille... Ca durait, et ça durait, et je finis par m'habi à nouveau aux coups, à l'épaisseur infernale de sa bite dans mon fondement, à aller au devant d'elle, pour mieux me faire baiser... Au bout d'un moment il ralentit le rythme et me redressa, pour triturer mes tétons de ses gros doigts épais...
- Alors tu l'aimes ma bite ? me chuchota-t-il à l'oreille
- Oui, oui... gémissais-je...
- Et elle ne t'a pas manqué ma bite ?
- Si, si, ahhhh...
- Et pourtant il a fallu que je vienne jusqu'à toi...
Il me tourna la tête et chopa ma bouche quasiment avec ses dents, pour me fourrer sa langue baveuse entre les lèvres... je la suçais pour le satisfaire... et me faire monter la pression dans le même temps... Son haleine sentait la bière et la vieille cigarette mais je n'en avais cure, il me dévorait la bouche aussi surement qu'il me perforait le cul, et tout n'était que plaisir à présent...
- Tu es à moi, à moi.. abandonne toi, laisse-moi jouir de toi...
Et je m'abandonnais. Il me lima doucement dans cette position puis me coucha sur le ventre, retira complètement mon slip et me tomba littéralement dessus, m'écrasant de tout son poids... Sa queue se frayant un passage rendu plus étroit par la position.
Et il m'acheva d'un déhanché sec et profond, de plus en plus rapide... Ca me faisait un effet buf, me donnait envie de pisser, sans doute à cause du frottement sur ma prostate, mais le plaisir venait avec et le sien aussi, dans un concert de grognements... Je me contractai pour mieux le sentir et il en profita pour se lâcher, à gros jets dans mon cul... Ca me brulait comme une mèche enflammée et quelques secondes plus tard, j'explosais à mon tour. Mèche courte. Il avait pris le soin de glisser sa main sous ma queue et je lui jouis dedans... Un fois bien épongé, alors que je reprenais mon souffle, il prit un malin plaisir à me donner sa main, de me tendre ma gamelle de chienne à lécher. Ce que je fis servilement... en me maudissant de m'être laissé faire.
Il se rhabilla rapidement.
- je dois filer... ne te dérange pas, je connais le chemin.. j'enverrai le devis à ta femme...
Assis sur le matelas, le slip enroulé sur une cheville, la chemise à moitié arrachée, le cul dégoulinant de foutre et les lèvres également, j'essayais tant bien que mal de retrouver une contenance...
- Ma femme... Qu'est-ce que... Qu'est-ce que vous lui voulez?
Il passa une main sur son crâne chauve et me regarda d'un air d'une perversité absolue - j'en frissonnai...
- Et ta femme, qu'est-ce qu'elle me veut ta femme ?
Et il me planta là.
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