La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°279)
Suite de l'épisode précédent N°278 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Thaïs se retrouve désormais seule dans les appartements de la suite que Son Maître Vénéré a occupé pendant tout ce Week-end, et qui avait été organisé avant tout pour une rencontre professionnelle avec deux businessmen en vue de lacquisition par le Marquis Edouard dEvans du terrain quIL convoitait. La soumise a reçu comme consigne de tout ranger car son Maître la quitté sans perdre une seconde pour rejoindre dès le soir même son château en Beaujolais, la laissant, ainsi que toutes ses affaires. IL est parti, sans un au revoir et sans donner à sa soumise le moindre renseignement sur ce qui va se passer pour elle et quand elle va pouvoir le revoir, lui précisant juste « Ta vie ne tappartient plus maintenant, tu es à Moi ». Thaïs songe que demain matin, Walter, le Majordome doit venir la chercher ainsi que tous les bagages à 10h00 précises, mais elle ne sait pas du tout quels sont les ordres quil aura reçus et où il a été chargé de la conduire, pensant malgré tout quelle va pouvoir rentrer chez elle et reprendre le cours de sa vie, au moins pour un temps donné. Mais, elle se dit que de tergiverser en se posant plein de questions inutiles ne va pas lavancer pour autant.
Alors, sans perdre un instant, elle entreprend de ranger les affaires de son Maître avec précaution, décidant de commencer par laver soigneusement tous les joujoux que Ce dernier à utilisé depuis Vendredi soir, ce qui lui fait revenir en mémoire avec suavité et excitation tous les moments palpitants et voluptueux que son Maître lui a permis de vivre. Elle regarde avec un sourire coquin, la brosse à dents avec laquelle IL la faite chavirer dans lextase et qui est encore posée sur la table basse, trempée des gouttes de son eau de femme fontaine et de sa cyprine plus onctueuse. Elle récupère pour la rincer également la chaîne que son Maître lui avait attachée autour du cou, pour la passer profondément enfouie dans ses parties intimes, entre ses lèvres roses, et aussi en plein milieu de la raie des fesses.
Elle referme un à un les nombreux sacs de voyage que son Maître avait avec lui, car IL était parti en déplacement pour son activité professionnelle depuis plusieurs jours. Elle est très heureuse de sêtre vu confier cette tâche, pouvant découvrir de si près toutes les affaires si personnelles de son Maître, quelle na jamais vraiment côtoyé dans son environnement et son intimité, ne layant vu que lorsque ce dernier la faisait venir à lui dans les endroits où IL lappelait, parfois sur son lieu de travail ou en tout autre lieu à sa convenance, mais jamais encore à ce jour dans le célèbre Château de Ses ancêtres, le fameux Château des Evans en terre du Beaujolais. En effet Ses Terres, immense Domaine de forêts, de lacs et de vignobles appartenant à la famille des Evans depuis 1625, sétendant à des kilomètres autour de lancestrale demeure et dont elle a si souvent entendu parler
Thaïs préfère terminer de tout ranger avant de songer à aller se coucher pour quelques heures de repos qui lui seront plus que profitables. Son Maître ne lui a laissé aucune consigne mais elle ne sait pas non plus quelles sont les latitudes dont elle dispose, et elle préfère ne pas quitter la chambre avant larrivée du majordome, prévue pour le lendemain matin, se contentant de boire un peu deau restée dans la bouteille, même si la faim la tenaille un peu.
8H00
Le réveil tire Thaïs de son sommeil quelle a apprécié après ce merveilleux WE riche en émotions. Elle se lave et shabille tranquillement avec lune des tenues que son Maître lui avait demandé dapporter avec elle. Elle se rend compte que finalement, elle avait emporté bien plus dhabits que ce quelle na eu besoin en réalité, restant la plupart du temps nue en présence du Châtelain, à lintérieur de la suite, présence quelle na quitté que pour aller dîner le premier soir et aussi pour suivre Thierry, le jeune businessman, à qui elle avait été chargé de jouer une comédie effrontée suivant le plan décidé par le Marquis dEvans
Elle enfile donc son tailleur sobre, de couleur bleu marine, avec un chemisier de soie blanche, ayant préalablement mis ses sous-vêtements, bas et haut assortis, le tout en dentelle blanche.
10h00
. Thaïs est prête depuis de longues minutes, nayant pas pris le risque dêtre en retard. Elle attend sagement assise dans le fauteuil face à la porte dentrée larrivée de Walter, le majordome. Elle pense que ce doit être quelquun de ponctuel qui respectera lheure fixée par son patron, mais elle sait aussi quil est sur la route soumis aux aléas et autres retards potentiels. De toute manière, elle na rien à faire dautre que dattendre dans la soumission la plus totale, réfléchissant à la condition qui est la sienne depuis quelle est devenue lune des esclaves femelles de Monsieur le Marquis Edouard dEvans. La soumise na jamais vu le majordome dont elle a souvent entendu parler par son Maître, et elle est malgré tout un peu inquiète car il semble ne pas être particulièrement facile. Son Maître est certes très intransigeant avec elle, ne lui laissant rien passer, mais dun autre côté, IL est son guide, son protecteur et IL sait aussi se montrer tendre, lui octroyant de nombreux plaisirs et autres marques dattention en récompense de sa dévotion ou simplement quand IL le souhaite.
La porte souvre sans que lon ait frappé. Un homme en costume-cravate assez grand avec une large carrure entre. Thaïs se lève pour laccueillir ne sachant pas très bien comment elle doit se comporter et préfère donc attendre avant même douvrir la bouche et de dire bonjour. Dun pas ferme et décidé, Walter sapproche du fauteuil où Thaïs attend droite sans bouger. Avec une force manifeste, et sans un mot, sans un sourire, les yeux fixes, le regard froid, il gifle sans préambule la soumise à deux reprises, une sur chaque joue, lui laissant de part et dautre la marque rouge de ses épais doigts sur le visage. Thaïs ne comprend pas cette entrée en matière, car elle pense quelle était prête à lheure et quelle avait suivi et respecté à la lettre les consignes de son Maître, et elle ne peut sempêcher de répliquer :
- M
Mais, pourquoi ?
Qu
Quai-je fait de mal ?
- Toi, la chienne, tu te tais et tu attends quon te questionne pour ouvrir la bouche. Compris ?
Thaïs voudrait dire « Oui » mais elle pense quil vaut mieux quelle ne dise plus un seul mot avant de comprendre ce qui se passe et donc elle répond positivement par un hochement de la tête tout en baissant les yeux en signe de soumission. Puis elle reste ainsi, debout les bras le longs du corps et la tête baissée, à attendre.
- En labsence de ton Maître, tu dois te comporter de la même manière, considérant juste que je le remplace car IL ne peut pas soccuper de tout et être partout à la fois. IL a dû rentrer précipitamment, car IL avait une importante réunion de travail programmée tôt ce matin dans les locaux de son Entreprise (voir la Saga saison 2). Sache que jai tout pouvoir pour te punir pour tes manquements aux règles et que je ne vais sûrement pas me priver de tapprendre les bonnes manières. Crois-tu que cest ainsi que tu aurais attendu ton Maître ? Tu ne pensais tout de même pas que jallais juste venir pour faire le chauffeur larbin, taper à la porte, arriver en livrée avec casquette, te saluer avec une courbette et en disant « Bonjour, la voiture de Madame est avancée ! », dit-il avec une perverse ironie.
Thaïs a toujours la tête baissée devant le regard de cet homme qui la toise dun air pervers et malicieux et qui lui parle si durement, en lui criant presque dans les oreilles. Elle sent quil att le chemisier de soie quelle porte et quil tire violemment dessus au point de le déchirer et de faire sauter tous les boutons.
- Tu as soixante secondes pour te mettre nue, à quatre pattes face à la porte dentrée, dans la position et à lendroit où tu aurais dû te trouver à mon arrivée. Je te donne 60 secondes, pas une de plus, le temps que jinspecte la chambre et les bagages de Monsieur le Marquis que tu as dû préparer. Cela ne tempêchera pas de recevoir une punition, mais il faut commencer par repartir à la case départ. Et puis, tu crois que cest une tenue de bourgeoise que tu vas enfiler pour quitter ce lieu, avec des sous-vêtements en dentelle, parce que je suppose qui plus est, que tu as eu limprudence de mettre une petite culotte. Tu mobliges donc à te punir doublement...
(A suivre
..)
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