Leslie La96
Leslie LA96 - Laure, le journal intime - Avec Leslie et Marie, une fille dun soir
Maintenant, Leslie est entrée dans ma vie, notre complicité est sans limite, mais je voulais aussi vous raconter une de nos premières complicités avec Leslie
Sortie seule ce soir-là, jétais rentrée tard à la maison, mais pas seule
Je suis rentrée avec une fille, jolie comme un cur, il est minuit passé et nous avons été directement dans ma chambre.
Je ne sais pas ce que faisait Leslie seule dans sa chambre, attendant certainement que je vienne la retrouvée, mais pendant plus dune demi-heure avec Marie nous nous sommes aimées, cette petite avait un tempérament de feu et était insatiable
Jétais harnaché de mon gode ceinture, mais à un moment Marie ma demandé, avec un air candide :
- Mais tu nas pas de petite amie, toi ?
- Si bien-sûr, que je lui réponds, elle doit être dans sa chambre.
- Et elle tattend sachant que tu es avec une autre fille ?
- Leslie nest pas jalouse et nous vivons librement.
- Mais pourquoi ne pas linviter, à trois cest bien aussi ! Elle pourrait nous regarder pendant que tu mencules !
Alors là, la petite me surprenait, elle était toute disposée à faire un trio.
Jai été cherché Leslie et elle ma vu entrer dans ma chambre complètement nue, et équipée dun gode ceinture et je lui ai dit :
- Je suis tombée sur une petite jeune fille, toute menue, une vraie nymphomane pour son jeune âge et exhibitionniste en plus, un peu allumée et qui me demande que tu viennes nous rejoindre pour nous regarder pendant que je lencule, elle adore se montrer dans cette position.
- Ok, me dit-elle, jarrive !
Le temps de passer une nuisette et nous voilà dans ma chambre où nous découvrons Marie gisant nue les jambes ouvertes en travers du lit.
Marie avait les yeux remplis dexcitation lorsquelle vit Leslie et se mit à se caresser en détaillant son corps nu sous la nuisette, elle vit ses seins et son sexe et sexclama :
- Ohhh, la belle queue qui pourra me donner aussi du plaisir !
Elle ne paraissait même pas surprise de voir un corps de femme dôté dun membre de mâle, elle en paraissait même réjouit.
- Tu vas me faire jouir par le cul pendant que ta copine nous regardera en se branlant, dit Marie, puis elle me prendra à son tour, ok ?
- Ça nous va, dit Laure.
Je minstallais dans le fauteuil pendant que Laure rejoignait Marie sur le lit et elles commencèrent à se caresser en se faisant une multitude de baisers.
Elles sembrassèrent fougueusement, avant que Marie ne se mette en levrette, offrant de la sorte sa porte intime de derrière aux expériences saphiques de Laure.
Affectueusement, Laure commença à lui caresser les fesses, puis, elle les embrassa. Ensuite, elle glissa sa langue dans la raie de Marie, elle la léchouillait en haut, en bas, à gauche, puis à droite mais refusait sciemment dentrer dans le vif du sujet. Elle sentait le périnée de sa belle parcouru dune multitude de petites décharges anarchiques.
Lorsque celles-ci commencèrent à se régulariser quelque peu, elle entreprit de lécher langoureusement lanus de sa partenaire. Marie commença à pousser de petits gémissements de plaisir mais elle navait encore rien vu
Moi de mon côté je me caressais
Petit-à-petit, Laure raidit sa langue afin de tournoyer gaiment sur son petit trou. Les gémissements de bonheur de Marie se faisaient de plus en plus sonores mais pas encore assez aux yeux de Laure qui planta alors littéralement sa langue dressée dans le cul de sa copine qui commençait à perdre prise.
Coup de langue, après coup de langue, le petit trou de Marie sentrouvrit légèrement et Laure en profita pour y faire tournoyer sa langue agile avant de finir par y laisser couler un copieux filet de salive lubrificatrice.
Marie savait quelle était sur le point de franchir le point de non-retour mais elle était tellement chaude quelle nenvisageait pas un instant de reculer.
Sans rien dire, Laure introduisit son doigt dans son petit trou. Même si Marie sy attendait et le souhaitait, son anus se contracta vigoureusement sur cet intrus.
- Continue, cest trop bon !
Il nétait plus possible maintenant de définir qui était lélève où la maitresse !
Laure progressa calmement et posément jusquau fond du petit orifice de sa partenaire. Lorsquelle y arriva, elle poussa de toute ses forces pour bien étirer tous les muscles de cet antre de plaisirs cachés.
Ensuite, elle commença de petites ondulations qui donnaient énormément de plaisir à Marie qui le témoignait toujours plus bruyamment ! Mais la petite Marie en voulait plus ! Laure commença à limer frénétiquement lanus de Marie jusquà ce que cette dernière seffondre à plat ventre sur le lit prise de puissants spasmes orgasmiques et de profonds cris de jouissance.
Laure approcha alors sa bouche de loreille de sa partenaire et lui glissa :
- Ne bouge pas, ce nest pas fini !
Elle écarta généreusement les fesses de sa partenaire, laissa couler sur son anus, encore partiellement dilaté de son assaut précédent, une très grosse coulée de salive avant de posé le gland du gode ceinture sur lanus de Marie et de titiller lentrée du cul de sa maîtresse dun soir
Laure se pencha à nouveau à loreille de celle-ci en lui disant :
- Je suis certaine que tu meurs denvie que je tenfonce cette grosse queue dans ton joli petit cul !
Marie chaude comme la braise lui répondit alors :
- Vas-y, oui, vas-y !
Comme précédemment, saidant dune main, elle introduisit précautionneusement le gode dans lanus de Marie qui criait toujours plus fort son plaisir ! Après quelques bonnes minutes daller et venue en bonnes et dues formes Marie explosa dun orgasme anal qui surpassait largement le précédent.
Affalée sur le ventre, envahie de spasmes incontrôlables, elle pria Laure de relâcher son étreinte mais à peine celle-ci ralentissait-elle la cadence que Marie la suppliait de reprendre son offensive.
Elle sallongea sur le dos pour offrir ses seins et sa bouche aux baisers de sa belle qui ne se fit pas prier pour la dorloter. Après une tendre séance de câlins, elle se blottit sur le ventre de Laure qui caressait tendrement ses cheveux.
Inconsciemment, sa main se posa sur le gode quavait utilisé Laure pour la mettre en pareil état. Marie la regarda avec un petit sourire malicieux en lui disant :
- Tes une sacrée coquine toi
Vas-y prends la pose ! Je vais te sodomiser devant ta copine
Laure saccroupit en saccrochant à la tête de lit métallique et cambra bien son dos. Marie sagenouilla derrière elle, lâcha une grosse coulée de salive sur le petit trou de Laure, puis, sans autre forme de préliminaire présenta le bout dun gode contre lanus de son amie.
Elle lui dit alors :
- Jespère quun petit coup vite fait par le cul te va aussi, car je nai plus la force de toffrir plus !
Excitée au dernier degré, Laure lui répondit alors :
- Vas-y, baise-moi ! Nattends plus, je ten supplie !
Calmement et méticuleusement, Marie introduisit le gode dans le cul de Laure qui, sen accommoda plutôt bien à en juger par les cris de bonheur quelle laissait filer.
De temps à autre elle poussait un petit cri de douleur, alors Marie temporisait un petit peu avant de repartir à lassaut de sa porte de derrière.
Lorsquelle fut au bout, elle recommença le manège, entrant et sortant lobjet jusquà ce que sa voie soit faite. Elle accéléra alors la cadence, jetant ses dernières forces dans cet envol incroyable qui fit se tordre de plaisir Laure qui criait son plaisir de toutes ses forces !
Laure seffondra sans force sur le grand lit, tandis que Marie, à genoux au-dessus delle, cambrée et offerte, déposait des baisers sur ses fesses.
Je me suis levée et placée derrière Marie, le membre prêt à la sodomiser, puis écartant ses fesses de mes mains, jai placé mon gland sur sa petite rosette encore entrouverte et je lai pénétré.
Je lai enculée sous les yeux mi-clos de Laure, qui commençait à sombrer dans le sommeil, puis après un long moment, alors que Marie venait de jouir une nouvelle fois, jai jouis à moi tour au fond de ses entrailles.
Elle saffala sur le corps de Laure, la tête sur son ventre, et lorsque je suis sortie de la chambre, elles dormaient toutes les deux
Laure se leva la première, elle prit une longue douche et un café bien serré avant de venir dans ma chambre me réveiller, puis Marie nous quitta dans la matinée apr-s une douche et un bon petit déjeuner
Sur le pas de la porte, elle nous lança :
Vous êtes formidables les filles !
A suivre
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