Pépita ... Par Hasard ...
Pépita
Réponse à la lécrit dune amie .
Bonjour petite coquine
Je vais bien, merci
toi aussi jespère?
Contente davoir eu de tes nouvelles
voici un peu des miennes .
Japprécie ton baiser sensuel de fin de lettre, ça me donne des envies à moi aussi
je suis seule
si on sonne à la porte, je ne répondrais pas
presque nue
juste un porte-jarretelles
des bas noirs diaphanes et une nuisette transparente qui ne me couvre même pas les fesses
et ne cache à peu près rien mes seins
pas de culotte
mon sexe et sa fourrure sans contrainte
je suis assise
devant mon ordi
cuisses écartées, et je commence à técrire
je suis un peu folle
comme promis, je te raconte
jai envie dêtre grivoise
même un peu cochonne
je sais que tu aimes, et que rien quà lidée, tu dois avoir déjà une main entre les cuisses à te triturer la chatte, et aussi tout à côté, à taquiner le petit orifice plissé dissimulé dans ta raie au milieu des poils...
Tu te souviens, je tai déjà parlé de cette jeune personne que le rêvais de séduire
rêve jamais réalisé
la fille de quelquun que je connaissais
je nai pas osé
toujours eu des regrets
Voilà, un jour de la semaine dernière
Ça faisait longtemps que je ne lavais pas vue, à peu près cinq ans, elle avait 18 ans
moi entre 35 et 36 elle était belle, je fantasmais sur elle
mes tétons se dressaient et je mouillais quand je la voyais, jaurais voulu la dévorer, mais un jour, elle a disparu. !
Je lai revue en début de soirée, jeudi dernier
le hasard total!
Jai pris le TGV pour Toulouse, au départ de Montparnasse, parce que moins long quen partant dAusterlitz
en principe !
Douce ironie, à Bordeaux, nous sommes avisés quun incident empêche le trafic en direction dAgen. Nous avons le choix, patienter dans le train ou dans la salle dattente, ou nous reposer à lextérieur et attendre celui du lendemain après-midi.
Un peu fatiguée et pas pressée, dédommagement ou pas, je décide de passer la nuit à lhôtel. Pas loin, même pas cinq minutes à pied, tu dois connaître, un nom plutôt British, en traduction libre
le meilleur de louest
Cest là que je lai revue, nous nous sommes reconnues à la réception
la joie de nous revoir a été partagée, sincère
Je la trouvais encore encore plus belle, plus épanouie. Mon désir delle renaissait, malheureusement cétait trop tard, elle ma dit avoir un chéri et elle paraissait heureuse
dommage
Nous avons pris deux chambres voisines et, fatiguées toutes les deux, décidé dattendre au lendemain pour nous raconter nos vies.
Je commence à me déshabiller mais je pense à elle, dans la chambre à côté
je me caresse et me décide
jamais dautre occasion ne se représentera
jai 41 ans bientôt tu le sais,et elle 23, et elle a un amoureux
elle naime sûrement pas les femmes
je ne dois pas lintéresser.
Ça peut paraître irréaliste, mais tant pis, en jupon, corsage ouvert, presque nue, je frappe à sa porte ...
- Qui est là ?
- Mireille ...
- je touvre
Jentre
- quest-ce qui tarrive ?
tu as lair bizarre
- Ma belle, je nai jamais osé te le dire, mais jai eu tellement envie de toi il y a longtemps
te revoir aujourdhui ma toute retournée
déteste- moi si tu veux, si tu refuses je men vais mais je te désire trop pour ne pas te le dire
jai envie de tembrasser, te caresser
de mes mains
de ma bouche
Elle ne dit rien, ne me repousse pas, le regard trouble, elle se mord la lèvre inférieure
je lui caresse les seins par-dessus son corsage
elle ferme les yeux
je suis surprise, elle a lair daimer
je la retrousse jusquà la ceinture et la bascule doucement sur le lit et mets la main à lintérieur de ses cuisses
elle sécarte delle-même, alors je caresse son sexe à travers sa culotte déjà mouillée, puis jy pose ma bouche
elle gémit et tend son ventre contre moi en mappuyant sur la tête, comme pour me retenir.
Je me relève un peu la tête quand-même, pour respirer
- Oh non
narrête pas
je ten prie
continue
cest si bon
Je réussis à lui ôter sa culotte
je vois son clitoris, rose, raide, comme une minuscule
bite décalottée
je le suce, je le mordille en douceur
jécarte ses grandes lèvres, je vois ses petites qui ressemblent à des pétales de roses
jy colle ma bouche, jaspire son jus qui devient abondant et je lavale, puis jai envie de jouer avec elle un peu plus.
Je la fais mettre à quatre pattes
à genoux derrière elle, je lèche avidement sa chatte détrempée
sans oublier son clitoris que je suce
il est bien dur
je lui écarte les fesses et promène ma langue dans sa raie poilue, jusquà son petit trou plissé
je lui lèche le cul en essayant de rendre ma langue pointue pour y pénétrer
Je ralentis, elle gémit de plus en plus, je la sens prête à éclater
comme une prière
- Oh que cest bon fais-moi jouir
fais-moi jouir
je taime
je taime !!
Je me concentre sur son plaisir
. Fermement je la pénètre de trois doigts dans le vagin et dun va et vient rapide, je la branle énergiquement tout en enfonçant doucement, mais bien profond un doigt dans son cul
elle a poussé un cri, puis un râlement continu, ravagée par une jouissance sans fin, et mes mots bien crus qui laccompagnent
cest ça ma belle
cest bon hein
vas-y, laisse toi aller
cest beau de te voir jouir comme ça
imagine que jai une grosse bite et que je te baise
et que je suis toujours raide
Après un dernier râlement, elle sest écrasée à plat ventre sur le lit, mon doigt encore entre ses fesses
à demie consciente
assommée par la force de lorgasme !
Moi, je nai pas joui, toute dévouée à son plaisir à elle, mais je sais que tout à lheure, quand elle aura retrouvé ses esprits, ce sera à moi, et si elle ne sait pas bien faire, je lui montrerais
le plaisir dêtre linitiatrice
de la rendre aussi cochonne que moi
Son nom, Eugénie, mais je ne sais pas pourquoi, tout le monde lappelait Pépita.
Voilà ma jolie, je nai pas le temps de ten écrire plus long, figure-toi que jai encore un train à prendre
Des baisers comme tu aimes
Bien du plaisir à toi
Mireille
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