Leslie Be01
Leslie BE01 Bertrand
Une suite qui fait mal au cul
Il y a quelques temps, vous avez lu les récits SE25 et SE26, racontant le travestissement de Bertrand, un jeune homme rencontré sur internet
Depuis plusieurs mois, je navais plus de nouvelles de lui et javoue que je lavais oublié, mais en rentrant ce soir à la maison, javais un message de lui, me demandant de le recontacter.
Nous sommes jeudi et avant tout je me suis mise à laise, puis je lai contacté par internet, léchange fut bref, mais très explicite, Bertrand voulait sortir en femme dans le monde et avoir des aventures où il serait lobjet de désir de personnes consentantes.
Il me disait quil continuait de se travestir en cachette chez lui, et que même parfois il lui arrivait de se goder en se masturbant, mais que jamais depuis notre aventure il navait osé sortir habiller en femme et encore moins faire des rencontres
Nétant pas libre le soir même je lui ai proposé de nous retrouver dès le lendemain vendredi et quil naurait quà sapprêter et que je passerais le chercher vers vingt-heures pour sortir avec lui.
Il fut enchanter de ma proposition et me demanda :
- Comment dois-je mhabiller ?
- Le plus sexy possible, lui répondis-je.
- Ok, je serais prêt, vingt-heures.
- A demain !
Le soir, quand jai expliqué à Laure ma soirée du lendemain, elle ne vit aucun inconvénient à ce que je réalise ce projet, elle était crevée par son travail et profiterais pour passer une soirée calme et se coucher de bonne heure.
Le lendemain, jai fait des efforts de tenue, car certainement quune soirée chaude sannonçait, au point que je me suis sentie très sexy en me regardant dans la glace.
Laure profitant de chaque occasion pour me vanner, me dit en me regardant enfiler mes petits dessous avec une jupe fendue moulant le bas de mon corps :
- Ohhh, Madame se met sur son trente-et-un, elle pense séduire un riche parisien ?
- Non, mais si loccasion se présente, je nhésiterais pas un instant !
- Va savoir sil sera aussi compréhensif que moi.
Et voilà, Laure ne peux sempêcher de me provoquer, enfin cela met un peu dambiance dans notre couple.
Bon je suis prête, vite un taxi, je passe chercher Cathy et direction restaurant sympa que je connais et où jai lhabitude daller les soirs de drague, le comptoir de larc, près de larc de triomphe est un restaurant où bon nombre de jolies filles vont pour faire des rencontres.
Petit diner sympa dans ce resto où jai mes habitudes et où il y a une bonne ambiance, Cathy très en beauté ne manque pas de susciter les regards des mâles présents, moi je regarde un peu tout.
En effet il, ou plutôt elle, est maquillée très sophistiquée, depuis notre première rencontre elle a fait dénormes progrès, sa perruque blonde aux cheveux longs lui va à ravir, et son habillement est digne des pin-up des magazines
Petite jupe noire en cuir à mi-cuisses, petit top blanc moulant sur une poitrine non formée, elle a tout pour créer lillusion dune jeune fille, des bas gris et des chaussures à hauts talons finissent de donner lillusion que Cathy veut créer.
Le dîner terminé, nous sortons et commençons par marcher côté à côte, je sens Cathy fébrile se demandant ce que lui réserve la suite de la soirée
Alors que nous sommes sur le trottoir en train de faire nos premiers pas, Cathy se tourne vers moi et me dit :
- Jai beaucoup aimé de dîner avec toi habillée en femme, cela fait si longtemps que je rêvais dun tel moment !
- Il y en aura dautres, et tu vas apprécier.
Tranquillement nous marchons le long de lavenue Kleber, sans nous presser dans la douce ambiance printanière, nous déambulons profitant des premiers beaux jours et du début de floraison des végétaux, Paris la nuit cest magique.
Quelques temps plus tard, nous sommes, aux jardins du Trocadéro, je sens Cathy fébrile en passant le long de ce parc aux endroits sombres et protégés des regards.
Soudain, Cathy se tourne vers moi et membrasse à pleine bouche, puis ses lèvres glissent doucement dans mon cou, et sarrêtent derrière loreille, juste à la liaison avec le cou, là où je suis si sensible, une zone érogène pour moi et je ne peux pas me retenir de frémir et je sens bien contre ma hanche une raideur que Cathy sempresse de cacher en se séparant de moi, non sans me préciser :
- Jai envie de toi !
Il me dit cela la voix pleine de désir et denvies, presque en frémissant dans mes bras, sans un mot, je lai pris par la main et lai conduit dans un bosquet de ces jardins.
Il sest mis à genoux me laissant juste le temps de relever ma jupe et de dégager mon sexe de mon string et il a pris mon sexe entre ses lèvres pour me sucer comme un damné.
Il ne ma pas fallu longtemps pour que je bande, Cathy me sentant raide entre ses lèvres, se releva, puis se retournant après avoir relevé sa jupe sur ses reins, elle prit appui de ses mains sur un tronc darbre, en disant :
- Prends-moi, ohhh, prends-moi !
Cambrée et offerte comme elle létait, ce ne fut pas un problème de la sodomiser, juste après avoir enfilé un préservatif, je menfonçais entre ses reins constatant quelle sétait à lavance lubrifiée le conduit.
Je lai sodomisée pendant un bon moment sous lil attentif dun voyeur qui ne perdait pas une miette au spectacle que nous lui offrions, mais je me suis dégagée avant de jouir, lassant Cathy quelque peu sur sa faim
En me regardant avec des yeux pleins de tristesse, elle me dit :
- Jaimerais que tu viennes à la maison pour dormir, cela me changerait de ma solitude, bien quand ce moment je loge un ami, mais dormir près de toi
Et puis il est chez ses parents et ne reviens que dimanche soir.
- Alors, allons-y, dis-je.
Nous sommes silencieuses pendant notre retour chez Cathy, car nous savons toutes les deux que même si dormir est le prétexte, faire lamour est la finalité.
Et peu de temps après nous sommes dans sa chambre.
Sitôt la porte refermée sur nous, je prends linitiative de lembrasser en le plaquant contre la porte, bien sûr il me répond avec fougue et déjà je sens sa verge plaquée contre mon ventre.
Sentant ses désirs, je lui dis :
- Tu as
?
- Oui, dans le tiroir de la commode.
Je lentraîne doucement dans la chambre en continuant de lembrasser, laissant tomber ma jupe à mes pieds, puis tout le reste ensuite pour me retrouver nue allongée sur le lit.
Cathy, verrouille la porte et tire les rideaux, et me regarde
Cathy nen peut plus, ses désirs la submerge, elle ne pense plus quau plaisir quelle se refuse depuis si longtemps.
Elle fouille dans le tiroir, sort le préservatif de son emballage et le met dans sa bouche, puis se penchant sur moi elle tente comme dans les films de sexe de me le mettre sans laide de ses mains, bien que maladroite pour cette première fois, elle y arrive et se redressant elle me dit en se mettant en levrette les fesses en lair :
- Prends-moi encore
Le sexe dressé, le latex le recouvrant, je me place entre ses cuisses quelle écarte, je me présente à lorée de son illet que je pénètre en poussant à peine et comme pour maider dans la tâche, elle cambre son bassin pour venir à ma rencontre.
Jentre et je sens mon gland ouvrir le passage de son étroit conduit et elle ne peut retenir un soupir. Linvite est évidente
Je pousse vraiment et glisse sans effort dans son anus. Je suis en elle et cest bon et elle soupire encore sentant ma verge qui la prend, sentant quelle remplit bien son petit trou si peu pénétré.
Elle mencourage en soupirant :
- Oui, ohhh, cest bon
Je suis bien au fond delle, comme si ma queue était moulée pour son petit cul, elle bouge, dabord doucement, comme pour prendre pleinement conscience quelle se fait pleinement sodomiser en continuant de soupirer en disant :
- Encule-moi, jen ai tant rêvé
Voilà, cest dit, ses jambes se referment sur moi, memprisonnant pour me faire sentir son envie, ses talons sur mes fesses mentraînent en elle et lui faire sentir que cest bon de se sentir envahie, remplie dun membre chaud et ardent. Mes couilles tapent ses fesses et mes mains palpent sa poitrine plate et découvrent ses tétons pointés qui nattendent que mes caresses.
Je trouve mon rythme et la besogne de façon continue, son visage est tendu et son regard ailleurs.
Son souffle devient court, un gémissement, une secousse signale quelle jouit, moi aussi je sens mon plaisir monter, mais cest trop tard, je jouis et mécroule sur elle.
Je roule à ses côtés et elle me pose la question rassurante :
- Ohhh, cétait super, et toi ?
- Oui, jai eu beaucoup de plaisir.
Les minutes passent
Je suis encore chaude et je veux jouir maintenant différemment, jai envie que Cathy me sodomise, alors je me redresse et saisie son sexe entre deux doigt et approche ma bouche pour le gober. Sa verge disparaît entièrement entre mes lèvres, mais rapidement elle se gonfle et prend une dimension intéressante.
Je bouge et recouvre Cathy de mon corps, mon sexe est au-dessus de son visage et mes lèvres retrouvent sa queue maintenant bien dressée. Je joue avec, ma langue explore chaque centimètre, et je lentends à nouveau gémir.
Cathy ne reste pas inactive, de ses mains elle me déplace pour me positionner parfaitement au-dessus de sa bouche et jai un frisson lorsquelle me reprend entre ses lèvres et que son doigt ose senfoncer dans mon anus tout lisse.
Cette pénétration soudaine me stimule et je pompe Cathy comme une folle, mais soudain elle me dit :
- Arrête ! Je vais venir.
Je me redresse dun coup de reins, att un préservatif et je lajuste sur lobjet de mon plaisir et la seconde suivante je chevauche mon amante, face à elle, et glisse sur elle en descendant, lentement, très lentement, non pas parce que cest difficile, au contraire parce que je veux sentir mon cul souvrir pour laccueillir.
Mes fesses reposent maintenant sur ses cuisses, Cathy est immobile, elle sait que je vais la chevaucher, amis avant, je savoure son regard qui détaille ma poitrine, mon ventre et mon sexe que je branle dune main.
- Ohhh ! Soupire-t-elle.
Cest le déclencheur et je commence à me baiser sur le mandrin bien enchâssé dans mon cul maintenant dilaté. Combien de fois ai-je fait lamour ainsi, chevauchant mon partenaire, mes allées et venues font monter le plaisir dans mon corps, et je deviens une furie qui sempale encore et encore sur le mandrin de Cathy, qui elle aussi montre des signes de montée du plaisir et sa jouissance jaillit, inondant le latex, tandis que ma propre jouissance inonde son ventre.
A suivre
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