Embauche (Démission 2)
(Merci pour les commentaires qui motivent. Nhésitez-pas à laisser des messages, à moi ou aux autres, cela fait toujours plaisir aux auteurs!)
Nom dun bretzel, les aminches, ça na pas traîné avec la Camille !
Sitôt embauchée, sitôt embrochée !
Cette petite salope sait y faire, jvous ldit.
La première semaine, elle a fait son job et se comportait comme une Sainte-Nitouche. Propre sur elle et pas du tout à saffrioler le corsage. Non, non, une jupe longue et sage, des ptits pulls un peu larges pour pas montrer ses nibards avantageux. Bref, lassistante pro. Moi javais un peu oublié ce que mavait dit sa tante en partant, surtout content davoir quelquun qui bosse bien.
Puis vendredi dernier, comme tout le monde décarre un peu plus tôt, elle est restée « pour finir un dossier, Monsieur Steve ».
Moi jétais dans mon burlingue, occupé à mon bizness. Bon, au vrai, je matais une petite vidéo coquine et je métais même débraguetté pour donner de laisance à mon engin qui remontait la pente.
La voilà-t-y pas qui rentre dans mon bureau sans prévenir, et qui sapproche avec un dossier. Elle se plante devant moi, ses mirettes me vrillent. Elle a bien percuté quelle arrive à un moment un peu délicat, même si jai bien sûr zappé la page coquine. Tout en me matant, elle laisse tomber son stylo.
Elle se baisse pour le ramasser et là jentends :
- Oh, Monsieur Steve, je vous trouve bien tendu vu de dessous votre bureau, je ne peux pas vous laisser dans cet état.
- De quoi ?
- Laissez-moi faire.
Avant que jaie percuté, elle est passée sous mon bureau, ma attrapé les couilles dune main et mon bâton tendu de lautre.
- Cest bien ce que javais vu, il faut vous détendre.
Ma queue déjà sortie, elle na plus quà savancer à genoux et hop, elle menfourne la queue.
Putain, la pipe de rêve. Elle sait y faire la jeunette, bien dégourdie des commissures, et sachant happer une tige comme le brochet de la friture.
Je ne pouvais pas men défaire, et faut dire, jen avais plus lenvie !
Alors je lai regardée, ses longs cheveux sur mes cuisses et sa bouche me suçant à qui mieux-mieux.
Jai commencé à sentir la sève se préparer au jet final, alors je me suis reculé et je lui ai dit :
- Petite salope, ta tante ne mavait pas menti, tes une pute en puissance toi ! Viens-là, montre-moi ton matériel que je lestime.
Sans se dégonfler, elle sest foutue à oilpé dun coup.
Ventrebleu la belle fille ! Tout comme dans nos rêves de mâles.
Des seins commasse, un ventre plat surmontant un ticket de métro bien taillé et dessous, une fente de jeune fille, bien dessinée.
- Tu vas voir comment je traite les petites cochonnes, lui ai-je balancé. Pose ton ventre sur mon bureau et montre-moi ton cul, tu mérites une punition
- Oh oui, Monsieur Steve, oh oui a-t-elle minaudé en me montrant son derche.
Jai saisi la règle sur mon bureau et jai commencé à lui donner des petits coups. Elle tortillait son postérieur en laissant échapper des petits cris quand je tapais un peu plus fort.
- Alors, Camille, tu entres dans mon bureau sans tannoncer et tu viens me sucer direct ? Tu crois que ça marche comme ça ? Je vais tapprendre la politesse, et si tu veux aller jusquau bout de ta période dessai, tas intérêt à suivre, vu ?
- Oui, Monsieur Steve, bien compris.
Ses fesses commençaient à être zébrées de rouge. Je me suis arrêté.
- Bon, puisque tas lair de comprendre, on va aller plus en douceur. Ecarte-toi le cul, que je puisse admirer ton petit trou.
Et jai pu admirer son trou de balle tout soyeux. Jai craché dessus, je me suis craché sur la queue, et je me suis enfoncé dun coup.
La petite cochonne na même pas gémi, faut croire que le ramonage de son vestibule arrière se faisait plus dune fois par an.
- Oh, Monsieur Steve, enculez-moi bien à fond, sil vous plait, jadore sentir votre bâton.
- Tais-toi, salope, encaisse en silence pour linstant, tu nauras le droit de parler que quand je voudrai.
- Mmmm oui,
Jen ai profité, je lavoue, la limant bien lentement pour voir ma queue entrer et sortir de son anus qui sélargissait.
Je lai ensuite fait mettre sur le dos, pour voir ses nibards se balader pendant que je lenculais derechef.
Quelle beauté, cette poulette, et je me disais que jallais ment craquer de nouveau. Mais il ne fallait pas que cela déborde sur le boulot.
Pendant que je lui baisais le cul, je lui ai donné toutes mes instructions pour que nos rapports intimes ne puissent pas être décelés par les autres salariées.
A chaque règle, je lui demandais de me donner son accord. Je sortais ma bite de son gouffre anal, la laissais répondre « Oui Monsieur Steve » et hop, je lembrochais de nouveau.
Jai abrégé les instructions parce que tout à coup, jai giclé dans son antre, lui tapissant les intestins de mon foutre.
- Viens me sucer pour nettoyer tout ça, ai-je exigé.
Elle sest accroupie et ma léché de haut en bas, recueillant une dernière goutte en signature de son accord.
- Mademoiselle Camille, vous êtes une vraie cochonne.
- Merci Monsieur Steve de ce compliment, ma tante ma tant parlé de vous que je suis heureuse de travailler pour vous
et dêtre votre parfaite soumise.
Soumise ? Soumise ? Voilà une idée qui ne métait pas encore venue bien que jaie adopté un ton autoritaire.
Mais cela me plaisait bien comme situation.
- Ok, tu seras ma soumise.
- Merci, merci, je vous serai toute dévouée.
- Pour linstant, resape-toi et file.
Elle a décanillé rapidement.
Assis à mon bureau, je commençais à envisager notre collaboration dun autre il.
Si ça vous dit, jvous tiens au jus bande de pervers(es), vu qucette gonzesse à mon sens elle a de lavenir dans la gaudriole.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!